Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
DA + DV à prendre en compte
ce sont des droits extrêmement étanches
Juridique + comptabilité
Drt français :
celle qui régit le DA (1957) pose le principe que l'auteur d'une œuvre de l'esprit jouit sur cet œuvre
du seul fait de sa création d'un droit de propriété incorporel. (droit immatériel).
Le producteur ne se limite pas à être cessionnaire et à exploiter il est aussi créateur dans un sens
éditeur : cessionnaire et exploite
Les droits moraux : droit perpétuel, inaliénable, imprescriptible et transmissible aux héritiers.
droit de divulgation
droit au respect du nom, de ma qualité et de mon œuvre (exemple ferrat).
droit de retrait ou de repentir
A chaque fois qu'on aura une reproduction spécifique et une représentation spécifique il faudra
s'acquitter des droits.
Aujourd'hui en droit européen on parle de mise à disposition : usage de plus en plus mixte à la fois
de la reproduction et de la représentation.
Il y a quatre exploitations :
prix à la partition vendu
prix avec la radio
prix pour la synchronisation
prix pour diffusion cinéma (paiement seulement des auteurs en fonction du nombre de
spectateurs/partie versée à la SACEM).
Coiffeur : pourcentage du CA (1% divisé par le nombre de fois ou je passe le titre par ex).
Chaque exploitation est le fruit d'une négociation
sauf dans le cadre d'exception et de limites pas besoin d'obtenir l'autorisation préalable des ayants-
droits:
représentation dans le cadre du cercle de famille
la copie à usage privé (c'est une exception et non un droit).
Durée de la protection du DA
70 ans après la mort du dernier auteur
qd les droits tombent dans le domaine public plus besoin de demander les droits
Depuis une 30éne d'années partage assez calibré mais qd le numérique est arrivé la donne n'est plus
la même. Toute la filière s'est calée sur le modèle du disque. Ce sont les producteurs qui décident
finalement des prix. Orchestre dans les radios : vient du fait que lorsque les radios d'Etat sont
arrivés les prod n'ont pas voulu céder leur droit de diffusion sur ces médias gratuit et c'est pour ça
que les radios ont décidé de fr du live avec un orchestre. La musique live ou des groupe maisons qui
reprennent le tube du moment bcp plus valorisant pr la radio que de jouer des disques.
Ce sont les producteurs qui donne le ton de la filière musicale : ils n'ont rien voulu changer. Ils
vendent les fichiers au mm prix qu'un disque on considère que la plateforme c'est comme un
disquaire. Je rémunère les artistes la mm chose. Donc un disque était vendu 10euros HT l'artiste
touche 10% donc un euros.
Tout le monde se plaint de cette situation parce que les plateformes disent et bien auj ce que je paye
aux maisons de disques c trop élevé j'ai plus de quoi développer mon service. Les seules à pouvoir
le fr c ceux qui ne vivent pas de la musique (google, apple, amazone...). Donc conflit entre les
plateformes et les producteurs.
Plus de couts physique, cout de distribution numérique plus faible pour les producteurs...
les auteurs pensent la mm chose avec les sociétés de gestion collective
les producteurs seuls réponse à cela c'est comme ça le prix que nous fixons c le bon (majors et
indépendants...).
Depuis 2000 le CA a baissé donc auj ils ne sont pas là pour fr de cadeaux aux plateformes. S'il ne
doit rester que google, apple youtube et amazone ça va aux producteurs. Risque de disparition
d'acteurs français. Véritable problématique culturelle. Demain Deezer revendu à samsung ? Sont
tués dans l'oeuf toutes les initiatives de développement.
Le niveau de rémunération
Deezer reversait 120% au major de son CA pendant lognteps
les artistes gagnent un peu moins sur le numérique que le physique par le jeu des abattements.
Puisque le producteur à une partie en moins dans son travail : la partie industriel / ds le camenbert
du partage de la valeur les artistes devraient avoir des royalties plus important.
Christian felin mandaté par la ministre de la culture pour étudier cette question de partage de la
valeur. Ce pbl se pose également dans le livre.
Le rapport a été remis et à l'issu de la remise de ce rapport le ministère de la culture a fait ce
communiqué de presse.
Le physique
I-Producteur même chose qu'éditeur phonographique et maison de disque
une fois le disque pressé on le distribue.
II- Distribution : deux volets
-logistique : stockage/expédition/facturation
-commercial : vendre le disque
Une fois que c'est distribué ça arrive chez le disquaire qui vend au consommateur.
