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F

O
R
Viscosité des principaux métaux M
et métalloïdes U
L
A
par Louis-Didier LUCAS
I
Docteur de l’Université de Paris
Ancien Chef de Section au Département de Physico-Chimie Métallurgique
R
de l’IRSID (Maizières-lès-Metz).
E
1. Définitions et unités............................................................................... Form. M 66 - 2
2. Technique expérimentale...................................................................... — 2
3. Méthodes de mesure.............................................................................. — 2
3.1 Procédé par écoulement capillaire............................................................. — 2
3.2 Procédé par chute d’un corps dans un fluide au repos............................ — 2
3.3 Procédé par glissement relatif.................................................................... — 3
3.4 Procédés par amortissement d’oscillations .............................................. — 3
4. Conclusion ................................................................................................ — 3
Références bibliographiques ......................................................................... — 9

e lecteur trouvera dans cet article les principales méthodes de mesure de la


L viscosité des métaux et non métaux à l’état liquide.

Le lecteur pourra également consulter l’article Viscosité [R 2 350] dans le traité Mesures et
Contrôle.
7 - 1984
Form. M 66

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F VISCOSITÉ DES PRINCIPAUX MÉTAUX ET MÉTALLOÏDES ______________________________________________________________________________________
O
R
1. Définitions et unités 3. Méthodes de mesure
M
La notion de viscosité peut être visualisée comme étant la résis- 3.1 Procédé par écoulement capillaire
U tance interne d’un plan fluide à glisser sur un plan adjacent lorsque
l’on applique une force. On utilise le viscosimètre d’Ostwald. Les lois de l’écoulement des
L Considérons le flux d’un fluide contenu entre deux plans parallèles
indéfinis, l’un étant fixe et l’autre se déplaçant d’un mouvement
liquides sont données par la formule suivante (dite relation de
Poiseuille) :
rectiligne et uniforme dans son propre plan. Pour la plupart des E = V/t = π Pr 4 / 8 η L
A fluides, la loi de Newton de l’écoulement visqueux s’écrit :
σ = η (dv / dx) = η ε
avec E volume V qui s’écoule en 1 s sous une différence de

I avec σ force tangentielle par unité de surface qui s’exerce sur


l’un des plans (contrainte de cisaillement),
pression P à travers un tube calibré de rayon intérieur r et de
longueur L, dans lequel le flux sous régime laminaire n’est pas
modifié par la proximité des extrémités du tube.

R ε gradient de vitesse, c’est-à-dire variation de la vitesse v du


plan mobile en fonction de la distance x séparant les deux
Le coefficient de viscosité η varie évidemment avec la nature du
liquide et, pour le même liquide, avec la température.

