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Devoir sur la protection de la nature


Olivier
24 septembre 2009 ∙ 2 minutes de lecture

RessourcesScolaireSVTExercice SVT6èmeExercices sur l’Environnement


Chapitres

 I/ Chassez l'intrus dans le groupe de mot suivant en justifiant votre choix


 II/ Définir les mots suivant
 III/  Vrai ou Faux ?
 IV/ Question à réponse courte

I/ Chassez l'intrus dans le groupe de mot suivant en justifiant


votre choix
1)mésange, peuplier, fourmi, lapin

2) eau, mousse, gland, coccinelle

3) écorce, plume, nectar, feuille

4) chêne, érable, pommier, feuille morte.

5) feuille morte, coquille, sable, graine


II/ Définir les mots suivant
1) être vivant

2) composantes de l'environnement

3) monde minéral

III/  Vrai ou Faux ?


1) l'air est une composante vivante de l'environnement

2) les animaux se nourrissent en mangeant d'autres êtres vivants

3) tous les êtres vivants se reproduisent

4) l'eau est nécessaire à la vie des animaux et des végétaux

5) une pomme est un être vivant

IV/ Question à réponse courte


1) comment reconnaît-on un être vivant?

2) pourquoi peut-on dire que le sable n'est pas vivant?

3) pourquoi trouve t-on des chenilles sur les feuilles d'une plante?

Réponse :

A)

1 : peuplier, c'est le seul végétal

2 : eau , car est une composante minérale naturelle alors que les autre sont des êtres vivants

3 :  plume car c'est le seul qui provient d'un animal

4 : plume, car ce n'est pas un être vivant mais un élément qui provient du vivant

5 : feuille morte, car tous les autres sont des arbres

6 : sable, car tous les autres provienne d'êtres vivants

B)

1) un être vivant naît, produit, se reproduit et meurt

2) les composantes minérales sont les composantes minérales tels que l'eau, les êtres vivants et tous ce qui
en provient et les manifestations des activités humaines

3) le monde minéral composante non vivante de l'environnement qui comprend l'eau, la roche et l'air
C)

1) faux, l'air est une composnte minérale de l'environnement

2) vrai mais pas seulement, les animaux peuvent aussi manger des végétaux

3) vrai

4) vrai

5) faux la pomme provient d'un être vivant

D)

1) un être vivant naît, grandit, se reproduit et meurt

2) le sable n'a pas les caractéristiques de la réponse précédente

3) une chenille mange les feuilles

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Tout savoir sur la génétique

Olivier
29 juin 2009 ∙ 9 minutes de lecture
RessourcesScolaireSVTCours SVTTerminale SGénéralités sur la Génétique

Chapitres

 I/ Cas  d'un croisement  ordinaire


 II/ Cas d'un arbre généalogique
 III/ Quelques proportions phénotypiques significatives
 Les proportions phénotypiques significatives sont : - 1/4 et 3/4 (25% et 75%) ; ce sont les
proportions phénotypiques résultant du croisement entre hybrides dans le cas où un
des allèles est dominant. Remarque : ces proportions mendéliennes (1/4 et 3/4) en F2
sont modifiées dans le cas où l'allèle dominant est létal mais n'entraîne la mort plus ou
moins précoce que des individus homozygotes. Ainsi, dans l'exemple du croisement des
souris hybrides, si l'allèle B était létal, on obtiendrait : -2/3 de souris   grises de génotype
Bb et de phénotype [B] -1/3 de souris blanches de génotype bb et de phénotype [b] Les
proportions 2/3 et 1/3 doivent donc évoquer un cas de létalité. - 1/2 et 1/2 ( ou encore
50% et 50%) ; ce sont les proportions phénotypiques résultant du croisement entre un
hybride et un homozygote récessif (test-cross). 2. 
 2.1 Cas de gènes indépendants *2.1.1 Dihybridisme - 9/16, 3/16, 3/16, et 1/16 (ou 56,25%,
18,75%, 18,75%, 6,25%) : ce sont les proportions phénotypiques de la F2 (croisement
entre des double hétérozygotes) avec un allèle dominant à chaque locus. Ces
proportions mendéliennes classiques (9.3.3.1) seront modifiées en cas de codominance,
de létalité d'épistasie etc..
 V/ INTRODUCTION
 VI/ Les difficultés expérimentales
 VII/ Les méthodes utilisées
 VIII/ Les nouveaux critères de raisonnement
 IX/ Etude du caryotype normal
 X/ Etude de pedigree
 XI/ Le diagnostic prénatale

