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Gestion de l'industrie musicale (cours 1)

DA + DV à prendre en compte
ce sont des droits extrêmement étanches

les paroliers et le compositeurs sont les auteurs en musique


les artistes-interprètes sont concernés par le DV :
les artistes interprètes principaux et de compléments
le CPI ne les distinguent pas, ils se distinguent par la nature de la rémunération qu'ils perçoivent.
Il s'agit d'une nature de relation contractuelle différente pour chacun des artistes (en fonction de la
nature d'exploitation).
intéressement des artistes principaux à l'exploitation de l'album
alors que les artistes-interprètes secondaires perçoivent des forfaits

Juridique + comptabilité

Drt français :

deux lois qui régissent le DA


loi du 11 mars 1957
loi du 3 juillet 1985
qui se trouvent dans le CPI

celle qui régit le DA (1957) pose le principe que l'auteur d'une œuvre de l'esprit jouit sur cet œuvre
du seul fait de sa création d'un droit de propriété incorporel. (droit immatériel).

Concrètement les droits c'est de l'argent.


Pas de formalités particulières pour être l'auteur d'une preuve mis à part le fait de la créer.

Séparation entre l'oeuvre et la partition


Le support n'est pas l'oeuvre
les auteurs :
interprètes :
support
pour éditer une partition il faut bien sur avoir les droits
Le métier d'éditeur musical vient du fait qu'il fallait exploiter la musique en la mettant sur partition.
Contrat de cession entre l'auteur et l'éditeur : double propriété de l'éditeur : support et droits de
propriété.

Le producteur a financé l'enregistrement, il en a pris l'initiative : mais pour exploiter


l'enregistrement il faut qu'il ait les droits donc il doit contracter avec les auteurs-interprètes.

Le producteur ne se limite pas à être cessionnaire et à exploiter il est aussi créateur dans un sens
éditeur : cessionnaire et exploite

Le Droit de propriété incorporel dont bénéficie l'auteur a deux attributs :


-moraux
-patrimoniaux

l'interprétation et la fixation de cette interprétation sont deux choses distinctes.


Art 112-2 : composition avec ou sans paroles = la musique
d'autres créateurs viennent s'ajouter aux auteurs-compositeurs qui sont les arrangeurs, les
adaptateurs, les traducteurs (co-auteur de la version réalisée).

Le titre d'une œuvre est protégé


La qualité d'auteur appartient à celui qui la divulgue sauf preuve contraire (présomption de qualité
d'auteur). Il peut arriver souvent que l'auteur ne soit pas l'auteur. Notre soucis c'est d'identifier
l'auteur (vérité juridique). Pas de soucis de vérité.

Les droits moraux : droit perpétuel, inaliénable, imprescriptible et transmissible aux héritiers.
droit de divulgation
droit au respect du nom, de ma qualité et de mon œuvre (exemple ferrat).
droit de retrait ou de repentir

Les droits patrimoniaux :


droit de reproduction : fixation matérielle de l'oeuvre (imprimé, gravure, montage,
enregistrement...).
droit de représentation : communication de l'oeuvre au public (concert, discothèques...) ou
télédiffusion.

A chaque fois qu'on aura une reproduction spécifique et une représentation spécifique il faudra
s'acquitter des droits.

Aujourd'hui en droit européen on parle de mise à disposition : usage de plus en plus mixte à la fois
de la reproduction et de la représentation.

En matière de DA et DV il faut obtenir préalablement un accord écrit des ayants-droits (valeur


probatoire). On se met d'accord sur l'exploitation et la rémunération de cette exploitation.

A chaque fois qu'on raisonne à une question il faut se demander combien ??


la production en audiovisuelle est toujours un prototype c'est pour cela que la maîtrise et la
réflexion autour de l'économie des droits est essentiel. Il faut des droits (les acquérir) et la
rémunération de cette exploitation.
Radio qui souhaite acquérir les droits de représentation : % du CA en fonction du nombre de
diffusion (prix par diffusion) (DA+ DV)

Pour négocier la synchronisation : une rémunération proportionnelle possible et négociation d'un


forfait on parle de droit de synchronisation (DA+DV).

(commerce du droit en fonction de l'offre et de la demande et de l'identification).

