Tunisie Telecom

Institut supérieur des systèmes industriels de Gabès

Département : Electronique Electrotechnique et

automatique

Filière : Energies Electriques Renouvelables

RAPPORT DE STAGE OUVRIER

Tunisie TELECOM

Elaboré par

Boukoucha Asma

Encadré par

Mr.Harabi Med Taoufik

Durée de stage : 01/07/2022 jusqu’à31/07/2022

Année universitaire 2021/2022

 Remerciements

Au terme de ce travail réalisé dans la société Tunisie Telecom kébili, je tiens à remercier vivement la
direction générale qui veille à assurer une formation solide.

J’ai l’honneur de présenter mes meilleures expressions et ma profonde gratitude à mon encadrant
Mr.Harabi Med Taoufik pour son encadrement et son aide précieuse et j'avoue que je suis
particulièrement touché par sa disponibilité.

Je présente également mon dévouement et mes sentiments respectueux à mon instituts Supérieure de
systèmes industriels de gabes qui m’a accordé ce stage afin d’accomplir une formation pratique fructueuse et
qui m’a permis de faire un premier pas dans ma vie professionnelle. Que tous ceux qui ont contribué de
près ou de loin à la réussite de mon stage trouvent ici l’expression de mes sincères remerciements.

Sommaire
Remerciements………………………………………………………………………………...……...1

1
 Liste des figures…….……………………………….………….……………………………............3

Introduction générale…………..…………………………………………………………..……...….4

Chapitre Ⅰ: Présentation de l’organisme d’accueil………...……..……………..……………………............5

1 Présentation generale....................................................................................................5
2 Organigramme DRT kebili ………..………………….…………………..….………………6
3 Stratégie de Tunisie Télécom…………….…………………………………………………..7
4 Investissements dans les réseaux………...…….…………………..…..……………….........7

Chapitre Ⅱ: Généralités domaine Télécommunications……………….....…………….………………..…..8

1 historique et évolution de télécommunications…………………..…………….……………8

2 Support de transmission……………………….……………………………………..…......9
3 Service fixe…………………………..…………………………………………................10
4 Service mobile……..……………………………………………………………………….10
a) Réseau 1G………………………………………………………………………………10
b) réseau 2G..……………………………………………………………….…….............11
c) réseau 3G……………………………………………………………………………….12
d) réseau 4G……………………………………………………………………………….13

Chapitre Ⅲ : Généralité de l’Equipement Energie environnements Et sécurité…......................................15

1 Atelier d’énergie…………………………………………………………..…………....15
1-1 Présentation…………………………………………………………………………15
1-2 Organigramme de l’atelier d’énergie………………….……………………………17
a) Poste de transformation………………………………………………………….......17
b) groupe électrogène (G.E)…………………………………………………………….19
c) Tableau générale basse tension (T.G.B.T)…………………………………………...21
d) les redresseurs………………………………………………………………………..22
e) l’onduleur……………………………………………………………………….……22
f) les batteries d’accumulation…………………………………………………….......23
g) les appareils de protections et de commande……………………………………......23
2 Environnements……………………………………………………………….……......25
3 Sécurité……………………………………………………………………………….....25
a) contrôle d’accès………………………………………………………………………25
b) système d’alarme……………………………………………………………………..26
c) vidéo surveillance………………………………………………………………........27

Chapitre Ⅳ: Equipements d’EES de TT Kebili ………………………………………….................28

1 Energie…………………………………………………………………..…………..28
2 Distribution d’énergie…………………………………………………………….....28
3 Environnements………..…………………………………………………………….29
4 Sécurité……………………………………………………………………………....3
Conclusion...............................................................................................................31

Liste de figure

2
Figure 1 : organigramme de la direction……………………………………………………………6

Figure 2 : exemple fibre optique……………………………………………………………………9

Figure 3 : réseau 2G……………………………………………………………………………….12

Figure 4 : réseau 3G……………………………………………………………………………….13

Figure 5 :l’évolution de réseaux…………………………………………………………………..14

Figure 6 : forme d’énergie……………………………………………………………………...….16

Figure 7 : organigramme de l’atelier d’énergie…………………………………………………....17

Figure 8 : groupe électrogène industriel…………..........................................................................20

Figure 9 : tableau T.G.BT………………………………………………………………………….21

Figure 10 : exemple redresseur………….…………………………..………………………….....22

Figure 11 : exemple onduleur………………………………………………………………..…….22

Figure 12 : exemple batterie d’accumulation……………………………………………………...23

Figure 13 : différents types de fusible…………………………………………….……………….23

Figure 14 : exemple disjoncteur……………………………………………………………………24

Figure 15 : exemple contacteur………………………………………………………………….....24

Figure 16 : exemple relais thermique……………………………………………………………....24

Figure 17 : différents type de climatisation………………………………………………………...25

Figure 18 : système de contrôle d’accès…………………………………………………………....26

Figure 19 : système d’alarme……………………………………………………………………….26

Figure 20 : principe de fonctionnement vidéo surveillance...............................................…......27

Figure 22 : Situation des Equipements d'Energie et d'Environnement……………………………..30

Figure 23 : vidéo surveillance………………………………………………………………………30

Introduction générale
3
Depuis l’antiquité, l’Homme n’a pas cessé de chercher les différents moyens pour faire véhiculer le message
à son correspondant et donc pour communiquer. Ainsi, l’être humain, à travers ces époques successives, a
fourni ses efforts intellectuels aussi bien que physiques afin de découvrir des méthodes de communications
adéquates. Au début du XXème siècle, une réelle révolution pour les télécommunications s’amorce : Celle
de l’électronique. Cette époque est caractérisée par l’invention des composants et circuits électroniques de
base et de bonne qualité qui ont poussé les télécommunications vers les réseaux informatique. Ces
évolutions ont donné naissance à d’autres technologies de communications telles que la radiomessagerie. Le
téléphone mobile et les réseaux de fibre optique et enfin Internet.

