Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Figurer la “nature”
Figurations du non-humain de l’âge classique à nos jours
Exam = série de questions de compréhension
Cours 1
- Animisme = par exemple chez les chasseurs cueilleurs de Philippe → on pense que
toutes les espèces ont un corps différents, ce qui les fait vivre dans un monde
différents, mais en revanche tous les êtres vivants ont une intériorité (ils pensent que
tous les êtres vivants sont être humains mais qui ont un costume donc chaque être a
une culture)
Ces parures corporelles ont retrouvé des plumes , des dessins de mâchoires, des taches
sur la peau qui imitent les aspects des animaux. On essaye alors de transformer son corps
pour se transformer en animaux et donc avoir ses capacités. Ils veulent interagir avec le
non-humain en prenant une partie de leur corps. Ces dessins sont faits par eux-même.
Dans les peintures des aborigènes. C’est une représentation qui rentre dans le totémisme.
(à revoir)
Dans cette représentation on voit des
cartes mais pas d’espace pcq pour eux,
les êtres sont les espaces. Tout est
conséquences des êtres du rêve. Donc
chez les totémistes pas de
représentation de l’espace temps. Ou
alors on trouvera ce genre de cartes
L'arrivée est progressive pcq on trouve des tas de tableaux et de traités dans lesquels on
étudie la perspective.
Au même moment on voit l’apparition de portrait.Le portrait et la perspective sont les deux
éléments qui marquent le mouvement naturaliste, d’après P.Descora.
Le paysage va ensuite devenir le décor des êtres humains, il va les implantés dans un
espace temps.
(à revoir)
La nature représentée est à l’image de la scène, c’est une nature idéale dans lequel tout est
créé par des formules géométriques (tout est vu par la perspective).
(j’ai pas eu l’exemple du cours mais c’est un peu le même type que cette peinture là. C’est «
Countryside with Diogenes – Nicolas Poussin »)
(ça on va le revoir et je crois qu’encore une fois j’ai pas compris pcq pas de sens dans ce
que je raconte)
● l’agentivité, c’est les questionnements suivants : qui fait quoi ? Qui décide de
quoi ?
Dans certains mouvements, c’est l’artiste qui décide ce qu’il représente mais pour d’autres,
c’est l’âme/les dieux rêveurs/l’esprit/la nature qui choisit ce qu’il représente (dans les
peuples indiens par exemple).
Ainsi, est ce que la nature a qqch à dire ? Par exemple, chez Poussin, on voit que non car
tout est choisi et idéalisé.
(les trucs à savoir c’est juste pouvoir expliquer ce qu’on a vu mais pas besoin de connaître
tous les titres de tableaux)
Questions :
un ordre rationnel dans la nature. La nature relève de l’humain. La nature pousse de manière anarchique et nous
on met de l’ordre. Surtout dans sa représentation.
Ce qu’on définit comme réalité est conventionnelle, il y a beaucoup de facteurs qui entrent en jeu. Dans le
naturalisme on veut trouver des réalités expérimentales : en fait, réalité objective que dans une partie des choses
(que dans le cas des pdv) mais subjective dans sa représentation.
Mais si on veut faire une peinture réaliste et correcte d’un paysage, un objet ou une
personne, il faut se trouver devant celle-ci (c’est plus simple de faire un portrait en face que
de mémoire). Au XIXe, cette pensée devient ainsi une idéologie : il faut commencer et
terminer devant la chose que l’on représente.
Ce qui faut préciser, c’est que l’art en générale est dominé par le système académique.
C’est le seul moyen de faire carrière, c’est ce qui permet d’en faire un métier. Cette
académie à ériger une hiérarchie des sujets. La grande peinture est la peinture d’histoire
(mythologique, religieuse, historique (les rois, grandes batailles)). Pour la dernière partie,
c’est des vrais gens et donc de la société. C’est la seule méthode de faire carrière et d’être
payer.
Dans le XIXe siècle, on veut une vraie peinture de paysage qui sera mise en avant. On a un
trouble qui remet en question la hiérarchie de l’art et la représentation du non humain peut
être mis au même niveau que l’humain. Ce trouble dans le naturalisme est observable.
I. PH Valenciennes
Né dans le sud de la France, il fait partie du tiers état mais fait des études reconnaissables.
Son éducation est religieuse, littéraire, mathématique et artistique : basique à l’époque. À
cette époque, la peinture de paysage est semblable à celle d’Albert Cuyp.
Il va rentrer dans l’académie Royale de Toulouse est à très haut niveau (seule en dehors de
paris). C’est une école d'élite. Là-bas, il va être influencé par JB Despax qui fait de la vue en
perspective, une sorte de description cartographique. À l'époque, on veut tout maîtriser qui
se ressent dans ce tableau.
D’ailleurs, dans les tableaux, la nature idéale que l’on retrouve est très souvent inspirée de
celle que l’on pourrait trouver en Italie vers Valence. Mais chez V, il tente de rester fidèle à
ce qu’il voit.
Il commence à échafauder toute une théorie sur comment représente le paysage. Pour lui,
on trouve souvent des tableaux trop similaires au niveau des paysages en arrières plans.
On est dans l’idée d’une révolution scientifique : on ne se contente plus des principes que
l’on nous donne (de la religion), on veut aller vers une expérimentation pour corriger ce
qu’on nous raconte (=les expériences scientifiques).
Il fait des manuels pour les élèves qu’il va avoir : pour V la peinture n’est pas faite avant
qu’on l’ait faite, comme l’académie l’apprend (on suit les normes de l’époque, plusieurs
plans etc..). Mais pour lui il faut d’abord observer les choses. On passe de l’induction à la
déduction : on prend les choses qui nous viennent de la nature au lieu de les tirer vers nous.
Ici, on voit presque une photographie de ce qu’il voit. On a toujours la position du sujet, on
comprend où il est dans l’espace temps.
Ses écrits de traités (1801) ont un succès énorme à son époque et plus tard. Souvent utilisé
pour l’éducation du dessin.
V a mis en place des méthodes picturales qui servent au changement profonds plus tard. Il
conseille de beaucoup voyager, de prendre des notes pour peindre. Il faut récolter des
informations pour trouver des indices pour un tableau véridique. Il va recommander de
représenter des paysages à un moment donné.
En fonction de ce que l’on veut peindre, le temps de peinture doit être limité.
● Par exemple, l’exécution ne doit jamais dépasser deux heures dans l’après midi car
sinon, la lumière ne sera plus la même, les ombres non plus etc..
C'est ce que V expose et fait carrière. Ce qui intéresse V c’est qu’il tente réellement de faire
des vrais paysages mais en incrustant des histoires. Dans ce tableau, on remarque d’abord
les paysages puis les humains. On veut nous montrer qu’on est devant ce qu’il a vu.
Mais tout est quand même composé pcq le peintre doit quand même réinventer les choses.
Donc un peu étrange pcq il dit parfois qu’il faut rester fidèle puis qu’il faut recomposer (la
nature est pas toujours intéressante, il faut savoir la modifié un peu). On essaye de se
placer dans un équilibre entre la nature, sa ? et le peintre qui lui donne de l’ordre.
V est le tributaire des règles académiques mais aussi veut représenter la réalité. On trouve
de nombreux questionnements qui mettent en contradiction les choses.
