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FORMATION CLÉA

Domaine 7 : La maîtrise des gestes et postures, et le respect des règles d’hygiène, de


sécurité et environnementales élémentaires
PRÉSENTATION DU
FORMATEUR
• Formateur Sauveteur Secouriste du Travail
• Formateur Sécurité incendie
• Formateur Prévention des risques routiers

• Certification: Création et développement d’une Activité


de formation
L’ORGANISME : LES
LOUVETEAUX 971
• Association fondée en Septembre 2021
• Formateurs polyvalents en formation bien-être et
secourisme
• Mais aussi divers services à la personnes

Nos valeurs
Bienveillance
Satisfaction
L’excellence
TOUR DE TABLE

Présentation brève Emploi exercé Attentes


PROGRAMME DE FORMATION
• Accueil et présentation

•  Respecter un règlement sécurité, hygiène, environnement, une procédure qualité 

•  Avoir les bons gestes et réflexes afin d’éviter les risques 

• Contribuer à la préservation de l’environnement et aux économies d’énergie

•  Connaître les principaux gestes de premiers secours 


LA CULTURE D’ENTREPRISE
LA CULTURE D’ENTREPRISE
PLAN:
1) Définitions de la culture d’entreprise
2) Les éléments constituant la culture d’entreprise
3) Le fonctionnement de la culture de l’entreprise
LA CULTURE D’ENTREPRISE

La culture caractérise l'entreprise et la distingue des autres,


dans son apparence et, surtout, dans ses façons de réagir aux
situations courantes de la vie de l'entreprise comme traiter avec un
marché, définir son standard d'efficacité ou traiter des problèmes de
personnel. »
LA CULTURE D’ENTREPRISE
De nombreuses composantes sont identifiables, citons par exemple :
• L’histoire de l'entreprise (grands hommes, fondateurs, évolution
des produits,...) 
• Les rites 
• Les symboles
• Le style de management
• Les héros
• Les valeurs (implicites ou explicites) ;
• Les croyances collectives 
• Les mythes
LA CULTURE D’ENTREPRISE

• Les codes vestimentaires (« dress code »)


• Un langage précis
• Les méthodes de travail 
• Les habitudes socioculturelles 
• …
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE
 LES VALEURS
Les valeurs de l’entreprise sont de 2 types:
 Les valeurs déclarées: ce sont les valeurs affichées par
l’entreprise à l’extérieur (exemple: sur leur site Web) et à
l’intérieur (sur l’intranet, dans leurs documents et procédures
internes)
 Les valeurs réelles: ce sont les valeurs déclarées mises en
application au quotidien. En fait, ce sont les comportements ou
attitudes découlant des valeurs déclarées.
Rôle des RH: veiller à ce que les valeurs affichées d’une
entreprise soient cohérentes et reflètent la réalité → Obligation
d’authenticité.
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE

 Exemples:
Éthique - Engagement - Orientation client - Esprit d'équipe et
Honnêteté - Simplicité - Convivialité - Ouverture au débat
démocratique - Professionnalisme - Compétences
managériales - Confiance - Communication - Innovation –
-Réputation - Environnement - Engagement social –
-Responsabilité - Partage – Ambition

 Que sont les valeurs?


• Les valeurs expriment des préférences partagées par une fraction
influente d’une collectivité.
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’’ENTREPRISE
• Les valeurs caractérisent la vitalité d’un collectif (ce qui lui
permet de s’affirmer et de durer)
• Elles sont une affirmation de force
• Elles sont un élément clé de l’identité d’un groupement
humain
• Elles caractérisent une volonté collective
• Elles soutiennent et orientent l’engagement collectif
• Elles supposent un effort
• Elles différencient jusqu’à être un levier d’indignation
• Elles orientent l’action en termes d’exigence et de devoir
• Elles orientent l’action vers un idéal fondé socialement et
auquel on peut croire.
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE
 Exemple de définition de la valeur « Respect »:
Le respect est le sentiment de considération, d’égard, voire de
vénération que l’on peut avoir envers un individu ou quelque
chose. Il se manifeste par une attitude de déférence et le souci
de ne pas porter atteinte à l’objet du respect, ni le heurter
inutilement. Le respect est une valeur plus profonde que la
simple politesse, car il est débarrassé de toute hypocrisie. Le
respect mutuel constitue l’un des fondements de la paix sociale
et des relations interpersonnelles.
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE

 LES CODES VESTIMENTAIRES ET LE LANGUAGE:

Souvent, la nationalité et le secteur d’activité conditionnent la


façon de s’habiller des salariés ainsi que leurs manières de
s’exprimer. Par exemple, dans le secteur bancaire et
diplomatique, le port du costume-cravate pour les hommes et
un langage plus soutenu vont être la règle tandis que dans le
secteur industriel (et notamment celui du bâtiment), un franc-
parler et un jean-basket vont être plus manifestes
quotidiennement.
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE

 LES CODES VESTIMENTAIRES ET LE LANGUAGE:

De façon plus subtile, le langage apparaît comme le symbole le


plus expressif de la culture. La mise en place d’un langage
commun facilite la circulation de l’information, la
communication sociale et la prise de décision.
Ce langage unique se manifeste non seulement par un vocabulaire
spécifique, mais également par les formulaires adoptés, le style
de communication retenu (lettres, rapports, ordres écrits), ainsi
que par les procédures de contrôle.
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE
LES RITES D’UNE ENTREPRISE:
Quelques conduites en entreprise peuvent être qualifiées
de rites:
• Recrutements et embauches, y compris le stade de l’intégration
• Les promotions avec les différentes phases de décision puis de
communication : faire prendre conscience à l’intéressé et à la
communauté de l’évolution de responsabilités et du
changement opéré.
• Les pots à l’occasion d’événements comme les naissances
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE
LES RITES D’UNE ENTREPRISE:
• Les départs en retraite : ne s’agit-il pas ici de remercier et
susciter une certaine fidélité ; l’entreprise reconnaissante de
tous, des plus jeunes et des plus anciens.
• Les vœux annuels du dirigeant : moment privilégié pour
rappeler les moments difficiles de l’année (d’où (re)venons-
nous ?) et, surtout, remettre en mémoire les valeurs de
l’entreprise et les objectifs de l’entreprise (quel sens ?)
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE

 L’HISTOIRE:
La culture trouve en partie son origine dans l’histoire de
l’entreprise.

- Les hommes (qui ont marqué)


- Les structures (fusions, acquisitions..)
- Les grandes dates (date d’arrivée d’un nouveau Directeur)
LES ELEMENTS DE LA CULTURE
D’ENTREPRISE

• Certains chefs d’entreprise deviennent des mythes dont la


réputation dépasse le cadre de leur entreprise (exemple :
Georges Besse, ancien PDG du groupe Renault, assassiné à la
porte de son domicile).
• Certaines entreprises créent des musées (Philips ou BMW)
pour rappeler leur passé et les progrès accomplis par
l’entreprise
• Saint-Gobain et Alcatel-CIT ont fait appel à des historiens pour
retracer leur passé.
22

LES PICTOGRAMMES DE
SECURITE

14/08/2023
CONSIGNES DE SÉCURITÉ 23

A L’INTÉRIEUR DE L’ENTREPRISE, LES CONSIGNES DE SÉCURITÉ DOIVENT ÊTRE RESPECTÉES.


EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ, IL Y A 5 GRANDES CATÉGORIES DE SIGNAUX :

• Obligation

• Interdiction

• Avertissement, Danger

• Sauvetage, Secours

• Lutte Incendie

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SIGNAUX D’OBLIGATION
Rond, fond bleu, inscription blanche

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Signaux d ’Obligation 25

Port du casque Obligatoire

Port des chaussures de Sécurité Obligatoire

Port des gants Obligatoire

Passage Obligatoire pour Piétons

Obligation Générale
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SIGNAUX D’INTERDICTION
Rond, fond blanc, contour rouge,
inscription noire et cercle barré rouge

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Signaux d ’Interdiction
Interdit aux Piétons

Entrée Interdite aux Personnes Non Autorisées

Interdit aux Véhicules de Manutention

Ne pas Toucher

Défense d ’éteindre avec de l ’Eau


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SIGNAUX D ’AVERTISSEMENT, DE
DANGER
• Triangle, fond jaune ou jaune orangé, inscription noire

• Carré, fond jaune ou jaune orangé, inscription noire

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Signaux d ’Avertissement, de Danger
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Matières Inflammables

Matières Comburantes

Matières Corrosives

Matières Toxiques

Danger Electrique
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Signaux d ’Avertissement, de Danger
30

Inflammable

Explosif

Irritant

Corrosif

Toxique

Dangereux pour l ’Environnement


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SIGNAUX DE SAUVETAGE, SECOURS


Carré, Fond Vert, inscription blanche

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Signaux de Sauvetage, Secours 32

Premiers Secours

Téléphone de Secours

Douche de Sécurité

Directions à suivre concernant les


panneaux de Sauvetage et Secours

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SIGNAUX LUTTE INCENDIE


Carré Rouge, inscription blanche

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Signaux Lutte Incendie


Extincteur

Lance à incendie

Téléphone de Secours

Directions à suivre pour accéder à


l ’équipement anti-incendie

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QUELQUES NOTIONS
QUALITÉ:
• Aptitude d'un ensemble de caractéristiques intrinsèques à satisfaire des
exigences.
HYGIÈNE:
• L’hygiène du travail est la discipline qui s’occupe de l’environnement professionnel de
manière à ce qu’il soit optimum pour la santé et le bien-être des travailleurs.
• Elle s’intègre dans le vaste domaine de la santé au travail en complément de la médecine du
travail, de l’ergonomie et de la sécurité.
SÉCURITÉ:

• C’est la science de la détection et de la maitrise des dysfonctionnements dans les systèmes


de production.
ENVIRONNEMENT:
• C’est l’ensemble des éléments externes susceptibles d’influencer
l’activité et l’équilibre de l’entreprise.
SANTÉ:

• La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas


seulement en une absence de maladie ou d'infirmité.
RISQUE:
• Le risque est la combinaison de probabilité d’un évènement non désirable et de ses
conséquences.
• Le risque est l’effet de l’incertitude sur les objectifs.
EXEMPLES DES RISQUES

• Intoxication.
• Inflammation.
• Brulure.
• Electrisation.
• Coupure.
• Ecrasement.
DANGER:
• C’est la capacité ou la propriété intrinsèque d’un équipement (presse, tronçonneuse,
électricité), d’une substance(chlore), d’une méthode de travail (travaux en hauteur, activités
sous forte cadence), d’une situation particulière ( sol glissant, carrefour mal signalé),
susceptible de causer un dommage pour la santé des travailleurs.
EXEMPLES DES DANGERS

• Intoxicant.
• Inflammable.
• Brulant.
• Explosif.
• Electrifié.
• Coupant.
• Ecrasant.
DOMMAGE:

• Un dommage est, en droit, un dégât matériel ou physique, à une chose ou une personne.


EXEMPLES DES DOMMAGES

• Destruction des biens ou d’un milieu naturel.


• Epuisement des ressources.
• Handicaps.
• Fractures.
• Divers décès.
• brulures
PRÉVENTION:
• La prévention est une attitude ou l'ensemble de mesures à prendre pour éviter qu'une
situation (sociale, environnementale, économique..) ne se dégrade, ou qu'un accident, une
épidémie ou une maladie ne survienne.
PROTECTION:

• La protection se rapporte à l'action de protéger, de défendre quelqu’un, de veiller à ce qu’il


ne lui arrive point de mal.
ACCIDENT:

• Evénement soudain et inattendu qui entraîne des dégâts et des dommages.
INCIDENT:
• Évènement inattendu ayant une faible influence (à la différence de l'accident qui en a une
forte) ou évènement peu important en lui-même, mais susceptible d’entraîner de graves
conséquences.
NORME:

• Une norme est une règle, une spécification à laquelle un produit doit être conforme.
Les risques professionnels

Diaporama réalisé par Marie-Hélène Revel et Sandra Carron lors du stage TICE SBSSA, février 2009
Objectif général :
Identifier les risques liés à la profession
pour effectuer le choix d’un EPI.
Les risques professionnels
À l’atelier métallerie, Kévin utilise des
machines, des outils tranchants, des
postes à souder, il transporte des
charges lourdes…
Le professeur l’informe qu’il y a des
risques, et lui indique qu’il faut
toujours utiliser les moyens de
prévention et porter ses équipements de
protection individuelle (EPI)
Les risques professionnels
QUEL EST LE PROBLÈME
POSÉ DANS LA SITUATION
DE KÉVIN ?

Les risques professionnels


Choisissez parmi les 3 propositions
suivantes :

Les risques professionnels


N° 1 :
« Comment se protéger des risques dans
l’atelier de métallerie ? »

N° 2 :
« Comment utiliser un poste à souder ? »

N°3 :
« Comment choisir un équipement de protection
individuelle ? »

Les risques professionnels


Repérez les éléments de
la situation de Kévin :

?
QUI
?
COMMENT
QUOI ?
?
QUAND ?
POURQUOI ?
Les risques professionnels
QUOI Les risques d’accident.
?
QUI Kévin.
?
OÙ À l’atelier de métallerie.
?
QUAND ? Lorsqu’il travaille à l’atelier.
COMMENT En respectant les
consignes de sécurité
?
POURQUOI ? Pour éviter les accidents.

Les risques professionnels


Les risques professionnels
Activité 1 :
À partir de la situation de travail
présentée dans la photo précédente,
analyser la situation selon la méthode
QQOQCP.

Les risques professionnels


QUOI Il y a risque de coupure.
?
QUI L’élève.
?
OÙ À l’atelier de métallerie.
?
QUAND ?Lorsqu’il transporte une tôle.
COMMENT Sans porter de gants.
?
POURQUOI ? Tôle tranchante.
Les risques professionnels
Activité 2 :
À partir de la situation de travail
présentée dans la photo précédente,
complétez le schéma suivant.

Les risques professionnels


La situation dangereuse L’évènement dangereux

Le danger La personne

Le dommage

Les risques professionnels


La situation dangereuse L’évènement dangereux
L’élève porte la tôle à La tôle glisse de ses mains.
main nue dans l’atelier.

Le danger La personne

La tôle tranchante. L’élève.