Cependant, l’ensemble de ces réseaux évolués utilise à la base un réseau très important pour acheminer les
données indépendamment du codage et de la nature des signaux : Le réseau téléphonique commuté ou RTC
(réseau d’abonnés) ainsi depuis la création de l’entreprise Tunisie Télécom, le nombre de demandes
d’abonnements téléphoniques ne cesse de sur-croitre, plusieurs cellules de production exercent un travail
convenable et spécifique pour accomplir une tache bien précise. Cela afin de satisfaire les exigences de sa
clientèle. Parmi ces cellules on distingue le centre de services clientèle reconnu par l’abréviation CSC. Il
s’agit donc d’un stage ouvrier dont le but est de découvrir en premier lieu le mécanisme général du
fonctionnement des entreprises, puis de s’approcher du monde de travail, de contacter en proximité les
ouvriers pendant leurs taches journalières et de voir les sections de base et les fonctions essentielles de cette
entreprise.

Le but de ce stage d’ouvrier consiste en l’acquisition d’un maximum de connaissances générales portant sur
les outils des travaux, la stratégie à appliquer, les notions ou les termes de base( le langage entre personnels)
et enfin l’esprit d’équipe. Le choix s’est mis sur TUNISIE TELECOM DE KEBILI dont le service est de
faciliter et d’assurer pour ces clients ou abonnés leurs télécommunications sous ses différents formes
(ADSL, téléphoniques, fax, etc.,…).

Chapitre Ⅰ : Présentation de l’organisme d’accueil

4
Mon stage s’est déroulé dans la société TUNISIE TELECOM DE KEBELI, dans ce chapitre je vais Vous
présentez cette entreprise ainsi l’organigramme et les différentes infrastructures informatiques.

1) PRESENTATION GENERALE :
Tunisie Télécom est l’opérateur public des télécommunications en Tunisie responsable de l’exploitation du
réseau public et la fourniture des services en téléphonie fixe et mobile ainsi que les services à valeur ajoutée
tels que services Internet.

Tunisie Télécom est une entreprise semi étatique à caractère industriel et commercial crée selon la loi N°36
du 17 avril 1995 et mise en place le 1er janvier 1996, Elle employé plus de 8000 agents. Elle se compose de
24 directions régionales de 80 Actels et points de vente privée.

En outre elle compte dans ses rangs plus de 12 millions abonnés dans la téléphone fixe et mobile, en
Tunisie et à l’étranger. Ainsi elle joue un rôle important dans l’amélioration du taux de la pénétration de
l’internet en Tunisie ce qui lui permet d’atteindre 6.3 millions d’abonnés à la fin du mois septembre 2015 ,
En effet pour s’approcher de ses clients , elle a essayé d’etre implantée sur tout le territoire national par la
création de 24 directions régionales dont un est la direction régionale de Jendouba qui a été créé en
décembre 1996.

Les buts principaux de Tunisie télécom sont :

 L’installation, l’exploitation et la maintenance des réseaux publics de télécommunications.

 Développement des services de l’offre au niveau régional.
 Amélioration de la qualité des services.
 Etudes des besoins des clients.
 La participation à l’effort national d’enseignement supérieur en matière de télécommunications.

2) ORGANIGRAMME DRT KEBILI :

Direction
régionale Kébili
5
 Services des affaires Centre
Ressources
administratif et S.Commercial D.Réseaux et service
humaines
financière SI clientèle

Qualité
S.Déploiemenet S.Planification Régional opération Informatique réseaux
centre mobile

U.Transmission
U.CEES U.Programmation
IP

Equipe Energie
Equipe environnements
Commutation Et sécurité

Figure 1: Organigramme de la direction régionale.

J’ai passé mon stage au sein de l’unité CEES Corre, énergie, environnement et sécurité, Qui a pour rôle
l’explantation et la maintenance des équipements de commutation (OCB, MSAN, Switchers…) ainsi que
les équipements d’énergie, d’environnements et sécurité (PT, GE, redresseurs, batteries...).

3) STRATEGIE DE TUNISIE TELECOM :

Dans le contexte du marché des télécommunications en développement, soutenu par des conditions
démographiques favorables au tour du bassin méditerranéen, TT maintien des positions fortes dans le
marché (mobile, fixe, Internet et Données).De plus, elle conserve sa positions de fournisseur
d’infrastructure de télécommunications en Tunisie. A la suite de l’ouverture du mobile à

6
la concurrence, Tunisie Telecom a su préserver ses positions sur le marché, en s’appuyant notamment
sur :

 Le développement d’une plateforme de réseau moderne et standards, s’appuyant sur une infrastructure
NGN, et offrant la couverture mobile de pays (99 % pour le GSM et 82 % pour le réseau EDGE, et à
2011 une couverture 3G).
 Une stratégie d’approche commerciale adaptée aux attentes des clients.
 Un réseau de distribution dynamique accepte la transformation.
 Une marque autoritaire, récemment redynamisée.

La stratégie de TT s’articule autour des principales orientations suivantes :

 Favoriser la croissance du marché GSM par une stratégie commerciale visant à stimuler
les nouveaux usages et existants des services mobiles.
 Dynamiser l’utilisation du fixe et participer au développement du secteur des services client aux
entreprises.
 Capitaliser ses marques et s’engage de fournie de service de qualité aux clients en Tunisie.
 S’investir dans le cœur du réseau et renforcer l’accès au haut débit fixe et mobile.
 Devenir un pont de passage pour les services internationaux.
 Aligner le plan salarial de la Société a la prérogative du marché.
 Améliorer la création des valeurs pour ses actionnaires, à travers une croissance de chiffre d’affaires
et un contrôle des couts.

4) INVESTISSEMENTS DANS LES RESEAUX :

Depuis sa création, Tunisie Telecom a investi dans la mise en place d’infrastructures de

télécommunications aussi bien dans les réseaux que dans les backbones, TT a recherchés d’alignement de
ses actions réseaux par rapport à sa stratégie commerciale. Et ce, pour fournir une nouvelle gamme de
services à ses clients et concurrencer les autres opérateurs. Au titre de l’exercice 2009, Tunisie
Telecom a investi 170,1 millions TND pour développer et améliorer ses infrastructures, notamment pour
introduire de nouvelle technologie. Au cours de cette année, TT a lancé plusieurs projets de modernisations,
d’extension et de création notamment la mise en place du réseau NGN(IPMSAN).

7
 Chapitre Ⅱ : Généralité domaine télécommunication

1) HISTORIQUE ET EVOLUTION DES TELECOMMUNICATIONS

Télégraphe

Le télégraphe est l'ancêtre des transmissions de données et la première application des télécommunications.
Le télégraphe est un système destiné à transmettre des messages, appelés télégrammes, d'un point à un autre
sur de grandes distances, à l'aide de codes par signaux optiques (le télégraphe aérien), puis sur une ligne (le
télégraphe électrique) puis par ondes radio (le télégraphe sans fil).