Recherches de méthodes picturales pour pouvoir se rapprocher de plus en plus sur ce qu’on
voit pour de vrai.
(à revoir)
Informations archéologiques
(à revoir)
V va laisser une trace institutionnelle. Il va avoir une carrière honorable mais disparaît. En
1790, David dissout l’académie royale pour en faire des instituts. On commence à
s’intéresser aux peintures secondaires. Donc cela provoque des changements artistiques. V
ne va jamais avoir de poste en académie mais à la vie de sa vie (1818) on crée en 1816, un
prix de peinture paysagiste historique. On appelle ça des prix de Rome qui permettent de
rentrer en académie et donner des cours. Les deux premiers vainqueurs de ce prix sont
deux élèves de V.
Avec ses livres, il marque plusieurs époques après la sienne. De son temps il est connu
pour des peintures historiques mais aujourd’hui il l’est pour ces peintures paysages qui sont
voulues très vraies.
Ces peintres vont travailler en sachant qu’il y a un prix de paysage, donc ils vont beaucoup
s'entraîner, ils doivent avoir des exemples de nature dans leur esprit “un portefeuille”
(expression de Valencienne)
Et pour s'entraîner ils vont créer une sorte de cluster, de groupes de peintres qui
s'entraînaient dans les forêts au alentours de Paris, ce qui développe énormément les
peintres de paysages
Paul Huet :
Nature sans histoire mythologique, volonté de
retranscrire la force de la nature
Narcisse Diaz :
Finit par ne peindre plus que la forêt (on voit dans
son travail la transition histoire mythologique
encore présente dans les représentations/ plus
que la forêt)
A retenir :
Volonté d’aller vers une peinture de paysage autonome
On voit néanmoins des reconstitutions (de paysage avec Corot et d’émotion avec
Rousseau)
Donc le renforcement du sujet laisse une part d’humains dans le non humains
On le fait notamment car la photographie est arrivée donc les peintres vont mettre en avant
ce qu’ils ressentent de la nature (ce que la photographie ne peut pas encore représenter)
Également car une nouvelle philosophie se développe, qui met l’expérience sensorielle en
avant (siècle des lumières je pense avec Darwin et la science qui explose)
Cours 3
CONTEXTE
1915 à 1866 : on parle d’une redéfinition complète de la place de la nature. On trouve deux
pays émergents (Angleterre, pendant la deuxième heure et Allemagne, territoire très
puissant).
I. L’Allemagne
En Allemagne, on retrouve une fièvre littéraire et intellectuelle à la fin du XVIIIe ; contexte
dans lequel CD.Friedrich va se situer. Beaucoup de choses vont alors se passer : mais
surtout, on retrouve un modèle italien vieillissant et une volonté forte d’innovation/de
nouveau.
Progressivement, on imagine qu’il faut se détacher de cet idéal italien. Pour cela, de
nouvelles références sont à activer et à aller rechercher dans l’histoire du pays (toujours
dans le cadre de l’identification des pays). Les références trouvées vont être des figures du
Moyen-Âge, qui avaient une approche plus spiritualiste, et surtout la philosophie allemande,
surtout Kant.
Rappelons que Kant amène son idée de la perception de la réalité faite que sur le plan
individuel, appelé Aufklarung. Ainsi, en étant héritier des idées du siècle des Lumières, il
déclare qu’il faut expérimenter pour comprendre les choses : nécessité de peindre ce que
l’on voit et ne pas l’idéaliser. Chez Kant, on est dans une idéologie perspective (« je crois ce
que je vois et je peux sentir »). Mais attention, on trouve tout de même chez Kant l’idée d’un
monde parfait, qui est atteignable que par sa propre perception spirituelle.
On trouve aussi Descartes avec son cogito : la seule façon de savoir que le monde existe
c’est de comprendre ce que nous pensons. C’est lui qui pose les bases, « pcq je suis la, le
monde est la » = naturalisme.
L’INNOVATION DE FRIEDRICH
Friedrich veut confronter les idéologies qui existent déjà en créant une peinture qui ne suit
pas les règles actuelles. Néanmoins, les peintures d’histoire sont encore bcp présentes et il
va commencer par ça. Gardons en tête qu’elles ont un rôle très important pcq l’on est
toujours dans cette volonté de création de l’histoire des pays. Par exemple en 1810, en
France, on est dans un contexte d’affirmation nationale avec Napoléon etc…).
Si l’on prend l’exemple des peintures françaises de David ou de Delacroix, on note que les
peintures prônent la victoire, un peuple combattant (bcp d’armes et de mouvements dans
ces tableaux). Souvent les peintures montrent la défaite (l’instabilité de l’Europe avec la
chute des anarchies)
(à revoir)
on trouve en plus des changements dans les transports et du temps qui passe. En France
on est les seuls où l'on ne ressent pas le changement des choses. Chez F, on trouve
beaucoup de ruines, de disparition de civilisations…
A partir du milieu du XIXe siècle, on a bcp de rénovation des églises pcq de manière
générale, les bâtiments sont bcp en ruines et détruits. Chez F, avec sa vision de l’histoire et
du temps. On voit ici que l’espace temps est présent. On a un tombeau recouvert par la
nature. Le coucher ou lever du soleil est ici la source d'espoir qui annonce le nouveau.
Naturalisme ici c’est comme utilisé par P.descola donc attention par le mouvement
naturalisme comme la définition de tout !!!
Perspective étagée
La majorité de ces tableaux coupe alors l’espace. D’autres cultures vont utiliser cette
technique mais pas pour les mêmes raisons.
On est obligé de penser que le personnage est dans une réflexion profonde. On ne trouve
souvent que deux ou une seule personne (deux = plan du sentiments et seule = remise en
question). Il veut amener la question de l’individualisme. On a une intériorisation. On a une
approche sentimentale, spiritualiste, émotionnelle.
Fermes l'œil de ton corps afin que tu vois le tableau par ton œil intérieur.
F travaille en atelier, donc transforme bcp ces paysages. Donc il veut vraiment faire ressortir
l’intériorité du spectateur. Le tableau veut rendre une émotion plus que décrit un paysage, le
paysage est symbolique.
En Italie on veut faire croire à l'œil qu’il peut se balader dans le tableau mais chez F, le
regard est empéché et renvoyé à lui-même. La lecture du tableau et
Pour conclure, il y a bien la structure de la perspective mais qui est faite de telle sorte que
l’on comprenne que c’est un pdv intérieur d’un personnage et non une description. Le
spectateur n’a jamais été aussi présent dans un tableau car il est rappelé dans la nature.
A 11 ans il a fait ça :
Il ne représente que la
campagne anglaise avec
seulement quelques rajouts
de personnages ou
d’architecture (mais pas de
personnages
mythologiques, de
châteaux…)
Mais sa nature est intériorisée (quand sa femme a été malade puis est décédée, Constable
s’est mis a dessiner des ruines et des ciel ombragé) (alors que dans son souvenir de sa
ferme natale, le ciel est lumineux et la nature joyeuse)
Cours 4
Donc on est 25 ans après les premières cours donc on est loin de l’idéalisme de ce qu’on
voit. Donc ils passent beaucoup de temps ensemble pour faire des peintures ensemble.
