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Rapport de Jihen-PFE
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1 author:
Jihen Jabeur
engineering school Tunisia
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All content following this page was uploaded by Jihen Jabeur on 30 June 2022.
MEMOIRE
Présenté à
L’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Sfax
Dans la discipline Génie des Matériaux et management industriel
En vue de l’obtention
Du Diplôme National d’Ingénieur en Génie des matériaux et management
industriel
Par
Jihen JABEUR
Merci ….
Jihen JABEUR
Remerciement
Je remercie DIEU TOUT PUISSANT qui m’a donné la force et la
santé pour mener ce travail à terme.
Annexe 3 : Fiche technique des matériels utilisés pour le longeron vertical ........................... 58
Annexe4 : Guide utilisé pour l’assemblage de rudder et des autres pièces manquantes dans
l’empennage ............................................................................................................................. 60
Liste des figures
Figure1.1 : Premier vol réalisé par les frères Joseph et Etienne Montgolfier .......................... 10
Figure1.2: Évolution de la masse de l’avion par rapport au temps .......................................... 11
Figure1.3: Évolution de la vitesse de vol des animaux par rapport à son poids ...................... 12
Figure1.4 : les principales composantes d’un avion ................................................................ 13
Figure 1.5: photo de fuselage d’avion ...................................................................................... 14
Figure1.6 : Schéma de poste pilotage ....................................................................................... 14
Figure1.7 : Photo des ailes d’avion .......................................................................................... 15
Figure1.8 : Structure d’empennage .......................................................................................... 16
Figure1.9 : schéma pour la position des moteurs ..................................................................... 17
Figure1.10 : Schéma pour une hélice d’avion .......................................................................... 17
Figure1.11 : Image d’un train d’atterrissage ............................................................................ 18
Figure 1.12 : Croissance du pourcentage de matériau composite en aéronautique au fil des
années ....................................................................................................................................... 18
Figure1.13 : Différentes familles du renfort ............................................................................. 19
Figure1.14 : Déférentes familles de matrice ............................................................................ 20
Figure1.15 : Exemple d’utilisation des matériaux composites (HP) : avions, voitures et con-
duites de pétrole et de gaz ........................................................................................................ 21
Figure1.16 : Les différentes échelles de modélisation des procédés d'infusion ....................... 23
Figure1.17 : Photo des matériels utilisés ................................................................................. 24
Figure2.1 : les scans de capo et de porte d’avion Rally ........................................................... 29
Figure2.2 : photo des étapes de scan to CAD d’un exemple de pièce ..................................... 30
Figure 2.3 : photo de l’output de scan ...................................................................................... 31
Figure 2.4 : Les principales étapes pour passer du nuage de points à la forme surfacique ...... 32
Figure2.5 :l’import du fuselage sur le solidworks ................................................................... 33
Figure2.6 : Règlement du dimensionnement du fuselage avec leur assemblage avec une partie
de l'empennage sur solidworks ................................................................................................. 33
Figure 2.7 : Assemblage final du l’empennage sur solidworks ............................................... 34
Figure3.1: Entrées et sorties du LIMS ..................................................................................... 37
Figure3.2 : Première simulation d’une plaque simple.............................................................. 38
Figure3.3 : Etape1 dans le logiciel Gmsh ................................................................................ 38
Figure3.4 : Etape2 (Réglage des paramètres de cette pièce : Géométrie, Maillage…) ............ 39
Figure3.5: Etape 3 : Géométrie de la pièce avant le maillage .................................................. 39
Figure3.6: les étapes de maillage ............................................................................................ 40
Figure3.7: Géométrie utilisé pour la simulation (extraire d’après le logiciel Solidworks) ..... 40