E plans,
η coefficient de proportionnalité appelé viscosité
En règle générale, dans l’industrie, la viscosité est repérée direc-
tement par le temps nécessaire pour un écoulement dans des
conditions définies ; il faut donc choisir r suffisamment petit pour
dynamique (ou, couramment, viscosité).
mesurer V avec precision. Si cette méthode donne des résultats de
η est une propriété caractéristique de chaque fluide à une tem-
viscosités absolues [1] satisfaisants aux températures ordinaires
pérature donnée. La dimension de la viscosité dynamique est
(huiles, sirops, etc.), elle ne permet plus de mesures précises à haute
[M] [L] – 1 [T] – 1. L’unité de viscosité dans le système international est
température [2], mais a été utilisée sur des métaux (Pb, Ag) et même
le pascal · seconde (Pa · s). Dans le système CGS, l’unité courante
sur du fer pour la première fois.
était la poise (1 P = 10 – 1 Pa · s).
La viscosimétrie capillaire commence cependant à être remplacée
Une quantité que l’on rencontre fréquemment dans les mesures
par la viscosimétrie vibrationnelle (viscosimètre à sphère vibrante [3]
hydrodynamiques est la viscosité cinématique ν, définie comme le
permettant des mesures entre 10 – 4 et 10 2 Pa · s, par exemple, sur des
rapport de la viscosité dynamique η à la masse volumique ρ ; ν est
polymères en solution).
exprimée en m 2 · s – 1 dans le système SI. On employait couram-
ment le stoke comme unité CGS (1 St = 10 – 4 m 2 · s – 1). Dans le cas des métaux cependant, on doit faire intervenir un
terme d’énergie cinétique non négligeable ; la relation précédente
La fluidité est l’inverse de la viscosité (en rhé, dans le système
devient :
CGS).
π Pr 4 t α ρ V
Seule l’eau pure est considérée comme étalon, mais actuellement η = --------------------------- – -----------------------------
8V (L + λ) 8 π (L + λ)t
(1984) certains laboratoires vendent des huiles destinées à l’étalon-
nage de viscosimètres, allant de 0,002 à 30 Pa · s. avec ρ masse volumique du métal liquide,
λ correction sur la longueur L du tube ; la grandeur de cette
Rappelons, pour mémoire, que la viscosité de l’eau distillée correction est usuellement considérée comme
pure à 20 oC a été déterminée avec précision par une méthode proportionnelle au rayon du tube (λ = nr ) où n est le
absolue : elle a été trouvée égale à (1,011 9 ± 0,000 3) coefficient de correction de Couette,
× 10 –3 Pa · s. α facteur connu comme le coefficient d’énergie cinétique
ou correction de Hagenbach ; quand le flux est caractérisé
par un nombre de Reynolds Re supérieur à 10,
l’expérience montre que n = 0,573 et que α est voisin de
2. Technique expérimentale l’unité.
Cette méthode a été discutée en détails par Hardy [4], et les
erreurs possibles sont signalées [5].
Bien que de nombreuses méthodes soient utilisables pour des
mesures de viscosité à la température ambiante, c’est souvent en
fonction de la température moyenne de travail qu’il faut choisir la
méthode de mesure et concevoir la réalisation pratique de l’appa- 3.2 Procédé par chute d’un corps
reillage. Aux problèmes posés par l’expérimentation à température dans un fluide au repos
élevée peuvent se superposer d’autres difficultés, principalement
pour les métaux : C’est la seule méthode par écoulement permanent qui ait fait
— pression de vapeur élevée ; l’objet d’une théorie exacte ; c’est par conséquent la seule qui soit
— grande facilité de contamination à haute température ; réellement absolue. Elle est souvent utilisée pour mesurer la visco-
— manques de pureté des réfractaires et de propreté de l’atmo- sité de liquides d’étalonnages (huiles) ou de verres.
sphère gazeuse ; La vitesse v de chute libre (ou d’ascension) d’une sphère de
— dégazage des réfractaires sous vide ; rayon r, de masse volumique ρ1 , dans un liquide au repos, de masse
— formation possible d’une pellicule d’oxyde à la surface du volumique ρ2 , de viscosité η et de dimensions infinies, peut être
liquide ; exprimée par la relation suivante (loi de Stokes-Ossen ) :
— présence possible de précipités dans le liquide ;
— dimensions exactes et reproductibles du viscosimètre ; v = 2 gr 2 (ρ1 – ρ2 ) / 9 η
— zone de température uniforme ;
— mesure de température au-dessus de 1 500 oC (couple thermo- avec g = 9,806 65 m 2 · s – 1 accélération due à la pesanteur.
électrique, pyromètre optique.
Mais le choix de la méthode de mesure dépend aussi de l’impor-
tance de la viscosité du liquide étudié (laitiers ou verres fondus,
métal liquide ou bains de sels).