Monet commence alors d’exposer ses peintures de paysages. Il met alors un pied dans la
peinture pro mais donc va partir à Paris pcq plus intéressant pour les artistes. Soit on se
rend dans un atelier libre ou dans une académie officielle. Monet tente de se rendre dans
l’atelier privé de Couture qui fait des peintures très conservatrices pour le cours. Toujours
héritage du néoclassique. Monet tente de rentrer dans cette voie mais Couture refuse.
Monet visite quand même à Paris. Il va voir des peintures de Delacroix qui est un très grand
peintre pour ses couleurs. Et on a Daubigny qui est celui qui se rapproche le plus de
l’enregistrement de ce qu’il voit : il veut seulement représenter le spectacle offert devant non
œil.
Monet va découvrir des ateliers plus libres et va rencontrer Pissarro, un peintre qui évolue
avec le temps dans son style. Il va faire un service militaire mais revient vite avec une
maladie. La question de la lumière et sa qualité est forte. C’est une découverte pcq pas très
lumineuse en Normandie.
On est en 1860, sous Napoléon III, Charles Glaire est un peintre académique et veut
respecter les traditions. En 62, il trouve que cours = terrible pcq que temple grecque… et
pas de paysage pas idéaliste. Il va retrouver d'autres élèves comme lui (Bazille, Sisley et
Renoir) qui quittent l’atelier pour faire carrière tout seuls.
Sinon au niveau des couleurs du tableaux, on voit qu’il y a un vrai travail : les couleurs sont
définies par rapport aux positions et l’éclairage. On veut décrire qqch qui existe, avec la
trajectoire de la lumière et l’absence de sujet (pas d’histoire). Dans cette peinture la question
c’est comment on peint.
Dans ces années-là, on voit que Monet est dans un débat très important avec son style. Il se
cherche. Mais en plus on arrive dans une période scientifique dans laquelle on comprend
mieux le fonctionnement de l’œil et la perception des couleurs.
Monet a eu des petits succès mais après il a de plus en plus de mal. Caillebotte et Bazille
l’aident pcq lui réussit bien. Monet a un enfant mais vit très mal avec sa famille.
En allant sur l’île de la Grenouillère, on voit l’apparition d’un style radical chez Monet. On voit
que tout ce qui compte c’est la question de la lumière et de reflet. La scène et
l'espace-temps sont peu importants. Chez les impressionnistes, ce qui les intéresse c’est le
mouvement continue de ce qui se passe devant eux. Mais en soit, la peinture est fixe. On
trouve alors des techniques qui permettent de stimuler l’impression de mouvement. On
cherche à figer le moins possible la représentation. Ce qui est observé, c’est qu’il n’y a pas
de contour dans l’observation des choses.
Chez Monet, ce tableau va lui faire rendre compte que si on veut approcher la réalité du
sujet il faut en donner plusieurs versions. En fait pour peindre une chose, il faut plusieurs
pdv et à plusieurs moments. On ne peut pas normalement pcq on peint ce qu’on regarde
mais la on veut faire un tour autour en plus ? Un bordel
Mais pb vraiment dans les couleurs du tableau. Ce tableau est qualifié comme une
impression de tableau.
Mais le rapport non humain/ humain, il est pas sur qu’il y ait une différence entre les deux :
on a une volonté d’illusion (description chez Gérôme et la lumière chez Monet) et dans
l’espace temps on a la même chose (chez G on a une figuration d’un instant avec une
perspective respectée et aussi une intériorité exprimée : le naturalisme est exprimé). Chez
Monet on a toujours un rapport du monde précis/court qui a demandé à Mont de réinventer
la technique picturale. On a une perspective restée aussi dont celle atmosphérique est
puissance 1000 au niveau du bleu. Donc pas la même chose, Monet fait tout pour s’éloigner
de l’académie mais sur le rapport du monde et de l’espace temps, on trouve la même chose
: une perspective humaine avec une profondeur sur le spectacle de la nature. On trouve une
impression (ce que ça nous fait sur nous), on trouve ce que Monet a capté de la scène d’où
comme
Illusion aussi pcq le travail du peintre est caché chez Gérôme et pas du tout chez Monet. On
voit qu’il impose à la peinture un mouvement. Ici le tableau est donc plus
intériorité pcq question d’impression. L’impression vient de la qualité du sujet, c’est une
représentation des choses pcq Monet était là, un vrai coucher de soleil. C’est pour ça que
c’est intériorité. C’est le sujet « Monet » qui fait le tableau.
(à revoir)
Fin 1870, il va avoir un petit succès chez les étrangers et donc va sortir de sa pauvreté.
C’est chez lui, son jardin dans
lequel il fait aussi construire son
atelier avec une lumière naturelle.
Il a son propre jardin. Il va pas
seulement être dans la création de
l'humain mais aussi du non humain
(plusieurs fleurs).
(à revoir)
Changement d’aspect des objets pour lui rendre justice il faut multiplier les pdv.
Changement chez Monet et dans sa peinture.
Il n’a pas voulu faire ces différentes vues juste à cause des tableaux japonais mais pour
plusieurs raisons.
Monet a forcément été inspiré pcq justement eux aussi avait fait fait 36 vues d’un mont et
dans les couleurs de chez Monet. Pas de naturalisme chez les japonais. On va être dans
l'animisme. Ces tableaux japonais vont alors avoir une conséquences sur son travail.
Tadamasa Hayashi
cette convention de ne pas faire rentrer les arbres dans le cadre. Au japon, l’arbre qui
traverse montre que le regard est limité, que la scène ne peut pas être représentée en
entier. On suppose que l’on ne peut pas tout représenter (pcq petite chose par rapport à la
grandeur de la nature, façon de dire que c’est trop grand pour nous). Donc Monet va
représenter lui-même des morceaux pour faire comprendre que ce qu’il voit n’est pas
suffisant, il faut le raccrocher à d’autres.
Estompe : un multiple. Une image sur un morceau de papier que l’on grave sur une plaque
de bois ou métal puis en mettant de l’encre on peut faire ça. Une sorte de tampon au final.
Elle compte au moins 4 artistes différents.
LES NYMPHÉAS
p’tit coucou à Picasso aussi avec un nez bizarre pcq deux pdv différents en un même
instant. C'est-à-dire qu’il va mélanger deux pdv dans une seule image et plus de mélanger
les fonctions de représenter ; ronds à gauche et facetté à droite (impression de relief) .
Picasso continue la juxtaposition des choses : il cite des artistes par les pauses des femmes
du passé de différentes époques (Michael Ange, très éloignés, visage romains et d’autres).
Orozco
Peinture murale
Il mêle la figure avec l’espace, l’humain
avec le non humain
On voit la différence corporelle entre les
deux civilisations
Frida Kahlo
Elle a une double culture : son père est allemand (qui s’est migré au Mexique pcq
déçu de l’Europe) et sa mère est mexicaine. Quand la révolution éclate, ces parents sont du
côté des bourgeois. Elle a une bonne éducation. Elle va avoir un accident grave qui lui
permet d’avoir du temps pour peindre.