Il y a quatre exploitations :
prix à la partition vendu
prix avec la radio
prix pour la synchronisation
prix pour diffusion cinéma (paiement seulement des auteurs en fonction du nombre de
spectateurs/partie versée à la SACEM).
Coiffeur : pourcentage du CA (1% divisé par le nombre de fois ou je passe le titre par ex).
Chaque exploitation est le fruit d'une négociation
sauf dans le cadre d'exception et de limites pas besoin d'obtenir l'autorisation préalable des ayants-
droits:
représentation dans le cadre du cercle de famille
la copie à usage privé (c'est une exception et non un droit).

Durée de la protection du DA
70 ans après la mort du dernier auteur
qd les droits tombent dans le domaine public plus besoin de demander les droits

Durée de protection des DV


le DV s'éteint 50 ans après la première exploitation ou diffusion
le fait que ça tombe dans le domaine public
diffusion sans paiement de droit
reproduction sans paiement de droit

lorsque les œuvres tombent dans le marché :


principe fait sortir l'oeuvre du marché pour la rendre accessible
Mais ce principe à des limites : plus de risques de tomber en désuétude

50 ans jusqu'à novembre 2013


une directive européenne vient allonger la durée des DV à 70 ans.
Auj une œuvre qui n'est pas encore tombée dans le domaine public regagne 20 ans pour les autres
c'est trop tard.
Cours 3

Rédigé un petit papier qui explique la problématique du rapport


rapport Zelnick qui avait prôné une gestion collective obligatoire, a la suite de quoi emmanuel hog a
été mandaté qui a entamé une médiatioon entre les éditeurs de serivces en lignes, les prod et la
SRPRD des artistes interprétes. Est issu de cette médiation les 13 engagements de la musique en
ligne qui commence à placer les premiers jalons des bons usages entres les producteurs et les
éditeurs en ligne (par ex publier les CGV...). Il y avait aussi un volet adami et producteur sur la mise
en gestion collective des web casting (radio sur internet). Pour bien comprendre ce qu'est le partage
de la valeur la première chose a été de savoir ce qu'est le transfert d'utilité : je suis google et je
m'enrichis du contenu des autres. Je suis un logiciel de peer to peer et je m'enrichis du contenus des
autres. Je suis orange et je propose le haut débit en faisant une pub du style télécharger votre
musique en ligne avec le haut début (en 2005). on enrichit des industries (FAI logicile de peer to
peer...). Taxons tous les échanges afin de rendre en partie à titre de contribution pour les ayants-
droits le sujet du partage de la valeur se pose entre les gros et les créateurs de contenus. Mais se
pose aussi ce pbl à l'intérieur du contenu. On sort de l'aquarium du piratage pour aller ds celui du
légal : on a les éditeurs de music en ligne (deezer spotify les radios en ligne, apple, ceux qui
achètent la music en must have par ex google ou microsoft (ils les achètent ss objectif de rentabilité
juste pr attirer), on a les producteurs, les auteurs, les artistes-interprètes.

Depuis une 30éne d'années partage assez calibré mais qd le numérique est arrivé la donne n'est plus
la même. Toute la filière s'est calée sur le modèle du disque. Ce sont les producteurs qui décident
finalement des prix. Orchestre dans les radios : vient du fait que lorsque les radios d'Etat sont
arrivés les prod n'ont pas voulu céder leur droit de diffusion sur ces médias gratuit et c'est pour ça
que les radios ont décidé de fr du live avec un orchestre. La musique live ou des groupe maisons qui
reprennent le tube du moment bcp plus valorisant pr la radio que de jouer des disques.

Ce sont les producteurs qui donne le ton de la filière musicale : ils n'ont rien voulu changer. Ils
vendent les fichiers au mm prix qu'un disque on considère que la plateforme c'est comme un
disquaire. Je rémunère les artistes la mm chose. Donc un disque était vendu 10euros HT l'artiste
touche 10% donc un euros.
Tout le monde se plaint de cette situation parce que les plateformes disent et bien auj ce que je paye
aux maisons de disques c trop élevé j'ai plus de quoi développer mon service. Les seules à pouvoir
le fr c ceux qui ne vivent pas de la musique (google, apple, amazone...). Donc conflit entre les
plateformes et les producteurs.
Plus de couts physique, cout de distribution numérique plus faible pour les producteurs...
les auteurs pensent la mm chose avec les sociétés de gestion collective
les producteurs seuls réponse à cela c'est comme ça le prix que nous fixons c le bon (majors et
indépendants...).
Depuis 2000 le CA a baissé donc auj ils ne sont pas là pour fr de cadeaux aux plateformes. S'il ne
doit rester que google, apple youtube et amazone ça va aux producteurs. Risque de disparition
d'acteurs français. Véritable problématique culturelle. Demain Deezer revendu à samsung ? Sont
tués dans l'oeuf toutes les initiatives de développement.
Le niveau de rémunération
Deezer reversait 120% au major de son CA pendant lognteps
les artistes gagnent un peu moins sur le numérique que le physique par le jeu des abattements.
Puisque le producteur à une partie en moins dans son travail : la partie industriel / ds le camenbert
du partage de la valeur les artistes devraient avoir des royalties plus important.
Christian felin mandaté par la ministre de la culture pour étudier cette question de partage de la
valeur. Ce pbl se pose également dans le livre.
Le rapport a été remis et à l'issu de la remise de ce rapport le ministère de la culture a fait ce
communiqué de presse.