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______________________________________________________________________________________ VISCOSITÉ DES PRINCIPAUX MÉTAUX ET MÉTALLOÏDES
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En général, on mesure le temps nécessaire à la chute d’une bille 3.4.1 Système avec plongeur oscillant
R
(une fois sa vitesse limite atteinte) entre deux repères fixes. Avec les
techniques actuelles (rayons X, circuit accordé, détection radio-
active), on peut suivre la chute libre d’une bille dans un fluide lorsque
Un plongeur, qui peut avoir des formes particulières mais de géo-
M
son repérage direct est impossible (température élevée ou opacité
des produits étudiés).
métrie connue avec précision (sphère, disque, cylindre), est immergé
dans un liquide et suspendu par un fil de torsion. Le système étant
lancé et laissé libre d’osciller, on mesure l’amortissement des oscilla-
U
Cette formule est souvent utilisée dans l’étude de la décantation
des inclusions.
tions. Cette méthode est limitée à des viscosités faibles (10 – 3
à 10– 1 Pa · s) et a été utilisée surtout sur des laitiers [10] [11] [12] ou L
sur des sels fondus, plutôt que sur des métaux où l’on se heurte à des
problèmes de centrage à cause de la tension superficielle élevée du
métal (ménisque convexe) et d’oxydation superficielle (film d’oxyde
A
3.3 Procédé par glissement relatif se comportant comme une couche rigide), ce qui rend les résultats
moins reproductibles. I
Le principe des méthodes fondées sur une rotation continue a été
développé, en 1881, par Margules. Le fluide étudié, de viscosité η, est
contenu dans un creuset en général cylindrique, de rayon intérieur R,
3.4.2 Système sans plongeur R
dit système du creuset oscillant
qui tourne à vitesse angulaire constante ω. Un plongeur cylindrique,
de rayon r plus petit et de hauteur h, est suspendu par un mince fil
Le creuset, rempli du mélange à étudier, est suspendu au système
E
dans l’axe central du fluide et l’on mesure le couple agissant sur le
plongeur (méthode de Couette ) : oscillant. Rien n’est immergé dans le liquide. Cette méthode, qui a fait
l’objet de plusieurs théories mathématiques rigoureuses, avec des
R2 r2 récipients soit sphériques soit cylindriques [13] [14] [15] [16] [17] [18],
M = C α = 4 π h η ω ------------------
- permet d’étudier la viscosité des métaux ou des alliages liquides à
R2 – r2
haute température (viscosités de l’ordre de 1 × 10– 3 à 8 × 10– 3 Pa · s).
avec M moment du couple, Un dispositif de comptage du nombre d’oscillations, par cellules
C constante de torsion du fil de suspension du plongeur, photoélectriques, entre deux amplitudes bien définies, permet
d’éviter les lectures fastidieuses de l’amortissement des
α angle que fait le système suspendu par rapport à sa
oscillations [19]. Signalons une méthode originale [20] qui consiste
position d’équilibre,
α à utiliser un second liquide – de protection – pour éviter la formation
d’où l’on tire η = K ---- d’une pellicule d’oxyde à la surface de métaux très oxydables (alu-
ω
minium).
C R2 – r2
avec K = --------------- ------------------
-
4 π h R2 r2