Figure3.8 : les résultats de différents essais (de 1 à 5) de longeron vertical ............................ 41
Figure4.1 : Couper les couches de fibres pour le longeron ..................................................... 46
Figure4.2: Préparation des couches de Peel-Ply pour le longeron .......................................... 46
Figure4.3 : Peser la masse des fibres ........................................................................................ 47
Figure4.4 : Cirage de moules ................................................................................................... 47
Figure4.5 : Mise en place des couches des fibres..................................................................... 48
Figure 4.6 : Couper l’excès de fibres ....................................................................................... 48
Figure4.7 : Positionner une couche de peel-ply et le maille d’infusion ................................... 48
Figure4.8: Appliquer le ruban adhésif sur le périmètre du moule ........................................... 49
Figure4.9 : Mélanger l’infusion d’époxy avec son durcisseur ................................................. 49
Figure4.10 : laisser la pièce à durcir complètement ................................................................. 50
Liste des Tableaux
Tableau1.1 : Propriétés mécaniques des fibres ........................................................................ 19
Tableau 1.2 : Etapes de base de l’ingénierie inverse : Scan to CAD ....................................... 20
Tableau1.3: Principales propriétés des matrices Thermodurcissables et Thermoplastiques.... 20
Tableau3.3 : Propriétés mécaniques des résines ...................................................................... 21
Tableau 3.4 : les matériels utilisés et leurs fonctions ............................................................... 25
Tableau 2.1 : Etapes de base de l’ingénierie inverse : Scan to CAD ....................................... 30
Tableau3.1 : Paramètres utilisés pour la simulation numérique............................................... 41
Tableau 3.2 : Résultats des calculs par éléments finis avec LIMS pour le cas de longeron ver-
tical ........................................................................................................................................... 42
Introduction générale
Les avions sont conçus pour une variété d'objectifs. La plupart d'entre eux ont les mêmes
composants principaux. Leurs caractéristiques générales sont largement déterminées par les
objectifs de conception initiaux. Ainsi le premier objectif que l'on se pose est de savoir com-
ment concevoir les pièces d’avion dans le domaine aéronautique. En effet, nous trouvons des
formes complexes dont il est difficile de faire la conception par les méthodes typiques des
logiciels de conception, comme le cas du fuselage arrière d’avion dans notre cas. En fait Le
temps nécessaire pour faire passer un avion commercial du concept à la mise en service pour-
rait être une mesure de la difficulté. De 1933 à 2019, il a fallu en moyenne 4,8 ans entre le
début d'un projet et la mise en service de l'avion. Cette moyenne de 4,8 ans comprend le con-
cept, la conception, la production, les essais et la certification avant la mise en service [1].
Lorsqu’on commence par une conception parfaite les autres étapes seront plus faciles à réali-
ser. En s’insérant dans ce cadre, la méthode de scan to CAD est la solution couramment ex-
ploitée pour faire la conception des formes complexe. Tous les scanners 3D produisent un
maillage polygonal ou un nuage de points. La plupart des ingénieurs ont besoin de données
CAO pour faire leur travail. La question est donc : "comment convertir un maillage en don-
nées CAO" ?, à laquelle nous répondrons dans le 2ème chapitre de notre projet.
Les propriétés mécaniques et physiques des matériaux composites sont fortement liées aux
procédés d’élaboration utilisés. En aéronautique, les moulages pré-imprégnés ne sont pas tou-
jours adaptés à la fabrication de nouvelles pièces plus complexes. Des procédés directs exis-
tent, dénommés Liquid Composites Molding (LCM), tels que le Resin Transfer Moulding
(RTM) ou les procédés d’infusion de résine. Actuellement, environ 5 à 10% des pièces com-
posites sont fabriquées par ces procédés directs [2]. Avec le procédé RTM, les tolérances di-
mensionnelles et la porosité peuvent être maîtrisées et nous pouvons atteindre une haute quali-
té de pièces, mais son industrialisation est complexe et les modèles mécaniques doivent être
améliorés pour réaliser des simulations représentatives. Par contre, le procédé d’infusion peut
Problématiques
Dans notre projet les taches nécessaires demandées par l’industriel sont les suivantes :
Historique
AVIONAV est une société S.A.R.L de construction d’avions légers basée à Borjine, Sousse.
24 octobre 2007 : Un groupe d’italiens crée l’entreprise AVIONAV.
