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Sommaire

INTRODUCTION..................................................................................................................................1
I. LA NEGRITUDE ET SES FONDATEURS..............................................................................1
1. La négritude....................................................................................................................................1
a. Les causes...................................................................................................................................1
a. La naissance de la négritude.......................................................................................................1
II. LES PRINCIPAUX FONDATEURS DE LA NEGRITUDE.........................................................1
1. Léopold Sedar Senghor..............................................................................................................1
2. Aimé Césaire..............................................................................................................................2
3. Léon Gontran Damas..................................................................................................................2
III. LA TYPOLOGIE DE LA NEGRITUDE...................................................................................2
1. La typologie religieuse...................................................................................................................2
2. Les réappropriations politiques.......................................................................................................3
3. Les reparutions polémiques............................................................................................................3
CONCLUSION......................................................................................................................................4
INTRODUCTION
Le terme négritude apparait pour la première fois en 1934 durant la
deuxième guerre mondiale dans le texte du martiniquais, Aimé Césaire
intitulé « Négrie » publié dans la revue l’Etudiant noir.

La négritude est un mouvement (concept) nègre. Penchant qui a poussé


l’intellectuel africain à agir dans le but de rendre la dignité aux noirs, après
des années de frustration psychologique. Ce mouvement se défini comme
un rassemblement littéraire, social et culturel qui lutte pour la
réhabilitation de l’homme noir a travers la dénonciation du système
colonial. La suite de notre exposé consistera à montrer la négritude : une
arme de combat ? et ses fonctions ainsi que sa typologie.

I. LA NEGRITUDE ET SES FONDATEURS


1. La négritude
a. Les causes

La négritude a été créée par des intellectuels noirs parce que le


monde noir était mal vu. Léopold Sedar Senghor, d’origine sénégalaise,
Léon Gontran Damas, guyanais et le martiniquais Aimé Césaire ont décidé
de créer le mouvement de la négritude dans le but de permettre la
reconnaissance de l’humanité de l’homme noir mais une renaissance
culturelle jusque là niée par l’homme blanc.

a. La naissance de la négritude

Il a été crée vers 1936 par le poète et homme politique français Aimé
Césaire (1913-2008) pour placer le côté de ressenti des personnes de
couleurs noire et pour s’approprier la nétrissure infligée par l’histoire.

II. LES PRINCIPAUX FONDATEURS DE LA NEGRITUDE


1. Léopold Sedar Senghor
Homme politique de premier plan, il fut le premier président de la
république du Sénégal. Poète majeur et fervent défenseur de la culture
Africaine, Léopold Sedar Senghor contribue avec Aimé Césaire au
mouvement de la « négritude ». A la croisée des civilisations de l’Afrique
et de l’occident, il a défendu dans sa vie comme dans ses écrits les valeurs
du métissage et de l’universel.

2. Aimé Césaire

Né le 26 juin 1913 à Basse pointe (Martinique) est un écrivain et homme


politique français, à la fois poète, dramaturge, essayiste et biographe.
Fondateur et représentant majeur de la négritude avec Léopold Sedar
Senghor et Léon Gontran Damas, anticolonialiste. Résolu, il mène en
parallèle une carrière politique en tant que député de la Martinique et maire
de fau de France durant 56 années consécutives décide de créer le
mouvement la négritude dans un but précis la valorisation de sa culture.

3. Léon Gontran Damas

Né le 28 mars 1912 à Cayenne, Léon Gontran Damas est un poète,


écrivain et homme politique. Aux cotés de Aimé Césaire et de Léopold
Sedar Senghor, il lutte activement contre l’assimilationisme et critique le
colonialisme. Léon Gontran Damas S4ENGAGE BRIEVEMNT EN
POLITIQUE ET EST D2PUT2 DE LA Guyane de 1948 à 1951. I l est
généralement moins connu du grand public que Aimé Césaire et Léopold
Sedar Senghor mais reste une figure intournable de la négritude.

III. LA TYPOLOGIE DE LA NEGRITUDE


1. La typologie religieuse
Il est admis que le religieux constitue une composante centrale des
processus de changement sociaux et politique affectant le continent
africain. Nombreux sont les auteurs, depuis le début des années 1990, à
savoir souligner la forte prégnance du religieux dans les sociétés africaines
contemporaines l’essor du religieux en Afrique a donné lieu à de
nombreuses interprétations critiquées judicieusement par ailleurs en
reconnaissant l’historicité de ses processus sans nier la dimension
utilitariste de ce recours religieux.

2. Les réappropriations politiques

Politique hors-champ contribution à une critique communiste de la


politique de Laurent Levy, Edition Kimé, 2012,416, P9. L e retour du
communisme en philosophie ces dernières années a laissé bien des
questions en suspens, et notamment celle du pouvoir et de la politique.
L’ouvrage de Laurent Lévy a le mérite de prendre à bras le corps ces
problèmes. Le sous titre l’indique : L’ouvrage ne sera pas une critique de
l’économie politique mais une critique de la politique elle-même. Ce qui
compte, d’un point de vue communiste, selon Laurent Levy, c’est de penser
la politique. «  Hors champ » c’est-à-dire de penser son abolition en tant
que cham séparé du reste de la vie sociale. Laurent Levy essaie de penser la
disparition de la forme partie qui ne signifie pas la disparition des parties
eux-mêmes et encore moins celle des organisations.

3. Les reparutions polémiques

Dans la vie publique comme dans l’existence quotidienne, les


confortations verbales sont nombreuses et les appellations pour les
désigner diversement. On parle à leur propos de débat, discussion, dispute,
querelle, altercation controversée et bien sûre, polémique pour ne citer que
les plus courants. Quelle est donc la spécificité de la problématique dans
cet ensemble ? Pour tenter de comprendre ce qu’est la polémique dans sa
spécificité, on peut puiser en gros trois genres de sources. Les
dictionnaires, le Discours courants et les conceptualisations.

CONCLUSION
Si elle bien évidement, des souffrances endurées pour les « nègres »
de la violence du colonialisme et plus largement de la domination blanche.
L a négritude se veut l’antithèse de tous discours misérables parce qu’elle
est alors la possibilité d’une dignité recouvrée ; une fierté créative qui
succède à la honte anti-assimilationniste, opposé à tout ce qui « fait »
l’occident (son racisme, son « humanisme », (le capitalisme). Elle observe
vis-à-vis du marxisme une position faite tout à la fois d’attirance et de
défiance. La négritude le mot de passe de ceux qui ne veulent plus souffrir
d’être « nègre ». En 1962, l’écrivain Nigerian Wolé Sonyinka affirme que
« e tigre ne proclame pas sa tigritude, saute sur sa proie ». Ce refus de la
négritude, tout à la fois politique contre une unité mythique des noirs et
poétique. Dans les damnés de la terre (1961), Frantz Fanon marque sa
réticence demande qu’on se méfie « du rythme et de l’amitié terre-mère »et
qu’on accorde plus de place au combat politique.

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