Le dommage
Coupure à la main.
Les risques professionnels
La situation dangereuse L’évènement dangereux
La personne est à Évènement susceptible
proximité du danger. de causer un dommage.

La personne
Le danger
Cause capable de Celui / celle qui travaille
provoquer une atteinte à
la santé

Le dommage
Lésion ou atteinte à la
santé de la personne.
Les risques professionnels
FAMILLES DES RISQUES
1- FAMILLE PHYSIQUE:
• Risque lié à l’exposition au bruit
• Risque lié aux vibrations
• Brûlure au contact de corps très chaud ou de produits corrosifs
• Risque lié aux intempéries pour le travail en plein air (variation climatique : chaleur, froid,
pluie, vent)
2- FAMILLE CHIMIQUE:
• Risque toxique (poussière, gaz et autres produits chimiques)
•  Risque lié au manque d’hygiène
•  Incendie
•  Explosion
3- FAMILLE BIOLOGIQUE:
• Intoxication alimentaire
• Risque lié à l’exposition d’agents biologiques
• Morsures et piqûres animaux dangereux
4- FAMILLE ERGONOMIQUE:
• Risque lié aux Gestes et postures
• Risque lié au déplacement
• Risque lié au déplacement d’objets pesants
• Charge mentale
• Charge sensorielle (contrainte visuelle, travail sur écran)
• Risque lié à l’ambiance de travail (éclairage, température, aération-ventilation)
5- FAMILLE RAYONNEMENT:

• Risque lié au rayonnement ionisant


•  Risque lié au rayonnement non ionisant (UV/IF et autre)
6- FAMILLE ÉLECTRICITÉ:
• Facteur de pollution (air, sol, eau)
• Consommation de ressources naturelles (eau, électricité, carburant, matière première)
• Production de déchets (DMA, DS, DSD)
• Nuisance sonore (Bruit)
7- FAMILLE MÉCANIQUE:
• Risque lié à la projection d’objet (solide, liquide, vapeur)
• Ecrasement
• Cisaillement
• Collision
• Entraînement
• Coincement
• Eclatement
• Coupure ou piqûre par manipulation d’objet (outils à main) 
• Risque lié à la chute d’objet 
• Heurt 
• Trébuchement 
• Chute de plain pied  
• Chute de hauteur  
8- FAMILLE SÉCURITÉ:
• Accident de circulation
• Egarement
• Enlisement- Ensablement
• Vol
• Agression
• Noyade
8- FAMILLE ORGANISATION:
• Risques liés à l’organisation du travail (Horaires, méthodes, pratiques, comportement, notion
de travailleur isolé)
• Risques liés au changement technique (moyen, produit)
• Risque créé par le voisinage (à spécifier)
• Risques liés à l’intervention d’entreprises extérieures, sous-traitants.
• Risques liés aux non-conformités réglementaires
9- FAMILLE QUALITÉ:
• Risque lié à l’image de marque
• Risque lié à la ressource humaine (humain)
• Risque lié à l’organisation (organisationnel)
• Risque lié à la gestion/moyen technique (Technique)
• Risque lié à la gestion documentaire (documentaire)
Danger
+
présence de l’Homme
=
Risque
DÉMARCHE DE PRÉVENTION:

• Maitriser les risques lorsque cela possible et mise sous contrôle des risques.
• Les réduire à un niveau jugé acceptable ou tolérable.
PROCÉDURES DE PRÉVENTION:
• Protéger la santé et la sécurité des travailleurs.
• Répondre au obligation de la prévention (code de travail).
• Favoriser le dialogue social entre l’employeur, les représentants du personnel et les salariés.
• Créer un emploi de qualité (donner conditions de travail).
• Contribuer à l’amélioration des performances de l’entreprise.
• Elaborer une démarche globale d’évaluation des risques.
Pertes d’image de Dommages aux
marque personnes

Atteints aux Atteint à


produits
Dommages l’environnement

Dommages aux Blessures et


équipements maladies

Evaluer pour comprendre


prévenir pour agir
DÉMARCHE GÉNÉRALE
DE LA GESTION DES
RISQUE
Identification
Analyse des
risques Estimation

Analyse
Evaluation des
risques Hiérarchisation

Action de prévention
Acceptation Risques acceptables,
des risques tolérables
NOTIONS D'ANATOMIE

DE PHYSIOLOGIE

ET DE PATHOLOGIE
Prévention des Risques liés à
l’Activité Physique 84
POUR COMPRENDRE COMMENT LA
SANTÉ DE L'HOMME EST MENACÉE
DANS SES DIVERSES ACTIVITÉS, AU
TRAVAIL ET DANS SA VIE QUOTIDIENNE,
IL CONVIENT D'EXAMINER QUELQUES
ASPECTS DE SON ANATOMIE ET DE SA
PHYSIOLOGIE.

Prévention des Risques liés à


l’Activité Physique 85
LE SQUELETTE 86

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


LES RISQUES SPÉCIFIQUES
87

DU SQUELETTE SONT
• la fracture (chutes, chocs ... )
• la détérioration du cartilage au niveau articulaire (arthrose)
arthrose lombaire
arthrose des mains
arthrose du coude
arthrose de l'épaule

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


LES LIGAMENTS 88

• Élément qui relie ou maintient l'un


près de l'autre deux organes.

• Les ligaments fibreux très


nombreux maintiennent en contact
les os et sont situés autour des
articulations

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


DECHIRURE ET RUPTURE 89

LIGAMENTAIRE

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


L'ACTIVITE MUSCULAIRE ET 90

• Le muscle
ARTICULAIRE
• L'enveloppe musculaire recouvre
notre squelette et détermine en
partie la forme de notre corps, lui
donne sa mobilité et permet le
maintien des postures.

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


L'ACTIVITE MUSCULAIRE 91
• 'activité musculaire dynamique trop élevée, de même que l'activité musculaire statique
(maintien de la posture) soutenue trop longtemps peuvent endommager les fibres
musculaires.

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


LES LESIONS DES 92

MUSCLES
Hormis les chocs qui peuvent endommager les muscles, l'accident musculaire spécifique est
provoqué par la déchirure des fibres musculaires, ou de leurs attaches sur les os (tendons), le
plus souvent à l'occasion d'un effort trop important, violent, ou d'un effort à froid.

• LA COURBATURE
Inflammation des fibres musculaires. Elle est due à un surmenage musculaire et à une fatigue
musculaire

• LA CONTRACTURE
Contraction durable et involontaire d'un muscle ou d'un groupe de muscles accompagnée de
rigidité

• LA CRAMPE
Il s'agit de la rétraction brutale et temporaire d'un muscle

• L'ELONGATION
Due à un étirement excessif sans dégât anatomique important.

• LE CLAQUAGE
C'est la rupture, à la suite d'un effort violent, de quelques fibres d'un muscle

• LA DECHIRURE OU RUPTURE

Prévention des Risques liésVéritable fracture


à l’Activité du muscle ou du tendon, elle rend impossible tout mouvement
Physique
LES TENDONS 93

• C'est la partie blanche


résistante et dense qui constitue
l'extrémité des muscles.
• Les tendons reçoivent les
fibres de la partie charnue du
muscle, dont ils transmettent
l'effort à la partie anatomique
sur laquelle ils s'insèrent,
généralement un os.