Télégraphe aérien

Le télégraphe aérien est un système, appelé aussi télégraphe de Chappe, ou télégraphe à bras, constitué de
deux bras articulés et visible de loin à l'aide d'une lunette. Chaque disposition des bras représente une lettre
de l'alphabet ou un numéro du message à transmettre. La modification de ces dispositions se fait par un
manipulateur via un système de poulies.

Le manipulateur surveille au travers de deux lunettes situées de façon opposée le manipulateur précédent et
le suivant. Ainsi, il observe les signaux émis par le manipulateur précédent et les retransmet au suivant.

Télégraphe électrique

Le télégraphe électrique a été mis au point par le physicien américain Samuel Morse. Il utilise un code
télégraphique où les lettres de l'alphabet et les numéros sont représentés par des ensembles de points et de
traits, séparés par des espaces, correspondant à la durée pendant laquelle le contacteur est maintenu fermé, 1
et 3 secondes pour le point et le tiret respectivement. Ce système de télécommunication va
rapidement s'imposer dans le monde entier.

Télégraphe sans fil

La télégraphie sans fil permet d'écrire à distance en utilisant des ondes électromagnétiques. Pour transmettre,
la télégraphie sans fil utilise l'alphabet Morse, dans lequel les lettres sont représentées par des combinaisons
de signaux longs ou traits et de signaux courts ou points.

Téléphonie

Le transport de la voix par la téléphonie, fut la première avancée des télécommunications, juste après les
premiers télégraphes. Le téléphone est l'appareil qui sert à tenir une conversation bidirectionnelle avec une
personne lointaine. Il est utilisé à titre privé, pour garder le contact avec ses proches ou à titre professionnel,
pour échanger des informations orales sans avoir à se rencontrer physiquement.

Radiotéléphonie, c’est-à-dire la communication à distance sans fil.

Services offerts par les télécommunications

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  Son : Téléphone, Interphone, Messagerie vocale, Recherche de personnes, Conférence téléphonique,
Informations téléphoniques (horloge parlante, météo), Radiodiffusion, Téléphonie mobile.
 Textes : Télex, télétex, Courrier électronique (EDI, messagerie etc.), Documentation électronique,
Vidéotex, Télécopie.
 Images : Transfert d'images fixes, Télévision, Visiophonie, Visioconférence, Vidéocommunication
sur réseau câblé.
 Téléinformatique : Télémesure, Transport de données, Télésurveillance, Télécommande, Paging.

2) SUPPORTS DE TRANSMISSION

Les supports de transmission sont nombreux. Parmi ceux-ci, on distingue : les supports matériels (les
supports métalliques et non-métalliques) et immatériels. Les supports matériels, comme les paires torsadées
et les câbles coaxiaux, sont les plus anciens et les plus largement utilisés; ils transportent des courants
électriques. Les supports de verre ou de plastique, comme les fibres optiques, transmettent la lumière, et les
guides d'onde propagent des ondes électromagnétiques, tandis que les supports immatériels pour des
communications sans fil propagent des ondes électromagnétiques dans l'air et sont en plein essor.

Fibres optiques
Une fibre optique est un fil en verre ou en plastique très fin (figure) qui a la propriété de conduire la lumière
et sert dans les transmissions terrestres et océaniques de données. Elle offre un débit d'informations
nettement supérieur à celui des câbles coaxiaux et supporte un réseau "large bande".

Figure 2 : exemple Fibre optique.

Les avantages de la fibre optique sont nombreux : diamètre extérieur de l’ordre de 0,1 mm, poids de
quelques grammes au kilomètre. Cette réduction de taille et de poids la rend facile à utiliser. En outre, sa très
grande capacité permet la transmission simultanée de nombreux canaux de télévision, de téléphone… .

Ainsi, Comme nous l'avons amplement expliqué, la lumière qui voyage dans la fibre se propage à près de
300 000 km/s, ce qui crée une vitesse de transmission relativement instantanée.

La seule restriction sur la vitesse se trouvant à être la dispersion, la rapidité des fibres reste incontestable
plus grande que celle des fils de cuivre.

Enfin, l’insensibilité des fibres aux parasites électromagnétiques est un avantage très apprécié, puisqu’une
fibre supporte sans difficulté la proximité d’émetteurs radioélectriques. On peut l’utiliser dans des
9
environnements perturbés Par ailleurs, elle résiste bien aux écarts de température. La fibre optique constitue
la plupart des artères des réseaux de télécommunications et des réseaux locaux à très haut débit.

3) SERVICE FIXE :

En débit de l’importance de la demande qui enregistre les nouveaux services des télécommunications. La
demande exprimée pour la téléphonie fixe ne cesse de s’accroître, ceci est illustré par l’importance du
volume des demandes enregistrées quotidiennement au niveau des agences commerciales des
télécommunications.
 Abonnement ou ligne simple:
Il est basé sur le système de facturation ou une facture de consommation est établie ou employée
trimestriellement à l’abonné pour le règlement du montant correspondant à la somme de la consommation
locale, interurbaine et internationale plus les redevances trimestrielles d’entretien ainsi que les impôts.
 Ligne Prépayé:
C’est une ligne téléphonique dotée d’un crédit de communication qui permet à son utilisateur de fixer à
l’avance le seuil de sa consommation téléphonique.
Une fois le crédit épuisé, l’utilisateur continue à recevoir des appels pendant un mois, mais ne peut plus
appeler jusqu’à ce qu’il fasse la recharge de sa carte dans un délai de un mois.
L’utilisateur peut toutefois maîtriser son budget téléphonique et la consultation gratuite de son solde.

4) SERVICE MOBILE :

L'industrie de la télécommunication mobile a commencé depuis le début des années 1970. Cette industrie a
assisté à une croissance explosive.
Passant de l’ère de l’analogique « 1G » à l’ère du numérique « 2G », la demande croissante de cette
technologie a permis l’évolution vers d’autre générations qui peuvent permettre de surfer aussi sur internet
avec un débit confortable « 3G » et « 4G ».
Dans ce chapitre nous allons décrire ces générations de réseaux mobiles.

a) Réseau 1G :

Apparue dans les années 70, la 1G, qui est la première génération de réseaux mobiles est uniquement
dédiée aux appels vocaux. Elle repose sur une technologie dite « analogique ».Ceci à la différence des
générations suivantes de téléphonie mobile (2G, 3G, 4G) qui elles, exploitent la technologie « numérique ».