5 lignes des enjeux de ce communiqué : regroupe les pbl essentielles

• Rapport sur la musique en ligne et le partage de la valeur.


• consultation de prof et analyse des études dispo pour dresser un E des lieux
-des pratiques contractuelles qui régissent les relations entre prod et ar†istes et plateformes et
ayants-drts. Le deuxième objectif de ce rapport est de fr des propositions qui relèvent aussi bien de
la négociation collective, que de mesures législatives.
La Maison de disque : signe un artiste et prend aussi l'édition sur les œuvres. Donc à la fois
producteur et éditeur. L'artiste devient une marque. Je capte la marque de l'artiste interprète.
Récupère de l'argent sur le marchandising sur le site, sur la tournée (je deviens tourneur). Le
producteur s'accapare tous les revenus potentiels de l'artiste. Bcp de clauses qui viennent capter ces
droits. Le rapport Phéline propose de venir encadrer ces droits.

Ce communiqué de presse couvre bcp de pbl de la filière.

Le physique
I-Producteur même chose qu'éditeur phonographique et maison de disque
une fois le disque pressé on le distribue.
II- Distribution : deux volets
-logistique : stockage/expédition/facturation
-commercial : vendre le disque
Une fois que c'est distribué ça arrive chez le disquaire qui vend au consommateur.
Promo : attachée de presse interne ou externe pour valoriser le produit. Caler les émissions...
Marketing : faire de la pub tv...affichage.../ faire une vidéo musique...

A-Le coût de la distribution dans la filière tourne autour de 30 et 40% du prix


de gros HT
toutes les redevances et système tourne autour du prix auquel je vends au disquaire donc le prix
auquel je vends par ex à la fnac. C'est la base de référence.
Un disque à 10 euros HT on le trouve entre 14 et 16 TTC dans le commerce (marge + TVA de la
fnac par ex).

B-Qu'est ce qu'on a d'autres comme couts ? Promo et market = il y a des coûts fixes et des coûts
variables.
C- Le cout de production : là aussi c'est variable (enregistrement)
D- Cout de fabrication (les galettes)
E- Rémunération des artistes : AI (proportionnelle par ex ici 10% du prix de gros HT), les auteurs
(taux de 9,001 du prix de gros HT)...
chaque fois qu'on vend un disque on paye une redevance à la SACEM qui le reverse à l'auteur.
La marge dépend de la maitrise de ses coûts : entre les couts et les frais variables il faut qu'il trouve
un juste milieu et qu'il cherche d'autres droits notamment les droits d'édition, la marque, le
marchandising...
Les droits voisins sont collectés par les SPRD d'artistes interprètes : ADAMI, SPEDIDAM, SCPP,
SPPF, SACEM. Donc rémunèration équitable (partage 50/50 entre producteurs et artistes). Quand à
la copie privée sonore dispatchée (50% auteur et éditeur et
Le conflit ADAMI (AI) et SPEDIDAM (AIC)
si Laurent voulzy fait un album avec juste un percussionniste lorsque le titre va passer en radio le
prod touchera la moitié de ce qu'a versé la radio et le percussionniste et laurent voulzy se partage
équitablement les 50% restants. Auj c'est 70% 30% selon des accords mais pour la SPEDIDAM
c'est toujours 50%...d'ou le conflit...

