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E° Adaptabilité et gouvernance
Pol de dvpt polycentrique nécé pour contrer les effets syst du dvpt urbain qui
profite d’abord aux plus gdes villes et entretient une tendance de lde durée à
l’accroissement des inégalités de pds entre les villes. Fct° innovantes d’ab pour
métropoles ms pas pour agglo de – de 200 000 hab.
Act° en terme de compétitivité, pol des villes moyennes pour préserver atout=
meilleure qual de vie pour la fct° résidentielle, patrimoine culturel riche et divers. Cette
pol consiste en la diffusion des équipements et des services pour ne pas les laisser à
l’écart de l’ouverture internat, notamment en terme d’accessibilité.
Croissance éco inégale liée à la taille, à la situation centrale ou périph en E ou ds
leur pays, à leur spé. Même si villes indL ont rattrapé leur retard en équipement de
services, clivage existe tjrs : rev + faibles, pb soc et éco aigus. Spé aussi touristiques,
tech, fin, adm. Spé urbaine de Toulouse, même ds les tech de pointe, reste un facteur
de fragilité.
B d’une bonne gouv urbaine : B de choix pour préserver la qual et l’adaptabilité
des villes, ds leur orientation fonctionnelle et pour la qual des ambiances urbaines. Villes
euro compactes d’où pb pour aménager les parties centrales car renforcement des concu
foncières. Pop les quittent mais act attirées par esp centraux. Pb pour circulation et
exigences de DD. Métropoles voient aggravation des inégalités soc à l’int des villes ac
des formes et des degrés de ségrégation et d’exclusion qui st variables selon les villes.
Réorientation de la pol de la ville par loi Borloo en 2003. on passe de la réhab des
quartiers à des opérations lourdes de restructuration ds le cadre de projets de
rénovation urbaine (PRU) : démolitions, reconstructions plus diversifiées ds la zone PRU
et ailleurs ds la ville et ds l’intercommunalité afin d’accroître la mixité soc, amélioration
de la desserte des quartiers…
Dénomination de « quartier prioritaire » qui émerge pour ces quartiers
rencontrant d’importants pb éco et soc.
Echelles dc multiples pour mieux gérer la ville. ? de la pertinence de ces échelles.
Si les limites des communes bougent peu, celles des EPCI, des quartiers, des zones de la
pol de la ville sont mouvantes.
*La prise en compte des échelles de vie dans les documents d’A
SCOT (schéma de cohérence terri) (agglo) et PLU (ville) issus de la loi SRU de
2000, visant à maîtriser la périurb°, fixer la limite entre urbanisable et esp qui va
rester agricole ou naturel, favo le renew urbain cad le renew de la ville sur elle-même.
SCOT pour échelle intercommunale= échelle fonctionnelle du bassin de vie de l’agglo. Doc
de réf pour la stratégie globale du terri, coordonne les pol d’urbanisme, de l’habitat, du
dvpt éco, de l’implantation comm et des déplacements. PLU se conforme au SCOT du
terri ds lequel il se trouve, le complète plus finement à l’échelle du terri de la commune
ou d’une intercommunalité en précisant à travers un zonage précis du terri ce qui peut
être fait en matière d’urbanisme.
SCOT : gdes vocations, PLU détaillent au sein de la ville les destinations possibles
des sol. L de négoc ac les acteurs, L d’articulation des échelles temporelles ac la prise en
compte des enjeux de court, moyen et lg terme.
B] une polarisation des camp par les services et les commerces urbains
Pvr attractif ojd surtt en terme de commerces. Aire de chalandise étendue et
petit commerce ds bourgs et villages périclite. Zones d’influences des services,
notamment les plus spé, peuvent être encore + étendues : imp flux de pop, de véhicules
quotidiennement et hebdomadairement + ou – concentrés.
Zones d’infl difficiles à cerner. INSEE : tt l’esp est polarisé. Daniel Noin : 2types
de zones d’infl : * zones d’attractions restreintes
zones d’infl étendues : 12 villes ac infl rég, 200 villes ac zone de 20 à 40 km.