De nombreux standards du réseau 1G ont eu cours à travers le monde depuis son apparition en 1976, parmi
lesquels :

 La norme AMPS (Advanced mobile phone system) utilisée aux États-Unis (à partir de 1976), en
Russie, en Australie et dans plusieurs pays asiatiques.
 La norme NMT (Nordic Mobile téléphone), exploitée au début des années 80 dans les pays
nordiques et dans de nombreux pays européens, en Russie, au Moyen-Orient et en Asie.

 La norme TACS (Total access communication system), qui la version européenne de la technologie
AMPS, largement utilisée au Royaume-Uni, à Hong-Kong et au Japon.
 Les normes TZ-801, TZ-802, TZ-803 et JTACS (Japan Total Access Communications System)
utilisées au Japon à partir de 1979.
 La norme Radiocom 2000 déployée en France par France Telecom à partir de 1986, ainsi que la
NMT-F (Nordic Mobile Téléphone « Français ») lancée en 1988.

10
La 1G présente toutefois de nombreux défauts : service de communication mobile médiocre, non sécuritaire
(appels non cryptés) et coûteux. Le réseau 1G a commencé à céder la place à la 2G dans de nombreux pays
vers la fin des années 80. Il est désormais obsolète.

b) Réseau 2G :

Déployée dans l’Hexagone dans les années 1990, la 2G (deuxième génération de réseaux mobiles) est le
tout premier réseau de téléphonie mobile à utiliser une technologie numérique, plus fiable (grâce à un
cryptage des données transmises) et plus performante que la 1G.
Dotée d’un débit de transmission de 9,6 kbps maximum (GSM), la 2G permet de :

 Passer des appels vocaux.

 Envoyer des SMS (Short Message Service), voire des MMS (MultiMedia Message Service).Par
rapport à la 1G, la 2G a l’avantage d’être moins coûteuse pour l’utilisateur. Ce réseau, qui couvre
aujourd’hui plus de 99 % du territoire français, exploite essentiellement les standards :
 GSM (Global System for Mobile Communication), norme apparue et très utilisée aux États-Unis
(bande de fréquence 850 MHz et 1900 MHz). C’est le système le plus répandu en Europe (bandes de
fréquences 900 MHz et 1800 MHz) et aussi en Afrique. Son débit maximal est de 9,6 kbps.
 CDMA (Code Division Multiple Access), aussi appelé CDMAOne ou IS-95, lancé à Hong-Kong en
1994 et utilisé surtout aux États-Unis et en Asie. Notons que l’évolution du CDMA,
dénommée CDMA2000, est reconnue par l’UIT (Union Internationale des Télécommunications)
comme étant de troisième génération (3G).
 TDMA (Time Division Multiple Access), principalement utilisé en Amérique du Nord, en Nouvelle-
Zélande et en Asie-Pacifique. Avant l’arrivée de la 3G, la 2G évolue d’abord vers des réseaux
intermédiaires :
 Le réseau GPRS (General Packet Radio Service), aussi appelé 2,5G ou 2G+, améliore notablement
le débit maximal de transfert de données (171,2 Kbit/s, avec un débit moyen de 48 Kbit/s) par
rapport à la 2G. Permettant le transfert de datas de volume modéré, le GPRS est le précurseur sur
l’internet mobile. Notons que tous les téléphones portables sont aujourd’hui au moins compatibles au
réseau 2,5G.
 Le réseau EDGE (Enhanced Data Rate for GSM Evolution), aussi appelé 2,75G, offre un débit
maximal de 384 Kbit/s, et un débit moyen de 100 Kbit/s, ouvrant ainsi la porte aux applications
multimédias. Certains opérateurs comme Orange et Bouygues Telecom ont déployé EDGE afin de
faciliter la transition entre 2G et 3G. 

Les standards GPRS (sigle « G » dans le coin supérieur de l’écran du téléphone) et EDGE (E) constituent

de ce fait une évolution du GSM. Ils permettent un accès à l’internet et à une consultation de mails à partir
d’un téléphone mobile ou d’un micro-ordinateur.

11
 Figure 2 : Réseau 2G.

c) Réseau 3G :

La 3G (troisième génération de réseaux mobiles), qui en Europe utilise la norme UMTS (Universal Mobile
Telecommunications System), offre un accès à l’Internet haut débit, entre 144 kbit/s et 2 Mbit/s, avec
un débit moyen de quelques centaines de Kbit/s. Ce qui vous permet notamment de :

 Télécharger plus rapidement des données, des applications ou bien des jeux.

 Envoyer des vidéos.

 Regarder des vidéos en streaming sur You Tube, Dailymotion, etc.

 Faire de la visio-conférence.

 Accéder à la TV mobile.

 Bénéficier du GPS.

En France, le réseau 3G fonctionne sur les bandes de fréquences 900 MHz et 2100 MHz.

Notons que la 3G a connu trois évolutions successives avec :

12
  La 3G+ aussi appelée « H » pour HSPA (High Speed Packet Access), avec un débit compris entre
300 kbit/s et 14,4 Mbit/s, pour une moyenne de 3,6 Mbit/s. Bref, la 3G+ est 7 fois plus rapide que la
3G.

 Le H+ (ou HSPA+), avec un débit moyen de 5 Mbit/s, pour un débit théorique maximal de 21
Mbit/s.

 Le H+ Dual Carrier (ou
DC- HSPA+), doté d’un
débit moyen de 10
Mbit/s, et un débit plafond
de 42 Mbit/s.

Bref, la 3G et ses évolutions ont permis de démocratiser complètement l’utilisation de l’Internet mobile.

Figure 3 : Réseau 3G.

d) Réseau 4G :

Déployée en Tunisie en 2013, la 4G (quatrième génération de réseaux mobiles) donne aux utilisateurs
l’opportunité d’accéder à l’Internet très haut débit. Elle permet, entre autres, de :

 Transférer rapidement des fichiers volumineux (photos, musiques, vidéos, etc.).

 Visionner des vidéos en HD.

 Faire des appels vidéo de meilleure qualité.