LE NUMERIQUE
suppression du cout de fabrication donc environ -10% pour le producteur
La distribution est différente : donc plus de stockage mais encore des envois en ligne cette fois...
est-ce que j'ai des coûts commerciaux ?
On est dans du dépôt-vente en faite. Y a pas de vente en amont. Une fois qu'appel vend un titre il
paye l'ayant drt. Dans le physique c le disquaire qui prend le risque et qd le disquaire ne les vendait
pas il les redonne au producteur. Le producteur voit à sa charge des frais de stockage , de
destruction. Mes coûts de distribution passe de 30 à 40% à 10%.
est ce que le producteur continue à payer les artistes interprètes ? Oui
les auteurs ? Non. Ce sont les plateformes qui payent les auteurs. (APPLE DEEZER SPOTIFY ce
sont eux qui payent la SACEM). Car ce sont eux qui reproduisent l'oeuvre.
DONC plus de coûts liés au paiement des auteurs (environ -10%)

Un producteur lui reste en marge brut sur la vente d'un disque à 10euros et 3 euros sur la vente d'un
disque numérique de 6 euros. L'artiste lui touchait 1 euros et avec le numérique il touche 0,65. pk
l'artiste continue à toucher 10% alors que les frais pour les producteurs ont baissés. La marge du
producteur a augmenté mécaniquement de 40% mais l'artiste n'en profite pas.
Le service d'édition en ligne est il comparable à un disquaire ?
Pas exactement. Celui qui fabrique le support c l'éditeur de service en ligne c lui qui développe une
façon de consommer la musique. Toutes les façons de consommer sont développé par les éditeurs
de service en ligne.

10 euros : prix de vente


le producteur vend son fichier en moy : 6,50 euros HT
6,50/10 =
La SACEM prend sur ça 7%
Qui prend 20% ici ? C'est l'Etat puisqu'on était en HT
donc on est à 8 euros
65+7 = 72
donc pr les ayants-droits y a 72%
une fois l'état payé il reste 8% pour la plateforme.
C'est pour ça que les plateformes se plaignent.
Tout l'enjeu est de savoir si c normal que le prod recouvre autant de marge là ou les artistes
interprètes ne suivent pas.
Sur le disque physique l'AI gagne 1 euros sur le numérique 0,65 euros. Mais le producteur lui va
gagner la mm chose. Le producteur a consolidé ses marges. La solution baisser la marge du
producteur et augmenter celle de l'artiste. Il faut fr regagner de la marge aux plateformes par ex en
baissant la TVA.
Gestion collective obligatoire : mettre l'exploitation numérique comme la rémunération équitable.
On est plus dans le contrat de gré à gré. La rémunération ne sera plus 10% pour les AI mais 50/50.
une sorte d'expropriation de leurs droits.

Les mécanismes des flux de gestion collective


percevoir et répartir : deux métiers exercés par les sociétés de gestion collective.
La SPRD désignée en France c'est la SACEM qui existe par la volonté de ses membres.
Pour ce qui est des artistes interprètes et producteur la loi de juillet 85 a crée deux régimes: la
rémunération équitable et copie privée
la rémunération équitable partagée en deux entre les AI et les producteurs (les radios n'ont pas
besoin de demander une autorisation au prod pr passer une musique mais en contrepartie elle doit
payer cette redevance ensuite la société de gestion collective partage pr moitié la rémunération
50/50)/ auj cette répartition est contestée par l'ADAMI elle souhaiterait 70/30.
les auteurs ne perçoivent pas la rémunération équitable.
en Angleterre la société de gestion collective (PPL) 95 pour les principaux et 5 pour les secondaires.

50% pour la copie privée sonore


25% les AI
25% les producteurs
SPRD POUR LES ARTISTES :
ADAMI ARTISTES PRINCIPAUX
SEPEDIDAM PR LES ARTISTES SECONDAIRES

SPRD POUR LES PRODUCTEURS :


SCPP / MAJORS
SCPPM / INDEPENDANTS

PERCEPTION /
C'est un centre de revenu : en fonction des casquettes qu'on a.
exemple : boîte de nuit
SACEM
On va collecter. Notre première question c'est qui ? Faire payer le plus de gens possible.
-Est-ce que vous diffusez de la musique ? Est-ce que c'est des enregistrements ?
-En vertu de la loi c'est une représentation publique / il doit s'acquitter d'une rémunération équitable
-Combien vous en jouez ? La musique accessoire ou principal du commerce
Les éléments qui peuvent ê demandés à un agent assermenté ?
On peut leur appliquer un barème en fonction du CA.

