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des entreprises.
Michel Nakhla
Professeur
UFR EMI-GIPE-Département SESG
http://www.agroparistech.fr/UFR-GIPE- 2013‐2014
EMI.html
Demande prévisionnelle
Système de décision
JAT
Matières Pilotage et régulation Résultats
du flux physique
premières Produits finis
OF, capacités
1
L’évolution des systèmes de production
Pour approfondir :
L’essentiel du management industriel, Dunod 2009
Recherche opérationnelle : méthodes d’optimisation en gestion, Presses des mines, 2010
SCM
Sales & Operations Planning
S&OP
Logistique
aval
2
Fonctions Achat / Approvisionnemen
Usine
Fournisseurs
Usine Commandes
Acheter, se couvrir :
Le fonctionnement des Marchés dérivé
des matières premières
1. PRINCIPES DE BASE
Un produit dérivé est un actif financier dont la valeur dépend
du prix d’un autre actif que l’on appelle un sous-jacent :
MP, Indices boursiers, devises, taux…
On peut distinguer :
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1.1. Des marchés commerciaux au comptant ou à livraison
différée ou gré à gré
Le marché au comptant des matières premières
Toute MP se négocie sur un marché au comptant (spot market).
Les achats et les ventes font alors l’objet d’une livraison immédiate.
Ces marchés ont ensuite été souvent organisés dans le cadre des bourses
de commerce apparues en Europe au XIIIème siècle : Faciliter les
transactions, permettre des échanges sur de plus grandes quantités.
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Mais quelques inconvénients :
10
5
11
12
6
13
Ils n’ont pas pour objet l’achat ou la vente d’une production. Ils
organisent des transactions portant sur des actifs financiers dont le
« sous-jacent » est la MP.
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2. LES PRINCIPAUX MERCHES A TERME DES
COMMODITIES
• L’électricité
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• Prix instables
• 20 dernières années:
- Mutations économiques
- Hausse de la consommation des commodities dans les
pays émergents comme la Chine
- Hausse de la volatilité de l’offre et des prix
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Les principaux marchés à terme de commodities
Les principaux marchés à terme Les principaux produits côtés
dans le monde
Chicago Board of Trade – CBOT (1848) Commodités agricoles (maïs, soja, blé)
1) Les Produits stockables
Aussi métaux précieux (or et argent)
Chicago Mercantile Exchange – CME Plus grand marché de Futures aux USA
(1898) Produits d’origine animale
• Les produits agricoles (céréales, oléagineux tropicaux…)
•New York
LesMercantile
métaux Exchange
(précieux, non ferreux)
– NYMEX Plus grand marché de Futures sur« crude
•(1872)Les produits pétroliers et gaziers
oil (brut, sans
» (WTI), plomb,aluminium
gaz, cuivre, gaz naturel…)
et
métaux précieux.
Energy commodities: s’échangent Futures
2) Les produits non stockables et options sur cride oil, gaz naturel, fuel
domestic, propane, et sans plomb.
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Les risques liés aux commodities
• Risque de Prix
• Risque de Transport
- détérioration > risque ordinaire
> risque extraordinaire
- coût du transport
• Risque de Crédit
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S’approvisionner : Usines /fournisseurs
Politiques de Réapprovisionnement
Consiste à répondre à 3 questions :
- Quoi (quel produit) faut-il réapprovisionner ?
- Quand faut-il réapprovisionner ?
- Combien faut-il réapprovisionner ?
