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ET DE MEDECINE DE SPORT
Filière : Kinésithérapie
Section : 2éme Année
Professeur : Mme SARA EL BAKKALY
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1ére partie: La Rééducation des lésions traumatiques
du membre inférieur
Introduction :
Les fractures du membre inférieur privent de l’appuie pendant une durée
variable, leurs traitement nécessite souvent 1er temps d’alitement (c’est la
phase du nursing) puis la déambulation n’est possible avant la consolidation que
si les lésions sont unilatérales au moyen de la marche pendulaire en appui
unipodal.
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3- La phase de la marche avec appui:
Appelée aussi la phase de la remise en charge. Dans cette phase on va intensifier
(=augmenter) le travail de renforcement musculaire et la récupération des
amplitudes total, l'appui est progressif pour devenir complet, et lors de cette
phase on va contrôler la marche et les boiteries.
4- La phase de réadaptation:
C’est la phase de réentrainement à l'effort et à la performance.
2éme principe = Lors du lever sans appui il est conseillé qu'il soit progressive pour
éviter les accidents d'hypotension orthostatique à fin de prévenir et éviter les
œdèmes s'il n'y a pas de plâtre il faut placer sur le membre inférieur une bande
élastique des orteils à la racine de la cuisse avant le lever et durant la
verticalisation.
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_ Doit être d’abord précoce.
_ Ne jamais faire mal.
_ Interdire toute mobilisation passive forcée.
_ Donner la priorité aux mouvements actifs car ils sont contrôlés par le patient.
_ La rééducation doit être prolongée.
_ Le kinésithérapeute tout le long de l’évolution de l’atteinte doit faire attention:
* Sur le plan physique le dépistage de la fatigue, en rapport avec une baisse
de la performance, de la douleur…
* Les moyens de lutte contre ces troubles cutanés : Les frictions des points
d'appui, les changements de position, l'installation du talon dans le vide,
apprendre au malade de soulager ses points d'appui.
3- La faiblesse musculaire :
Elle est due à l'atrophie musculaire d'où l'importance initiale du testing plus les
mensurations centimétriques
Ses exercices permettent de garder le schéma des cinèses. Pour le reste les
membres supérieurs, le membre inférieur opposé le travail actif sera de rigueur
principalement les membres supérieurs pour la préparation à la marche aux
béquille tel que le triceps, les pectoraux, le grand dorsal, le grand rond, les
extenseurs de l'avant-bras, et les stabilisateurs du poignet et des doigts.
Dans cette phase il ne faut pas faire le mouvement forcé car il ne s'agit pas de
fortifier la musculature mais il faut l'entretenir.
4- Limitation articulaire :
Ils sont dus généralement à la position vicieuse et à l'inactivité telle qu’un
flessum de la hanche, l'extension de genou, la rétraction des rotateurs externes
de la hanche, et l’équinisme du pied.
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2- Prévenir la rotation externe en mettant un drap ou une grande serviette en
roulée à la face externe du membre, ou bien une tige sous le plâtre pour éviter
la rotation externe ou une attelle cruro-pédieuse.
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Comme compliment à la kiné ; on utilise l'infrarouge, la balnéothérapie, en effet
la résistance de l'eau sur les segments nécessite un effort musculaire tolérable,
pour une hanche limitée et douloureuse.
La mise en charge est autorisée exclusivement par le médecin (avis médical plus
radio) généralement après 3 mois. Elle est progressive, la douleur est un signal
d’alarme chez un fracturé. Cette mise en charge est débutée avec un plan incliné
on appui bipodal, ensuite en appui unipodal.
Les mobilisations passives et le travail actif sont intensifiés pour récupérer les
amplitudes normales de l’articulation, quand le contrôle cardiologique est
satisfaisant cela autorise le travail actif contre résistance tel que la pesanteur ou
bien une légère résistance manuelle des muscles de la hanche qui intéresse les
fléchisseurs et extenseurs, adducteurs et abducteurs, rotateurs externes et
rotateurs internes.