Une des ses premières peintures. Elle se présente comme une bourgeoise
occidentale : elle a une peau blanche, des habits occidentaux et signe avec un E dans son
prénom pour insister sur son origine occidentale (Frida c’est allemand de base et
normalement y a un E mais je sais pas où).
Très marquée par la révolution de l’époque au Mexique, elle fait tout pour s’en
détacher. typiquement, elle va dire qu’elle est née trois ans plus tard, la même année de la
fin de cette révolution. Ainsi, on retrouve dans ce tableau son envie importante de
renaissance/nouvelle vie qui n’a aucun lien avec cet évènement. Ici, elle se peint alors sa
naissance. Ce tableau apparaît après à la mort de sa mère, d’où le fait qu’elle semble être
un cadavre.
On va commencer à trouver des tableaux dans lesquels elle va se relier avec ses
origines mexicaines. En effet, ici elle donne des détails de ses origines : on remarque son
haut blanc et ses boucles d’oreille/collier, très retrouvé au Mexique dans l’artisanat de
l’époque.
Chez Kahlo, le travail de l’autoportrait est essentiel : elle permet que l’on comprenne
la vie au Mexique dans ces années.
Dans ces tableaux, on trouve aussi beaucoup de liens entre sa souffrance intérieure
et le cosmos. En effet, rappelons qu’elle a eu de lourdes opérations suite à son accident de
voiture, lui limitant le mouvement de ses jambes. Alors, on voit un lien entre souffrance et
destinée macrocosmique. Cette destinée est dans le passage du soleil à la lune : passage
d’une immobilité du monde près du soleil vers un changement constant près de la Lune.
Toutes les cultures sud-américaines étaient passionnées d’astrologie. On peut dire que la
perspective verticale (au lieu d’une perspective spatiale) permet d’insister sur cette idée.
Bel exemple de la relation non-humain / humain : son corps et les racines sont en
symbiose (le corps de l’artiste nourrit les racines et vis-versa) et se mélangent
complètement. tellement que pour certaines racines, on ne distingue pas leurs origine.
Encore une fois, une fusion entre elle et le non-humain.
Parfois le rapport entre le non-humain et l’humain est même sexuel : c’est un rapport
animiste.
La question de l’origine est encore omniprésente : elle se représente dans les bras
d’une nourrice au visage de divinité aztèque.
Encore une fois, on a un corps incrusté dans le paysage. Elle a une tête d’adulte pour
insister qu’elle a grandi dans ce contexte et même plus âgée et mature, elle se “nourrit” et
apprend de la nature.
(à revoir)
Ce tableau va apporter la sensation que l’univers est réduit à une seule image
(univers, la terre, le couple, la nature dans un même tableau). C’est un rapport général entre
la vie cosmique et ce qu'il se passe dans sa vie à elle, encore une fois.
(est ce qu’elle est à l’origine de la citation clichée « les opposés s’attirent » du coup?)
Dans ses tableaux, sa relation forte et importante avec des animaux se ressent. Elle
a eu beaucoup d’animaux de compagnie dans sa vie.
Pour ce tableau, c’est un tableau de deuil : elle a perdu son perroquet mais aussi son père
au même instant. Ainsi, elle fusionne ces deux figures (celle animal/non humaine et
paternelle) dans le perroquet. Elle intervertit alors les rôles des humains et des non
humains.
A nouveau, on a un fond végétal qui ne se détache pas de la figure de Kahlo. À chaque fois,
elle se représente frontalement et plongée dans des éléments non humains : ceux-ci nous
permettent de comprendre ses ressentis et le sous-entendu car en fonction du non-humain
choisi, un caractère précis ressort.
Dans ses tableaux, la fluidité des genres est importante : ici, elle a les cheveux
courts, de la moustache et est en costumes. La question de l’identité se ressent alors d’au
tant plus : qu’est ce que c’est une femme mexicaine et interrogation sur la couleur de peau.
En effet, la question de la représentation des femmes est un sujet à prendre en compte à
l’époque : la majorité est faite par des hommes mais leurs représentations sont contrôlées et
fantasmées. En se peignant elle-même, elle devient son propre sujet, ce qui ne laisse pas à
un homme le loisir de la représenter et donc de la changer.
Par ailleurs, elle se représente très sérieuse et froide car sa vie n’a pas été facile (il a
dit qu’elle n’avait pas de raison de sourire, triste) et ses tableaux dénoncent des choses
sérieuses.
On ne va jamais voir de représentation autobiographique où le sujet devient
fusionnel avec le non humain parce que chez les autres peintres, la tentation de se voir
comme un non humain n’est jamais apparue.
Pour la deuxième image, ce sont des noix de coco qui pleurent, elles sont humanisées : on
doit des attributs humains au non-humain. Ça montre la fusion importante du non-humain et
de l’humain chez Kahlo.
Wifredo Lam
Originaire de Cuba, il admet une double origine : chinoise, par son père émigré (qui devient
notaire en qq sorte car il est lettré) et sa mère, une mulâtresse descendant d’Espagnols et
de Noirs du Congo déportés. Son père va lui apporter une éducation littéraire importante.
Par ses origines, on ressent fortement la question de domination et être dominé.
L’esclavage et le racisme seront omniprésents dans sa vie : d’abord par ses origines et les
nombreux refus qu’il va ressevoir avec comme seul justificatif sa couleur de peau ou ses
opinions politique (il était communiste).
Si on se concentre sur son enfance/sa vie en tant qu’artiste, il a toujours était entouré
de papier et a donc toujours eu l’occasion de peindre/dessiner. C’est ainsi qu’il reçoit une
bourse pour aller étudier à Madrid. Là- bas, il découvre d’autres artistes et leurs styles.
Mais dans les années 20, rappelons que l'arrivée de la république espagnole a créé
avec elle une grande guerre civile (fascistes de l'extrême droite qui ne voulait pas de
république). Dans cette guerre civile, Lam se range du côté des républicains espagnol : il se
lance alors dans un combat républicain compliqué. La guerre se conclut sur une victoire
blanche (?), ce qui lui laisse une espérance de vie compliquée et s’exile en France.
En France, il rencontre Picasso qui va le prendre sous son aile. Picasso lui témoigne
son approbation et son soutien : « Je ne me suis jamais trompé sur toi. Tu es un peintre.
C’est pour cela que j’ai dit la première fois que nous nous sommes vus que tu me rappelais
quelqu’un : moi ».
Tout d’abord, Lam avait une représentation figurative, illusionniste et presque réaliste
des choses quand il était à Cuba. à Madrid, il va complètement métamorphoser sa peinture
et celle-ci va tendre vers une peinture presque surréaliste et expressionniste. On ne
retrouvera pas de sensation de profondeur mais une de verticalité.
En 1940, la France voit le régime Vichy monter au pouvoir. Encore une fois, il doit
fuir le pays. Pour se faire, il va migrer par bateau vers les Etats-Unis, où il se verra refuser
l’accès à cause de sa couleur de peau et de ses opinions politiques. Il va alors se retrouver
à Cuba en 1941.