Autres questions :
Date ou quantité fixes
Quoi
Date ou quantité variables
Temps
On prévoit des livraisons à dates fixes (contrats annuels)
Avantages :
- simplicité de la gestion des stocks
Inconvénients :
- si la quantité de réapprovisionnement est mal calculée ou si la consommation n ’est pas régulière
> sur-stock
> rupture de stock
Gestion des stocks
M. Nakhla
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Réapprovisionnement à Date Fixe et Quantité Variable
(Méthode de recomplètement)
On définit pour chaque produit un niveau de stock optimum
A période Fixe > analyser l ’état du stock
> compléter
Stock
Temps
Méthodes appliquées à des produits :
- dont la consommation est régulière
- coûteux, périssables ou encombrants
Avantages :
- gestion des stocks simple
- immobilisation faible ou maîtrisée
Inconvénients :
- risque de rupture de stock
point de commande:
Pièces
Stock de sécurité (SS) et
Stock de cycle (SC)
en stock Stock maximum
possible
Délai d’appro
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Réapprovisionnement à Date Variable et Quantité Fixe
(Méthode du point de commande)
Définie le niveau de stock qui doit permettre de déclencher l ’ordre d ’achat (pour être livré
au bon moment)
Stock
Q
Point de commande
DL Temps
T
(Seuil de commande, seuil de réapprovisionnement)
Le point de commande = Q/T . DL
Q = Quantité en stock (nombre de pièces)
T = Temps de consommation de Q
DL = Délai de livraison
Stock de sécurité
Augmentation de la consommation
= Consommation de C ’
point de commande calculé avec une consommation C
Point de commande
C’
C
DL Temps
Stock de sécurité
T
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Augmentation du délai de livraison
Stock
Q
Point de commande
ΔDL
Temps
DL Stock de sécurité
T
Le stock de sécurité = Q/T. ΔDL
ΔDL est le dépassement prévisible du délai de livraison
Avantages :
- permet d ’éviter les ruptures de stocks
- adapté à une consommation partiellement irrégulière
Inconvénients :
- suivi permanent > coûts administratifs importants
- peut pousser à faire des stocks de sécurité
Valeur du DL
DL = délai fournisseur (temps annoncé pour la livraison après la réception de la commande
+ délai administratif (temps entre connaissance du stock et arrivée de la commande chez le fournisseur
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Réapprovisionnement à Date Variable et Quantité variable
Avantages :
- permet, éventuellement, de profiter de taux intéressant
Inconvénients :
- suivre les coûts du marché pour effectuer les achats les plus intéressants
- ne peut être utilisée que pour peu d ’articles
- risque de spéculation
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La seconde conception repose sur le fait que les stocks, qui représentent un
besoin de financement et donc une immobilisation de ressources, doivent être
réduits à zéro.
1. Taux de service
Compromis
2. Niveau de stock 3. Qualité des stocks
1. Taux de service
mesure la capacité de l'entreprise à assurer la vente et la livraison des produits
qui lui ont été commandés,,aux prix convenus, aux quantités convenues et dans
les délais convenus.
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2. Niveau de stock
Étant donné son influence sur le besoin de financement, il est important de surveiller
son évolution, non seulement au moment de la construction du bilan, mais tout au
long de l'année. Il faut l'apprécier en valeur absolue et en jours, mais aussi
le rapporter au CA et aux ventes prévisionnelles. Il est aussi nécessaire d'évaluer avec
précision l'ensemble des coûts engendrés par la détention d'un stock : son
financement propre d'abord, mais aussi le coût du stockage, de la manutention et
des assurances.
3. Qualité des stocks
Disposer d'un niveau de stocks raisonnable est une chose, disposer d'un stock
d'éléments ayant une réelle valeur sur le marché en est une autre.
Il est important d'évaluer en permanence l'utilité de son stock :
Est-il utilisable pour être consommé dans des productions ?
Est-il vendable en l'état ?
Répond-il à des besoins futurs ?
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Analyse ABC
100%
% cumulé des volume*
80%
478
531
160
213
266
319
372
425
584
637
107
690
743
100
796
849
902
955
54
1
Nombre de références
Fixe T, Q Recomplétement
T, S
36
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Les politiques de gestion de stock dans l’entreprise
Les politiques de gestion de stock visent à répondre aux deux grandes
questions :
2. Combien commander ?
La réponse à la question dépend également du type de gestion de stock
appliquée :
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Modélisation de deux politiques de gestion
des stocks :
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Ces variables de commandes déterminent en général trois variables
d’état du système :
Coût Financier
Relatif à l'immobilisation
Coût d'Achat financière associée
Coût unitaire article *
Quantité commandée
Coût physique
Coûts de stockage
Coût de Commande (locaux, personnel…)
Passation + Préparation +
Transport + Réception +
Traitement des factures Coût d'obsolescence
Lié aux risques d'obsolescence
quand le produit reste en stock
et vieillit
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Les coûts de possession
Ces coûts comprennent :
- les coûts de détention d’un article en stock durant une certaine période en
fonction des conditions financières d’acquisition et des éventuelles
conditions de reprise.
-les coûts de stockage qui sont les dépenses de logistique, de conservation
du stock.
• le cas du stock à rotation nulle : le stock résiduel est sans utilité pour
l’entreprise :
• le cas du stock à rotation non nulle : l’invendu peut être vendu à une
période ultérieure. C’est le cas, par exemple, des boîtes de conserves non
vendues une période qui le seront aux périodes suivantes.