La 4G est basée sur la norme LTE (Long Term Evolution) dont le débit théorique atteint les 150 Mbit/s.

Les bandes de fréquences utilisées par les 4 opérateurs (Bouygues Telecom, Orange, Free Mobile et SFR) en
France métropolitaine pour la 4G sont les suivantes :

13
  700 MHz (bande 28 ou B28).

 800 MHz (bande 20 ou B20).

 1,8 GHz (bande 3 ou B3).

 2,1 GHz (bande 1 ou B1).

 2,6 GHz (bande 7 ou B7).

D’après l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes), avec la 4G,
« l’utilisateur dispose ainsi d’une connexion environ 3 fois plus rapide qu’en 3G (résultat constaté sur les
débits médians) ».

Notons que l’Hexagone commence à déployer une évolution de la 4G+, une évolution de la 4G basée sur la
norme LTE-Advanced (Long Term Evolution Advanced). La 4G LTE-Advanced offre un débit maximal
théorique de l’ordre de 1 Gbit/s.

Figure 4 : l’évolution de réseau.

14
 Chapitre Ⅲ : Généralité de l’Equipement Energie
environnements Et sécurité

1) ATELIER D’ENERGIE :

L’atelier d’énergie comporte le poste de transformation assurant l’alimentation STEG 3X220V à une
fréquence de 50Hz. Ce poste de transformation est un redresseur 500A pour 48Volts et un groupe
électrogène fonctionnant au gasoil ainsi qu’un onduleur 10KVA en cas de coupure d’alimentation STEG.
L’énergie électrique est une énergie disponible sous forme de courant d’électrons (électricité). Cette énergie
est utilisée directement pour produire de la lumière ou de la chaleur.
Elle peut être convertie en énergie mécanique en alimentant un moteur électrique ou être également utilisée
pour produire certaines réactions chimiques. L’unité de mesure de l’énergie électrique est le Watt/heure
(symbole Wh) qui représente l’énergie consommée par un appareil de puissance 1 watt fonctionnant pendant
1 heure. (1Wh=3600 J).

1-1 PRESENTATION 

L’énergie électrique est une énergie disponible sous forme de courant d’électrons. Cette énergie est utilisée
directement pour produire de la lumière ou de la chaleur.

L’énergie électrique nécessaire au centre de télécommunication est assurée d’une seule source c’est STEG
que fournie une haute puissance (30Kva) et une tension alternatif. Par contre l’équipement téléphonique
fonctionne en basse tension de type continue ; l’installation d’énergie doit être compose de trois partie
principaux :

Le premier c’est la partie alimentation permanente (groupe électrogène et réseau du STEG) ; La partie
secondaire est celle qui réalise la conversion alternatif/continu(le redresseur) ainsi que les batteries
d’accumulation avec un onduleur, la partie tertiaire que représente les moyens de protection. Toutes ces
parties assurent ensemble le bon fonctionnement et la permanence de l’alimentation. L’énergie désigne tout
ce qui permet d’effectuer un travail, fabriqué de la chaleur, de la lumière, de produire un mouvement. Cette
énergie une grandeur physique qui caractérise l’état d’un système et l’unité internationale en Joule(J) mais :

 En électricité en utilise aussi loi wattheure (Wh).

 Les économistes en utilisent plutôt la tonne d’équivalent pétrole (tep) avec 1tep=42GJ.

15
 Les médecines nutritionnistes en utilise la calorie (cal) avec 1cal=4,16J.

L’énergie c’est une partie nécessaire dans la société Tunisie Telecom (80%).

Forme d’énergie

De nombreuses formes d’énergie existent dans la nature. En voici un aperçu.

L’énergie cinétique correspond au mouvement.

Par exemple, les fleuves ou le vent contiennent plus ou moins d’énergie cinétique selon la force de leur
mouvement.

L’énergie mécanique est associée aux objets et outils.

Le moulin actionné par l’énergie cinétique du vent effectue un travail (par exemple: moudre le gain) grâce à
l’énergie mécanique qu’il crée. Le wagon au sommet d’une montagne russe stocke une énergie potentielle
qui se manifeste lorsqu’il entre en mouvement et commence sa descente.

L’énergie thermique, c’est la chaleur.

Les molécules et les atomes s’agitent et nous ressentons la chaleur. Lorsqu’elle forme de la vapeur, l’eau
bouillante crée une pression qui permettait, à l’époque, d’actionner les locomotives (énergie mécanique).
Actuellement, elle peut aussi actionner les turbines des centrales thermiques pour produire de l’électricité.
L’énergie thermique de cœur de la terre est utilisée pour la géothermie.

L’énergie chimique : contenue dans certaines matières, est générée par une transformation.
La combustion des énergies fossiles ou de la biomasse permet de convertir l’énergie chimique de ces
matières en chaleur, donc en énergie thermique.
Dans les piles, il s’agit de réactions électrochimiques: de petites particules appelées « électrons », qui
possèdent une charge électrique négative, circulent entre le pôle négatif et le pôle positif. Chacun de ces
pôles contient un métal. Ce métal peut soit « donner » des électrons (le zinc, par exemple), soit « recevoir »
des électrons (le cuivre, par exemple), ce qui provoque la circulation d’électrons d’un pôle à l’autre.
Le courant électrique n’est en effet rien d’autre qu’une circulation d’électrons.

L’énergie rayonnante : est l’énergie qui est transportée par rayonnement.

Sa manifestation principale est la lumière du Soleil .Une partie de cette énergie rayonnante est invisible : il
s’agit du rayonnement infrarouge. Grâce aux panneaux solaires, cette énergie peut être transformée en
électricité ou en chaleur.

L’énergie nucléaire : est stockée au cœur des atomes, dans l’infiniment petit.
Le noyau des atomes est composé de liaisons entre les particules(les protons et les neutrons). Les réactions
nucléaires transforment (désintègrent) ces noyaux, ce qui s’accompagne d’un fort dégagement de chaleur.
Les centrales nucléaires utilisent cette énergie thermique pour produire de l’électricité.