Promo : attachée de presse interne ou externe pour valoriser le produit. Caler les émissions...
Marketing : faire de la pub tv...affichage.../ faire une vidéo musique...
B-Qu'est ce qu'on a d'autres comme couts ? Promo et market = il y a des coûts fixes et des coûts
variables.
C- Le cout de production : là aussi c'est variable (enregistrement)
D- Cout de fabrication (les galettes)
E- Rémunération des artistes : AI (proportionnelle par ex ici 10% du prix de gros HT), les auteurs
(taux de 9,001 du prix de gros HT)...
chaque fois qu'on vend un disque on paye une redevance à la SACEM qui le reverse à l'auteur.
La marge dépend de la maitrise de ses coûts : entre les couts et les frais variables il faut qu'il trouve
un juste milieu et qu'il cherche d'autres droits notamment les droits d'édition, la marque, le
marchandising...
Les droits voisins sont collectés par les SPRD d'artistes interprètes : ADAMI, SPEDIDAM, SCPP,
SPPF, SACEM. Donc rémunèration équitable (partage 50/50 entre producteurs et artistes). Quand à
la copie privée sonore dispatchée (50% auteur et éditeur et
Le conflit ADAMI (AI) et SPEDIDAM (AIC)
si Laurent voulzy fait un album avec juste un percussionniste lorsque le titre va passer en radio le
prod touchera la moitié de ce qu'a versé la radio et le percussionniste et laurent voulzy se partage
équitablement les 50% restants. Auj c'est 70% 30% selon des accords mais pour la SPEDIDAM
c'est toujours 50%...d'ou le conflit...
LE NUMERIQUE
suppression du cout de fabrication donc environ -10% pour le producteur
La distribution est différente : donc plus de stockage mais encore des envois en ligne cette fois...
est-ce que j'ai des coûts commerciaux ?
On est dans du dépôt-vente en faite. Y a pas de vente en amont. Une fois qu'appel vend un titre il
paye l'ayant drt. Dans le physique c le disquaire qui prend le risque et qd le disquaire ne les vendait
pas il les redonne au producteur. Le producteur voit à sa charge des frais de stockage , de
destruction. Mes coûts de distribution passe de 30 à 40% à 10%.
est ce que le producteur continue à payer les artistes interprètes ? Oui
les auteurs ? Non. Ce sont les plateformes qui payent les auteurs. (APPLE DEEZER SPOTIFY ce
sont eux qui payent la SACEM). Car ce sont eux qui reproduisent l'oeuvre.
DONC plus de coûts liés au paiement des auteurs (environ -10%)
Un producteur lui reste en marge brut sur la vente d'un disque à 10euros et 3 euros sur la vente d'un
disque numérique de 6 euros. L'artiste lui touchait 1 euros et avec le numérique il touche 0,65. pk
l'artiste continue à toucher 10% alors que les frais pour les producteurs ont baissés. La marge du
producteur a augmenté mécaniquement de 40% mais l'artiste n'en profite pas.
Le service d'édition en ligne est il comparable à un disquaire ?
Pas exactement. Celui qui fabrique le support c l'éditeur de service en ligne c lui qui développe une
façon de consommer la musique. Toutes les façons de consommer sont développé par les éditeurs
de service en ligne.
PERCEPTION /
C'est un centre de revenu : en fonction des casquettes qu'on a.
exemple : boîte de nuit
SACEM
On va collecter. Notre première question c'est qui ? Faire payer le plus de gens possible.
-Est-ce que vous diffusez de la musique ? Est-ce que c'est des enregistrements ?
-En vertu de la loi c'est une représentation publique / il doit s'acquitter d'une rémunération équitable
-Combien vous en jouez ? La musique accessoire ou principal du commerce
Les éléments qui peuvent ê demandés à un agent assermenté ?
On peut leur appliquer un barème en fonction du CA.
Pour la copie privée on va fr chercher l'argent chez les fabricants de supports vierges.
On pourrait aussi prendre des accords collectifs avec la bibliothèque du 13e parce qu'elle fait de la
location. Elle fait des accords particuliers...
Le soir de la fête de la Musique est-ce qu'on va collecter quelque chose ? Non normalement c le
seul jour ou on w pas. Car musique live.
REPARTITION
La rémunération équitable :
ON A 100 000 euros du quartier du 13e
le plus diffusé ? Le plus vendu ?
La copie privée :
pcipe : c qui est le plus vendu est le plus copié (ce serait tjrs les mm qui touche) on peut donc
pondérer avec la radio... 80%des ventes et 20% de radio. Quel panel on va prendre pour la radio. ?