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L’autre partie du coût de possession concerne les coûts de
stockage. Ces coûts de stockage, comprennent, en général des frais
fixes (coût de location d’entrepôts…) et des frais variables (le coût de
manutention...)
Rq :
La difficulté de disposer d’informations précises peut conduire à ne pas inclure le
coût de stockage dans le coût de possession. le coût de possession se réduit donc
au seul coût d’immobilisation du capital.
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►En cas de demande interne
Ce coût peut être très important dans une chaîne d’assemblage travaillant en
juste à temps.
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La gestion calendaire de stock en rotation nulle
Inversement, s’il y a des invendus d’une période et que le produit peut encore
être vendu à la période suivante (cas de la rotation non nulle), on commande la
différence entre le niveau S et le stock résiduel afin de ramener le stock initial à
son niveau voulu S.
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L’exemple du pâtissier
Cas de la rotation nulle pour une demande aléatoire modélisée par une variable
aléatoire discrète : la variable de Poisson.
Données et hypothèses :
- La demande suit une loi de probabilité discrète.
- Le coût de fabrication est de 25 l’unité et le prix de vente est de 60 l’unité.
- La demande quotidienne de ce gâteau, notée X, suit une loi de Poisson de
moyenne égale à 2,5 gâteaux par jour.
Rq : la moyenne d’une quantité entière (la variable aléatoire de Poisson ne prend
que des valeurs entières positives ou nulle) peut ne pas être entière. Si on vend
un jour sur deux 2 gâteaux et un jour sur deux 3 gâteaux, en moyenne on en
vend 2,5 par jour.
x P(X)=x Dans ce tableau x indique une valeur
0 0,0821 possible de la demande et P(X = x)
1 0,2052
indique la probabilité d’occurrence de
2 0,2565
cette valeur. Ainsi on a 8,21 %
3 0,2138
4 0,1336
de chances d’observer aucun client un
la distribution de 5 0,0668 jour donné. Les invendus de la journée
probabilité du 6 0,0278 sont donnés.
nombre X de clients 7 0,0099
par jour pour ce 8 0,0031
produit 9 0,0009
avec
Is(S), le stock moyen résiduel en fin de journée
Ir(S), nombre moyen de ruptures sur la journée.
IL, le nombre moyen de commandes par jour est fixé : il y a une seule mise en
route de fabrication chaque jour et donc IL = 1. On peut donc négliger le
dernier terme dans l’optimisation.
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Résolution numérique du problème
Calcul de Ir(S), le nombre moyen de ruptures.
Le tableau 1, donne explicitement le nombre de ruptures en fonction du
stock initial (S) et de la demande observée (x) : ce nombre de ruptures est la
partie positive de (x−S).
Calcul du nombre de ruptures (x‐S)+
x P(X=x) S=1 S=2 S=3 S=4 S=5 S=6
0 0,0821 0 0 0 0 0 0
1 0,2052 0 0 0 0 0 0
2 0,2565 1 0 0 0 0 0
3 0,2138 2 1 0 0 0 0
4 0,1336 3 2 1 0 0 0
5 0,0668 4 3 2 1 0 0
6 0,0278 5 4 3 2 1 0
7 0,0099 6 5 4 3 2 1
8 0,0031 7 6 5 4 3 2
Tableau 1 9 0,0009 8 7 6 5 4 3
Ir(S) 1,579 0,867 0,411 0,169 0,061 0,019
Calcul du stock résiduel (S‐x)+
x P(X=x) S=1 S=2 S=3 S=4 S=5 S=6
0 0,0821 1 2 3 4 5 6
1 0,2052 0 1 2 3 4 5
2 0,2565 0 0 1 2 3 4
3 0,2138 0 0 0 1 2 3
4 0,1336 0 0 0 0 1 2
5 0,0668 0 0 0 0 0 1
6 0,0278 0 0 0 0 0 0
7 0,0099 0 0 0 0 0 0
8 0,0031 0 0 0 0 0 0
9 0,0009 0 0 0 0 0 0
Tableau 2 Ip(S) 0,0821 0,3694 0,9132 1,6708 2,562 3,52
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Calcul du coût du
Calcul du coût moyen de possession du stock en appliquant la formule
suivante : C(S) = 35×Ir(S) + 25×Is(S)
stock
C(S 57, 39, 37, 47, 66, 88,
S 1 2 3 4 5 6
) 33 58 22 69 17 66
Le coût minimum est obtenu pour S* = 3.
