1/ la distinction conceptuelle la plus Générale reprise par Arendt pour rendre compte de toutes

les dimensions de la condition humaine c’est la vie contemplative et la vie active, en latin la vita
contemplativa et la vita activa. La vie contemplative ou la vita contemplativa correspond à une
vie en quête du bonheur en renonçant aux vanités que sont la richesse et la course au succès,
aujourd’hui on rattacherait cela au fait de profiter de l’instant présent. La vie active ou la vita
activa et le total contraire en effet elle repose sur l’affirmation du désir et de l’action le but de
cette vie n’est pas la contemplation passive, vivre serais donc agir et accomplir, et dans cet
ouvrage il est consacré à la vita activa et c’est trois activités le travail l’œuvre et l’action.

2/ Les définitions qu’elles sont ; le travail qui est la production d’objets qui ont un seul but c’est
d’être utilisé. Il y a l’œuvre qui représente le monde humain, culturel qui est justifiez par la
production d’objet encore une fois mais qui cette fois-ci perdurent au fil du temps c’est-à-dire il
ne meurt pas après leur utilisation comme les maisons les œuvres d’art ou les monuments
ensuite l’action est la liaison aux autres ce qui s’apparente à la politique, une existence
meilleur.

3/ L’évolution qu’a connue selon Arendt la distinction entre domaine public et domaine privé a
commencé quand elle cite Aristote et la définition de l’homme comme animal politique ou zoon
politikon mais au fur et à mesure des siècles nous avons perdu cette définition en traduisant
politikon par social or le social n’est pas tout à fait la politique car avant le politique était du côté
du domaine public par rapport à les dimensions de l’action mais il y a eu une confusion qui
s’est produite entre le domaine public le politique donc l’action, le domaine privé, le travail et
l’œuvre Arendt va donc essayer de rétablir l’ordre avec cet ouvrage.

4/ Le point D’Archimède signifie d’avoir pu grâce à l’invention du télescope de pouvoir voir la

Terre de l’extérieur. L’évolution qu’elle a connue c’est d’avoir trouvé comme réponse le cogito
au doute cartésien donc  Aucune vérité ne subsiste, et c'est donc la vita contemplativa elle-
même qui disparaît, c'est-à-dire que la pensée n'est plus perçue comme une manière d'atteindre
l'éternité.

5/ Enfin, l'ancienne hiérarchie entre la vita activa et la vita contemplativa a été inversée pour
soutenir la première. Par conséquent, la science ne cherche plus à comprendre le «pourquoi»,
mais à rechercher la validité du «comment». Cela a produit une perte de sens, qui se manifeste
de manière plus évidente chez les gens modernes d'aujourd'hui dans les «entreprises de
salariés». Ils ne participent plus aux actions et discours politiques, mais aux opérations de paix
fonctionnelles.

6/ Comment la politique pourrais stratifier la société naissante d’aujourd’hui 

Grâce au politikon peut-on différencier le domaine public et domaine privé 

L’action peut-elle faire prendre des initiatives à la société 

7/ En quoi la modernité a pour effet l'aliénation du monde 

La quête de l’immortalité serait donc l’avenir même de l’homme 

8/ L’œuvre aurait-elle une fin prévisible pour l’homo faber (homme qui fabrique) 

Les machines imposent-elles un nouveau rythme qui détruirait le monde

9/ En quoi le progrès scientifique permettrais à l’homme d’avoir du progrès technique 

La pensée serait-elle plus perçue comme une manière d’atteindre l’éternité

 La pensée pourrait elle aussi avoir un rôle quant à cette quête d'immortalité

10/ L’action a-t-elle une dimension de fragilité 

Les lois et les organisations politiques suffisent-elles à stabiliser « les affaires humaines »

11/ La pénibilité du travail permet-elle de ce libérer de la nécessité du travail

La joie du travail est-elle la façon humaine de gouter à la béatitude absolue d’être vivant

La conquête de l’espace serait donc un désir d’échapper à l’emprisonnement terrestre

Ce progrès technique serait-il susceptible de libérer l'homme de la pénibilité du travail