Cette méthode a été utilisée par de nombreux chercheurs, en par-


ticulier par Bockris et Lowe [6] sur des silicates binaires. 4. Conclusion
Il existe diverses variantes à cette méthode, qui consistent :
— soit à opposer au couple exercé par le fluide sur le plongeur un Une revue des différentes méthodes pour la mesure précise de la
couple antagoniste d’origine ferromagnétique (bobines à noyau viscosité a été faite par Mackenzie [21], Thresh [22] et, récemment,
plongeur) [7] [8] ; par Wittenberg [23] et par Beyer et Ring [24]. La plupart des métaux
— soit à laisser le creuset immobile et à faire tourner à vitesse fondus ont des viscosités faibles et relativement peu différentes
constante le plongeur immergé [9] ; on mesure le couple ainsi (comprises entre 0,5 × 10 – 3 et 8 × 10 – 3 Pa · s près de leur tempéra-
produit au moyen d’un fil de torsion ; ture de fusion). La nécessité de travailler sous un régime laminaire
— soit à laisser le creuset immobile et à faire tourner le plongeur interdit la présence de gradients de vitesse élevés, et les problèmes
en lui imposant un couple constant ; on mesure la vitesse de rota- que posent les hautes températures conduisent à des appareils avec
tion variable du plongeur. des dimensions restreintes. Aussi pour obtenir une mesure exacte de
Toutes ces méthodes qui ont une certaine faveur pour les hautes la viscosité avec la plus grande précision possible, l’emploi de la
températures sont cependant mal adaptées aux mesures sur les méthode du creuset oscillant (§ 3.4.2) semble actuellement (1984)
métaux liquides (viscosité faible, masse volumique élevée, problème répondre le mieux aux impératifs fixés. Les forces mesurées sont très
de centrage du plongeur, oxydation du métal si le four n’est pas sous faibles (de l’ordre de 10 – 7 N) dans le cas des métaux et cela explique
une atmosphère contrôlée, difficulté à maintenir une rotation uni- que l’on rencontre des dispersions atteignant 20 % sur l’ensemble
forme du plongeur). Par contre, ces méthodes ont fait l’objet, à des résultats de différents auteurs. Le tableau 1 rassemble les
l’IRSID, d’un grand nombre de déterminations expérimentales de vis- valeurs les plus probables pour la viscosité à l’état liquide de
cosité sur des laitiers liquides, qui ont été poursuivies ces dernières 47 éléments. Les viscosités de tous les fluides dépendent fortement
années dans un vaste domaine de températures de la température. Par conséquent, la température doit toujours être
(jusqu’à 2 250 oC) [7] [8]. donnée en même temps que la valeur de viscosité. Les résultats
obtenus pour la plupart des métaux liquides sur un domaine de
température de quelques centaines de degrés sont correctement
représentés par l’équation d’Arrhenius :
3.4 Procédés par amortissement
η = A exp (Q / R TK )
d’oscillations
avec A constante,
Q (kJ · mol – 1) énergie d’activation du flux visqueux
Il existe deux procédés suivant que l’on étudie l’amortissement des
(on rappelle que 1 calth = 4,184 J),
oscillations d’un plongeur à l’intérieur du liquide dont on cherche le
coefficient de viscosité, ou l’amortissement des oscillations du R constante des gaz parfaits
creuset renfermant le liquide. (R = 8,314 41 J · K – 1 · mol – 1),
TK (K) température absolue.

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F VISCOSITÉ DES PRINCIPAUX MÉTAUX ET MÉTALLOÏDES ______________________________________________________________________________________
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R Les valeurs expérimentales obtenues pour chaque métal sont l’oxygène et le souffre la font croître un peu, tandis que l’azote n’a

M bien représentées par une droite lorsque l’on trace ln η en fonction


de 1 / TK . Cependant, cette simple équation ne tient pas compte de
la variation du volume massique du métal, qui change aussi avec la
aucun effet. (0)

U température.
Andrade [25] obtient une formule plus précise pour la viscosité :

L η · v1/3 = A’ exp (C / vTK )

A avec A’ et C constantes,
v volume massique du métal à la température TK .

I Par ailleurs, une meilleure représentation des valeurs expérimen-


tales est quelquefois obtenue en traçant ln (η / TK ) en fonction
de 1/ TK ; cette interprétation est fondée sur la relation de
R Stokes-Einstein entre viscosité η et autodiffusion D (dans la version
d’Eyring) :
TK
E K
D = -------------- · ------- = D 0 exp ( – E 0  RT K )
5,9 δ η
avec D0 constante,
Ed (kJ · mol – 1) énergie d’activation pour la diffusion,
δ = (Vm / NA)1/ 3,
Vm (m3 ) volume molaire,
NA constante d’Avogadro
(NA = 6,022 045 × 1023 mol – 1),
k constante de Boltzmann
(k = 1,380 662 × 10 – 23 J · K – 1).
Signalons enfin que diverses relations semi-empiriques ont été Figure 1 – Isothermes de viscosité des alliages Fe-C
proposées pour prédire soit la viscosité à la température de fusion en fonction de leur composition (d’après [37])
ηTf , soit l’énergie d’activation Q du flux visqueux. L’équation
d’Andrade [25] relie η Tf à la masse atomique A, à la température de
fusion Tf et au volume molaire Vm (en m3 ) selon la formule
suivante :