A Cuba, il se sent dépaysé dans son propre pays dans un premier temps et est
révolté par la misère des Noirs sous le régime de Batista. Il a alors un déclic qui changera
radicalement ses toiles : elles dénoncent et contestent. « Alors j’ai commencé à fabriquer
des tableaux dans la direction africaine », en puisant dans le monde magique de son
enfance, en s’inspirant des cérémonies de la santería ou des rites abakuas (des religions
indigènes qui se cachent derrière le catholicisme des colons), qu’il apprend auprès de
spécialistes ou de connaisseurs (entre autres l’ethnologue Lydia Cabrera). Mais Lam reste
un athée. Il peint le drame de son pays en faisant revivre les mythologies d’une population
brimée et asservie. Il utilisera beaucoup de représentation non humaine
Sa toile la plus connue est celle-ci. Très grande et très travaillée dans ses couleurs,
elle va d’abord faire scandale en 1944, la première fois qu’elle sera exposé La Jungle.
Néanmoins, elle est achetée par le MoMA (Museum of Modern Art) dès 1945, ce qui
donne à Lam une liberté absolue dans sa peinture.
Si on se concentre plus précisément sur celle-ci, la fusion entre le non humain et
l’humain est inévitable : tous les personnages sont fusionnés entre eux (ils deviennent un
tout) et dans leur paysage. Dans les personnages on trouve aussi des pieds sous la forme
de mains. Cela peut être dû à la volonté de Lam de représenter des mythes d’une
population et sa croyance (à l’époque interdite car volonté de montrer que le pays est
“moderne” avec une religion commune).
Les tiges sont des cannes à sucre, pour rappeler Cuba. Dans les couleurs des
personnages, le bleu représente le caractère nocturne (d’où la lune est figurée) et le vert
renvoie à la nature. Les personnages sont métamorphosés avec le cosmos. Cette idée de
métamorphose peut trouver justification dans le fait que les Esprits peuvent parfois nous
posséder dans les croyances de Cuba.
Le titre amène tout de même une confusion car il n’y a pas de jungle au premier
degré mais dans le second, on la retrouve dans l’espace géographique qu’il fait ressortir et
l’espace spirituel qu’il veut amener (jungle de pensés, de culture, de religion et croyance). Il
représente el monte, un moment de culture de la santeria : la récolte se fait à ce moment
pcq les plantes/fruits/etc sont chargés en forces nocturnes et en celles de la journée.
On va ensuite voir disparaitre le paysage pour laisser place à un fond noir. Les
personnages sont considéré comme suffisants (retour à l’animisme). Le travail sera
concentrer sur les personnages qui qui sont en constantes métamorphose : sur le tableau
ci-dessus, on trouve dans un même personnage la trace d’une figure humaine (un visage et
un sein), une figure animale, cosmique et végétale.
Ainsi, chez Lam l'idée d'exprimer la fluidité de l’identité devient très importante : c’est
qqch qu’il a ressenti par le métissage qu’il connaît au sein de ses origines, des différents
pays dans lequel il a vécu/voyagé et des différentes cultures.
Glissant a livré les pages les plus véridiques au sujet des travaux de Lam.
Glissant est un immense poète. Ici, il décrit ce par quoi on peut être défini : on est des
strates d’identités qui dialoguent entre elles. En vieillissant, on mûrit et apprend à avoir un
équilibre entre elles.
(à revoir)
Dali
(j’y arrive plus deso :((( il est 11h39 est on a toujours pas fini, mon cerveau sature et je
comprends plus de quoi on parle… help)
(mdr tkt même moi je suis partie à partir de Dali pcq j’arrivais plus à écouter…)
Cours 6
I. Land-Art
Le Land-art, aussi appelé Earth Art, naît dans la fin des années 50. Ces œuvres
s’inscrivent dans des contextes naturels tels que les montages, les prairies, les déserts
(souvent relativement proches des villes). En bref, ils sont en dehors des musées car les
artistes veulent supprimer l’objet dans l’art (ce qui va excéder le mouvement lui-même).
Si l’on donne un contexte à la période des années 50, notons la grande période de
contestation, visant à mettre fin au monde capitaliste : on ne veut plus limiter l’art conceptuel
à une exposition dans un musée, un objet que l’on peut posséder. On veut le faire devenir
une activité expérimentale.
L’époque est aussi très marquée par John Dewey et son roman L’art comme
expérience : il déplace l’expérience artistique de l’artiste vers celle du spectateur. A la fois
psychologique et philosophique, cet ouvrage donne la nécessité des visiteurs/spectateurs
dans le travail de l’artiste : c’est eux qui s’en rappelleront. J’ai trouvé une citation de Dewey
qui explique bien ce que le prof voulait dire mais en soit t’es pas obligé de le lire.
« En effet, pour percevoir, un spectateur doit créer sa propre expérience qui, une fois créée, doit
inclure des relations comparables à celles qui ont été éprouvées par l’auteur de l’œuvre. Celles-ci ne
sont pas littéralement semblables. Mais avec la personne qui perçoit, comme avec l’artiste, il doit y
avoir un agencement des éléments de l’ensemble qui est, dans sa forme générale mais pas dans le
détail, identique au processus d’organisation expérimenté de manière consciente par le créateur de
l’œuvre. L’artiste a sélectionné, simplifié, clarifié, abrégé et condensé en fonction de son intérêt. Le
spectateur doit passer par toutes ces étapes en fonction de son point de vue et de son intérêt propre.
Chez l’un et l’autre, il se produit un acte d’abstraction, c’est-à-dire d’extraction de la signification.
Chez l’un et l’autre, il y a compréhension au sens littéral, c’est-à-dire regroupement de détails
éparpillés physiquement visant à former un tout qui est vécu comme une expérience. La personne qui
perçoit accomplit un certain travail tout comme l’artiste. Si elle est trop fainéante, indolente ou
engluée dans les conventions pour faire ce travail, elle ne verra pas et n’entendra pas. Son «
appréciation » de l’œuvre sera un mélange de bribes de savoir et de réactions conformes à des
normes d’admiration conventionnelle, additionné d’une excitation émotionnelle confuse même si elle
est authentique » (110-111)
Les artistes du Land-Art veulent inverser la volonté de l’art traditionnel. Celui-ci veut
traditionnellement reproduire la nature en miniature, c’est-à-dire qu’il veut un transfert plus
ou moins fidèle à la réalité. Mais dans le Land-Art, l’art se crée en manipulant directement le
sujet. On retrouve plus ou moins le principe de la peinture de motif/en plein air, qui rend
confus la distinction entre ce que l’on peint et la nature : ils veulent réduire la distance entre
l’objet et sa représentation. Or, dans le schéma traditionnel philosophique (soit celui de
Platon), la différence entre l’objet et sa représentation est fondamentale.
Dans ce travail, aucune différence se
remarque entre la nature et la
présentation car elle sont mélangées.
La volonté de rapprocher et créer un
dialogue et présentation prend alors
son sens.
● la question sociologique, aussi liée avec le musée. En effet, il peut parfois amener
des hésitations chez le spectateur, il peut ne pas avoir les moyens de venir ou ne
pas se sentir légitime. Bref, peu de gens qui vont au musée à l’époque. Le Land-Art
veut alors aller chercher le tout public.
On a parlé des moments de contestation plus tôt. Ils sont majoritairement retrouvable
en Amérique avec la guerre froide, l’opposition du peuple à la guerre du Vietnam. Cette
opposition déchire les États-Unis.