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


LES LESIONS DES TENDONS 94

• SECTION DES TENDONS

• LES RUPTURES
TENDINEUSES

Prévention des Risques liés à l’Activité Physique


Gestes et postures à
adopter dans un
travail manuel
INTRODUCTION

Les accidents et les maladies liés au travail


font chaque années 22 millions de morts ce
qui revient à environ 5000 morts par jour.
I / GESTES ET POSTURES A ADOPTER ET A EVITER

Ramasser un objet lourd au sol ou amortir une chute

OUI : charger
l'objet sur une
Non : dos rond, jambes Oui : jambe fléchie, cuisse permet de
tendues dos plat , au plus près diminuer les
de la charge contraintes sur la
colonne vertébrale
Ramasser un objet léger au sol

OUI pour des objets


NON : dos rond,
très légers : en
jambes tendues OUI  OUI maintenant la jambe
tendue en balancier
Les nettoyages de sol

1) Le balai

NON : trop de flexion du tronc


vers l'avant OUI : tronc vertical
2) La serpillière

NON : trop de flexion du tronc avec Oui, si le bas du dos reste Le plus sûr (attention à la
le dos rond toujours droit (verrouillage remontée)
lombaire solide et durable)
Se lever d’un siège

Le risque d'accident vertébral intervient au


moment où vous cherchez à vous relever après une
position assise tenue longtemps.
Amener les pieds sous le siège (ou sur
les côtés)

Incliner le tronc vers l'avant en


gardant le dos bien droit (léger creux
dans les reins)

Quand les épaules sont au-dessus des


pieds, se relever par l'action des
jambes. (avec léger appui des mains
sur les cuisses si vous êtes en crise
douloureuse)
Enlever ou mettre ses chaussures

OUI, avec une bonne


OUI , MAIS avec deux
NON : dos rond, souplesse de la hanche OUI
appuis stables et avec
tronc horizontal et des muscles des
dos plat bien verrouillé
cuisses
Attraper un objet au dessus de la tête

POSSIBLE : avancer les genoux vers


l'avant (pour diminuer le creux
NON : Reins creusés lombaire) , contractez les abdominaux OUI :  se surélever en
en bloquant votre respiration pendant montant
le moment où vous portez la charge au
dessus de la tête.
Dans un atelier:
Aujourd’hui, beaucoup d’opérateurs et d’opératrices exécutent
manuellement des tâches de manutention. Si l’automatisation
n’est pas possible partout, on peut néanmoins améliorer
l’organisation du travail de manière à réduire l’effort et les
risques d’accidents.
Les règles d’or de la sécurité :
• Privilégiez des plans de travail de hauteur réglable pour que le chargement
et le déchargement nécessitent le moins de flexion et d’extension possible.
• Réduisez le plus possible les distances à parcourir quand vous transportez
une charge.
• Veillez à ce que le sol soit toujours dégagé, propre et sec.
• Privilégiez le travail d’équipe afin qu’au besoin, des collègues puissent
vous prêter main forte. Seul, on prend plus de risques.
• Assurez-vous que les charges à manipuler soient compactes et permettent
une bonne prise près du corps.
COMMENT PREVENIR LE CAS LE PLUS FREQUENT ? (le
dos)

Voici un schéma qui vous montre quelques méthodes pour


économiser vos efforts en vous évitant d’avoir mal au dos.
Voici quelques exercices pour augmenter la souplesse de votre
dos qui est un moyen de prévention.

exercice de gauche - exercices de droite


3 x 30 sec

à faire des deux jambes


pour étirer les muscles postérieurs de la cuisse et des mollets :
descendre lentement sans accoup - jambe bien tendue en
gardant le dos plat
exercice de gauche - exercice de droite
2 x 30 sec.

à faire des deux jambes


pour étirer le devant des cuisses
SANS JAMAIS CREUSER LE DOS
2 fois 1 à 3 minutes

pour allonger les muscles postérieurs du corps :


couché sur le dos, jambes tendues les bras étendus
latéralement, les paumes vers le haut, chercher à
"effacer" les courbures lombaires et cervicales en
conservant le bassin et la tête au contact du sol
IV / CONCLUSION
Plusieurs métiers présentent fréquemment une sollicitation
excessive du dos.
Si les maux de dos varient beaucoup d’une personnes à l’autre, la
championne toute catégories est sans aucun doutes la lombalgie,
qui affecte les vertèbres situées en bas du dos, au total 58% des
lésions touchent les lombaires.
Quels sont les enjeux du développement durable

Première
Quels sont les enjeux du développement durable ?

Et vous vous dites :


Depuis des années,
j’entends cette
expression, tous les jours
et partout !
Je vois bien que sans
cesse on nous parle de
changement climatique,
d’empreinte carbone ...
Quels sont les enjeux du développement durable ?

Mais savez-vous ce que


signifie réellement
« Développement
Durable » ?
Quels sont les enjeux du développement durable ?

at ?
l co nst
Qu e

 Diminution des ressources naturelles :


• matières premières,
• espèces animales,
• et espèces végétales.
Quels sont les enjeux du développement durable ?

at ?
l c o nst
Qu e
 Pollutions, réchauffement climatique
:
• acidification de l’air
• eutrophisation de l’eau
• effet de serre
• ...

1 ppm = 1 mg/kg https://fr.wikipedia.org/wiki/Partie_par_million


Quels sont les enjeux du développement durable ?

at ?
l co nst
Qu e
Quels sont les enjeux du développement durable ?

at ?
l co nst
Qu e
Quels sont les enjeux du développement durable ?

at ?
l co nst
Qu e
Quels sont les enjeux du développement durable ?

at ?
l co nst
Qu e
 Nuisances :
• sonores,
• olfactives,
• et visuelles.
Quels sont les enjeux du développement durable ?

e l l e
Qu on ?
i t i
d é fi n

 Quelle définition pourrait-on donner au


terme « Développement Durable »?
Quels sont les enjeux du développement durable ?

e l l e
Qu on ?
i t i
d é fi n
 Vidéo N°3

 Quelle définition officielle est donnée au


« Développement Durable »?
Quels sont les enjeux du développement durable ?

e l l e
Qu on ?
i t i 1987 – Nations Unies – Rapport Brundtlan
d é fi n https://fr.wikipedia.org/wiki/Rapport_Brundtland

Le rapport Brundtland est le nom communément donné à une publication,


officiellement intitulée Notre avenir à tous (Our Common Future), rédigée
en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le
développement de l'Organisation des Nations unies, présidée par la
Norvégienne Gro Harlem Brundtland. Utilisé comme base au
Sommet de la Terre de 1992, ce rapport utilise pour la première fois
l'expression de « sustainable development  », traduit en français par « 
développement durable », et il lui donne une définition :
Quels sont les enjeux du développement durable ?

e l l e
Qu on ?
i t i 1987 – Nations Unies – Rapport Brundtlan
d é fi n
« C’est un développement qui répond aux
besoins des générations du présent sans
compromettre la capacité des générations
futures à répondre aux leurs ».
Quels sont les enjeux du développement durable ?

