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Marwa Fahmi Mohamed.

Activité n° 1 :Droit de la Consommation.

Montpellier Management

Travail Présente a Monsieur TAMNOU Jean-Marie

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1°) Il vous est, dans un premier temps, demandé de faire l’analyse de la décision ci-
après reproduite (Cass. com. 15 janvier 2008) en précisant :

- Quels sont les faits ?


- Quelle a été la procédure: qui est le demandeur et qui est le défendeur dans cette
procédure, quelles ont été les décisions antérieures ?
- Quelles sont les prétentions des parties (ce qu'elles souhaitent chacune obtenir) ?
- Quels sont leurs arguments (comment elles fondent leurs demandes) ?
- Quel est le problème juridique posé ?
- Quelle est la solution rendue ?

1). Cour de cassation, Chambre Commerciale, 15 Janvier 2008 Publie au bulletin.

Le mandant ‘société française de radiotéléphone’ a bien conclu un contrat partenaire le


16 janvier 1997 avec L’agence commercial Radio communication équipement
(mandataire) afin qu’elle prend en charge les taches liées a l’enregistrement de la
demande d’abonnement.

Le 16 janvier 2002 SRF a refuse le renouvellement du contrat cet empiétement sur


l’agence commercial la conduit à saisir la cour d’appel.

La cour d’appel de paris du 23 février 2006, Débouté la RFC de sa demande. Le


demandeur se pourvoit en cassation.

15 janvier 2008 la première chambre commercial de cour la cour de cassation rejette


le pourvoi. Qui signifie-t-elle va au même sens que la cour d’appel.

Le demandeur est la Radio communication équipement et Le défendeur la société


française de radiotéléphone.

La cour d’appel a confirme que le contrat la liant a la société SRF ne pouvait être qualifie
de convention d’agence commerciale.

Sur la base légale de l’article 134-1 du code de commerce la Société RCE invoque son
droit de conclusion de contrat.

les argumentes de demandeur « que le statut d’agent commercial s’applique au


mandataire qui est chargé de négocier, et éventuellement, de conclure des contrats de
vente, de location ou de prestations de service, au nom et pour le compte du mandant ;
qu’en déniant la qualité d’agent commercial à la société RCE parce que celle-ci ne

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disposerait pas du pouvoir de conclure les contrats d’abonnements téléphoniques au
nom et pour le compte de la société SFR »,

 « qu’est réputée non écrite, toute clause tendant à écarter le statut d’agent commercial
dès lors que l’activité principale du mandataire tend à développer une clientèle
commune ; qu’en refusant de requalifier la convention liant les sociétés RCE et SFR de
contrat d’agence commerciale au motif que l’exposante avait renoncé à bénéficier d’un
tel statut, bien que l’activité de la société RCE ait principalement consisté à diffuser les
abonnements téléphoniques proposés par son mandant et, partant, à créer une
clientèle commune, la cour d’appel a violé les articles L. 134-1 et L. 134-15 du code de
commerce ».

Dans cette décision nous ne disposons pas l’argument du défendeur.

Dans qu’elle condition Peut-on attribuer à un mandataire la statue d’agence


commerciale ?

La cour de cassation répond de manière affirmative et rejette ainsi le pourvoi. Que la


société RCE s’était engage par contrat à n’apporter aucune modification de quelque
nature que ce soit aux tarifs et conditions fixer par la Société SFR. Pour la souscription
des abonnements aux services. « Mais attendu que l’agent commercial est un
mandataire indépendant chargé de négocier et, éventuellement, de conclure des
contrats au nom et pour le compte de son mandant ».

2) Il vous est, dans un second temps, demandé d’apprécier personnellement la


solution de droit retenue par la Cour de cassation en développant par des arguments
votre position, quelle qu’elle soit.

2) La décision soumis à notre réflexion est un jugement rendu par la cour d’appel en
paris le 23 février 2006.

-La date d’arrêt 15 janvier 2008

La première chambre commerciale de la cour de cassation à été amène a ses prononce


sur le contrat de mandant. La société SFR à conclu un contrat avec l’agence commercial
RCE qui à le statut de mandataire. Le mandant à refuse le renouvellement de contrat, le
mandataire décida de saisir la cour d’appel.

La cour d’appel à confirme que le contrat la liant à la société ne pouvait être qualifie de
convention d’agence commercial. La partie insatisfait (mandataire) se pourvoi en

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cassation. RCE demande que le contrat de partenaire avec SFR soit qualifie de
convention d’agence commerciale. SFR refuse le renouvellement de contrat le paiement
de dommages intérêt, droit à une indemnité et la résiliation du contrat pour le compte
de RCE. La question juridique que la cour de cassation a rejette le pourvoi du défendeur.
La cour de cassation a rendu sa décision auprès de la décision de cour d’appel.

La solution que la cour de cassation à apport que RCE Elle ne bénéficiera pas d’une
indemnité compensatrice et la résiliation du contrat.