16
 Figure 5 : formes des énergies.

1-2 ORGANIGRAMME DE L’ATELIER D’ENERGIE

STEG(30KVA)

P.T(380V
)
DISJ
GENERAL
GROUPE
ELECTROGNE

TGBT

REDRESSEUR

ONDULEU
R

BATTERIE

17
 Figure 6 : Organigramme de l’atelier d’énergie.

a) Poste Transformateur :

Dans la Direction Régionale Tunisie Télécom Kebili, il y a 13 Postes Transformateurs dont 2 sont
classique et 11 sont Aériens. Un poste de transformation est constitué par un transformateur triphasé de
puissance apparente 250 KVA. Le transformateur est une machine électromagnétique statique qui
fonctionne en alternatif et fait modifier la tension et l’intensité dont le noyau est rôle de fer doux sur lequel
est placés deux enroulements. On distingue :

 Les transformateurs élévateurs de tension

Le rôle de ces transformateurs est d’élever la tension électrique à la sortie des centrales électrique. En effet,
le passage d’un courant électrique dans un câble occasionne des pertes d’énergie, une partie de l’énergie

électrique est dissipée en chaleur par effet joule. Afin de limiter ces pertes d’énergie, il nécessaires de
diminuer l’intensité du courant donc d’augmenter la tension aux bornes de la ligne.

 Les transformateurs abaisseurs de tension

Au abord des zones de consommation, la tension est progressivement abaissée jusqu’à obtenir des basses
tensions, c’est le rôle des transformateurs abaisseurs de tension.

La Liaison des transformateurs :

 Liaison HTA : La liaison HTA entre le transformateur et les cellules de protection sera réalisée en
câble sec unipolaire en cuivre 35 mm2 de section.
 liaison BT : La liaison BT entre le transformateur et le tableau générale BT sera réalisée en câble de
section adéquate pour les phases et pour le neutre.
 Circuit de terre : Il sera prévu deux circuits et deux prises de terres séparés :
- Circuit de terre de masse ou toutes les parties métalliques (Tableau, transformateur…) seront
raccordées aux circuits de terre de masse métallique.

Circuit de terre du neutre transformateur : pour chaque transformateur sera prévu un circuit et une prise de
terre qui seront identiques à ceux de masse métallique.

Les étapes minimales d’entretien sont comme suit :

 Transformateur
 Nettoyage et serrage des bornes des connexions MT et BT.
 Vérification et nettoyage des Bougies (remplacement des bougies défectueuses).
 Nettoyage de la cuve du transformateur, peinture si nécessaire.
 Vérification de la fixation du transformateur.
 Vérification du niveau d’huile (Adjonction d’huile s’il y a lieu), Prélèvement d’échantillon
d’huile pour analyse auprès de la STEG et envoie des résultats à la Direction Régionale concerné.
 Remplacement de d’huile jugée mauvaise suite analyse.
 Mesure de l’isolement du transformateur.

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  Vérification des équipements de sécurité : parafoudres et éclateurs (réparation ou remplacement
des équipements de sécurité reconnus défectueux).
 Vérification et mesure de la valeur des prises de terre masses, neutre et parafoudre.
Amélioration de la valeur de la valeur des prises de terre masses, neutre et parafoudre selon les
normes en vigueur (≤03Ω) (arrosage, sel, charbon).
 Armoire basse tension :
 Nettoyage et serrage des bornes des connexions.
 Vérification de la sensibilité et calibrage des disjoncteurs.
 Remplacement des disjoncteurs endommagés.
 Vérification de l’échauffement des câbles de connexion par camera thermographique et
remplacement si nécessaire.
 Vérification de la bonne marche des batteries de condensateurs.

b) Groupe électrogène(G.E)

Un groupe électrogène est un dispositif autonome capable de produire de l’électricité. La plupart des
groupes sont constitués d’un moteur thermique (d’entrainement) qui actionne un alternateur. A plusieurs
dizaines de tonnes.
La puissance d’un groupe électrogène s’exprime en VA, KVA (Kilo Volt Ampère) ou MVA (méga Volt
Ampère) selon leur puissance. Les unités les plus puissantes sont mues par des turbines à gaz ou de gros
moteurs Diesel.
L’utilisation d’un groupe électrogène permettant de secourir une installation en cas de manque
d’alimentation STEG.

Le groupe électrogène est constitué par : partie fixe, partie mobile et partie portative.
Le planning d’exécution des opérations d’entretien préventif des groupes électrogènes sera
exécuté une fois par ans et restera valable.

 Moteur
 Contrôle de l’état du moteur.
 Vérification et serrage se toutes les connexions du circuit de refroidissement (Durits, conduites, colliers
de serrage).
 Contrôle des courroies d’entrainement.
 Vidange et remplacement d’huile.
 Remplacement des filtres à d’huile.
 Vérification du bon fonctionnement du circuit de préchauffage.
 Remplacement du filtre à air.
 Remplacement du filtre Gasoil.
 Nettoyage du pré filtre Gasoil.
 Vidange du réservoir Gasoil et de citerne en cas de présence d’eau.
 Dépoussiérage et nettoyage général du moteur.
 Contrôle des cylindres blocs du moteur.

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 Contrôle de l’état de la fumée à la sortie de l’échappement.
 Contrôle de l’état de la charge batterie (alternateur de charge et chargeur de maintien).
 Remplacement des cosses batteries.
 Vérification et resserrage de toutes les fixations (sortie de l’échappement moteur, fixation du silencieux,
raccord).
 Contrôle de fuite d’huile et de carburant.
 Vérification de la bonne marche de l’indicateur niveau Gasoil et du bon fonctionnement de la pompe
de remplissage fuel.

 Alternateur
 Contrôle et serrage si nécessaire des connexions électrique.
 Dépoussiérage de l’alternateur.
 Contrôle des cylindres blocs de l’alternateur.
 Vérification de la tension de sortie en charge.

 Armoire de commande
 Vérification et serrage des connexions électrique.
 Dépoussiérage de l’intérieur et l’extérieur du coffret.
 Vérification du bon fonctionnement des organes de commande (relais, disjoncteurs, et…).
 Vérification du bon fonctionnement des organes de sécurité.
 Contrôle et vérification du bon fonctionnement sur les 4 positions (arrêt-essai-manuel-automatique).

 Capotage et insonorisation
 Nettoyage du capotage
 Elimination des traces de corrosion et retouches peinture.
 Graissage des charnières des portes et remplacement des charnières défectueuses.
 Lubrification des serrures.
 Remplacement des joints défectueux des portes.
 Vérification de l’étanchéité des portes.