e l l e
Qu on ?
i t i
d é fi n

« C’est la capacité de nos sociétés


humaines à continuer indéfiniment
au sein des cycles naturels ».
Quels sont les enjeux du développement durable ?

n ?
ol u tio
u el le s
Q

 Comment contribuer au développement


durable en tant que futur concepteur de
produits technologiques ?
Quels sont les enjeux du développement durable ?

n ?
ol u tio
u el le s
Q
 Vidéo N°3 et vidéo N°4

 Quelles sont les deux notions à prendre


en compte pour contribuer au
développement durable en tant que
concepteur de produits technologiques?
Quels sont les enjeux du développement durable ?

n ?
ol u tio
u el le s  Prendre en compte les 3 piliers du DD
Q
Quels sont les enjeux du développement durable ?

n ?
ol u tio
u el le s
Q
 Afin d’imaginer, dans nos modes de
production, des solutions :
 viables,
 vivables,
 et équitables.
Quels sont les enjeux du développement durable ?

d e ?
ét h o
l le m
Qu e  Sur le plan écologique, il est nécessaire
de déterminer les impacts du système sur
l’environnement au travers d’une
Analyse du Cycle de Vie (ACV) du
produit.
Quels sont les enjeux du développement durable ?

d e ? Exemple
ét h o
l le m
Qu e

http://www.nexans.fr/eservice/France-fr_FR/navigate_250145/Analyse_de_cycle_de_vie.html
Quels sont les enjeux du développement durable ?

d e ?
ét h o
l le m
Qu e
 Avec un objectif :
La réduction des impacts environnementaux.

 Épuisement des ressources naturelles


(énergie, matière)
 Nuisances (sonores, olfactives, visuelles)
 Pollutions (effet de serre, acidification,
eutrophisation...)
Quels sont les enjeux du développement durable ?

d e ?
ét h o
l le m
Qu e
Quels sont les enjeux du développement durable ?

g ir ?
e nt a
m Que peut-on faire en
Com
tant que
consommateur pour
changer les choses?
Quels sont les enjeux du développement durable ?

g ir ?
t a
m en
Com
 Se renseigner sur les impacts
environnementaux des produits que nous
achetons.
 Privilégier les sociétés et les produits qui
respectent au mieux les 3 piliers du DD tout au
long de leur cycle de vie.
 Communiquer sur les enjeux du DD et
promouvoir les sociétés soucieuses de ces
enjeux.
Quels sont les enjeux du développement durable ?

s i o n
c l u
Con

 Que pourrez-vous faire en tant que futur


concepteur de produits industriels?
Quels sont les enjeux du développement durable ?

s i o n
c l u
Con
 Prendre en considération :
Quels sont les enjeux du développement durable ?

i o n
o nclu s
C
 Cette question des enjeux du dd sera
un leitmotiv pendant vos deux années de
formation, pendant lesquelles :
 vous apprendrez des méthodes,
 vous utiliserez des outils spécifiques,
 et vous mènerez un projet qui vous
permettra d'apporter des réponses et d'agir
dans une démarche de limitation des
impacts.
DEVENIR
ECO-RESPONSABLE
Dès maintenant,
chaque geste compte !
Actions efficaces et bonnes pratiques.
LE SAVIEZ-VOUS ?

Toute entreprise consomme des ressources :


• De l’énergie : électricité, gaz…
• Des matières premières : eau, papier, fournitures…
• De l’alimentaire.
Ces ressources s’amenuisent et ne pourront pas toujours
répondre aux besoins de notre mode de vie actuel…
Aujourd’hui, 20% des hommes consomment à eux seuls
plus de 80% des ressources de la planète. Si tout le monde
avait nos habitudes, il faudrait 3 planètes pour répondre
aux besoins de l’humanité.
NOTRE OBJECTIF :
Vous faire adopter un comportement éco-citoyen sur votre lieu de
travail mais également dans votre vie privé (Compostage, consignes
de tri, labels, prévention...)

Vous avez dit Eco quoi ??


L’éco-Responsabilité, c’est s’engager par des gestes simples, et ainsi limiter les
impacts environnementaux liés à nos modes de fonctionnement.

CETTE DEMARCHE, PLEINE DE BON SENS, EST


AVANT TOUT
UN ETAT D’ESPRIT !
Dès maintenant chaque geste compte !
DE QUOI ALLONS NOUS PARLER ?

1. DES ACHATS RESPONSABLES

2 . LE PAPIER

3 . NOTRE CONSOMMATION ENERGETIQUE


4 . L’EAU

5 . LES DECHETS
A. Le gaspillage alimentaire
B. La collecte sélective
C. Le compostage

6 . LES DEPLACEMENTS

« Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos


enfants »
Antoine de Saint Exupéry
1- DES ACHATS RESPONSABLES
Difficile d’imaginer l’importance de nos comportements lors
des achats et de l’utilisation d’un bien ou d’un service. Pour
comprendre à quel point nos choix comptent, il est nécessaire
de saisir les différents impacts environnementaux de nos
produits à chaque étape de son processus de production.

Matières premières Transformation


La production d’un bien nécessite l’utilisation de Les matières sont transformées pour
matières premières. Leur extraction, leur aboutir au produit final. La fabrication
recyclabilité, leur rareté, sont à l’origine de industrielle de produits est source
profonde transformations des paysages et d’émissions polluantes et de gaz à effet
génèrent des pollutions de l’aire, des eaux et des de serre ainsi que de production de
sols, fragilisant la biodiversité. déchets. On appelle énergie grise
l’énergie nécessaire à la fabrication d’un
produit.
Fin de vie
La fin de vie d’un produit est l’étape ultime
où, une fois hors d’usage, il devient un déchet.
Le fait que le produit soit recyclé et valorisé Logistique
ou non modifie le bilan écologique de ce Le transport de marchandises sur leur lieux
produit. de stockage, de vente et de consommation
utilise beaucoup d’énergie. Contribue à
augmenter les émissions de CO2 et rejette
des polluants.
Consommation
Les comportements que nous adoptons dans l’utilisation du bien ou du
service ont également des impacts : recours aux énergies pour faire
fonctionner nos appareils, production de déchets avant l’utilisation
(emballage…) et après usage des consommables (papier, crayons…)
Que fait un éco-citoyen ?
Je repère les écolabels et je privilégie les filières « courtes ».
Il faut choisir en priorité les produits portant un écolabel environnemental officiel :
Selon l'ADEME, La marque NF-Environnement certifie des produits qui présentent des impacts moindres sur
l'environnement et une aptitude à l'usage au moins équivalente à celle d'autres produits similaires.

Un produit doit impérativement remplir tous les critères pour pouvoir obtenir le label écologique de l'UE. Ces
critères écologiques tiendront compte de tous les aspects de la vie d'un produit, depuis sa production et son
utilisation jusqu'à son élimination ultérieure.

Ce logo, présent essentiellement sur les aérosols, indique que le produit ne contient pas de CFC (gaz
qui contribuent à la destruction de la couche d'ozone).

Label certifiant qu'un produit est issu de l'agriculture biologique telle que pratiquée sur le territoire européen.

Le Label AB certifie que le produit est issu de l'agriculture biologique pratiquée en France.