Enfin, l'appui est récupéré un bon équilibre du bassin, les aides à la marche
abandonnés vont autorisés l'appui total. On commence la rééducation de la
marche, la marche sur terrain plat et accidenté et on corrige les boiteries s'ils
existent.
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D- La phase de réadaptation et de réentrainement à l’effort :
La rééducation ne doit pas se contenter, de récupérer une amplitude articulaire,
ni une force musculaire normale, ni le réapprentissage de la marche, elle doit
être suivi par un réentrainement qui redonne confiance au sujet à sa hanche et
redonne équilibre, rapidité et sureté et surtout lui apprendre ses activités
quotidiennes.
La réadaptation à la marche.
Apprentissage de l’utilisation d’une canne simple pour réduire les
contraintes sur le matériel.
Economiser la prothèse et les exercices de montée et descente
d’escaliers.
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Le traitement par kinésithérapie dépend de la voie d’abord :
Important :
Placer un coussin triangulaire entre les jambes du patient.
Ou bien placer des sacs de sables contre les membres pour prévenir les
rotations.
Le travail du moyen fessier en D.L doit être surveillé pour éviter les
rotations, le renforcement sera entrepris à partir du 20éme jours.
Les postures d’extension se font sans aucune rotation et sans aucune
charge.
Les contractions statiques seront exécutées contre résistance manuelle
du kiné ou sur plan incliné progressivement verticalisé tout d’abord en
appui bipodal ensuite en appui unipodal sur le membre atteint.
L’appui total est autorisé dès les premiers jours de marche.
Recommander au patient de ne pas croiser les jambes lorsqu’il est assis.
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3- 5ème jour postopératoire :
- Identique plus :
- Marche en appui limité à l’aide du cadre.
- Travail de la F/E du genou en assis au bord du lit, foyer de la fracture soutenu.
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2- Après 8 à 10j :
3. Après 5 à 6 semaines :
- Supprimer l’attelle de contention.
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- Renforcer le quadriceps par la musculation isométrique en extension.
- La proprioception.
a) Un traitement préventif :
- Pour prévenir la raideur secondaire à l’amyotrophie + diverses adhérences :
b) Traitement curatif :
Après consolidation et disparition de l’ostéoporose le gain de l’amplitude utiliser
à 3 techniques :
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- Les mobilisations du type « contracté- relâché ».
Si le gain obtenu est insuffisant après plusieurs semaines on peut réaliser des
plâtres successifs de postures on recourir à une mobilisation sous anesthésie
(après la semaine postopératoire).
3- La rééducation ambulatoire :
* Les sports déconseillés : qui ont une force ; comme le tennis et le foot et le
basket.
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La rééducation d’une ligamentoplastie du genou
(ligament croisé antérieur) chez le sportif
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C- La phase de réadaptation du 6éme au 12éme mois :
Après 6 mois la kiné est remplacée par rééducation sportive en salle est sur le
terrain. Une progression dans la reprise des sports est donnée en fonction de la
récupération du genou. Les sports d’endurances sont repris puis les sports plus
contraignons, mais sans contacte physique et les sports sur les terrains sont
repris vers le 9éme mois et un an avec l’accord du médecin, cette réadaptation
sportive s’effectue parallèlement sur salle et sur le terrain est comporte 3 volet :
_ Un volet de musculation.
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La rééducation des lésions traumatiques de la jambe
1- Buts :
_ Prévention de la rééducation après l’ablation du plâtre.
_ Entretenir la souplesse articulaire des articulations restées libres.
_ Conserver l’image du mouvement.
_ Limiter l’amyotrophie.
2- Précautions et conseils :
_ Une surveillance vigoureuse du membre traumatisé qui porte sur la
coloration, la chaleur, l’œdème de l’avant-pied.
_ Toute douleur peut faire évoquer une compression, des escarres sous
plâtre, voir des déplacements.
_ Pour la déambulation conseiller les cannes, béquilles pour les jeunes,
et un déambulateur pour les gens âgés.