Exemple café : pr diffusion d'enregistrement


Le café a déjà fait un chèque à la SACEM (qui redistribue aux auteurs).
ADAMI débarque pour soutirer argent pour les auteurs principaux.
combien de couverts
musique principale ou accessoire du lieu
et on va lui demander une redevance

Traquer ceux qui diffusent : pour avoir la rémunération équitable


Les coiffeurs/ Les magasins / Radios associatives.../ Les hôtels
le téléphone c pas de la communication publique...

Pour la copie privée on va fr chercher l'argent chez les fabricants de supports vierges.
On pourrait aussi prendre des accords collectifs avec la bibliothèque du 13e parce qu'elle fait de la
location. Elle fait des accords particuliers...
Le soir de la fête de la Musique est-ce qu'on va collecter quelque chose ? Non normalement c le
seul jour ou on w pas. Car musique live.
REPARTITION
La rémunération équitable :
ON A 100 000 euros du quartier du 13e
le plus diffusé ? Le plus vendu ?
La copie privée :
pcipe : c qui est le plus vendu est le plus copié (ce serait tjrs les mm qui touche) on peut donc
pondérer avec la radio... 80%des ventes et 20% de radio. Quel panel on va prendre pour la radio. ?
Il faut équilibrer les intérêts des membres.
Les notions de solidarité existe dans les SPRD pour que les auteurs fragiles soient représentés.
Le job :
à qui on reverse ? Les artistes les plus joués.
Combien on reverse ? On collecte 100 et on en garde 20% pour nous.
C'est la SPRD qui décide de l'emploi qui va en ê fait.
Chaque société de gestion collective fait ce qu'elle veut dans l'intérêt de ses membres.

Concrètement comment ça se passe ???


Pour la rémunération équitable : Ces sociétés se sont organisées autour de la SPRE (la société
de perception de la rémunération équitable). Le cafetier, la discothèque... font un chéque à la
SPRE

Pour la copie privée : c plus complexe parce qu'il n'y a pas qu'un secteur (musique, cinéma...)
copie France va collecter auprès des fabricants la copie privée et la répartir aux différents
collèges (musique, ciné...).

La SPRE et la SACEM se sont rapprochés et c'est la SACEM qui collecte pour la SPRE
auprès du cafetier. Donc plus cher. Ça va ê des forfaits.
1% des ayants-droits qui touchent 30% des revenus.
25% de la copie privée sonore et des irrépartissables qui doivent ê affectés à l'aide à la
création (obligation légale d'affectation de la copie privée sonore à l'aide à la création).

Logique clientéliste : chaque SPRD va aider ses membres.


Aide aux concerts
aider les artistes auto-produits
aider à la formation
aider à la lutte c/piratage
SOCIETE DE PRODUCTEURS
ON A 500 000 en copies privées
250 000 doivent me revenir. C montant c celui de l'aide à la création
comment trouver un moyen pour récupérer ce montant ?
Je suis le plus gros générateur de DV et de CP et d'aide à la création = on invente ce qu'on
appelle le droit de tirage.
Le droit de tirage : chaque société de gestion collective va pouvoir disposer d'un fonds d'aide
qui sera dispatché de la façon la plus intéressante pour nous.
Les producteurs (majors du disque) : comment ont il fait pour ramener le maximum d'aide
vers eux.
Si on a recours à de l'aide sélective : on choisit des projets.
guichet aide à la sortie de disque :
guichet aide à la tournée :
guichet aide au clip :
ça c'est pour tous les membres indépendants et majors.
On a 3 millions d'euros d'aide (25%copies privées et irrépartissables).
On va se répartir ça en fonction de projets.
Une aide au disque, à la production : donc projet nouvel album de grégoire (my major
company). Il faut s'assurer qu'il y a bien une sortie de disque. My major company a un
contrat avec warner donc on est sur que le disque va sortir. On a un budget de 100 000 euros
d'aide. On va pas nous donner le tt parce que c une aide. Une aide c un complément
d'investissement. Donc on va nous demander par ex de financer 60% du budget donc on
apporte 60 000 euros. On demande 40 000 euros d'aides. La commission se réunit en février.

Maintenant il faut choisir combien donner et à qui ?


On va mensualiser les 3 millions sur 12 mois. Donc 400 000 euros par commission.
Plafonnement des aides par exemple à 40K.