Basé sur des normes strictes de protection de l'environnement, ce label interdit, entre autres, d'ajouter aux
panneaux de bois des produits de préservation du bois, des COV et des retardateurs de flamme de synthèse
ou organiques.

Le label NATRUE garantit des ingrédients naturels et biologiques, des pratiques respectueuses de
l'environnement, pas de parfums ni colorants synthétiques, pas de produits pétrochimiques (paraffines, PEG, -
propyl-, -alkyl-, etc.), pas d'huiles de silicone ni dérivés siliconés, pas d'ingrédients issus de plantes ou
organismes génétiquement modifiés (conformément à la norme européenne sur le bio), pas d'irradiation du
produit fini ni de ses ingrédients végétaux et des produits finis non testés sur animaux.
2 – LA PAPIER

Le papier représente les ¾ du tonnage de déchets produits dans les activités de
bureaux.

Pour produire 1 tonne de papier, il faut en moyenne 2 tonnes de bois ou de


copeaux. Les papiers recyclés sont, quant à eux, produits à partir de fibres de
papier récupérées.

Le saviez-vous ?
Aujourd’hui, l’écolabel européen vous garantit que le papier est issu du
recyclage et respectueux de l’environnement.

Le label FSC garantit que le bois utilisé est issu de forêts "gérées durablement".

Le label PEFC œuvre pour garantir une gestion durable de la forêt dans le cadre
d'une consommation responsable du bois et de ses produits dérivés.
 SELON VOUS :

Quelle est la consommation annuelle moyenne de papier par agent au


bureau ?
15kg
75kg
111kg

Que fait un employé Eco responsable ?


 J’imprime en recto-verso,
Je peux même imprimer mes documents en version deux pages par
feuille.

 Je réduis ma consommation :
Je n’imprime pas systématiquement, j’utilise le verso des impressions
en brouillon, je privilégie les versions dématérialisées, je privilégie le
papier Eco labélisé.
 POURQUOI RECYCLER LE PAPIER ?
 3 arbres absorbent 1 tonne de dioxyde de Carbone au cours de leur vie.
 1 des 3 arbres est coupé pour faire du papier
 1 tonne de papier recyclé permet d’économiser 17 arbres.

Connaissez-vous ce logo ?

Cet écolabel est obligatoire.


Il atteste de l’écocontribution du producteur au
financement de la collecte des papiers par les
collectivités.

Ce montant est fixé à 54€/tonne.

 OU SONT RECYCLES NOS PAPIERS ?

Situation géographique :
Dans les Vosges
150
3 – NOTRE CONSOMMATION ENERGETIQUE
Pourquoi cette prise de conscience aujourd’hui ?
En un siècle, les activités humaines ont augmenté de 35 % les concentrations
de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère. Cela conduit au dérèglement
climatique qui entraîne la fonte des glaciers, la montée des océans, des
tempêtes plus fréquentes et plus violentes, des sécheresses…
Aujourd’hui, chaque français émet 6 tonnes de gaz à effet de serre (GES) par
an. A titre de comparaison, un chinois en émet 2 tonnes. L’objectif européen est
de réduire ses émissions de 20 % en 2020 (par rapport à 1990) et de les diviser
par 4 en 2050.
Faisons vite, ça chauffe !
Que fait un employé Eco responsable ?

 J’éteins les lumières lorsque je quitte une pièce,


10 minutes d’éclairage inutile 3 fois par jour, c’est l’équivalent de 5 jours
d’éclairage en continu au bout d’un an !

 Je place mon bureau perpendiculaire à la fenêtre,

 J’éteins l’ensemble des appareils le soir et en cas d’absence


momentanée prolongée (réunion…),
Le mode veille est économique mais… un ordinateur en veille utilise
encore 20% à 40% de sa consommation en marche. Autant l’arrêter le plus
souvent possible !

 Je limite le chauffage à 19°C et je privilégie les gros pulls !


4 – L’EAU
Pourquoi faut-il économiser l’eau ? 

Un français consomme en tout environ 137 litres d’eau par jour.

Hormis cette simple question financière, la chasse au gaspillage de l’eau sert avant
tout à protéger l’environnement et préserver les ressources en eau.

Quelques pistes ?

• Traquer les fuites,


• Ne pas laisser couler l’eau
pendant la vaisselle, le brossage
de dents…
• Choisir des équipements
électroménager économes en
eau,
• Préférer les douches aux bains,
• Récupérer l’eau de pluie pour les
arrosages,
• Installer les mousseurs à chaque
robinet.
5 – LES DECHETS 

Les activités de bureau produisent chaque année 2,4 millions de tonnes de déchets,
dont une bonne partie peut être recyclée. En France, un salarié du tertiaire produit
en moyenne chaque année sur son lieu de travail 120 à 140 kg de déchets, dont 70 à
85 % de papiers et cartons.

De façon plus général, nous produisons


Tous individuellement 391kg de déchets
Par an !
Que fait un employé Eco responsable ?
AU BUREAU :

 Je privilégie les crayons rechargeables, je réutilise les anciennes


pochettes, classeurs... avant de prendre du neuf,
 Je TRI !
LORS DES REPAS :
 J’utilise de la vaisselle lavable et je proscris le jetable !
 Je prépare mes repas et évite les plats préparés,
 J’évite le gaspillage alimentaire,
 Je tri mes déchets,
 Je composte mes déchets biodégradables.
A – Le gaspillage alimentaire 
B – La collecte sélective
La collecte sélective s’est rependue en France dès le début des
années 2000. Petit à petit, elle s’est ancrée dans nos habitudes de
vie. Mais étrangement, arrivé sur notre lieu de travail, nous
perdons souvent nos bonnes habitudes…

Voici un petit rappel des règles du tri :


Recyclés mais en quoi ??


ET RIEN D’AUTRE… ATTENTION AUX FAUX-AMIS !
Le verre culinaire (vaisselles et plats transparents) n'est pas à
déposer dans les conteneurs car il s'agit de céramique transparente.
Ces objets ont une température de fusion supérieure à celle du
verre et détériorent la qualité de production.

Le verre est recyclable à 100 % et à l’infini !  


Aujourd’hui, 7 bouteilles sur 10 sont recyclées.
L’objectif est d’arriver à 8 bouteilles sur 10.
Que symbolise le Point Vert présent sur les emballages ?
A - Déchet recyclable
B - Déchet biodégradable
C - La réponse C

Le Point Vert signifie que le producteur de l’emballage paie une cotisation à Eco-Emballage
pour financer la collecte sélective au sein des collectivités.
Elle leur est rétribuée en fonction de la qualité du tri. Plus on trie, mieux on trie et plus les
soutiens financiers sont importants, ce qui vient amoindrir le coût répercuté sur l’habitant.

Que signifie ce logo ? Le triangle de Möbius

A - Matière recyclée Il est le plus important et le plus connu


B - Matière recyclable visuellement. Il symbolise un cycle sans fin. Sa
C - La réponse C présence indique que le produit est recyclable.

