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Faut-il ou non décoloniser l'espace public ?

D’une façon générale, le chapitre de la colonisation pèse lourd dans l’histoire de chaque
ancien pays colonisateur. Plusieurs activités, soit pour la commémoration des victimes de cette
période, soit pour condamner le passé colonisateur d’un pays en adressant des excuses officielles
sont souvent organisées pour rappeler à la population qu’on ne peut pas jeter dans l’oubli cette
partie d’histoire d’un pays, mais qu’on reste responsables d’éviter de toute façon de permettre
à
encore une fois un parcours pareil -------dans l’avenir.
À ce propos de maintenir la société ancrée dans la réalité véridique de son passé, on se
toutes
trouve dans une polémique sur l’éthique sociale de maintenir sous nos yeux ------ tous les traces
s
colonialistes d’une manière presque glorificatrice à travers de monuments, statues, noms desx
rues/boulevards/quartiers. Nous sommes déjà témoins des rejets fermes contre l’affichage
c figurent
publique----- des représentants de l’époque coloniale, parmi les exemples ------- étant les États-Unis, le
ou
Royaume Uni, la Nouvelle-Zélande, la Belgique où les gens ont détruit --- or vandalisé des
monuments et des statues de ce genre.
D’un point de vue social, les statues, les monuments, etc. sont des objets désignant une
mémoire collective d’une nation qui contribuent à renforcer une identité de groupe. Pour ceux
qui sont passionnés, ils représentent aussi une forme d’art et tenant compte de cette perspective,
thème
leur destruction pourrait rendre ces endroits moins attractifs, mais ce n’est pas le --- cas de notre
sujet. La question qu’il faut se poser reste « Croyons-nous qu’ils soient aussi chargésd’une valeur
historique ? ». À mon avis, il est important de traiter ce sujet considérant la relation entre la
commémoration, l’identité nationale et le rôle social de l’histoire.
Les statues et les monuments ne sont que des objets de commémoration, des
constructions politiques autour d’une narration historique, mais en plus, ils représentent une
expression du pouvoir en place qui a décidé de les y installer. La plupart de ces
monuments/statues datent d’une époque où l’histoire appartenait aux grands hommes qui avaient
der
réussi à fondé une nation liée par une histoire commune, mais en écartant la mémoire
minoritaire. Ces repères historiques offrent un lien entre trois éléments : les événements ou les
personnes dont on se souvient, les constructions elles-mêmes et le présent qui montre --------- qu’est ce
qu’on pense en les regardant. Ils peuvent être perçus comme des livres d’histoire en rappelant
xd’une certaine période ou comme des expositions au musée. Si on les retire de l’espace publique, c
---
cela ne signifierait pas qu’on change quelquesx chosesx dans l’histoire, le passé restant
les normes
inchangeable même s’il rappelle des normes morales en désaccordsx avec celles ------- actuelles.
Néanmoins, le dilemme persiste à cause de la signification glorificatrice qu’un
monument/statue/nom de la x rue donne à une figure historique. Peut-être, faut-il attachéerun court
x
à
contexte historique --en chaque endroit où on trouve un monument de cette sorte pour transformer
c en
l’espace publique dans
----- un musée d’histoire nationale accessible à tous. Finalement, je n’arrive
pas à trouver la meilleure solution, mais en ce qui me concerne, la présence d’une statue qui fait
référence à une x chapitre d’histoire dont je ne suis pas fière ne me dérange pas à --- un tel point que
je ---------------------------
le veux être retirée. veux qu'elle soit retirée.

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