η Tf = 5,7 × 10 – 9 (A · Tf )1/2 / Vm2/3

De même, Grosse [26] signale une relation linéaire entre lg Q


et lgTf pour 23 métaux. L’équation de cette droite, pour la détermi-
nation de l’énergie d’activation du flux visqueux est :
lg Q = 1,348 lg Tf – 2,744 4
Ces deux dernières formules sont quelquefois utiles pour avoir une
estimation des valeurs de viscosité de métaux qui n’ont pas encore
été étudiés.
Le tableau 2 rassemble les résultats expérimentaux obtenus par
Cavalier et Lucas [37] sur la viscosité dans le système fer-carbone à
l’état liquide. Sur la figure 1 sont tracées les courbes isothermes de Figure 2 – Effet de divers éléments sur la viscosité du fer liquide
viscosité. La figure 2 représente les résultats obtenus par Narita et (d’après [32])
Onoye [32] : le phosphore diminue la viscosité du fer ; rappelons que

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F
O
R
Tableau 1 – Données relatives à la viscosité à l’état liquide de 47 éléments
 = A exp ( Q  RT k )
M
Température Domaine exploré Viscosité  à diverses température 
Élément de fusion  f
o
en température
o

o

–3
A
–3
Q
–1
Référence
bibliographique U
( C) ( C) ( C) (en 10 Pa · s) (en 10 Pa · s) (kJ · mol )
Ag 960,7 977-1 159 θf 4,22 0,458 22,845 [18] L
1 000 3,94
1 050
1 100
3,63
3,57
A
Al 660 670-1 000
1 150
θf
3,12
1,235 0,209 13,782 [27]
I
700
800
900
1,15
0,98
0,86
R
Au 1 064,43 1 063-1 364
1 000
θf
0,77
4,74 1,133 15,900 [28]
E
1 100 4,56
1 200 4,15
1 300 3,82
1 400 3,56
Ba 727 732-1 494 θf 1,752 0,215 17,444 [29]
800 1,519
1 000 1,117
1 200 0,893
1 400 0,753
1 500 0,702
Be 1 283 1 283-1 400 θf 1,00 Variable de 251 [30]
1 300 0,57 à 25,1
1 400 0,38
Bi 271 275-1 000 θf 1,85 0,445 6 6,485 [31]
400 1,41
600 1,09
800 0,92
1 000 0,82
Ca 838 823-1 490 θf 1,64 0,166 21,158 [29]
900 1,45
1 100 1,06
1 300 0,84
1 500 0,70
Cd 321,1 325-437 θf 2,842 0,593 7,74 [33]
400 2,365
500 1,978
Ce 804 812-1 011 θf 2,87 1,310 7,025 [34]
900 2,69
1 000 2,54
Co 1 494 1 450-1 750 θf 4,17 0,329 3 37,346 [19]
1 500 4,14
1 600 3,61
1 700 3,20
Cr 1 857 θf ≈ 4,85 [35]
(extrapolation)
Cs 28,6 137-827 θf 0,395 0,082 9 5,272 [36]
200 0,315
500 0,188
800 0,150
Cu 1 084,5 θf 3,05 0,638 9 17,636 [19]
1 100 2,99
1 200 2,70
(1) Une nouvelle détermination de la température de solidification du palladium de très haute pureté vient d’être obtenue par Coates et coll. [60]. La valeur
proposée est de 1 555,4 oC avec une incertitude de ± 0,2 oC.

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O
R
Tableau 1 – Données relatives à la viscosité à l’état liquide de 47 éléments (suite)
M  = A exp ( Q  RT k )
Température Domaine exploré Viscosité  à diverses température 
U Élément de fusion  f
o
en température
o o
 
–3
A
–3
Q
–1
Référence
bibliographique
( C) ( C) ( C) (en 10 Pa · s) (en 10 Pa · s) (kJ · mol )
L 1 300
1 400
2,46
2,27
A Fe 1 536 1 498-1 730
1 500
θf
2,11
5,03 0,316 2 41,606 [37]

I 1 600
1 700
4,58
4,00
1 750 3,96
R Fr ........................... .............................. 18 0,765 [38]
(estimation)
E 9 ............................ θf
100
0,679
0,48
Variable
de 3,32 à 6,72
[39]