I/ Cas  d'un croisement  ordinaire


Après avoir lu et assimilé l'énoncé, le candidat peut suivre  la démarche
suivante :
1.1 Vérifier  si c'est un cas de monohybridisme, dihybridisme 
etc. 1.2 Calculer les proportions des phénotypes obtenus par  le(s)
croisement (s) si  cela  n'est pas fait.1.3 Procéder à une analyse des
résultats  des croisements en adoptant un raisonnement rigoureux :
- déterminer  les cas  de dominance  ou de codominance.
- choisir en se justifiant les allèles.
- vérifier si les proportions des phénotypes sont significatives; si tel est
le cas, tirer toutes les conclusions  qui s'imposent : gènes autosomiques 
ou liés au sexe ; gènes indépendantes ou liés ( liaison absolue  ou
partielle ).
- déterminer à partir des génotypes  les différents  types de gamètes
produits par les individus en précisant leurs  proportions respectives.
- construire au besoin  un échiquier de croisement pour rendre compte
des probabilités de rencontre des gamètes; faire le bilan des résultats du
croisement.
- confronter ces résultats avec ceux de l'énoncé.
- vérifier la conformité de ces résultats  avec ceux obtenus
expérimentalement  et conclure.

II/ Cas d'un arbre généalogique


Dans analyse d'un pedigree chez l'espèce humaine, les proportions 
phénotypiques n'ont aucune valeur statistique significative car les
descendants de chaque couple sont en nombre relativement faible.
L'étude  du mode de transmission  d'un caractère consiste  en ceci :
2.1 Montrer si le caractère est dominant ou récessif  
Si  dans l'arbre généalogique , il existe  au moins  un couple sain ayant
au moins un enfant présentant le caractère, on déduira que le caractère
est récessif.
si le caractère  n'apparaît que dans la descendance des individus atteints
on peut penser qu'il est  dominant ; en effet le caractère dominant  ne
saute pas de génération. 2.2 Montrer si le caractère est gouverné par
un gène autosomique ou un gène li
é au sexe (lié au chromosome X et Y )
On  admet  que le caractère est lié au sexe dans les cas suivants :
-  tous les mâles ont un phénotype et les femelles, un autre.
-  tous les individus d'un sexe n'ont qu'un phénotype possible et ceux de
l'autre peuvent avoir plusieurs phénotypes possibles. Le chromosome Y
est transmis du père au fils si bien que lorsque les filles et les  garçons 
présentent  le caractère, le gène qui en est responsable ne peut être porté 
par Y.
Dans le cas d'un caractère récessif lié à X, on observe une prédominance
de mâles présentant ce caractère: cela s'explique par le fait que la
femelle présentant le caractère est forcément homozygote alors que le
mâle est hémizygote; la probabilité d'avoir un exemplaire de cet allèle
(chez le mâle) est plus grande que celle d'en avoir deux
exemplaires( chez la femelle).
A l'inverse, dans le cas d'un caractère dominant lié à X, on observe une
prédominance de femelles présentant le caractère. S'il est démontré que
le gène qui en est responsable ne peut être porté  ni par X ni par Y , on
déduira  qu'il est autosomique. 2.3 Déterminer éventuellement les
génotypes de certains individus.
En réalité  la résolution de certains problèmes est très complexe car les
informations fournies à travers l'arbre généalogique ne sont pas
suffisantes  pour conclure avec certitude que le caractère  est dominant
ou récessif ; autosomique ou lié au sexe. Il faut donc dans ces cas
savoir nuancer  sa position en argumentant.
Deux parents ne présentant pas le caractère  peuvent avoir de
nombreux enfants dont un seul porte  le caractère. On pourrait alors
penser que le caractère est récessif. Cependant, son apparition  peut 
être due  à un  allèle mutant dominant. Cette éventualité est à écarter,
lorsque  dans l'arbre généalogique il existe plus d'un cas de ce genre.
2.4 Méthode de calcul du risque pour un couple sain, pris au hasard
au sein d'une population, d'avoir un enfant atteint d'une tare
récessive
L'estimation d'un tel risque nécessite la connaissance de la fréquence de
l'allèle au sein de la population.
Admettons que cette fréquence soit de 4%: cela voudra dire que la
probabilité pour qu'un individu sain sans antécédents familiaux connus
soit hétérozygotes est de 1/25 (= 4/100). La probabilité pour que deux
membres sains d'un couple pris au hasard soient hétérozygotes est de:
1/25 x 1/25 = 1/625; Il n'y a qu'un tel couple d'hétérozygotes pour
engendrer un enfant taré et cela, avec une probabilité de 1/4 ( probabilité
pour deux hétérozygotes d'avoir un homozygote récessif).
La probabilité de naissance d'un enfant taré dont les parents sont
normaux et de génotypes inconnus est le produit des deux probabilité,
soit: 1/625 x 1/4 = 1/2500 = 0,0004. On dira alors que la fréquence de
cette tare récessive est de 1 enfant atteint sur 2500 naissances.
A l'inverse, connaissant la fréquence de la tare au sein de la population,
on peut remonter jusqu'à la fréquence de l'allèle.
 