Entre elles : interstices ac centaines de petites villes polarisant zones d’infl
rurales modestes.
Dim de la zone d’infl ne s’exprime pas que par le poids de la ville centre (pop, act
exportratrices…) mais en fct° des caract de l’esp urbain et rural env. la densité de pop
et la structure de peuplement jouent un rôle. Si semi urbain dense, zone d’infl réduites :
NPDC ac villes de l’ancien bassin minier. Inverse ds Ardennes, Pyré, MC : petites villes
comme aurillac : aire d’infl + imp= un département.
Dim aussi selon fct° urbaines et syst éco ruraux : qd ville a tjrs eut la fct° comm
comme Dijon, Bordeaux : rayonnement fort. Inverse ds rég indL N et E.
Les rapports villes/campagnes ojd fortement marqués par les mobilités résidentielles
Attract° des villes en terme d’emploi= la rel° la plus intensive entre eux. Depuis
20 ans part des emplois en milieu rural décline + vite que actifs y résidant. DIACT
2009 : déplacements domicile L se x et s’allonge, ¾ des actifs ruraux et périurbains vont
L en ville.
Mobilité résidL progresse d’où navettes quot vers villes centres. Dissociat°
massive entre lieu de L et lieu de résid d’où périurb° qui modifie la comp sociopro des
campagnes et qui diffusent les équipements et les infra de type urbain à la campagne. Cf
construct° en AU de l’INSEE 96. A côté des pôles urbains (5000 emplois), 2 esp soumis
à l’attract° de la ville :
esp périurb monopolarisé ou multipolarisé= esp à dominante urbaine car intensité
des liens fonctionnels ac la ville.
Esp ruraux sous influence d’un pôle d’emploi rural= petites villes de + de 2000
emplois.
Ces 2 esp = 15% de la pop. Croiss démo +1,5 par an. Les tx d’emploi y progresse
soit par conso locale soit par diffusion urbaine. Contract° de l’emploi agri compensé par
le maintien de l’emploi industL et emploi de services.
Polarisat° différente selon villes et régions. Polarisation surtt des gdes
métropoles rég comme Mars Aix en Prov, Lille, Nice, Paris (trajet svt les + lgs). Bcp
d’emplois, infra de transport en commun et de voies de comm° imp. Croissance démo qui
se ralentit depuis 99.
Est : Metz, vallée du Rhône, frontières du Lux et Pays Basque, sillon alpin,
conurbat° médit Narbonne Mtpellier Nîmes. Urb° dense, emplois dyna par cadre rég
favo. Idem ds l’O ac axe : Nantes, St nazaire, Vannes, petites villes bretonnes ou des
pays de la Loire.
A contrario, ds les rég les + rurales comme l’ Auvergne et le Limousin, mobilités
résidL st les + faibles. Aires périurb très peu étendue. Rel° routière encore diff :
maillage urbain lâche, faiblesse des infra car montagnes, dyna limité des bassins
d’emploi.
Ailleurs, les zones de décroissance démo soumises à l’influence des villes ac une
baisse annuelle de la densité, ont tendance à se concentrer au voisinage des villes indL
du N et de l’E et villes portuaires.
Fct° mil s’efface au profit de la fonction commerciale une fois les possessions
Stabilisées= villes deviennent des plateformes commerciales assurant le lien ac la
métropole. Richesse = exp° de produits spé et ind liées : canne à sucre aux Antilles et à
la Réunion, pêche à St Pierre et Miquelon, or en Guyane, Nickel en Nvelle Calédonie…ex
usine sucrière Darboussin à Pointe à Pitre.
Concentrat° de l’act éco ds ces villes d’où attractives pour la pop. Ojd Pointe à
Pitre= 17 000 hab= moins qu’au déb du 20e (20 000) : exiguité de la commune (2,66
km²) : c’est la commune la + petite des DOM mais la + densément peuplée (10 000 hab au
km²).
