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CM – BASES BIOLOGIQUES – Gérard Brand

Liens & schémas :


https://www.pourlascience.fr/sd/biologie-cellulaire/le-secret-de-la-resistance-cellulaire-plus-de-lipides-a-la-membrane-11316.php
https://mail-edu.univ-fcomte.fr/service/home/~/?auth=co&loc=fr&id=1088&part=2
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/biologie-cellulaire/question-de-la-semaine-peut-on-considerer-les-virus-comme-des-etres-
vivants_111864
https://mail-edu.univ-fcomte.fr/service/home/~/?id=1090&part=2&auth=co
https://mail-edu.univ-fcomte.fr/service/home/~/?id=1090&part=3&auth=co
https://mail-edu.univ-fcomte.fr/service/home/~/?id=1090&part=4&auth=co
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/biologie-cellulaire/nos-mitochondries-turbinent-a-50-c_120207
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/biologie-cellulaire/les-mitochondries-proviennent-de-la-mere-pas-du-pere-et-on-sait-enfin-
pourquoi_37943
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/l-adn-mitochondrial-peut-melanger-pere-et-mere_5086
https://mail-edu.univ-fcomte.fr/h/viewimages?id=1092

Biologie en psychologie (9 séances) : fonctionnement de la psychè, supports biologiques, biologie cellulaire, monde vivant, données
génétiques… L2 : cellule nerveuse, traitement d’informations par système nerveux, la capter (systèmes sensoriels, stimuli)
Partiels : écrit avec plusieurs questions de cours – 2 questions de cours + exercice de génétique.
Glossaire : définition + schéma. // Prof : travaille sur odorat

COURS N°1 :
Vérité scientifique n’existe pas : connaissances dynamiques. Sciences dures (physique, chimie, biologie) / molles (sciences sociales &
humaines).

CHAPITRE I : Les caractères généraux des êtres vivants (EV)


Biologie - grec : étude du vivant. Science aussi vielle qu’humanité : H n’ont pas manqué d’observer EV qui les
entouraient (animaux, végétaux…) en tout temps.
Physarum polycephalum : espèce unicellulaire, vivant dans milieux frais, humides (tapis de feuilles mortes de forêts,
bois mort). « Blob » : ni animal, ni végétal mais se déplace, perçoit stimuli chimiques. N’a pas de système nerveux : 1
seule cellule, organisme unicellulaire & peut atteindre taille gigantesque en peu de temps. Apprend, communique avec
autres sans système nerveux. Grossissement, évolution : cellules se divisent ou noyaux de cellule se développent.
Quasi immortel car si blob coupé en 2 : vivre chacun de leur côté (cicatrisation). Sous espèces de blob : profils
différents selon pays. Existent sous plusieurs latitudes, sont très adaptés & extrêmement résistants à agressions
toxicologiques : résistance intrigue  conclusions d’observat°.

Antiquité : existe traités de biologies : parmi eux, le +


significatif est celui d’Aristote (384-322 avant notre ère) :
influence toutes pensées scientifiques & philosophiques
jusqu’à 17e. Pour Aristote, animaux issus d’autres
animaux identiques (chats font chats & chiens font
chiens), ils peuvent naitre de matière inerte (sans
mouvement propre) par « la génération spontanée » : à
moment donné, dans endroit donné, paf nouvelle
espèce apparait. Aujourd’hui : on connait beaucoup de
chose, on va vite.
Contexte : Antiquité : gens se déplaçaient à allure de
cheval. Biotope : milieu de vie défini par caractéristiques
physiques & chimiques déterminées relativement uniformes & héberge ensemble de formes de vie composant la biocénose : ensemble d’EV
dans milieu donné : flore, faune, fonge (champignons) & populations de micro-organismes. Représentation : monde se déplace avec nous mais
découvrir aussi autres espèces. Ecosystèmes : végétaux & animaux en particulier - déplacement de 100aine de km : animaux aussi se
déplacent. Type d’animaux migre : apparition spontanée. Principe d’apparition du vivant existait déjà dans Antiquité, perdure jusqu’à 17e
siècle. Représentation : chez grecs, en Inde, Egypte : écrits allaient dans même sens.