III/ Quelques proportions phénotypiques significatives


A) Monohybridisme: transmission d'un couple d'allèles

Les proportions phénotypiques significatives sont : - 1/4 et


3/4 (25% et 75%) ; ce sont les proportions phénotypiques
résultant du croisement entre hybrides dans le cas où un
des allèles est dominant. Remarque : ces proportions
mendéliennes (1/4 et 3/4) en F2 sont modifiées dans le cas
où l'allèle dominant est létal mais n'entraîne la mort plus ou
moins précoce que des individus homozygotes. Ainsi, dans
l'exemple du croisement des souris hybrides, si l'allèle B
était létal, on obtiendrait : -2/3 de souris  grises de génotype
Bb et de phénotype [B] -1/3 de souris blanches de génotype
bb et de phénotype [b] Les proportions 2/3 et 1/3 doivent
donc évoquer un cas de létalité. - 1/2 et 1/2 ( ou encore 50%
et 50%) ; ce sont les proportions phénotypiques résultant du
croisement entre un hybride et un homozygote récessif (test-
cross). 2. 
B) Dihybridisme et polyhybridisme

2.1 Cas de gènes indépendants *2.1.1 Dihybridisme - 9/16,


3/16, 3/16, et 1/16 (ou 56,25%, 18,75%, 18,75%, 6,25%) : ce
sont les proportions phénotypiques de la F2 (croisement
entre des double hétérozygotes) avec un allèle dominant à
chaque locus. Ces proportions mendéliennes classiques
(9.3.3.1) seront modifiées en cas de codominance, de létalité
d'épistasie etc..
 

Etat des deux Etat des deux Proportions


Nombre de
allèles du allèles du phénotypiques
phénotypes
premier gène deuxième gène attendues en F2
Locus I Locus II    
L'un des allèles L'un des allèles
Quatre(4) 9.3.3.1
est dominant est dominant
L'un des allèles Les deux allèles
Six(6) 3.6.3.1.2.1
est dominant sont codominants
les deux allèles es deux allèles
neuf(09) 1.2.1.2.4.2.1.2.1
sont codominants sont codominants

C) Cas d'épistasie

Nombre de Proportions phénotypiques


Situation
phénotypes attendues en F2
Cas classique Quatre (4) 9.3.3.1
Epistasie
Trois (3) 12.3.1
dominante
Epistasie
Trois (3) 9.3.4
récessive
 
- 1/4; 1/4; 1/4; 1/4. (ou 25%, 25%, 25% et 25%) : ce sont les proportions
phénotypiques résultant du croisement entre un double hétérozygote et
un homozygote birécessif
*2.1.2 Polyhybridisme
Mendel a effectué des croisements entre deux variétés pures de pois
différents par n couples de caractères. Il est arrivé aux conclusions
suivantes:
- au cas où il y a dominance d'un allèle à chaque locus, on obtient:
· 2  phénotypes différents en F2
n

· 3  génotypes différents en F2
n

· 2  phénotypes différents par test cross des F1 aux mêmes


n

proportions(1/2 ) n

- au cas où il y a codominance à chaque locus, on obtient:


3 phénotypes différents en F2.