1945 exode rural, crise des prod° agri tradL, boom démo par l’arrivée de pop
jeunes d’où pds des villes portuaires monte. Ex agglo foyalaise (Fort de Fr, Le Lamentin
et Schoelcher)= 44% de la pop de l’île. Cela renforce la tte puiss de Fort de Fr ds le
réseau urbain martiniquais.
solde migratoire fort, alimenté par la pauvreté et pb des pays frontaliers comme
la Guyane et Mayotte (40% de la pop est étrangère, 54% de la pop à Mamoudzou
venant des Comores et de la métropole= fonctionnaires ou pop qual).
Flux migratoires internes : boom du Nickel ds les 70’s a favo la croissance du Gd
Nouméa regpant 4 des 5 communes calédoniennes (Nouméa, Mont Dore, Dumbéa,
Païta). +45% de pop en 15 ans.
Accroissement natL positif car transition démo récemment achevée ou en cours
d’achèvement. Guyane et Mayotte cumule accroissement natL et solde migratoire
positif. Autres terri de la FOM ont achevé leur transition il y a peu d’où pop
jeune mais vieillissante ex Martinique, Guadeloupe, Polynésie fr : âge moyen est
de 40 ans en métropole, 28 en PF.
Villes sont les premières touchées par ces phéno. Elles doivent loger, soigner,
éduquer et employer ces hab. Cet afflux de pop entraîne l’étalement du tissu urbain des
villes principales, réparti entre quartiers riches et pauvres.
Une croissance urbaine à deux vitesses
la périurbanisation dans les métropoles d’OM
Les gdes villes concentrent ds leurs centres les pôles d’act majeurs des terri de
la FOM : act se concentrent ds un lieu restreint mais central. Habitat° au contraire st
conso d’esp et occupent une superficie tjds + gde aux abords des villes. Etalement
urbain, dilatation de l’hab entrainant baisse de la pop du centre : Fort de Fr – 0,6% par
an. Naiss de nvx quartiers et CC rassemblant villes dt le tissu urbain auparavant disjoiny
s’est joint sous l’effet de la périurb° ex Fort de Fr et Abymes relié par quartier Raizet
et aéroport. Etalement le lg des axes de circulation et litt, se x ac x de l’auto= hausse
des migrat° pendulaires d’où embouteillages car peu de transport en commun.
De + l’insularité limite la mobilité et freine l’étalement, idem relief montagneux,
morcellement archipélagique, nécessité de préserver esp agri. Ces contraintes géo
donnent aux villes un profil varié. Certaines, comme Fort-de-France ont pu, malgré un
site encaissé, supporter la croiss démo et le dvpt des act, d’autres comme Pointe-à-Pitre
plus à l’étroit ont, dès les 60’s utilisé les villes à proximité pour loger leur pop comme les
Abymes.
St Denis sur les bords du piton des Neiges. Site marqué par la présence de
coulées de lave descendant en pente régulière vers la mer et la ville est bloquée à l’O par
la montagne, à l’E par la rivière et au N par l’océan. Extension vers SO ds la zone de
piémont= quartier Bellepierre, vers l’E (Chaudron). 80’s construct° déborde sur d’autres
communes comme Ste Marie. 95 schéma d’A régional dt l’objectif est de limiter
l’extension et de densifier le centre.
L’étalement des villes s’accompagne d’un accroissement du parc de logement surtt
en villes ex Guyane + 20% en 10 ans. Maisons = 70% du parc vs 56% en métropole. Dvpt
favo par mesures de défiscalisation dt l’obj était de favo l’emploi et le dvpt éco via la
construct° et la rénovation de logements d’OM en contrepartie d’une réduct° d’impôt sur
le rev pour les parti et sociétés. D en hausse d’où prix aussi ex Réunion, Martinique=
IDF. Mayotte prix du terrain x par 5.
Appel à projet de 2004 : projet urbain sur 10 ans par agglo pour soutenir les
initiatives locales visant un meilleur A des rég urbaines en réseau, ex RA= autour de
Lyon et St Etienne.
Tjrs fractures ds la ville malgré A, ? de l’échelle d’A est centrale. Autre ?
privilégier les esp urbains en difficulté ou conforter les esp les + dyna ?