_ Placer le membre en position déclive même la nuit.
3- La kinésithérapie :
La contraction statique du quadriceps, permettant 250
contraction/jours par série de 50 qui ont pour but la mobilisation de la
rotule, la lutte contre la raideur du genou, l’amyotrophie du quadriceps.
Ensuite les contractions statiques des fléchisseurs et des extenseurs de
la cheville. Ensuite la mobilisation active des orteils et de la hanche.
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B- La rééducation des fractures de jambes traitées par une botte
plâtrée :
Le plâtre prend la jambe, la cheville à 90° et s’arrête à l’articulation médio-
tarsienne.
1- Précautions et conseils :
Idem que dans le chapitre précédent. Le genou est libre. Il permet une
déambulation plus facile sans appuie, la rééducation s’adresse au genou, le
patient doit récupérer la flexion du genou à 100° dans les 3 premières semaines
qui suivent l’ablation d’un plâtre cruro-pédieux.
2- La kinésithérapie :
N.B : Toute manipulation avec force doit être proscrite (fracture non consolidé).
1- Précautions et conseils :
Les fiches ne traversent pas les muscles, la rééducation auras pour but de
conserver les articulations sous-jacentes (cheville, orteils) souples et libres de
limiter l’amyotrophie, de surveiller les points d’entrer des fiches par les soins
infirmiers pour éviter les infections.
Lors de la marche avec canne, béquille, avec ou sans appuie en protège les
extrémités des fiches qui risquent de blessé la jambe opposé.
Il faut éviter l’équinisme du pied, il faut éviter tout travail contre résistance
(solidité de matériel + ne pas réveiller la douleur), les positions déclives, et le
massage limitent l’œdème (au niveau de la cheville).
2- La kinésithérapie :
Idem au précédemment.
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Entretenir la mobilité du genou limité, la cheville ne pouvant être mobilisé,
ensuite traction de 40 à 60 jours suivit d’un plâtre cruro-pédieux.
2- La kinésithérapie :
_ Mobilisation de la rotule.
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A- L’ablation du plâtre :
1- Les bilans :
2- La kinésithérapie :
_ La tibio-tarsienne.
_ La sous-astragalienne.
_ La médio-tarsienne.
_ Les tarso-métatarsiennes.
_ Les métatarso-phalangiennes.
_ Les inter-phalangiennes.
Plus des mouvements globaux (inversion, éversion, valgus, varus) en insistera sur
la flexion dorsale de la cheville (pour lutter contre l’équinisme du pied).
La mobilité des orteils en flexion/extension, ensuite en va faire les postures
manuelles ou les pouliethérapies.
2-2- La mobilisation active :
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En fonction des indications et des traitements, elle doit débuter très
précocement car elle représente une étape fondamentale de la rééducation du
pied.
Elle sollicite d’une façon analytique puis globale tous les muscles pour garantir
la bonne mécanique de la voute plantaire. Cette rééducation va se faire selon les
étapes suivantes :
Les moyens pour gagner les amplitudes articulaires limités sont : Les postures,
les mobilisations et les techniques du tener-relâcher.
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Une fois la mise en charge décidé (le médecin, la radio du contrôle) l’appui doit
être progressive pour éviter toute douleur et toute boiterie.
2-3- La proprioception :
Les ligaments et les tendons sont porteurs de capteurs de tension qui renseigne
le centre nerveux sur la position des articulations. Un entrainement progressif et
intensif est donc proposer pour éduquer ces capteurs et les sensibilisés. La
proprioception s’effectue en fin de rééducation quand l’appui est autorisé et
après avoir récupérer toute les amplitudes articulaires, la force musculaire et la
disparition de la douleur, elle s’effectue selon 3 étapes : en décharge, en charge
sur le sol et en fin en charge sur des plateaux instables (les plateaux
rectangulaires, plateau de Freeman…)
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La rééducation des entorses de la cheville après la
phase aigue
Dans la phase aigue : il ya une immobilisation soit par plâtre donc c’est la phase
de repos.