2010 : Arrêt de la production
2014 : Changement du propriétaire (Entreprise tunisienne)
26 février 2015 : Export vers l’Italie d’un avion en aluminium de type aile basse
19 mars 2015 : export vers l’Italie d’un avion en composite de type RALLY
5 mais 2015 : Arrivé d’une commande de 40 portes RIDER.
9 mai 2015 : Participation à l’AERODAY 2015.
14 mai 2015 : commande de 4 avions composite et 3 avions en aluminium
Produits de la société
L’entreprise AVIONAV est spécialisée dans la production des avions légers biplaces. Elle
produit différents types d’avions, on cite les plus populaires :
Century
C’est un Avion de catégorie ULM biplace, construit en aluminium (figure0.2). Cet appareil
allie donc l'expérience à une technologie de pointe. La structure a subi un programme de tests
de vol rigoureux et complet ainsi qu'une analyse de contraintes poussée. La ligne aérodyna-
mique moderne optimise à la fois la consommation, la maniabilité, la stabilité tout en privilé-
giant l'efficacité et la sécurité. Le tableau 0.3 donne les caractéristiques de cet ULM
Century RG
C’est un avion ULM biplace à ailes basses. Il est construit essentiellement en aluminium aé-
ronautique (figure 0.3). Il s’agit d’une amélioration du Century équipé en plus d’un train
d’atterrissage rétractable.
Figure1.1 : Premier vol réalisé par les frères Joseph et Etienne Montgolfier [4]
L’évolution technologique plus courte des avions nous permet d’observer le phénomène d’un
point de vue d’oiseau. En tant qu’« espèce de machine volante », l’évolution des avions suit
les mêmes principes physiques de l’évolution que l’on observe chez les oiseaux et qui peu-
vent être capturés avec élégance en utilisant la loi de construction. Par exemple, les cher-
cheurs ont constaté que :
Les plus gros avions se déplacent plus rapidement. En particulier, la vitesse de vol
d'un avion est proportionnelle à sa masse portée à la puissance 1/6, c'est-à-dire
Eq [1.1]
Avec: (M: poids total de l'avion; K : coefficient constant; V : Vitesse de l'avion)
La queue d'un avion est principalement utilisée pour la stabilité, ainsi que pour créer une por-
tance en combinaison avec les ailes.
2.2.Matrice
La matrice est l'élément qui lie et maintient les fibres. Elle répartie les efforts (résistance à la
compression ou à la flexion) et assure la protection chimique des fibres.
2.3.L’interface
En plus de ces fibres et la matrice, il faut rajouter : une interface qui assure la compatibilité
renfort/matrice, qui transmet les contraintes de l’un à l’autre sans déplacement relatif. Il as-
sure une bonne adhérence en couche fine qui peut influencer sur le comportement mécanique.
3. Classification des matériaux composites
On classe les matériaux composites en deux catégories selon leurs performances : matériaux
de grande diffusion (GD) et matériaux de hautes performances (HP):
3.1. Matériaux composites de grande diffusion (GD)
On parle de composites de grande diffusion (GD) quand le critère principal est l’optimisation
des coûts de fabrication de la pièce finale. Ils représentent environ 95% des matériaux com-
posites [2]. Leurs caractéristiques mécaniques ou thermiques sont relativement faibles.
3.2.Matériaux composites hautes performances (HP)
Les composites qu’ils sont de hautes performances (HP) quand leur application nécessite
l’optimisation des performances mécaniques ou thermiques, tout en permettant la réduction de
la masse structurelle. Le secteur de l'aéronautique utilise principalement les composites à
hautes performances pour la fabrication des pièces de structure primaire des appareils. Les
composites, pour cette application, sont pour la plus part fabriqués avec une matrice époxy
associée à un taux élevé de renforts en fibres de carbone.
VI. Conclusion
Dans ce chapitre nous avons présenté le domaine aéronautique d’une manière générale, ce qui
nous a permis de mieux comprendre ce domaine. Dans une seconde partie, l’accent a été mis
sur la présentation du nouveau procédé d’infusion exploité dans mon stage, en se focalisant
sur son intérêt. Pour optimiser les paramètres importants de la conception et de la fabrication,
il est nécessaire de développer un modèle numérique apte à caractériser l’écoulement de ré-
sine et les comportements de la préforme au cours de la phase de l’infusion de résine, Ce der-
nier point sera étudié dans le troisième chapitre.