N’oublions pas les luttes pour les droits civiques (période où on note encore bcp trop de
racisme), les décolonisations de certains pays et la lutte pour les droits des femmes et
l’égalité homme/femme. Le plus important dans ce mouvement et que l’on retrouve dans les
œuvres c’est la question écologique naissance (entre 67 et 72). Tout invite les jeunes gens
à se dire qu’il faut changer le monde et donc l’art, notamment avec la question de la pureté.
C’est l’expressionnisme
américain, le premier courant
américaine ayant une
répercussion mondiale en 15
ans.
Sur la toile, seul le geste du peintre et les coulures de peinture sont sujet (y a une référence
à ça dans skam ;) ). Dans l’art traditionnel, il faut que l’art soit pure, qu’il fonctionne par
lui-même, donc qu’il soit autonome. Mais à l’époque, les jeunes veulent un art qui les
raccroche à la vie qui ait un sens pour eux.
Richard Long
Dans ses travaux, on trouve des actions faites sur place/dans la nature : elles sont
simples (à la porté de tous), anonymes, ne peuvent pas être posséder matériellement (le
seul moyen d’acheter son travail c’est par la photographie) et éphémères (la nature reprend
vite ses droits sur son travail).
Ici, on a l’impression qu’il nous propose des sortes de protocoles pour reproduire ses
œuvres. Néanmoins, toutes production sera différentes et semblables à la fois (pas le même
paysage etc..).
On comprends alors que l’œuvre d’art est partout : dans l’action même, dans la
photographie et dans l’expérience des spectateurs (qui vont peut-être recréer le geste).
Les deux éléments à retenir : question de la temporalité qu’on retrouve dans le geste, la
photo et chez les spectateurs. Et le manque de « fin » dans l’œuvre.
La présence humaine demeure dans bcp de ses œuvres par l’utilisation des formes
humaines (ronds, droites) avec les éléments naturelles.
On voit que l’articulation nature/culture est importante dans son travail : soit les
formes humaines travaillent dans le monde naturel soit le contraire. L’exemple parfait c’est
son travail avec les morceaux de rondins de bois (choisi dans la nature tel quel) puis placer
un rond.
Robert Smithson
(à revoir)
on ne peut pas faire autrement : toujours une personne qui crée un œuvre d’art mais la il
donne des milliers des regards comme si ils étaient les yeux du paysage.
(à revoir)
sédimentation, une énergie qui courent depuis des milliers d’années . Craies = êtres vivants
fossilisés.
Les interventions sont parfois très importantes donc oui mais après on est au début donc
pas de recul sur les paradoxe qu’on peut trouver.
On fait déverser de la terre sur un terrain : il critique les gestes très forts et très expressifs de
l’artiste (Pollock). Par exemple pour ce travail, la couleur violette est due aux activités
humaines (ligne de chemin de fer qui ont favorisé le développement de certains
microorganismes). Mais surtout, c’est la construction de cette spirale qui est très et trop
imposante, générant des travaux bcp trop importants.
S est fasciné par les arts d’avant (avec les menhirs) : à l’origine l’art était forcément
textuelle. Le terrain inscrit le travail non humain, nécessité de revenir à cet art.
Nancy Holt
Elle a travaillé avec Smithson car elle s'est mariée avec pendant un temps.
(à revoir)
Euh j’ai pas trop capté mais c’est une énorme pierre
dans un couloir du centre pompidou, et dedans il y a
une boussole mais la pointe ne montre pas le nord et
c’est pour nous donner l’impression d’un retour à la
nature dans la randonnée
Le rapport au non humain va être englobé de manière plus globale et dans un rapport plus
politique (entre les femmes et les hommes).
Si on repose le contexte, on est toujours dans la fin des années 60 et début 70. Mais
en plus de tout ce dont on a parlé plus tôt, de nombreuses artistes femmes vont s’emparer
des sujets de genres et de l’écologie. Notons tout de même que l’on ne trouvera pas
vraiment de groupe général dans ce groupe, chacun fait ce qu’il veut sans mise en place de
‘’normes’’.
A la fin des années 60, beaucoup d'interrogations vont avoir lieu, ramenant
continuellement la question de la place des femmes dans l’art contemporain. En effet, bien
qu’il y ait toujours eu des femmes artistes (et dans bien d’autres domaines), elles ont
toujours été oubliées et mises de côté de manière volontaire par les hommes. Écrivant
l’histoire, ils les ont toujours effacées. Typiquement, on retrouve ce phénomène dans le
domaine de la photographie : les femmes ont toujours été présentes dans ce milieu, depuis
le XIXe siècle, et ont même fait certaines découvertes/parmi certaines découvertes mais
encore une fois, on ne retrouve aucun nom feminins dans les récits.
Leur place dans l’histoire de l’art suit le même schéma mais on les retrouvait tout de
même plus en tant que sujet que d’artiste : souvent, l’homme représente le corps féminin et
ainsi, le peint avec son regard masculin (soit pervertis, dans une grande majorité, par ses
envies et fantasmes). On va autant remettre en question la place de la femme en tant
qu'artiste, que sujet.
(à revoir)
I. Ana Mendieta
Elle naît à Cuba dans une famille bourgeoise. Au départ, ses parents pour la révolution au
début mais le fait que le mouvement devient athée et communiste, il devient contre.
Mouvement de la baie des cochons. Son père va être en prison pendant 18 ans. Mais pour
pas que ses enfants ne vivent la même chose, il les exilent (opération de peter pan) aux
États-Unis. Ana est dans un pensionnat où elle est séparée de toute sa famille.
Elle ne parle pas anglais mais va dans un pensionnat très religieux. Donc trouble de
l’identité (pcq passage de bourgeoise à pauvre et pas blanche pcq latino, pour considérer
par les EU comme noires : grandit dans des pays très différentes). Elle a une image d’elle
inversée. Elle est séparée très longtemps de ses parents : question de l’éducation qui rentre
aussi dans trouble identité.
(à revoir)
Elle donne l'exemple d’une forme d’art utilisant le corps et le féminin comme un enjeu
politique. Le fait que les artistes femmes utilisent leurs corps intéresse dans ce mouvement.
Performance en film.
Ana est végétarienne comme par rapport à la viande. Utilise le sang donc fait rentrer une
sorte de rituel dans l’art. Sang donc réflexion du corps humain. Tous les travaux
anthropologiques on indique que la chasse et autre, on a des interdits de faire verser du
sang. Les entrepo féministes ont lié sa à la perte du sang menstruel donc ne peuvent pas
verser un autre sang pcq sinon trop de sang : donc à l’homme de le faire.
Souvent sang = mort mais pour feministe = vie, naissance. D’où l’emplacement de la tête du
poulet qui déverse son sang à un endroit précis. Fusion de l’ordre humain et non humain :
un vrai non-humain
Elle ne va plus travailler avec des animaux morts pcq violent (sans blague sérieux)
Elle s’est cachée dans l’herbe. On voit juste l’herbe se soulevé : elle respire quoi mais donne
vie au non humain.
Illustre qqch de contextuel dans le ilieu féministe, le culte de la grande déesse mère de tout.
On imagine un systèe matriarcale. On va refuser le monde moderne (blanc et patriarcale).