1- Les buts :
+ Pour la tibio-tarsienne :
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+ Pour la médio-tarsienne : Mobilisation passive en pronation et supination puis
en abduction et en adduction en ayant immobilisant l’arrière pied.
5- La rééducation proprioceptive :
Cette rééducation a été préconisée par Freeman et reprise par Casting et codifié
par Rodineau en 3 étapes :
Les exercices sont d’abord réaliser sous le contrôle de la vue ; les yeux ouverts
et ensuite avec les yeux fermés.
Ces exercices sont effectués en appui monopodal, pied à plat puis talon
légèrement décollé puis genou fléchis, le malade apprend à réagi à des poussées
déséquilibrantes effectués alternativement sur la face interne puis externe de la
jambe.
Ce sont des exercices d’équilibre effectués en appui monopodal sur une planche
rectangulaire puis circulaire, d’abord maintien de l’équilibre puis mobilisation
avec ou sans contrôle de la vue, en fin travail sur 2 planches et sauts de réception
sur les plateaux de réception.
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La rééducation de la marche
C’est la phase ultime de la rééducation de traumatisme du bassin et de la hanche,
cette réadaptation à la marche se fera de façon progressive dans le cas des
arthroplasties, l’appui est autorisé d’emblé et la rééducation ne pose aucun
problème.
+ Entre les barres parallèles, cette phase est utile avant les cannes béquilles, l’en
utilise pour rassurer le patient pour éviter les chutes et pour limiter les parcours.
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Rééducation en traumatologie :
Des lésions traumatiques du Membre supérieur
b- La kinésithérapie :
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L’immobilisation dure plus que 5 semaines dans une position la plus proche
de la position fonctionnelle de l’épaule d’où l’existence de moindre risque
d’enraidissement, conduite à tenir en kinésithérapie : Identique au
précédemment.
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Ici la rééducation va s’orienter vers :
Cette période n’est pas toujours nécessaire ni réalisable, les séquelles d’une
lésion grave peuvent n’est pas l’autorisé, de même une cardiopathie peut
l’interdire chez le sujet âgée.
1- Les entorses:
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Le système ligamentaire n’est pas complètement détruit. Les ligaments coraco-
claviculaire présente une certaine cohésion entre l’omoplate et la clavicule. Le
strapping est le meilleur traitement et calme la douleur et permet l’usage de
l’épaule.
2- Les luxations :
La clavicule fait une saillie sous la peau. Cette déformation est réduite
chirurgicalement après une immobilisation de 4 semaines, il faut éviter au début
de la rééducation, les contractions du biceps, contre la forte résistance a fin de
prévenir une pseudarthrose.
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IV- La rééducation des luxations de l’épaule :
La plus fréquente est la luxation antéro-interne, alors que la luxation postérieure
est rare, après réduction immobilisation de 3 semaines en abduction et légère
flexion de l’épaule (antepulsion), la rééducation se fait de 3 phases :
1- La phase initiale :
_ Physiothérapie antalgique.
_ La rééducation proprioceptive.
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_ La rééducation doit être précoce vu le risque de l’enraidissement.
3- Le 4éme jours :
4- Après 4 semaines :
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Vl- La rééducation des arthroplasties de l’épaule :
Une arthroplastie totale de l’épaule permet en général d’obtenir une diminution
des douleurs mais le gain des amplitudes articulaires est décevant.
2- Après 8 jours :
_ Les exercices se feront passif et prudemment. Il faut obtenir au moins 90°
d’antepulsion et d’abduction, un maximum 10° d’extension et pas de rotation.
_ Mobilisation active du coude sur un plan horizontal.
_ Travail statique du deltoïde.
_ Bandage de sécurité notamment la nuit et garder au moins 10 jours après
l’opération.
_ Eviter tout mouvement luxant (l’extension, l’adduction et la rotation externe).
3- A la 5éme semaine :
_ Les mouvements actifs aidés de l’abduction et de l’antepulsion de l’épaule.
_ Travail statique de l’extension en position de repos.