Pour solutionner cela j'invente le drt de tirage = plus je fais de droit plus j'ai le droit de tirer.
On va considérer que les plus grosses boites génèrent 80% de 3 millions des drts. Les 20 autres
% vont à l'aide sélective.

Moi universal je représente 40% des aides tirés (je représente 40% des 80% des 3 millions.
Donc il suffit que je présente des projets sans contrôle de commission à concurrence de mon
drt de tirage. Ça me permet de m'assurer 1,2 millions pour moi. C ceux qui génèrent des
droits qui sont privilégiés. Les 25% que j'ai perdu d'une main je m'assure qu'une partie me
revient.

Donc souvent selon l'endroit ou on est si on est un indépendant (aide sélective) si majors (droit
de tirage).
RECAPITULATIF
Auteur compositeur : DA
AI principaux
AI de compléments
le partenaire de L'Auteur Compositeur c l'éditeur musical
le partenaire de l'AI c le producteur
la musique est diffusée par le producteur de spectacle
les contrats : cession de droits soit contrats de w soit les deux.
Là dessus on a les diffuseurs : comment se diffuse la musique médias =
radio (licence légale et rému équitable dc pas besoin de chercher auto préalable du prod mais
doit chercher l'auto de l'auteur et éditeur à travers la SPRD désignée SACEM ADAMI
SPEDIDAM SCPP SCPF DONC LA RADIO CONTRACTE AVEC LA SACEM QUI
COLLECTE ET DISPATCH)
la TV pareil, hier j'ai négocié les victoires de la musique ici c un contrat entre le producteur de
spectacle et la tv (la SPRD n'intervient que qd difficile de collecter les drts)
La presse : des CD encartés (accord avec le producteur mais pas seulement il faut s'acquitter
du DA qd je vais presser le disque mais auprès de qui ? Et une redevance à la SDRM qui va
répartir entre l'auteur et l'AI/ Il faut je paye mes droits à la SACEM à l'époque, des partitions
(qd je reproduis la partition ça a un rapport avec les auteurs, ds ce cas la presse passe des
accords avec les éditeurs musicaux ou graphiques qui représentent les AC).
Les partitions s'achètent chez un libraire musical : les librairie elles diffusent des recueils de
partitions qu'elles achètent à l'éditeur musical. L'accord se passe entre l'éditeur et les
libraires.

La musique on peut l'écouter dans les lieux publics.


Si c'est du live un concert : il y a une salle. Qui loue à qui le proprio de salle qui a un accord
avec les AI.
Christophe Maé enregistre avec un prod : il cède ses droits d'interprétation au prod qui a
produit ces enregistrements. Sur scène Christophe Maé en live c différent. Sinon AI peut fr un
concert ça n'a rien avoir avec le contrat de cession de droits. En revanche, si un tourneur
capte les droits de l'artiste il ne peut pas fr sa tournée tt seul.
Si playback = licence légale donc pas besoin de demander l'autorisation de la maison de
disque.
Ce qu'il ne peut pas fr c aller voir un autre prod pour enregistrer le mm disque
En revanche si l'auteur du texte n'est pas C. Maé le lieu doit reverser des droits
on peut trouver des disques chez un disquaire : le disquaire achète les disques au producteur
(qui les fabrique et les distribue). Donc accord entre les deux.
Qd la FNAC propose des bornes d'écoute : c pas soumis à la licence légale (écoute) il ne sait
pas. En tt cas la fnac paye a la SCPP et à la SPPF et à la SACEM les extraits.

La TV qd diffuse un clip : m6 diffuse le clip de C. Maé = un clip c une œuvre nouvelle (on dit
pas q c un vidéogramme et un phonogramme). On prend l'accord au producteur du
vidéogramme. Comme ils se st unis il faut aller voir la société de perception collective prod. Il
y a aussi l'oeuvre donc M6 va payer la SACEM pour rémunérer les auteurs.
La musique on l'entend aussi ds les pub, les films, les jeux vidéos =
pub : je vais voir la maison de disque pour avoir 7sec du disque de C. Maé et les auteurs donc
je vais chez l'éditeur musicale pour contracter le drt de synchro.
Jeux vidéos : pareil on va voir le prod de phono et l'éditeur.
La gestion collective est en place parce que ça a une utilité pr les membres.
Pk M6 ne va pas prendre directement les drts chez le prod de l'artiste pour la diffusion d'un
clip ? Permet aux prod d'avoir plus de force pas de besoin de négo.

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