Échange corporel entre humain et non.
ici idée qui agite bcp tout le monde mais pour elle débat occidentaux donc ne la concerne
pas.
On va voir les silouetas, qui fait disparaître l’humain, fusionne le non humain et l’humain. Qui
disparaît plus tard.
Gros qui peut apparaître en négatif ou en positif. Disparaisition de la frontière entre la nature
et la culture.
entrepo pas seulemetn dd’activer un nouveau rapport u nnon humain mais rapport à la
nature mais aussi plus politique, dans le discourt contemporain ou va faire rentrer des
pratiques indigènes, primitives (on cherche un double équilibre, dans le rapport au monde)
réflexion intéressant pcq dans un monde patriarcal, l’art est crée par l’homme pcq femme
crée les enfants. Mais on ne sait pas. Elle veut alors faire de l’art avec le corps de la femme
et la naissance
Question :
elle n’a pas eu de reconnaissance dans les années 60. à la fin de sa vie et après sa mort.
Trop radicale, soit enfermé comme artistique hispanique ou féministe ; elle a été mise de
coté dans les deux groupes.
j
Ana Mendieta parle également beaucoup du viol
Elle a en effet été très marqué par le viol sauvage d’une
personne dans son campus
Gina Pane
Elle interroge la dimension destructrice et dynamique du
geste artistique
CAD qu’on associe le geste artistique à une gestuelle
masculine, autoritaire, dynamique
Ici avec les cailloux, l’artiste et le ciel, on a se rend compte qu’il y a trois plans mais on a
également cette impression d’un seul et même plan
Le personnage humains est donc juste tout petit (pas en profondeur)
On a une fusion des différents éléments (fusion artiste/nature?)
En plus le sujet et l’artiste sont la même personne, elle est aussi objet de la construction
Elle se pose comme un objet créé par l’artiste mais comme c’est elle l’artiste elle se crée elle
même contrairement aux femmes dans la société qui sont créées par le regard des hommes
(Je suis désolé je comprend mais tellement rien)
Judy Chicago
Question de la magie, des sorcières
Figure de la femme détentrice du pouvoir (plus
elle vieilli, plus elle a du pouvoir, contrairement à
la femme en réalité ; les hommes ont peur
d’elles ; bref femme de pouvoir)
Donc elle va demander à des sujets de se
balader nues dans la rues ou dans la nature
(recouvert de peinture) avec des fumigènes dans
l’a mains pour montrer la puissance des femmes
en tant que sorcières (je capte pas grand chose
à son délire non plus desoooo)
Carolee Schneemann
Multiperspectivisme : ne pas enfermer le coprs de
la femme dans une case
Fait par des éclats de verre qui montre son corps
en pleins de fois
Cours 8
Japon = archipel donc pendant très longtemps le Japon va être très isolé (contact seulement
avec la Corée ou la Chine)
Très peu de rapport avec les occidentaux (les portugais vont arriver un jour évangéliser le
Japon, et pendant 200 ans le pays va exclure tous les occidentaux voulant s’aventurer sur
l'archipel)
Et vers 1850 les Etats Unis arrivent avec leurs armes pour les obliger à commercer (alors
que le Japon est encore au stade médiévale avec leur épée et tout)
Meiji = moment où le Japon va vouloir rattraper le retard technologique, et culturel (change
son art)
Le wabi sabi = fascination des objets troués, abîmés par le temps (d’où les pierres non
changées, exposées comme elles ont été trouvées
Le ma très important pour Lee u Fan = la relation qui lie deux choses séparées
Tadashi Kawamata
Tadashi Kawamata né à Hokkaido dans la ville de Miksa : elle est l'île la moins
touchée par l’urbanisation, elle se compose majoritairement d’espaces agricoles.
Dans les années 70, il fait les beaux-arts à Tokyo dans une époque revenue à
l’usage de la peinture et s'interrogeant sur l’idée des matériaux. Il va alors se retrouver à
peindre sans vraiment comprendre pourquoi il aime ça. Quand il recherche une raison, il
découvre qu’il est très intéressé par la matière des toiles, des chevalets, des pinceaux plus
que par la peinture en elle-même. On parle de peinture sans peindre.
Le travail qu’il va alors développer suite à cette observation, utilise les matériaux
rejetés par la ville pour en faire des œuvres d’art : il amène des questions d'architecture car
souvent il construit des parcelles ou des abris. Les idées de la précarité et de la
disparition/mort apparaissent. Cette dernière idée se retrouve à un niveau personnel pour
l’artiste : avec l’éruption du sida dans les années 80, il y a bcp de mort dans les milieux
artistiques. Il va ainsi perdre beaucoup d’amis. Mais aussi au niveau de l’esthétique
japonaise : dans cette culture, le caractère éphémère est très présent. En effet, le Japon est
le pays des catastrophes avec les nombreux phénomènes météorologiques (tremblements
de terre, tsunami) et les explosions/accidents nucléaires. Son architecture est alors
majoritairement en bois pour pouvoir tout remplacer rapidement et facilement. Les
constructions éphémères sont alors très présentes dans la culture japonaise.
Dans ces structures, il va suivre un schéma simple :
Souvent, il dessine des projets en lien avec une problématique puis il suit le schéma. (ici,
besoin thérapeutique de la passerelle, à développer)
Le bois devient alors support d’une relation sociale : par le non humain, les humains
sont mis en relation. Ici, la question nature et culture est inopérante car le non humain ne
l'intéresse pas.
On trouve l’idée de la circulation, il va chercher
les matériaux dans l’environnement mais si les
constructions sont exposées, comme ici, elles
sont détruites et les matériaux utilisés sont
souvent remis dehors. Il rend à la nature ce
qu’il lui a emprunté.
Ce qu’on retrouve aussi beaucoup dans les œuvres de Kawamata, c’est les idées de
collaboration et de la continuité de l'œuvre :
Dans ses expositions, il présente des échantillons de terre à proximité d’où il expose:
il tente de nous montrer la richesse de nos terres dans leurs textures et dans leurs couleurs
(on trouve presque des palettes de peinture). Ainsi, on se trouve dans une position dans
laquelle un étranger nous fait découvrir et comprendre notre territoire.
Le choix de tout placer par terre est stratégique : il remet le spectateur dans le
contexte dans lequel, lui, a repéré ces terres.
On trouve, comme Kawamata, une dimension sociale dans son travail : il relie les
gens à leur propre territoire. Le non humain devient ainsi un lieu de rencontre.
(à revoir)
Motoi Yamamoto
Un artiste très marqué par le décès de sa sœur, Yamamoto aura beaucoup de mal à
faire son deuil. Il va faire des recherches de thérapie, ce qui va l’amener à s’intéresser au
rituels funéraires. Au Japon, le sel est un élément important pour ces événements. (lien avec
le mythe d’Izanagi, va chercher sur Wikipédia). Pourquoi le sel ? Car il vient de la mer, de
l’eau dans une idée plus globale, là où Izanagi s’est purifiée. C’est ainsi la raison de
l’utilisation du sel dans les funérailles. Ayant été proche de la mort, on se purifie pour
chasser les mauvais esprits (en plus, il détruit et conserve).
Il travaille avec le sel, rapport analogique important. L’idée de l’éphémère se note.