_ Travail statique de l’abduction et l’antepulsion, lorsque le bras est à
l’horizontale.
_ Travail actif aidé en rotation externe ensuite des mouvements pendulaires.
_ Musculation du grand dentelé.
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_ Ensuite éviter le port de charge lourd jusqu’à récupération d’un tonus
musculaire satisfaisant.
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L’articulation du coude est très remarquable par sa facilité d’enraidissement qui
intense aussi bien la flexion et l’extension ainsi que la pro supination car bien
qu’il s’agit de deux articulations distingués huméro-cubital et la radio-cubital
supérieur, elles dépendent d’une seule capsule et d’une seule synoviale.
_ L’amélioration de l’atrophicité.
B- La rééducation :
Car d’une fracture de la diaphyse humérale qu’on complète par la suite par une
contention par un plâtre hémi- thoraco brachiale.
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_ Massage des régions restés libres.
Une grande partie des affections du coude sont traités par un plâtre de ce type :
- La rééducation :
1er rôle : du rééducateur est de faire un bilan complet des lésions par
l’établissement d’un plan de traitement.
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- Et en fin le bilan fonctionnel qui permet de connaitre les possibilités gestuelles
et fonctionnelles du sujet ainsi que son autonomie.
- Et en fin des contractions statiques sans grandes résistances suivi d’un travail
dynamique.
- Les douleurs ne doivent pas être augmentées par une kinésithérapie brutale.
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- Les mobilisations actives aidées doivent se faire en DD, dans des petits secteurs
de mobilités progressivement croissantes.
Ces lésions sont confiées au rééducateur après une dizaine de jours. En effet le
rapport permet une régression des œdèmes.
Les luxations sans fracture nécessitent de la part du kiné une grande prudence
car les ligaments et les tendons des muscles péri-articulaires ont souffert.
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condyliennes dans la gouttière bicipitale, dans la fossette épi condylienne et sur
le tendon du biceps, et l’articulation radio-cubital supérieur. La mobilisation
passive et active de la pronation et la supination sont à rechercher. On
commence par la mobilisation active précoce de la flexion/extension et la pro-
supination selon les douleurs, toute en surveillant le relâchement musculaire de
l’épaule et de biceps.
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très œdémateux et douloureux. La piscine et les bains tièdes facilitent les 1èrs
mouvements.
La flexion sera récupéré plus vite que l’extension par contre la récupération de
la pro supination va dépendre de la localisation du trait de fracture et de dégâts
anatomiques.
D’une façon générale : La rééducation n’est pas envisager chez l’enfant du faite
que l’évolution se fait presque toujours favorablement, cependant certaines
affections traumatiques doivent être confiées au kinésithérapeute tel que les
fractures supra-condyliennes, les fractures du condyle externe, les luxations
fractures, et les fractures de la palette humérale.
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1- Chez l’enfant la cicatrisation est plus rapide et le pouvoir ostéogénique est
puissant. Ce qui augmente une très bonne récupération.
2- Les enfants sont moins détendus que les adultes.
3- L’acquisition de la coopération volontaire de l’enfant est fondamentale.
4- La collaboration des parents est souhaitée.
5- La relation kinésithérapeute/enfant doit s’établir rapidement pour
sécuriser, rassurer et prendre en charge l’enfant.
6- La rééducation doit être prudente, douce et progressive.
La rééducation chez les grands enfants :
Plus on s’approche de la puberté, la rééducation ressemble à celle de l’adulte
dans ce cas la kiné est indispensable et la rééducation suit les même étapes que
celle de l’adulte avec quelque exceptions :
-La kiné analytique ne doit pas être douloureuse associant les jeux et les
mouvements globaux, faisant participer l’épaule, le coude, la main du côté
atteint puis des deux côtés symétriquement et asymétriquement.
b- La phase séquellaire :
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Le massage : Il doit être tonifiant et indolore et consisteras en effleurage
profond, des torsions, des percutions et des pincements.