300 0,27
500 0,20
700 0,18
900 0,13
1 100 0,11
Ga 29,8 32-274 θf 1,95 0,621 2,879 [40]
100 1,57
200 1,29
300 1,14
Ge 934 940-1 215 θf 0,462 0,120 13,52 [41]
1 000 0,431
1 100 0,392
1 200 0,362
Hf 2 231 θf 5,0 [42]
Hg – 38,87 – 39 à + 300 θf 2,02 0,548 2,540 [43]
0 1,677
100 1,243
200 1,045
300 0,934
In 156,6 163-626 θf 1,90 0,419 5,481 [33]
200 1,69
400 1,12
600 0,89
K 63,7 63,7-253 θf 0,57 0,085 8 5,289 [44]
100 0,47
150 0,39
200 0,33
250 0,29
La 920 940-1 220 θf 3,13 0,231 7 26,255 [45]
1 000 2,76
1 100 2,31
1 200 1,97
Li 180,5 181-605 θf 0,764 [46]
300 0,555
400 0,458
500 0,395
600 0,351
Mg 650 θf 1,32 0,054 8 24,426 [47]
900 0,67
Mn 1 244 1 280-1 720 θf 5,26 0,478 6 30,259 [48]
1 300 4,79
(1) Une nouvelle détermination de la température de solidification du palladium de très haute pureté vient d’être obtenue par Coates et coll. [60]. La valeur
proposée est de 1 555,4 oC avec une incertitude de ± 0,2 oC.

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F
O
R
Tableau 1 – Données relatives à la viscosité à l’état liquide de 47 éléments (suite)
 = A exp ( Q  RT k )
M
Température Domaine exploré Viscosité  à diverses température 
Élément de fusion  f
o
en température
o

o

–3
A
–3
Q
–1
Référence
bibliographique U
( C) ( C) ( C) (en 10 Pa · s) (en 10 Pa · s) (kJ · mol )
1 400
1 500
4,24
3,76
L
1 600
1 700
3,34
3,02 A
Na 97,8 97,8-767 θf
300
0,58
0,37
[46]
I
500 0,28
700 0,22 R
Ni 1 455 1 450-1 730 θf 4,61 0,490 32,217 [49]
1 500
1 600
4,35
3,86
E
1 700 3,49
1 750 3,32
Pb 327,4 337-1 200 θf 2,47 0,448 6 8,657 [28]
600 1,48
800 1,18
1 000 1,02
1 200 0,91
Pd 1 554 (1) 1 560 4,22 [50]
Pr 931 936-1 009 θf 2,80 1,758 4,678 [34]
1 000 2,73
Pt 1 772 1 800-2 000 θf 6,74 1,527 25,263 [51]
1 800 6,61
1 900 6,18
2 000 5,81
Pu 640 645-950 θf 5,90 1,094 12,845 [52]
700 5,34
800 4,59
900 4,08
950 3,89
Rb 38,9 38,6-267 θf 0,59 0,091 4,841 [44]
100 0,43
200 0,31
300 0,25
Rh 1 963 1 966 ≈5 [50]
(calcul)
Sb 630,5 624-697 θf 1,48 0,255 8 13,184 [53]
700 1,30
Se 221 217-635 θf ≈ 4 000 1,6 × 10 – 4 69,45 

280 ≈ 575  
 
400 29  19,8 × 10 – 4 57,89  [54]
500 16  
 

600 6,8 88,6 × 10 – 4 48,24 
Si 1 410 1 450-1 700 θf 8,12 0,306 6 45,88 [55]
1 500 6,88
1 600 5,83
1 700 5,02
Sn 232 202-600 θf 1,81 0,505 5,356 [19]
300 1,55
400 1,32
500 1,16
600 1,06
Sr 767 799-1 551 θf 2,03 0,159 22,02 [29]
(1) Une nouvelle détermination de la température de solidification du palladium de très haute pureté vient d’être obtenue par Coates et coll. [60]. La valeur
proposée est de 1 555,4 oC avec une incertitude de ± 0,2 oC.