Le problème de droit que cette décision conduit une analyse contraire par rapport au
statut d’agent commercial qui est un mandataire d’intérêt commun.

Dans un première temps nous allons apprécie la solution de droit retenue par la Cour
de cassation et dans un seconde temps nous développerons par des arguments de
notre position,

Tout d’abord nous définissons les termes, l’agent commercial est un mandataire
d’intérêt commun (chambre commercial article L134-4) qui a titre de profession
indépendante, sans être lie par un contrat de louage de services est charge de façon
permanant, de négocier et éventuellement, de conclure des contrats de vente, d’achat,
de location ou de prestation de services, au nom et pour le compte de producteurs,
d’industriels, de commerçants ou d’autre agents commerciaux.

-Mandataire : est, par définition, une personne physique ou morale (association,


entreprise, société…) agissant au nom d'une autre personne auprès de tiers.

-Négocier : est un processus de communication et d'échanges entre au moins deux


parties dont l'objet concerne l'organisation d'une relation ou le règlement d'une
problématique entre celles-ci.  

-Mandant : est un acte par lequel une personne donne à une autre le pouvoir de faire
quelque chose pour le mandant et en son nom.

La cour de cassation elle à rejette le pourvoi du mandataire parce que selon la définition
{d’agent commercial} La société RCE na pas qualifier toutes les obligations édite par un
mandataire.

La qualité de mandataire est de négocier les conditions de vente des produits ou des
prestations de services du mandant.

L’activité de négociation de l’agent commercial visée par le statut doit donc s’entendre
comme la mission donnée a l’agent de négocier avec le client le principe même de la

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conclusion d’un contrat futur avec le mandant. Elle se concrétise par des actes matériels
de présentation des produits, d’informations données aux clients et se poursuit.

Durant la conclusion de contrat la société RCE, sont mission été d’enregistrer les
commandes d’abonnements téléphoniques pour le compte de la société SFR.
Normalement elle devrait négocier pour le compte de la société SFR.  « Mais La seule
«négociation» alléguée par la société RCE n’avait pas été menée au nom et pour le
compte de la société SFR, mais pour son propre compte dans la mesure où elle
revendait, en l’espèce, un matériel que lui avait vendu cette société ».

Malgré, que la société RCE elle est requalifié de négocier pour le compte de SFR. Mais
aussi Le statut d’agent commercial doit s’appliquer dès lors que l’activité du mandataire
permet la création et le développement d’une clientèle qui est commune à son
mandant.

La société RCE « ait principalement consisté à diffuser les abonnements téléphoniques


proposés par son mandant et, partant, à créer une clientèle commune. Qu’en l’état de
ces constatations et appréciations qui caractérisent l’intérêt commun du mandant et du
mandataire » ‘L’intérêt d’un essor de l’entreprise par la création et le développement
d’une clientèle commune’.

A priori, aucun argument juridique contre la solution.

La cour de cassation rejette le pourvoi de la RCE en c’est qui concerne le renouvèlement


de contrat. Cet arrêt n’est crée pas un revirement de jurisprudence. le juge a fait
similaire du règles de droit.

La loi du 25 juin 1991 reformant le statut que « Les contrats intervenus entre les agents
commerciaux et leurs mandants étaient conclus dans l’intérêt commun des partie »
L’intérêt principal de l’application de cette théorie aux contrats de diffusion réside, pour
le diffuseur mandataire d’intérêt commun, en la reconnaissance du droit indemnité
compensatrice du préjudice subi dans certain hypothèses de résiliation du contrat ».

Mais, le statut des agents commerciaux a été reforme le 18 décembre 1986 «l’agent


commercial est un mandataire d’intérêt commun (chambre commercial article L134-4)
qui a titre de profession indépendante, sans être lie par un contrat de louage de services
est charge de façon permanant, de négocier et éventuellement, de conclure des
contrats de vente, d’achat, de location ou de prestation de services, au nom et pour le
compte de producteurs, d’industriels, de commerçants ou d’autre agents
commerciaux » et que Le mandat d’intérêt commun a durée indéterminée et seulement
a durée indéterminée(L 134-2 conjugues), normalement le contrat qui liant les deux

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sociétés est un contrat de durée déterminer « le contrat passé pour deux ans ». C’est la
raison auquel la Société RCE elle n’a pas été qualifie au versement d’une indemnité ou
même la résiliation de contrat

La chambre commerciale de la cour de cassation elle adoptait une analyse contraire :


dans un litige ou un RCE revendiquait la qualité d’agent commercial. La cour a approuve
les juges du fond de l’avoir déboute de cette demande faute pour ce dernier de se livrer
a une activité de négociation pour le compte de SFR aux motifs que « le distributeurs
n’apport aucun modification de contrat de quelque nature que ce soit ».RCE n’a pas
respecte les règles de droit au lieux de négocier pour le compte de SFR elle a négocier
pour son propre compte et le contrat qui liant les deux sociétés n’est qu’un contrat de
durée détermine.

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