La thermothérapie : Qui a pour but d’augmenter le débit circulatoire active,
le métabolisme, obtenir une détente musculaires et articulaire.
La mobilisation dans l’eau tiède.
L’électrostimulation.
La mobilisation passive : Pour récupérer les amplitudes articulaires, elle doit
être analytique sans dépasser les amplitudes physiologiques, elle doit être
pluriquotidienne, en assistant sur l’extension des doigts, IPP, IPD et en
mettant la détente les long fléchisseurs, la flexion des métacarpo-
phalangienne, mobilisation en flexion, extension du coude, la supination de
l’avant-bras.
La mobilisation active qui a pour but de lutter contre l’amyotrophie
musculaire. Ces exercices doivent être dosés pour ne pas causer de fatigue
excessive qui atrophie le muscle au lieu de le fortifier.
Les postures : ce sont des postures nocturnes (=pendant la nuit) quand peut
appliquer entre les séances de rééducation pour conserver le gain articulaire.
On commence toujours par les postures manuelles en suites les postures
instrumentales.
La rééducation musculaire active recherche la mobilité et le stade de
réadaptation, la force, à condition que toute douleur disparaisse.
La rééducation de la précision (=les préhensions), l’ergothérapie.
1- Les buts :
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La récupération des amplitudes articulaires de la main principalement les
MCP.
La récupération de la force musculaire.
La réadaptation de la main aux gestes de la vie courante et sa fonction
articulaire.
2- La kinésithérapie :
Pour la main et les doigts, la douleur et l’œdème constituent les deux facteurs à
combattre. Pour toute les articulations des doigts la récupération de la mobilité
des premières métacarpiennes, des métacarpo-phalangiennes et des IP est
primordiale sons oublier de mobiliser le coude et l’épaule, en effet tout les
facteurs possibles de limitation du mouvement s’observent au niveau des
doigts : Articulaire, osseux, tendineux, et musculaire, toute manœuvre de
rééducation des doigts qui soit passive ou active doit être indolore.
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- Mobilisation active et active aidée de toutes les articulations de la main
non concerné par le traumatisme.
c- Dès l’accord du médecin traitant :
- Mobilisation active aidée des éléments concerner par le traumatisme.
- Récupérer une mobilité complète avant le travail actif contre résistance.
- Rééducation proprioceptive par l’emploi de ballon, d’objet fin et de
panneau de rééducation.
- L’emploi de la paraffine et de la parafango (=boue riche en sel minéraux).
- Travailler la sensibilité en demandant au malade de toucher du papier de
vert, des grains, des brosses.
- Les orthèse statiques et dynamiques confectionnées sur mesure pour
chaque patient et surveillées attentivement, qui peuvent être utile pour le
kiné afin d’aider le patient à retrouver une main fonctionnelle.
- Aide morale est indispensable.
La médecine de sport
I- Notions générales :
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La médecine de sport c’est la médecine qui s’occupe des sports et des sportifs,
elle vise à sélectionner, orienter, surveiller, prévenir, et traiter les sportifs. Elle
implique une étroite collaboration entre le médecin, le kinésithérapeute,
l’entraîneur et l’athlète.
1- Rôle préventif :
2- Rôle curatif :
3- Rôle de recherche :
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La particularité de la rééducation des sportifs tient compte du type de sport
pratiqué, de la nature de la lésion à traiter, sa localisation et son importance et
en fin l’âge du blessé, cette rééducation se devise en 3 parties :
Cet arrêt peut être simple ou complet, et en trouve lors de cette phase :
_ La douleur.
B- La rééducation :
Cette rééducation doit être efficace et rapide, sans bruler les étapes, elle vise :
C’est une période capitale pour le sportif, le travail devient intense et sera
orienter tout d’abord :
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Ce sont des mouvements analytiques dérivés de la technique sportive
l’enchainement de ses éducatifs permettra à l’athlète de se mettre en situation
et de la préparée à la compétition (les sauts, les lancés, exercices d’adresses, les
exercices de l’équilibres et de déplacement, et les exercices de vitesse dans les
différentes directions).