Souvent, on y ajoute un pourcentage ce qui signifie que l’emballage est


non seulement recyclable mais est déjà composé de matières recyclées à
hauteur du pourcentage mentionné.
C – Le compostage individuel

Chaque français produit :


390KG de déchets ménager par an

Le compostage
30% de notre poubelle est compostable soit : c’est facile !
117KG par personne et par an


Le compostage individuel est une solution simple et efficace pour la diminution des quantités
de déchets à collecter. Cette pratique ancestrale remise sur le devant de la scène est une
nécessité environnementale et économique.
Les composteurs sont en bois et en kit.

Quantité limitée à un composteur par foyer sur présentation d’un justificatif de


domicile
6 – LES TRANSPORTS
 Les trajets domicile/travail représentent 30% des transports routiers.

 Parmi les différents modes de transport, la route représente 80% de la


consommation d’énergie totale. Elle entraine d’importantes émissions
polluantes qui ont un impact prouvé sur notre santé.

Et mon impact dans tout ça ?


Que fait un employé Eco responsable ?
 J’organise une réunion avec des personnes extérieures, je privilégie
une réunion téléphonique ou une visioconférence.
Une réunion téléphonique permet de gagner du temps et de limiter le stress.
 J’habite tout près du bureau : je m’y rends à pieds ou à vélo.
 J’ai plusieurs km à parcourir : j’utilise les transports en commun.
Si ma commune est mal desservie, je pense au covoiturage.
 Je suis contraint d’utiliser ma voiture : je pratique l’Eco-conduite !
L’éco-conduite est un comportement de conduite citoyen permettant de
diminuer le risque d’accident, de réduire sa consommation de carburant et
de limiter l’émission de gaz à effet de serre. Avoir une conduite souple à
allure modérée peut permettre d’économiser jusque 40% de carburant.

Le truc en + :
Eviter d’utiliser la voiture pour les petits trajets permet de réelles économies
car une voiture consomme 60% en plus sur les 2 premiers kilomètres.
Merci de votre participation
A présent à vous de jouer !
Séquence 1
Situer le Sauveteur Secouriste du Travail

Définition - Un Accident de Travail (AT)

« Est considéré comme accident du travail, quelle qu'en soit


la cause, l'accident survenu par le fait ou à l'occasion du
travail à toute personne salariée ou travaillant, à quelque
titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs
employeurs ou chefs d'entreprise. »
art L 411.1 du code de Sécurité Sociale
Séquence 1
Situer le Sauveteur Secouriste du Travail

Définition - Accident de Trajet (AT Trajet)


Accident survenu pendant le trajet aller retour entre :

• La résidence principale, une résidence secondaire présentant un caractère


de stabilité ou tout autre lieu où le travailleur se rend de façon habituelle
pour des motifs d’ordre familial et le lieu de travail. Ce trajet peut ne pas
être le plus direct lorsque le détour effectué est rendu nécessaire dans le
cadre d’un covoiturage régulier
• Le lieu du travail et le restaurant, la cantine ou, d’une manière plus
générale, le lieu où le travailleur prend habituellement ses repas, et dans la
mesure où le parcours n’a pas été interrompu ou détourné pour un motif
dicté par l’intérêt personnel et étranger aux nécessités essentielles de la vie
courante ou indépendant de l’emploi »
art L 411.2 du code de Sécurité Sociale
Définition – Maladie Professionnelle (MP)

« Une maladie est dite ‘‘d’origine professionnelle’’ si elle est la


conséquence directe de l’exposition d’un travailleur à un risque physique,
chimique, biologique ou si elle résulte des conditions dans lesquelles il
exerce son activité professionnelle.»
Pour être reconnue et donner lieu à réparation, celle-ci doit :
figurer dans l’un des tableaux de maladies professionnelles et
être reconnue comme maladie professionnelle au terme d’une procédure de
reconnaissance.

art L 461-1 du code de Sécurité Sociale


Séquence 1
Situer le Sauveteur Secouriste du Travail

Ce trio de tête comprend d’une part les zones les plus exposées et fragiles
(membre inférieurs, membres supérieurs y compris mains/doigts) et
d’autre part la zone la plus sensible aux chocs et autres traumatismes, le
dos (comprenant la colonne vertébrale et la moelle épinière)

(Source : synthèse année 2018 – 9 CTN – DRP Etude 2020-037-CTN)


Séquence 1
Situer le Sauveteur Secouriste du Travail

La présence de secouristes est


OBLIGATOIRE selon l’article
R. 4224-15 du Code du Travail.
Séquence 1
Situer le Sauveteur Secouriste du Travail
Article L. 4121-2 du Code du travail :
9 Principes
1. Eviter les risques généraux de prévention
(Supprimer le danger ou l’exposition à celui-ci)
2. Evaluer les risques qui ne peuvent être éviter
(Apprécier leur nature et leur importance afin de déterminer les
actions à mener pour assurer la sécurité et garantir la santé des
travailleurs.)
3. Combattre les risques à la source
(Intégrer la prévention le plus en amont possible, notamment dès la
conception des lieux de travail, des équipements ou des modes
opératoires.)
4. Adapter le travail à l’ homme
(Concevoir les postes de travail et choisir les équipements, les
méthodes de travail et de production pour limiter notamment le travail
monotone, cadencé ou pénible)
5. Tenir compte de l’ évolution des techniques
(Assurer une veille pour mettre en place des moyens de prévention en
phase avec les évolutions techniques et organisationnelles)
6. Remplacer tout ce qui dangereux ou par ce qui l’ est moins
(Éviter l’utilisation de procédés ou de produits dangereux lorsqu’un
même résultat peut être obtenu avec une méthode présentant des
dangers moindres)
7. Planifier la prévention
(Intégrer dans un ensemble cohérent la technique, l’organisation du
travail, les conditions de travail, les relations sociales et
l’environnement)
8. Prendre des mesures de protection collective
(L’employeur doit donner la priorité aux mesures de protection
collective.)
9. Donner des instructions appropriés aux travailleurs
(Donner aux salariés les informations nécessaires à l’exécution de
leurs tâches dans des conditions de sécurité optimales)
Séquence 2
PROTEGER

PHASE D’ANALYSE ET PHASE D’ACTION


Avant d’accéder à la victime, le SST, doit se poser les questions
suivantes :
 Que s’est-il passé ? Afin de déterminer la nature de l’accident
(interroger témoin, victime si possible, rechercher les éléments
matériels)

 Persiste t-il un/des danger(s) ?

Pour ce faire, le SST doit être capable de reconnaître sans s’exposer lui-même les
dangers persistants pour la victime et les autres personnes exposées
Séquence 2
PROTEGER
PHASE D’ANALYSE
EVENEMENT DANGEREUX (déclencheur) Mécanisme d’un accident
DANGER (ou phénomène dangereux) : SITUATION DANGEREUSE
RISQUEDOMMAGE
Événement susceptible de causer un
Cause capable Combinaison
Toute situation de lalaquelle
dans gravité et de
une delalaprobabilité
personne est
dommage pour ladesanté.
provoquer Lésion et/ou atteinte santé
une lésion ou une atteinte de d’apparition
exposé d’une lésion
à un ou plusieurs ou d’une atteinte à la
dangers.
la santé. santé pouvant survenir dans une situation
dangereuse.