On a essayé plusieurs fois d’approcher la forme de ces modèles proposés sur le logiciel Geo-
magic, mais on a constaté que ce type de scan est très mauvais et ne donne aucun résultat
clair. C'est pourquoi nous avons proposé l'utilisation d'un autre type de scan.
III. Généralité sur le Scan To CAD
1. Définition
Scan To CAD (Computer-Aided Design) est une technique semi-automatique qui convertit les
scans 3D en fichiers CAO éditables, prêts pour la conception et de qualité professionnelle. Le
scanner produit généralement des données de numérisation 3D sous la forme d'un maillage
triangulaire dense aux formats obj, ply ou stl, soit de quelques milliers à des millions de poly-
gones. [13]
Figure2.2 : photo des étapes de scan to CAD d’un exemple de pièce [13]
La première partie du processus consiste à utiliser un scanner 3D pour collecter rapidement et
précisément les mesures géométriques de la surface d'une pièce existante. Les pieds à coulisse
et les outils manuels sont traditionnellement utilisés pour prendre des mesures. Cependant, ils
s'avèrent souvent limités lorsqu'il s'agit de mesurer des pièces complexes présentant des ca-
ractéristiques compliquées [13].Un scanner 3D permet de mesurer facilement et rapidement
des pièces ayant une forme libre. Dans cet exemple, un scanner 3D Geomagic Capture a col-
lecté des données de numérisation contenant toutes les mesures de l'objet qui ont ensuite été
utilisées pour modéliser un fichier CAO.
3. Étapes de base de la rétro-conception, de la numérisation à la CAO
Tableau 2.1 : Etapes de base de l’ingénierie inverse : Scan to CAD
Étapes -1- -2- -3-
Prendre les mesures Combler l’écart entre Concevoir le plan de
d'une pièce de réfé- le scanner 3D et le fabrication :
rence : logiciel de rétro- -Utiliser les données
ingénierie : du scanner comme
référence pour re-
-Ces informations -Faciliter la transition
composer l'objet en
seront utilisées pour entre le scanner et la modèle CAO, Si né-
analyser la construc- CAO. cessaire ajouter de
nouvelles caractéris-
tion afin de créer un
tiques pertinentes
nouveau fichier de pour la pièce nouvel-
conception. lement créée.
(a)
(b)
(c) (d)
(c)
(e)
(f)
Figure 2.4: Les principales étapes pour passer du nuage de points (output de scan) à la forme
surfacique : (de (a) au résultat final (f))
32 Jihen JABEUR 2020/2021
Nous avons essayé plusieurs fois de trouver la solution qui nous permet de passer du nuage de
points à la forme surfacique qui peut l’ouvrir sur le logiciel Solidworks sous forme de CAD et
finalement nous avons trouvé la meilleure solution dans (la figure2.4.f).
2. Les étapes de règlement du dimensionnement exact du fuselage
Après avoir amélioré la sortie du scan et l'avoir converti en forme surfacique (et enregistré
en igs pour pouvoir l'ouvrir dans Solidworks (Figure2.5)), nous avons commencé le
dimensionnement de cette pièce, et comme nous avons déjà le stabilisateur, les longerons ver-
tical et horizontal avec des dimensions correctes, nous avons effectué l’assemblage du fuse-
lage arrière avec ces deux pièces pour le corriger selon le dimensionnement de celles-ci.
VI. Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons présenté une nouvelle méthode de numérisation pour la concep-
tion CAO, nous avons appris la manipulation d’un nouveau logiciel Geomagic en respectant
la demande de l'entreprise.