2- La reprise de la musculation :
Les moyens utilisés sont des exercices en isométrique (=statique) qui nous
permettre de gagne du temps, alors que les amplitudes ne sont pas totalement
récupérés, les 2éme exercices en isotonies ou bien en dynamique, et le travail
actif contre résistance ne peut être fait sans aucune charge additionnelle en cage
de pouliethérapie, ou avec des barres sans charge ou avec disques. La technique
du geste devra être surveillée, la progression sera entre coupée ou ralentit
suivant l’état de fatigue sans oublier les exercices de détente, d’étirement et de
relaxation entre les séances.
Le travail global est consacré pour chaque sport, il faut aussi ré entrainer
l’appareil cardio-vasculaire pour la reprise du souffle par le footing, la natation,
et la bicyclette.
Les courbatures :
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C’est une douleur qui survient à un groupe musculaire non préparé à l’effort.
Les contractures :
Les élongations :
C’est l’étirement des fibres musculaires sans rupture, le muscle dépasse ces
limites d’élasticité, très fréquente chez les coureurs.
Les gestes à non pas faire: *Ne pas demander au joueur de faire des
accélérations pour juger de la gravité de l’atteinte.
Les gestes à ne pas faire : Pas d’application de chaleur, pas de massage pendant
les 5 premiers jours et l’immobilisation.
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B- La rééducation des traumatismes musculaires :
1- La rééducation des traumatismes musculaires sans lésions anatomiques
(courbature, contracture, crampe) :
Après l’accident musculaire le but de la rééducation dans cette phase c’est limité
l’empêchement, hématique et prévenir les phénomènes inflammatoires :
b- La phase 2 :
_ Elongation 4J á 10J.
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La cryothérapie alternée plus au moins avec de la chaleur humide, ensuite
drainage à distance, ensuite électrothérapie dans un but antalgique, ensuite des
étirements manuelles à la limite de la douleur et en fin la balnéothérapie.
c- La phase 3 :
_ Les ultrasons sont contre indiquer à la phase aigue, mais bénéfique en cas de
phase de cicatrisation.
La lésion ligamentaire chez le sportif est toujours une lésion traumatique soit
lors d’un contact direct avec un adversaire ou soit lors d’une chute, la
classification la plus fréquente est celle divisé en 3 stades :
Le traumatisme provoque un craquement qui peut être audible, une laxité faible
ou modérer avec impotence fonctionnelle, une attitude antalgique avec
présence d’un épanchement, et une douleur interne et diffuse.
2- La kinésithérapie :
_ Le réentrainement à l’effort.
D- Les tendinites :
_ Massage de ciryax.
b- La fonction respiratoire.
c- La fonction du contenant viscéral.
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A- L’évolution : +++
Elle se devise en 2 phases :
C- La kinésithérapie :
Quelque soit la gravité de la fracture, les traumatisés passeront tous par la
période (=phase) alité puis la période ambulatoire « Non pliable ». Certains
seront obligés de verrouiller en permanence, leur rachis aidés parfois par le port
d’une orthèse (corset), d’autres malades accéderont à la phase « Pliable », avec
une certaine retenue dans leurs activités.
Enfin ce qui ont des fractures plus simples pourront reprendre une fonction sans
restriction.
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Apprentissage du pontage : Cette position facilite les différents soins
d’hygiène, permet le soulagement des points d’appuie ainsi que le
renforcement du plan postérieur.
Le renforcement musculaire : Le rachis en charge est soumis à des
contraintes axiales et obliques et rotatoires, pour prévenir les sollicitations
du foyer et elle est nécessaire de pratiquer une rééducation isométrique
(c-a-d statique) suivant les exercices suivants :
Le malade en DD, le rachis verrouillé, le membre inférieur droit fléchit, les deux
bras tendus à la verticale, le patient résiste simultanément au couple de poussé
de la main droite et traction de la main gauche.
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des gouttières vertébrales. Progressivement les manœuvres deviennent
micro-mobilisantes :
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