L’étude de C(S +1)−C(S) passe par celle de Ir(S +1)−Ir(S). (on peut exprimer
cette variation de coût en fonction de la seule variation de rupture moyenne. On
va donc étudier Ir(S + 1) − Ir(S).
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Calcul de la rupture moyenne Ir(S = 4) associée au stock initial S = 4.
En général :
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Il est facile de montrer que ceci est vrai quelle que soit la forme la distribution
de probabilité discrète :
Le stock moyen sur lequel porte le coût de possession est le stock moyen
observé en fin de période qui correspond donc à l’invendu. On observera un
stock résiduel si la demande observée x est inférieure à S, le stock initial.
Son niveau moyen est calculé par l’espérance mathématique suivante :
Où ⎯X = la moyenne de la demande X.
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En partant de :
On a donc que :
C(S + 1) − C(S) = cs(S + 1 − ⎯X) + (cr + cs)Ir(S + 1) −cs(S − ⎯X) − (cr + cs)Ir(S)
ou encore S* optimal si :
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Application à l’exemple :
D’où :
S*= 3.
a. Types de stocks
> Matières premières
> Composants
> En-cours de fabrication
> Produits finis
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2. Les coûts des stocks
a. Coût d’acquisition
= Coût unitaire X nombre d’unités achetées
Coût unitaire a priori indépendant du nombre d’unités achetées
Mais possibilités de variation du coût unitaire :
==> Marché : fluctuation selon offre et demande
d. Coût de rupture
. Perte de marge
. Pénalités de retard
. Perte d’image
. Coût d’approvisionnement d’urgence
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3. Le modèle de base
Questions :
Quand réapprovisionner ?
Quelles quantités commander ?
Q/2
stock moyen
a. Le modèle de Wilson
Notations
Q : Quantité à lancer
T : Période de réapprovisionnement
d : Demande (nombre de pièces consommées/unité de temps)
Reliées par :
Q = dT
CL : Coût de passation de commande
CS : Coût de stockage (coût unitaire de l’article C X taux de détention h)
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sur un horizon θ = nT donné
Coût de lancement : nCL = θ/T . CL = θd /Q . CL
Coût de stockage = nCs.Q2/2d = θ/T Cs.Q2/2d = θCs.Q/2
Exercice :
Un opérateur téléphonique vend dans une de ses boutiques un accessoire pour téléphone portable qu’il
achète à 30€ l’Unité. La vente annuelle de ces accessoires est estimée à 2400 unités/an. Cette demande
peut raisonnablement être considérée comme stable au cours du temps (en particulier, elle ne subit pas de
variations saisonnières). Le vendeur suit de près le niveau des stocks et est en mesure d’éviter toute
rupture de stock en lançant à temps une commande de réapprovisionnement.
Pour ce faire, il tient compte du caractère certain de la demande et de l’existence d’un délai de
réapprovisionnement de 20 jours ouvrables (l’année comportant 48 semaines de 6 jours ouvrables soit 288
jours ouvrables). Le taux de détention des articles en stock est de 20% du prix d’achat (par unité par an). Le
coût de passation d’une commande est estimée à 300€.
Questions :
- Calculez la quantité optimale de commande et le coût annuel moyen.
- Quel doit être, par ailleurs, votre point de commande ?
- Le fournisseur, après réflexion, vous propose à l’occasion de la négociation annuelle, les conditions
suivantes de remises sur les quantités achetées :
Commande < 250 articles Prix 31€
Commande de 250 à 499 articles Prix 30,5€
Commande de 500 à 749 articles Prix 30€
Commande de 750 à 999 articles Prix 29,5€
Commande de plus de 1000 articles Prix 29€
Ces prix s’entendent pour l’ensemble des quantités commandées, à partir du moment où l’on dépasse les
seuils respectifs.
- Quelle quantité de commandes allez-vous retenir ?
Gestion des stocks
M. Nakhla
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b. Remise sur quantité
Coût total 2
Coût total 1*
Minimum du coût total 2 compatible
Coût total 2* avec la remise
Quantité en stock
Quantité lancée
Q Q
Consommation seule
Production et
Temps
Consommation T1 T2 T1 T2
Q/p Q/d(1-d/p)
CL
Q/d Q* = 2d
d
CS (1 − )
p
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Gestion des stocks
M. Nakhla
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Gestion des stocks
M. Nakhla
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Gestion séquentielle des stock : Application (cas déterministe
La demande d'un équipement important en janvier, février et mars est
de 2 unités, les 2 unités étant livrées à la fin de chaque mois.
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Pour approfondir :
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