(a) (b)
Figure3.2 : Première simulation d’une plaque simple
(a) : Conception et maillage de la plaque et (b) : simulation de l’infusion du résine
IV. Simulation d’infusion de résine sur le longeron vertical à l’aide des
deux logiciels : Gmsh et LIMS
1. Les étapes sur le logiciel Gmsh
Comme il a été présenté précédemment l'utilisation du logiciel Gmsh est nécessaire pour ré-
soudre le problème de l’input du LIMS et faire le maillage. Alors, tout d'abord nous devons
suivre les étapes qu'ils se trouvent dans l'annexe1 :
A ce stade le travail s'arrête plusieurs fois lorsque nous avons essayé d'ouvrir notre pièce sur
le logiciel LIMS et le résultat auquel nous sommes arrivés est que ce dernier n'accepte que
3000 nœuds avec des formes d’élément bien ordonnées. Nous avons donc résolu ce problème
en modifiant le facteur de maillage pour avoir un nombre de nœud acceptable par le logiciel
LIMS (figure 3.6).
Les résultats des calculs par éléments finis avec les deux logiciels Gmsh et LIMS sont présen-
tés dans le tableau 3.2 en fonction du nombre d’élément. Quant aux tests de la simulation, ils
sont présentés sur la figure 3.8 : Préforme sèche
Test 1 Test2
Ecoulement
de résine
Point
d’infusion
Eq4.1
Nous négligeons le terme ρg, donc nous pouvons avoir la vitesse moyenne de la résine ou de
Darcy est :
Eq4.2
Dans l'équation de Darcy, la vitesse de Darcy est définie par U, V est la vitesse du flux frontal
(vitesse réelle), ε est la porosité totale du milieu, µ la viscosité de la résine, K la perméabilité
de la préforme et ∆ la différence de pression.
Les valeurs de perméabilité dépendent de la structuration et de l’état de saturation du milieu
poreux. La vitesse réelle U est déduite de la connaissance de la vitesse de Darcy par la rela-
tion :
Eq4.3
– Eq4.4
Ici ymax (t) est la frontière de hauteur du fluide (c’est une fonction dépendant du temps).
Eq4.6
Nous avons :
Eq4.7
Eq4.8
Si U(t)=Z’
Si on dit W = Z-B, on a W’ = Z’
W’*W = A
Donc
0≤ymax (t) ≤H
V. Conclusion
Nous avons présenté dans ce chapitre le logiciel Liquid Injection Molding Simulation (LIMS)
et ses fonctionnalités par un simple exemple. Nous avons également utilisé la relation de Dar-
cy en effectuant des calculs analytiques à l'échelle macroscopique des matériaux composites,
ce qui a permis de valider la simulation numérique sous LIMS.
Nous avons respecté toutes les étapes de fabrication par le procédé d'infusion, et il ne reste
que l'étape de démoulage à laquelle je n'ai malheureusement pas pu assister puisque mon
stage s'est terminé et que le démoulage nécessite au moins 48 heures.
Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons présenté une étude de cas avec le nouveau procédé d'infusion.
Nous avons constaté que ce procédé peut être utilisé dans des conditions plus flexibles (que la
méthode sous vide) et dans des moules ouverts avec un sac à vide à faible coût, ce qui nous
permet de gagner du temps dans le processus de fabrication.
[1] : Lloyd BlundenLloyd Blunden «How difficult it is to make a new aircraft design? » 2019
[2] : Peng WANG « Étude numérique et expérimentale de procédé d’élaboration des maté-
riaux composites par infusion de résine », 2010
[3] : E. TorenbeekH. Wittenberg « Flight Physics Essentials of Aeronautical Disciplines and
Technology, with Historical Notes », 2009
[4] : AviationHistory-FlorianPetrescu Book · October 2012
[5] : A. Bejan, J. D. Charles, and S. Lorente « The evolution of airplanes », 2014
[6] : Rachid M’Saoubi, Dragos Axinte, Sein Leung Soo, Christoph Nobel, Helmi Attia,Gregor
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[7] : -buggati-Dowty, Goodrich Corp, Airbus, Easterline, Triumph Group Inc, GKN Aero-
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[11] : Mentour Pilot « Why are the jet-engines placed there? » 2019
[12] : SARA BLACK « Digital design, RTM update aircraft propeller» 7/1/2010
[13] : Darryl Motley, « Getting Started on Reverse Engineering from Scan to CAD » Novem-
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