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F VISCOSITÉ DES PRINCIPAUX MÉTAUX ET MÉTALLOÏDES ______________________________________________________________________________________
O
R
Tableau 1 – Données relatives à la viscosité à l’état liquide de 47 éléments (suite)
M  = A exp ( Q  RT k )
Température Domaine exploré Viscosité  à diverses température 
U Élément de fusion  f
o
en température
o o
 
–3
A
–3
Q
–1
Référence
bibliographique
( C) ( C) ( C) (en 10 Pa · s) (en 10 Pa · s) (kJ · mol )
L 800
1 000
1,88
1,27
A 1 200
1 400
0,96
0,77
1 600 0,65
I Te 450 450-800 θf 2,24 Variable [56]
500 1,54 de 39,539
R 600
700
1,07
0,86
à 13,493

E Ti 1 672
800
θf
0,74
2,2 [42]
TI 304 303,5-457,5 θf 2,63 0,478 7 8,176 [57]
350 2,32
400 2,06
450 1,86
U 1 135 1 141-1 248 θf 6,53 0,485 30,409 [28]
1 200 5,50
1 250 5,35
1 128-1 532 θf 10,01 1,058 26,284 [58]
1 200 9,04
1 300 7,88
1 400 6,99
1 500 6,29
V 1 917 θf 2,4 [42]
Yb 824 824-1 000 θf 2,67 0,197 4 23,765 [34]
900 2,26
1 000 1,86
Zn 420 420-823 θf 3,73 0,413 12,690 [31]
500 2,97
600 2,37
700 1,98
800 1,71
Zr ......................... ............................ 1 865 5,45 [59]
2 027 ≈ 2,4
1 852 ............................ 1 860 3,5 [42]
(1) Une nouvelle détermination de la température de solidification du palladium de très haute pureté vient d’être obtenue par Coates et coll. [60]. La valeur
proposée est de 1 555,4 oC avec une incertitude de ± 0,2 oC.

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______________________________________________________________________________________ VISCOSITÉ DES PRINCIPAUX MÉTAUX ET MÉTALLOÏDES
F
O
(0) R
M
Tableau 2 – Viscosité  (en 10 – 3 Pa · s) dans le système Fe-C à différentes températures,
et énergie d’activation Q (kJ · mol – 1) du flux visqueux (1) U
Carbone
f
liquidus
f
eutectique (2)  f  1 200 °C  1 300 °C  1 400 °C  1 500 °C  1 600 °C  1 700 °C Q
L
(% masse) (oC) (oC) (kJ · mol – 1) A
0 1 536 .......................... 5,03 ................... ................... ................... 5,32 (3) 4,58 4,00 41,42
0,36
0,45
1 504
1 497
..........................
..........................
5,04
5,07
...................
...................
...................
...................
...................
...................
5,06 (3)
5,02
4,29
4,27
3,69
3,66
46,02
47,28
I
0,52
0,95
1 492
1 469
..........................
..........................
5,13
4,94
...................
...................
...................
...................
...................
...................
4,99
4,72
4,23
4,08
3,62
3,58
47,28
40,17 R
2,07 1 378 .......................... 5,64 ................... ................... 5,41 4,47 3,79 3,25 46,44
2,47
3,18
1 343
1 275
.........................
.........................
5,64
7,18
...................
...................
...................
6,75
5,16
5,47
4,48
4,55
3,94
3,86
3,52
3,33
35,15
45,61
E
3,96 1 182 1 147 10,53 10,19 7,90 6,31 5,18 4,32 3,69 49,37
4,02 1 180 1 146,9 10,86 10,26 7,91 6,29 5,15 4,30 3,66 49,79
4,12 1 170 1 148 11,07 10,09 7,85 6,27 5,12 4,29 3,66 49,79
4,23 1 155 1 147 11,38 10,03 7,84 6,20 5,08 4,25 3,66 49,37
4,42 ................. 1 147,3 ........... (10,25) (4) 7,95 6,31 5,20 4,35 3,72 49,79
4,45 ................. 1 148,4 ........... (9,98) (4) 7,80 6,25 5,14 4,31 3,69 48,12
4,76 ................. 1 147 ........... .................. ................... 6,43 5,38 4,58 3,98 43,93
(1) D’après [37].
(2) L’eutectique a été trouvé pour 4,29 % C et à 1 147,5 oC (moyenne de sept valeurs).
(3) En surfusion.
(4) Valeurs extrapolées.

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