1) La RSE ( Responsabilité sociétale des entreprises) est un concept concernant les

entreprises, qui les poussent à intégrer dans leurs activités des préoccupations
sociales, environnementales et économiques.
Avec la RSE les différentes organisations prennent leur responsabilité vis-à-vis de
leurs relations internes (salariés…) ou externes (fournisseurs…).

2) En se basant sur les textes 7, 9 & 10, indiquez les raisons pour lesquelles les
entreprises se lancent dans une démarche RSE ou ont un intérêt à être bien classées
socialement ?
3) Présentez (expliquer et citer chaque argument = chiffres, raisons par des exemples)
les limites inhérentes aux classements sociaux et expliquez pourquoi certaines
entreprises ne jouent pas vraiment le jeu de la RSE.

Texte 7 : Actionnaires refusées donner quitus au directoire du groupe Bayer, ont accordé au
conseil de surveillance (qui soutient projet de fusion)
bouleversement pour bayer qui séparent le management du groupe et ses actionnaires 
car actionnaires ont refusé la fusion avec le semencier Monsanto
Les 3600 actionnaires ont critiqué la stratégie du Président du directoire en l’accusant de
sous-estimé les risques de cette fusion. Votes : 55% contre le quitus au directoire 44,5 %
abstenus
Jugements négatifs affaires liées au glyphosate ont fait perdre 38% de sa valeur boursière.
Les dirigeants Bayer misaient sur perspectives de croissance, bons chiffres du 1er trimestre,
et gros dividendes pour emporter vote actionnaires + ils ont fait certifier par 2 experts qu’ils
avaient mesurer risques liés au glyphosate avant de racheter Monsanto
 MAIS actionnaires ont montré que cette logique industrielle est insuffisante car mtn
opinion publique, investisseurs davantage concernés par questions
environnementales, sanitaires.
 Les gens pensent que le management de Bayer a infecté Bayer du virus Monsanto, c.-
à-d. que l’acquisition de Monsanto a détruit la valeur de Bayer qui était saine.
Texte 9 : Difficile de calculer l’impact des actions menées par entreprises.
« Ça coute cher et ça ne rapporte rien » = les dépenses liées à la RSE mettent en difficulté
certaines entreprises avec un manque de visibilité en matière de retour sur investissement
(ROI) = un frein pour 68% grandes entreprises, 45% moyennes, 40% petites.
Et ensuite le sujet dévie sur manque de ressources financières (41% environ) ou humaines
(37%) et manque vision stratégique (35%)
Cependant sur le principe, 57% responsables assument et affirment que leur priorité n1 est
de calculer le retour sur investissements de leurs actions RSE.
MAIS en réalité  absence d’indicateurs chiffrés pour 42% d’entre eux ; absence d’impact
mesuré et chiffré des actions que la RSE a sur le chiffre d’affaires (36%) ; absence de visibilité
de la RSE dans les documents financiers de l’entreprise (30%)  TORTS car s’ils sont
d’accord pour mettre en œuvre actions RSE alors ils sont d’accord sur la difficulté à mesurer
le retour avec des outils communs et cohérents entre entreprises.

Pourtant indicateurs RSE se développent : 59% professionnels interrogés disent disposer

d’indicateurs sur l’environnement ; 51% mesurer l’optimisation de la conso d’énergie
MAIS motivation des salariés n’est suivie que par 31% des professionnels, et le climat social
par 34% comme l’image de la marque. (professionnels s’intéressent moins à ça)

Impact des actions menées calculé que par 5% des entreprises : 50% disent que leurs actions
de RSE ne font pas l’objet d’un bilan chiffré coûts/ bénéfices et 30% environ ne font le bilan
que pour certaines actions.

Document 10 :
Swann Bommier et Cécile Renouard veulent trouver une autre voie que la RSE qui est
devenue selon elles, du blanchiment éthique.
Elles proposent d’évaluer l’entreprise sur sa capacité à préserver les biens communs
mondiaux en subordonnant la création de la valeur actionnariale tout en respectant les
responsabilités politiques, sociales, sociétales, écologiques.
Leur ouvrage analyse pratiques juridiques, fiscales et managériales pour remplir l’objectif du
« commun »