Il faut équilibrer les intérêts des membres.
Les notions de solidarité existe dans les SPRD pour que les auteurs fragiles soient représentés.
Le job :
à qui on reverse ? Les artistes les plus joués.
Combien on reverse ? On collecte 100 et on en garde 20% pour nous.
C'est la SPRD qui décide de l'emploi qui va en ê fait.
Chaque société de gestion collective fait ce qu'elle veut dans l'intérêt de ses membres.
Pour la copie privée : c plus complexe parce qu'il n'y a pas qu'un secteur (musique, cinéma...)
copie France va collecter auprès des fabricants la copie privée et la répartir aux différents
collèges (musique, ciné...).
La SPRE et la SACEM se sont rapprochés et c'est la SACEM qui collecte pour la SPRE
auprès du cafetier. Donc plus cher. Ça va ê des forfaits.
1% des ayants-droits qui touchent 30% des revenus.
25% de la copie privée sonore et des irrépartissables qui doivent ê affectés à l'aide à la
création (obligation légale d'affectation de la copie privée sonore à l'aide à la création).
Pour solutionner cela j'invente le drt de tirage = plus je fais de droit plus j'ai le droit de tirer.
On va considérer que les plus grosses boites génèrent 80% de 3 millions des drts. Les 20 autres
% vont à l'aide sélective.
Moi universal je représente 40% des aides tirés (je représente 40% des 80% des 3 millions.
Donc il suffit que je présente des projets sans contrôle de commission à concurrence de mon
drt de tirage. Ça me permet de m'assurer 1,2 millions pour moi. C ceux qui génèrent des
droits qui sont privilégiés. Les 25% que j'ai perdu d'une main je m'assure qu'une partie me
revient.
Donc souvent selon l'endroit ou on est si on est un indépendant (aide sélective) si majors (droit
de tirage).
RECAPITULATIF
Auteur compositeur : DA
AI principaux
AI de compléments
le partenaire de L'Auteur Compositeur c l'éditeur musical
le partenaire de l'AI c le producteur
la musique est diffusée par le producteur de spectacle
les contrats : cession de droits soit contrats de w soit les deux.
Là dessus on a les diffuseurs : comment se diffuse la musique médias =
radio (licence légale et rému équitable dc pas besoin de chercher auto préalable du prod mais
doit chercher l'auto de l'auteur et éditeur à travers la SPRD désignée SACEM ADAMI
SPEDIDAM SCPP SCPF DONC LA RADIO CONTRACTE AVEC LA SACEM QUI
COLLECTE ET DISPATCH)
la TV pareil, hier j'ai négocié les victoires de la musique ici c un contrat entre le producteur de
spectacle et la tv (la SPRD n'intervient que qd difficile de collecter les drts)
La presse : des CD encartés (accord avec le producteur mais pas seulement il faut s'acquitter
du DA qd je vais presser le disque mais auprès de qui ? Et une redevance à la SDRM qui va
répartir entre l'auteur et l'AI/ Il faut je paye mes droits à la SACEM à l'époque, des partitions
(qd je reproduis la partition ça a un rapport avec les auteurs, ds ce cas la presse passe des
accords avec les éditeurs musicaux ou graphiques qui représentent les AC).
Les partitions s'achètent chez un libraire musical : les librairie elles diffusent des recueils de
partitions qu'elles achètent à l'éditeur musical. L'accord se passe entre l'éditeur et les
libraires.
La TV qd diffuse un clip : m6 diffuse le clip de C. Maé = un clip c une œuvre nouvelle (on dit
pas q c un vidéogramme et un phonogramme). On prend l'accord au producteur du
vidéogramme. Comme ils se st unis il faut aller voir la société de perception collective prod. Il
y a aussi l'oeuvre donc M6 va payer la SACEM pour rémunérer les auteurs.
La musique on l'entend aussi ds les pub, les films, les jeux vidéos =
pub : je vais voir la maison de disque pour avoir 7sec du disque de C. Maé et les auteurs donc
je vais chez l'éditeur musicale pour contracter le drt de synchro.
Jeux vidéos : pareil on va voir le prod de phono et l'éditeur.
La gestion collective est en place parce que ça a une utilité pr les membres.
Pk M6 ne va pas prendre directement les drts chez le prod de l'artiste pour la diffusion d'un
clip ? Permet aux prod d'avoir plus de force pas de besoin de négo.