 Prise de terre
 Nettoyage de regard de prises de terre.
 Serrage de toutes les connexions.
 Mesure de la valeur de terre.
 Peinture et retouches si nécessaires du couvercle et carte.

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 Figure 7 : Groupe électrogène industriel.

c) Tableau générale basse tension (T.G.B.T) 

Le tableau générale basse tension c’est l’interface de distribution qui permet de diffusé le courant alternatif
aux

redresseurs, aux climatiseurs de L.G.D, à l’éclairage et aux chauffages du centre technique.

Le T.G.B.T est composé d’un disjoncteur général pour protéger toute l’installation contre les surintensités
et les surtensions, de trois transformateurs d’intensité branchée sur les trois phases.
Ils assurent l’alimentation de :

 Trois transformateurs d’intensités branchent sur les trois phases, ils assurent l’alimentation de
trois ampèremètres.
 Quatre disjoncteurs de protection des différents départs.
 Disjoncteurs pour les redresseurs.

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  Disjoncteurs pour la climatisation.
 Disjoncteurs pour les redresseurs de L.G.D.
 Disjoncteurs pour le chauffage et l’éclairage.
 Trois ampèremètres A1, A2, A3 pour contrôler l’intensité sur chaque phase.
 Un Voltmètre V pour contrôler la tension entre phase et neutre.
 Trois lampes de signalisation informant de la tension au niveau du T.G.B.T.

 Une barre de terre pour relier les différents équipements à la terre.

 Un jeu de barre de cuivre facilitant la répartition des trois phases et le neutre sur tous les
disjoncteurs de départ.

Figure 8 : Tableau T.G.B.T.

d) Les redresseurs :

Les redresseurs sont des convertisseurs statiques contentant des composants électriques qui réalisent des
fonctions électriques de transformation, de redressement, de filtrage et de régulation. Le redresseur utilisé
dans l’atelier d’énergie est le module AD48v-25A qui sert à transformer la tension alternative du réseau en
une tension continue isolée, il peut être utilisé comme simple alimentation ou comme chargeur de batterie.

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 Figure 9 : exemple redresseur.

e) Onduleur

Un onduleur est dispositif d’électronique de puissance permettant de délivrer des tensions et des courants
alternatif à partir d’une source d’énergie électrique continue. C’est la fonction inverse d’un redresseur.
L’onduleur est un convertisseur de type alternatif/continue.

Figure 10: exemple onduleur.

f) Batterie d’accumulation :

Les batteries d’accumulation sont des éléments électrolytique destinées à emmagasiner de l’énergie
électrique et de la restituer en cas de besoin don elles peuvent passer de l’état charge à l’état décharge. Ces
batteries présentes la dernière solution pour la coupure de courant du réseau alternatif et de group
électrogène.

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 Figure 11 : exemple batterie d’accumulation.

g) Éléments de protection de commande :

 Fusible (coupe circuit) :

Dispositif composé d’un fil conducteur qui grâce à sa fusion ouvre le circuit lorsque le courant maximal
dépasse l’intensité supportée par ce fil.

Figure 12: différents type de fusible.

 Disjoncteur :
C’est un appareil à commande manuelle et automatique qui protège contre la surcharge et les courts
circuits.

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 Figure 13 : exemple Disjoncteur.

 Le contacteur :
Le contacteur est un appareil de commande capable d’établir ou d’interrompe le passage de l’énergie
électrique (c’est sa fonction).

Figure 14 : exemple contacteur.

 Le relais thermique :
Le relais thermique est un appareil de protection de protéger contre les surcharges (c’est sa
fonction).

Figure 15 : exemple de relais thermique.

2) ENVIRONNEMENTS

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 La climatisation est la technique qui consiste à modifier, contrôler et réguler les conditions climatiques
(température, humidité ;…etc.) d’un local pour la raisons de confort (automobile bureaux, maisons…) ou
pour de la raison technique (laboratoires médicaux.)

Un système de climatisation : une combinaison de toutes les composantes nécessaires pour assurer une
forme de traitement de l’air dans un bâtiment par laquelle la température est contrôlée ou peut être abaissée
évènement en conjugaison de l’aération, de l’humidité ou de la pureté de l’air.

Figure 16 : différents type de climatisation.

3) SECURITE :

Il existe 3 types de sécurité

 sécurité d’accès.
 Sécurité du central de l’intérieur.
 Sécurité de central de l’extérieur.

a) Contrôle d’accès :

Sécurise l’accès avec un système de contrôle d’accès de l’intérieur avec un système anti intrusion (système
d’alarme) et d’extérieur avec un système vidéo surveillance.

Le contrôle d’accès est une technique qui consiste à soumettre les entres ou les locaux a l’intérieur d’une
entreprise. Cette autorisation d’accès a pour but de protéger des personnes ; des biens des informations.

26
 Figure 17 : système des contrôles d’accès.

b) Système d’alarme :

Le système d’alarme anti intrusion ont pour objectif d’alerter au cas où des intrus pénétreraient dans le lieu
sécurise. Des capteurs (détecteur de mouvement ou détecteur d’ouverture… ..Etc.)

Figure 18 : Système d’alarme.

27
c) vidéo surveillance :

La vidéo surveillance permet de superviser l’ensemble d’un site 24/24.

Grace a l’enregistrement numérique local des images suite à une action programme que vous pouvez
visualiser.

Elle est utilisée aujourd’hui dans divers secteurs d’activités.

Figure 19 : principe de fonctionnement vidéo surveillance.

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 Chapitre Ⅳ : Equipements d’EES de TT Kebili :

1) ENERGIE :

L’atelier d’énergie d’un centre de télécommunication à pour rôle d’alimenter les systèmes de commutation
ou de transmission quel que soit l’état du réseau de distribution publique du courant électrique.
Cette permanence est assurée grâce à des batteries d’accumulateurs jouant le rôle de réservoir d’énergie.
Toutefois, afin de limiter l’importance de stockage d’énergie dans les centres importants les réseaux STEG
est secourue par un groupe électrogène. Les réseaux télécommunication de la région de Kebili peuvent être
classés en deux genres :

 Site Outdoor : (GSM et MSAN)

 24 centraux éparpillés sur tout le territoire du gouvernorat ou on a des condensations
d’équipements.

Le réseau TT Kebili est formé par : Des équipements fixe/Data, des équipements réseaux mobile et ceux de
transmission.