2.2 Cas de linkage
Lorsque la liaison est partielle, le test-cross des F2 donne 2n phénotypes
aux proportions égales deux à deux; les proportions des deux
phénotypes de types parentaux étant égales et de fréquences plus
élevées.

GENETIQUE HUMAINE
V/ INTRODUCTION
Appliquée à l'espèce humaine, la génétique conserve toutes ses normes. Cependant, confronté à
des difficultés expérimentales, le dépistage des mouvements alléliques a imposé des nouvelles
méthodes et a additionné de nouveaux critères de raisonnement.

VI/ Les difficultés expérimentales


un nombre important de chromosomes (2n = 46).
Les générations successives sont très espacées (en moyenne 25 ans).
Le nombre des descendants est statistiquement faible (la descendance d'une porté dépasse rarement un
descendant).
Avec chaque acte reproducteur, les gamètes répondent à la même distribution aléatoire.
L'impossibilité de réaliser une reproduction orientée (entre frères et soeurs).

VII/ Les méthodes utilisées


la réalisation de pedigrees (arbres généalogiques).
la réalisation de caryotypes.
l'étude de l'activité des chromosomes (gènes ou protéines) par électrophorèse.
VIII/ Les nouveaux critères de raisonnement
Si avec la génétique classique, l'énoncé vous donne le résultat et vous demande de l'expliquer en
le confrontant à une statistique connue, en génétique humaine et comme souvent le résultat est
confus, vous devez donner plus d'importance à l'observation pour éliminer logiquement les cas
impossibles et tester ceux qui sont possibles pour pouvoir atteindre la certitude

IX/ Etude du caryotype normal


L'observation d'un caryotype normal permet d'envisager le nombre des chromosomes. Dans ce
cas on distingue 46 chromosomes classés par paire selon leurs tailles, on peut également
distinguer le sexe chromosomiques de l'individu concerné qui est marqué XX si l'individu est de
sexe féminin, donc, la formule chromosomique s'écrit 2n = 44 autosomes + XX ou XY si l'individu
est de sexe masculin, donc, la formule chromosomique s'écrit 2n = 44 autosomes + XY.

X/ Etude de pedigree
Pour la génétique humaine, on traite seulement le cas de monohybridisme. Dans ce cas, il s'agit
donc, de la transmission d'un couple d'allèles qui est le plus souvent dominant ou récessif et qui
est soit porté par un autosome ou par un chromosome sexuel X ou Y. l'observation d'un pedigree
permet d'éliminer des cas certains et pour les cas incertains il faut les mettre sous forme
d'hypothèses à vérifier avec un traitement génétique.
L'élimination d'un cas par simple observation, doit obéir à des normes logiques tel que dans un
pedigree, quand les deux parents sont phénotypiquement sains et donnent un ou plusieurs
descendants (garçons ou filles) malades donc l'allèle responsable de la maladie est récessif.
Egalement, quand les deux parents sont phénotypiquement sains et donnent une fille malade
donc la maladie est autosomale.
A) cas de maladies autosomales récessives : (phénylcétonurie)
Les deux parents II3 et II4 sont sains et ont donnés les enfants III6, III8 et III10 malades. Donc, la
maladie est récessive. Egalement, ces deux parents sains ont donnés la fille III10 qui est malade.
Donc, la maladie est autosomale. Ainsi, les enfants malades sont génotypiquement homozygotes
récessifs, leur parents doivent être hétérozygotes.
B) Cas de maladie autosomale dominante : (maladie de Charcot-Marie)