Le sel porte donc l'importance de la mort : ses travaux lui permettent d’animer le
souvenir de sa soeur. Il réactive le processus de mémoire.
Conclusion :
Le non humain n'est pas l’opposé de l’humain mais une partie du tissu social. Les liens sont
activés par des matériaux reliés à un territoire, une terre, la chaîne des humains. L’artiste
n’est jamais le moteur principal de l’œuvre. L’idée c’est qu’on rend toujours ce qu’on rend
toujours ce que l’on reprend à la nature.
Idée de cycle important. Pas de fixe, idée de temporalité qui lie les humains par le non
humain. Peu de différences entre l’humain et le non humain. L’humain est dans le cycle du
non humain, il est une petit partie.
On a des rapport animisme pcq qualité presque morale donné et idée de circularité (de
temps, répétition infinie) et dimension analogisme. Les amas de terre sont des résumés de
l’univers, des terres, de faire une petite communauté (relier les êtres humains entre eux).
Les façons de parler sont très marquées par le naturalisme. Par compris à revoir.
Dimension très humaniste dans leur travail, volonté d’embrasser le vivant et de créer des
liens. Les sujets ne sont pas intéressants mais les connexions le sont. mésologie = Idée que
le lieu est le lien entre les choses.
Cours 9
L’essentiel des œuvres et des mouvements non pas toujours au courant qu’ils
commençaient qqch. La on va voir des gens qui activent clairement la question du
non-humain
L’art contemporain anticipe bcp des débats de la société. Ils ont souvent un siècle d’avance.
La compréhension et la connaissance nous fait entrevoir ce que la société va nous amener.
(à revoir)
Les trois ont mis le plus en avant le contexte de nature et séparation du non humain et
humain c’est très occidental pas du tout mondial. La nature n’existe pas : il y a un monde qui
se déploie selon différentes relations et interactions. Le fait que le non humain interagit
continuellement, n’a pas de pb. C’est non qui avaient un vision des choses marginales et
détaillés : on fait une conventions en séparant le non et humain
Deuxième élément : réflexion sur la décolonisation des savoirs. On vole qqch pcq on pose
des mots à nous sur leurs modes de vie on veut alors une symétrie pour faire émerger des
conceptions. On le met sur un pied d’égalité avec nous et on tente de les comprendre le
mieux possible et le plus proche d’eux. On essaye de mettre des mots occidentaux sur leur
monde : typiquement utilisé l’idée de nature active un échec dans la compréhension.
Symétrie entre les différentes manière de penser, rééquilibrer le nord et le sud et le savoir.
Souvent ils ont été témoins des pb entre eux et le monde contemporain : idée politique ou il
faut repenser les droits pour tout : non et humain (par exemple le fleuve qui a eu des droits
politiques en Nouvelle Zélande).
H
on va trouver des auteurs qui
● Gell : lui qui pose le contexte que le non humain n’est pas passive mais active dans
de nombreux domaines
Trois autres sont des philosophes (belges ) qui réfléchissent à comment le monde est habité
par le monde animal ? Elles réactivent la vision du monde et la question de la perspective
est cruciale : elle amène l’idée d’une perspective limitée. En voulant préciser la vision du
monde, c’est intéressant et bénéfique
● Stengers reprend la notion umwelt (le monde vécu, chaque espèce va avoir une
perception du monde particulier)
● Haraway Parle du rapport aux animaux, sur les féministes, les machines. Réflexion
politique, elle invente les savoirs situés (pas de savoir objectif, on parle toujours de
qui on est). Encore une fois idée de perspective, il y a des tas d’avis et de
connaissances du monde donc il est bon de connecter tout ça pour avoir une bonne
vision du monde : perspectives qui amène une certaine politique.
Tous ses livres depuis la fin du XXIe, influent sur l’art.
Hallé = important
Coccia = philosophe LA vie des plantes qui étudient la place des plantes dans la société.
il remarque un effort considérable pour les cultures animales mais la dimension du végétale
et encore peu pris en compte
ici arbres et indiens
à part ça, on avait des dessins. Donc impression très visuel (question thématique) donc
difficultés de les rendre présent. On avait toujours des dessins d’humains. Est ce que c’est
pas plus tout nous, les humaisn et les arbres ? Mais exceptions ou vrais dessins d’arbres
par des dessins d’indiens qui habitent dans la foret.
Fusion entre l’espace et les êtres vivants.
Projeter dans les jardins de la fondation cartier. Pendant un temps, ils ont projeté sur les
arbres, il voulaient faire surgir les caractères des arbres. Une vraie tentative
Jean Nouvel
un petit film par des témoignages face caméras. Rapport interpersonnel avec un non humain
: personne avec un arbre en particulier.
Presques humanisme pcq que des humains dans le film mais le sujet est non humain : l'
humanisme n’est pas un pb mais il faut savoir le ‘’manipuler’’
On suggère à tel titre dans une démarche que le non humain va parler. Que des films de
salle en salle. La question plastique se pose : pas de végétaux, animaux donc expérience
humaine mais dans le films, que des relations de gens avec des non humains.
4 expériences de vies racontées pas des femmes. Comment vivre dans le monde en étant
femme et en ayant une relation particulière avec le non humain. Non blanche.
- 1er qui vit dans la forêt et qui veut tout tirer de celle-ci, rapport de reprotoxicité
- amérindienne, qui veut renouer avec les rites de son peuple. Elle était mal avant mais mtn
bcp m
- ancienne éleveuse de porc ou elle transforme sa ferme en hôpital. Veux amener des liens,
d’interaction
- afro-américaine qui a monté une ferme bio. Elle recueille des jeunes qui ont eu des pb pour
leur permettre de se réintégrer dans la vie. Souvent les jeunes n’avaient vu que des villes
(très capitalisées en Amérique). Offrir un espace temps nouveau pour les reconnecter avec
le non humain.
Réparation du rapport humain non. A part dans le cas de l’eleveuse on peut parler de
caractère primitif.
Deuxième élément dans ce film , dans river sites, on nous raconte le quotidien d’un peuple
au nord du brezilien
terme collectif = peuple mais plus approprié de dire ça pcq englobe aussi la nature.
(à revoir)
Dans la peinture de G forte fétichisation, on s’associe au rêve, onirique. Dans ce film on veut
inverser l'œuvre d’art on veut voir la vie de leurs pdv. On veut éviter la représentation
paradisiaque de ces pays, qui n’ont rien de paradisiaque dans on y vit.
Ta partie normalement.
Comment utiliser le non humain et interagir dans le domaine du bio art, bio design avec une
nouvelle volonté de créer.
Question écologique, s’interroger sur limite question viavant et la limite entre naturel et
artificiel. Est ce que artificiel dans le vivant et naturel dans milieux naturel.
Idée que processus informatique que le moment ou les éléments vont avoir une idée de
conscience et autonomie, robot qui prennent conscience qu’ils sont robot
On imagine les objets comme des personnes pas seulement des fonctionnalités mais un
être. Volonté animiste.
Q qch intéressant pcq on est dans l'anthropomorphisme ; dans idée noble de se rapprocher
du non humain, on le fait en imaginant juste que nature = éco au non humain
bio design, système de lampe