SITUATION PERSONNE
DANGER DANGEREUSE

EVENEMENT DOMMAGE
DANGEREUX
Séquence 2
PROTEGER

PHASE D’ANALYSE

SITUATION
DANGEREUSE
DANGER
ÉVÈNEMENT
DANGEREUX PERSONNE

DOMMAGE = LÉSION
Séquence 2
PROTEGER

PHASE D’ANALYSE

ÉVALUER LA PRÉSENCE DE
ACCIDENT DANGVICTIMEERS POUR LE
SAUVETEUR, LA ET LES TIERS

DANGER DANGER NON


CONTROLABLE CONTROLABLE

DÉLIMITER LA ZONE POUR


EMPÊCHER TOUTE
INTRUSION

= DANGER QUE L’ON PEUT


SUPPRIMER IMMÉDIATEMENT
ET DE FAÇON PERMANENTE DÉGAGER D'URGENCE
Séquence 2
PROTEGER
PHASE D’ACTION
ACCIDENT 3 questions successives à se poser :

 1- Peut-on SUPPRIMER le(s) danger(s) identifié(s)


de façon permanente, sans aggraver l’état de la victime
et sans risque pour le SST ou pour les tiers ?

 2- Peut-on ISOLER le(s) danger(s) de façon


permanente, sans risque pour le SST ou les tiers ?

 3- Peut-on SOUSTRAIRE la victime au(x) danger(s)


identifiés, sans risque pour le SST ou les tiers ?
Séquence 3
EXAMINER

CAS 1
Lorsqu’une victime présente un saignement
dû à une écorchure, éraflure ou abrasion
cutanée qui s’arrête spontanément

CAS 2
Lorsqu’une victime présente un saignement
abondant ou hémorragie qui imbibe de sang
un mouchoir de toile ou de papier en quelques
secondes et qui ne s’arrête pas
spontanément
Séquence 3
EXAMINER

- Je repère toute trace de sang sur les vêtements ou au sol,


en parlant à la victime.
- Si le saignement n’est pas visible, palper prudemment le
cou, les membres supérieurs et inférieurs.
PLAN D’INTERVENTION SST

Signe n°2
La victime s’étouffe
t-elle ?

MOINS DE 3 MINUTES POUR AGIR


Que voyez – vous ? Quels sont les risques
pour la victime ?
Quels sont les signes de
détresse ?
Séquence 3
EXAMINER

LES SIGNES D’UN


ÉTOUFFEMENT
GRAVE
Passage de l’air

- La victime est le plus souvent en train de manger, ou, s’il


s’agit d’un enfant, en train de jouer avec de petits jouets

- Le comportement de la victime : brutalement, la victime


porte ses mains à sa gorge (réflexe)
- Poser une question / la victime ne peut plus parler, plus
crier, n’émet aucun son, ne peut plus respirer, s’agite
PLAN D’INTERVENTION SST

Signe n°3
La victime répond
t-elle ?

MOINS DE 3 MINUTES POUR AGIR


Séquence 3
EXAMINER

Pour obtenir de la victime des


informations sur son état

SI LA VICTIME
RÉPOND
Apprécier la conscience

ORDRE SIMPLE

Chez l’adulte
Séquence 3
EXAMINER

Pour obtenir de la victime des


informations sur son état

SI LA VICTIME
RÉPOND
Apprécier la conscience

STIMULUS

Chez le nourisson
PLAN D’INTERVENTION SST

Signe n°4
La victime ne répond pas.
La victime respire t-elle ?

MOINS DE 3 MINUTES POUR AGIR


Séquence 3
EXAMINER

SI LA VICTIME RESPIRE
1.Libération des voies aériennes (LVA)
L’AIR NE PASSE PAS
Victime sur le dos
=> LVA pour faciliter
le passage de l’air

Chez l’adulte
Séquence 3
EXAMINER

SI LA VICTIME RESPIRE
1.Libération des voies aériennes (LVA)
L’AIR NE PASSE PAS
Victime sur le dos
=> LVA pour faciliter
le passage de l’air

• Mettre la tête dans la position


naturelle (position neutre)

Chez le nourrisson • A l’aide d’un ou deux doigts, ouvrir


la bouche
Séquence 3
EXAMINER

SI LA VICTIME RESPIRE
2.Répérer des signes visibles de respiration = Risque ACR
Victime sur le dos

Pendant COVID-19,
on ne se penche plus sur la
victime pour rechercher la
ventilation
Séquence 3
EXAMINER

CAS PARTICULIER
LA VICTIME EST INCONSCIENTE ET
SUR LE VENTRE

Il faut placer la victime


SUR LE DOS
pour LVA et apprécier sa
respiration

La victime peut
tomber en ACR
Séquence 3
EXAMINER

QUOI CAS PARTICULIER


La victime est inconsciente et sur le ventre
FAIRE ?
7-
1-
6-
3- Terminer
4- Le
Lorsque
Se retournement
placer
Saisir laleensuite
victime
la victimemouvements’effectue
dans
par sel’épaule
trouve
une
de position
retournement
dusur
etcôté
le côté,
par opposé
stable
la laen
hanche(àmain
au
tirant
genoux
regard
du qui
surétait
côtéou
de
la en
laà
hanche.
victime
l’épaule
trépied)au
opposé La
du
vient
main
côté saisir
du
quiretournement
retournement lamaintient
nuque delalanuque
à victime
une distance
accompagne
alors suffisante
que l’avant
le
mouvement
bras
pour
2- appui
ne pas
5- Placer lesur
Retourner gêner
bras le de
dos
lelaretournement
doucement de lalavictime
victime victime de
du côtéaulasolvictime
du retournement
jusqu’à ce qu’elle
au
8- Retirer
dessus
se retrouve délicatement
de sa sur têteleetcôté
l’autrela main sous
le long de la
sonnuque
corps
PLAN D’INTERVENTION SST

MOINS DE 3 MINUTES POUR AGIR


Séquence 4
Séquence 4
FAIRE ALERTER

A la fin de cette séquence, vous serez capable :

 De FAIRE ALERTER ou ALERTER, par les moyens prévus

dans l’organisation des secours de l’entreprise, soit transmettre


les informations nécessaires et suffisantes pour que les
secouristes puissent organiser leur intervention.
Séquence 4
FAIRE ALERTER

Faire alerter ou alerter le service de secours adapté


en respectant l’organisation interne de l’entreprise
ou de l’établissement.

OU

Interconnections des services


Séquence 4
FAIRE ALERTER

 Les SAPEURS-POMPIERS
Séquence 4
FAIRE ALERTER

 Le SAMU : Service d’Aide Médicale Urgente

ou

Fait partir

ou ou
Séquence 4
FAIRE ALERTER

 A l’occasion de toutes situations présentant des risques, ou

lorsqu’un vie est en danger

 Dès que possible, mais après une

évaluation rapide et précise de la


situation et des risques
Séquence 4
FAIRE ALERTER

PRECISER DANS LE MESSAGE D’ALERTE

 L’identité de l’appelant et le numéro d’appel

 Le lieu de l’accident (adresse, atelier, étage,…)

 La nature de l’accident (chute de hauteur, saignement, …)

 Le nombre de victimes

 L’état des victimes


Séquence 4
FAIRE ALERTER

CONSIGNES
pour une bonne transmission du message

1b.Répondre aux questions 2. Ne pas raccrocher le


posées par les services de secours premier

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