La maladie est le plus probable dominante quand elle apparaît dans toutes les
générations. Dans ce cas, un père malade (comme II3)et une mère saine (comme II4)
doivent donnés toutes leur filles malades si la maladie est portée par X. Donc, donc la
maladie est autosomale dominante. On pose, alors, le couple d'allèles suivant (A, a) / A
= malade et a = sain avec A > a. Ainsi, tout individu sain doit être homozygote sain et
tout individu malade doit être hétérozygote.
C) Cas de maladies récessives liées à X : (myopathie de Duchenne)
La maladie est récessive puisque les deux parents II8 et II9 sains ont donnés les enfants III7 et
III8 malades. Si la maladie est autosomale, il faut que les parentes II9 et III5 pris au hasard de la
société, soient hétérozygotes alors que si la maladie est portée par X, ces individus
phénotypiquement sains seront également génotypiquement sains.
Donc, le plus probable serait que cette maladie soit portée par le chromosome X. Dans le cadre
de cette hypothèse, si on pose le couple d'allèles (B, b) tel que B = sain et b = malade et comme
la maladie n'apparaît que le sexe masculin, donc, tout individu malade aura le génotype et sa
mère est obligatoirement conductrice de génotype

D) Cas de maladie dominante liée à X : (rachitisme vitamino-résistant)


la maladie est dominante puisqu'elle ne saute pas de générations. Elle est portée par X
puisqu'un père malade donne que toutes ces filles soient malades.

E) Cas de maladies liées à Y : (hypertrichose des oreilles)


comme le chromosome Y n'existe que chez le sexe masculin, quand il définit une maladie, elle
sera transmise de père aux fils tel qu'un père malade donne que tous ces garçons soient
malades et réciproquement.

F) La consanguinité
On appelle mariage consanguin, le mariage entre individus d'une même famille. Ce type de
mariage présente un danger sur les descendants quand il y a une maladie récessive dans cette
famille. Donc, le mariage consanguin a comme risque d'augmenter la fréquence de l'apparition
des maladies récessives.

XI/ Le diagnostic prénatale


C'est un test qui est réalisé sur des fœtus quand ils sont dans une famille à risque. Ce test
consiste à prélever des cellules du fœtus afin de réaliser un caryotype ou de chercher une
anomalie génique.
A) Les techniques du diagnostic prénatal
pour répondre aux objectifs de ce test, il faut prélever des cellules fœtales soit à partir du sang
fœtal en aspirant une petite quantité d'une veine du cordon ombilicale (ce prélèvement devient
sans danger quand il est fait au delà de la 20ème semaine de grossesse). Soit en aspirant une
quantité du liquide amniotique (amniocentèse) qui baigne le fœtus (Ce prélèvement est
normalement sans risque quand il est fait au delà de la 17ème semaine de grossesse).
Soit en prélevant des villosités choriales (la biopsie du trophoblaste). Ce prélèvement est sans
danger quand il est fait au delà de la 10ème semaine. Le premier type de prélèvement est
souvent utilisé pour réaliser des caryotypes et les deux autres pour réaliser des tests sur l'ADN.
B) Les résultats du diagnostic prénatal
La réalisation du caryotype permet de rechercher le sexe du fœtus et le nombre de ses
chromosomes. En effet, le sexe est masculin quand il y a XY et il est féminin quand il y
a XX.
Pour le nombre des chromosomes, le caryotype est dit normal quand il y a 46
chromosomes. Mais, un caryotype peut être surnuméraire quand il y a 47
chromosomes. Cela peut être observé avec des autosomes tel que la trisomie 21 ou
pour les chromosomes sexuels tel que pour le syndrome de Klinefelter où le caryotype
montre 44 autosomes + XXY. Un caryotype peut également être réduit à 45
chromosomes tel que le syndrome de Turner où la formule chromosomique se note 44
autosomes + X.
L'obtention d'un caryotype anormal revient à un accident au cours de la méiose soit au
cours de la première division quand les chromosomes homologues d'un bivalent
migrent vers le même pôle, soit au cours de la deuxième division quand les deux
chromatides d'un même chromosome migrent vers le même pôle. Ce phénomène
affecte spécialement le gamète féminin.
Pour rechercher les anomalies géniques, on peut soit utiliser la sonde moléculaire
radioactive pour chercher les allèles normaux ou mutés soit utiliser la méthode
d'électrophorèse qui traduit la migration de l'ADN ou à la protéine correspondant à
l'expression de cet ADN dans un champ électrique.
Olivier

Professeur en lycée et classe prépa, je vous livre ici quelques conseils utiles à travers mes cours !

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