L’énergie électrique nécessaire aux différentes utilisations est assurée d’une source primaire c’est l’arrivée
STEG. Trois lignes d’arrivée STEG sont connectés ensemble au poste de transformations qui converti la
puissance reçue de 30KVA a 380V est ce pour alimenter le centre technique. La partie basse tension de
poste de transformation est reliée à un disjoncteur qui assure par la protection de l’installation après on
trouve l’interface de distribution qui est le tableau générale basse tension (T.G.B.T). Mais, la tension fournie
est alternatif, la majorité de centre de télécommunication fonctionne en continue. En effet, il faut utiliser un
redresseur qui transforme la tension alternatif en continue. En autre, en cas de coupure réseaux on a besoin
d’un moyen de secourt qui permet une alimentation sans interruption, c’est le groupe électrogène qui est
implanté juste après le disjoncteur ainsi que les batteries d’accumulation (48V) en série avec un onduleur
48V/220V qui sont implanté après le redresseur qui joue le rôle d’un chargeur des batteries.

Le réseau TT Kebili se comporte de :

 13 postes transformateurs : 2 classique et 11 aériens dont 10 triphasé et 3 monophasé équipe par

250 KVA maximum.
 14 groupes électrogènes : 13fixes et 1 mobile (cet autre thème d’étude de cas).
 6 onduleurs.

2) DISTRIBUTION D’ENERGIE:

L’énergie électrique nécessaire aux différentes utilisations est assurée d’une seule source c’est l’arrivée
STEG. Trois lignes d’arrivée STEG sont connectés ensemble au poste de transformations qui converti la
puissance reçue de 30KVA a 380V est ce pour alimenter le centre technique. La partie basse tension de
poste de transformation est reliée à un disjoncteur qui assure

par la protection de l’installation près on trouve l’interface de distribution qui est le tableau générale basse
tension (T.G.B.T).
29
Mais, la tension fournie est alternatif, par contre le centre de télécommunication, fonctionne en continue.
En effet, il faut utiliser un redresseur qui transforme la tension alternatif en une continue. En autre en cas
de coupure réseaux on a besoin d’un moyen de secourt qui permet une alimentation sans interruption c’est
le groupe électrogène qui est implanté juste après le disjoncteur ainsi que les batteries d’accumulation (48V)
en série avec un onduleur 48V/220V qui sont implanté après le redresseur qui joue le rôle d’un chargeur des
batteries.

La distribution d’énergie se représente suivant trois niveaux.

A. Niveau primaire

Comprenant la poste de transformation moyen tension (MT)/basse tension (BT), le groupe électrogène,
ainsi que le tableau de distribution basse tension constituent une interface distributionnelle, le centre est
généralement alimenté sous une tension triphasée de 30 KV (30.000V) (tension normalisée entre phase). La
haute tension délivrée par la STEG (10 k Volt) est abaissée par des transformateurs à une tension de 220/380
Volt. Pour des besoins en courant continu dans la téléphonie, des redresseurs sont utilisée, ce sont des
convertisseurs destinés à transformer, redresser et filtrer une tension alternative en une tension qui varie
entre 48Volt et 53.5Volt.

B. Niveau secondaire

Comprenant les redresseurs, les batteries d’accumulateurs et éventuellement les convertisseurs survolteurs.
Ces équipements forment une source centralisée qui délivre une tension continue de 48v ou 24v sans
coupure. La distribution s’effectue par l’intermédiaire d’armoires ou coffrets d’alimentation servants aussi
de ponts de coupures et de protection.

C. Niveau tertiaire

Regroupe les convertisseurs continus/continus (C/C), l’onduleur continus/alternatif (C/A) et éventuellement

des générateurs de courants spéciaux.

3) ENVIRONNEMENTS

Seule "Tunisie Télécom" et en particulier la Division O&M Energie et Environnement en collaboration

avec les Directions Régionales est qualifiée pour donner des instructions ou des ordres de service à
l'Entrepreneur. Ce dernier ne pourra en aucun cas se prévaloir d'instructions ou ordres donnés par des
personnes qui n'auraient pas été désignés par "Tunisie Télécom". Celui-ci ne sera engagé vis-à-vis de
l'Entrepreneur que par les ordres qui lui ont été confirmés par écrit.

Lorsque l'Entrepreneur estime que les prescriptions qui lui sont notifiées par l'ordre de service dépassent
les obligations du marché, il doit faire connaître ses observations par écrit dans un délai de trois jours à
partir de la date de notification de l'ordre sous peine de forclusion sans que ses observations puissent
suspendre l'exécution des travaux. Tunisie Télécom Kebili contient 116 Type de climatiseurs divisés en
27 armoires de précision & Unité coré, 61 S.S et 28 Monobloc out door GSM.

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 Figure 22 : Situation des Equipements d'Energie et d'Environnement

4) SECURITE

Les 24 centraux de TT Kébili sont équipé par :

 Système de détection d’Incendie, en effet, on dispose de 37 systèmes de détections et extinction

d’incendies dont sont 14 Manuels et 23 sont Automatiques.
 Des systèmes d’Alarme programmé à un horaire de sept heures du matin et sept heures de soir.
 La vidéo Surveillance à travers un nombre multiple à quatre de cameras (Selon la nécessité)
Supervisé toutes à la salle de supervision au complexe Kébili.
 Le contrôle d’accès de toutes les portes externes de centraux et le porte de la salle technique
comportant les équipements.

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 Figure 23 : vidéo surveillance.

Conclusion

Le stage est une occasion primordiale pour améliorer la formation des étudiants.

De ma part, j’ai eu l’occasion d’être parmi les agents de la Direction Régionale de Tunisie Télécom du
Kebili, ce qui m’a permis d’avoir une idée générale sur le plan d’exécution et le processus de travail de
l’agence. J’ai élaboré des connaissances sur le fonctionnement de certains services du la subdivision de
l’informatique et donnes. J’ai acquis aussi une idée pratique sur la communication interne de l’entreprise(les
relations interprofessionnelles), les relations qui la relient avec l’extérieur (la direction régionale).J’ai même
affecté convenablement certains tache, encadré certainement par les agents de la subdivision de
l’informatique et données.

Ce stage m’a offert une opportunité pour confronter mes connaissances théoriques avec la vie
professionnelle, d’enrichir mes savoirs et de pratiquer une grande partie de mes études théorique.

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