1668 : Florentin Francesco REDI 1626-1697 : biologiste, lexicographe, écrivain italien du XVIIᵉ, profession de
médecin, connu pour travaux sur insectes & parasites. Réfute pour la 1ère fois ce mode d’apparition d’EV : ouvre
polémique scientifique entre partisans & adversaires de génération spontanée qui dure presque 2 siècles. Réalité :
théorie ne sera abandonnée qu’après travaux scientifiques du 19e : scientifique Louis Pasteur (1822-1895) &
naturaliste Charles Darwin (1809-1882). 1859 publient «  L’origine des espèces  ». Ouvrage introduit nouvelle théorie : théorie de l’évolution.
Passage lent, progressif. Théorie : nouveau système de pensée, = constitue bases de toute biologie moderne.
Autres approches théoriques : suscite débats surtout aux EU : le créationnisme = Dieu est à l’œuvre : créer toute forme
de vivant. Créationnistes peu nombreux en % mais actifs. Etats : obtenus droits de présentations théorie de l’évolution
mais aussi son contraire (manuels scolaires). France il y a quelques années : ils ont récupéré adresse de tous profs &
envoyé ouvrage biologique du créationnisme.

Darwin  : explique mécanisme de sélection naturelle « l’adaptation ». Dans environnement donné, & sous
contraintes, modifications du milieu, à moment donné sous nouvelles contraintes : les + adaptés sont
favorisés à ceux – adaptés. Sélection naturelle s’opère si non adapté. Caractères intéressants pour survie
valorisés alors que ceux plutôt délétères : délaissés. Montre que toutes espèces vivantes dérivent les unes des
autres & Homme avec autres espèces : le condescendant (supérieur) de formes les + anciennes. Homme fait
partie de règne animal. Selon société : représentation qu’Homme ne fait pas partie de règne animal : pas de corrélation avec niveau d’étude.
1er à mettre en évidence unité du monde vivant & avec théorie : fin du règne de l’Homme centre du monde. 19e : ségrégation, séparation
entre scientifiques, philosophes, politiciens, religieux… Jusqu’à 18e : tout était regroupé chez mêmes personnes. Scientifiques étaient religieux,
maitres à penser (philosophes)… 19e : chacun son domaine.

Autre aspect d’unité du monde vivant : travaux de Mendel  (1822-1884) en 1866, avec lois (lois de Mendel) montrent
mécanisme général à l’intérieur par lequel à l’intérieur de même espèces, organismes combinent, redistribuent &
transmettent informations héréditaires : Père de la génétique. Avec théorie cellulaire : apparait autre aspect d’unité
du monde vivant : à savoir que tous organismes vivants constitués de cellules. Cellule : élément de base, dénominateur
commun de toutes formes vivantes si variées soit-elle. Etablie chez végétaux par Schleiden (1838) puis chez animaux
par Schwann (1839). Plus tard : établi que toute cellule provient de division de cellule préexistante.
2 grands types de division cellulaire : mitose : division cellulaire d’eucaryotes où cellule mère se transforme en 2 cellules
filles qui lui sont identiques génétiquement // méiose : processus de double division cellulaire qui se déroule dans cellules de lignée germinale
pour former gamètes. Par brassage de gènes qu'elle permet : joue rôle essentiel pour diversité d’espèces.
Biologie évolue, mais autres disciplines scientifiques aussi : progrès multiple. Milieu 19e :
progrès considérable en physique : développement du microscope optique, permet de
visualiser choses dont cellules : permet avancées & contribue à théorie cellulaire. 20e :
mise au point du microscope électronique : mise au point, détails. Depuis quelques
décennies, beaucoup de révolutions : évolution de génétique : on ne se contente plus
d’observer, expliquer & décrire vivant. Avec techniques de modifications : commencer
à transformer vivant : OGM. Inventer modes de reproductions qui n’existaient pas :
clonage : reproduction à identique. Dérives & intérêts : « les thérapies géniques » =
capacité à réparer ce qui dysfonctionne au niveau de gènes. Technique la + récente de
méthode « crispr » : permet d’enlever telle ou telle séquence qui ne fonctionne pas.

Création du vivant, 2014 : chercheur Américain (Escherichia Coli) : comme tous vivants dans séquences de
gènes : 2 paires de bases azotées (A-T / C-G). Introduisent chez bactérie 2 bases de synthèse : nouvelle paire
de base bien intégrée par bactérie & même lorsqu’elle se reproduit : transmet paire de base synthétique sur
nombreuses générations successives. 2018 : travailler avec 8 bases : impact au niveau fonctionnel ? Nouvelle
catégorie : « la biologie de synthèse » - un oxymore (2 choses contraires dans même phrase). Biologie : science
du vivant / synthèse : contraire du vivant. Porte de nouvelle ère que sera la biologie de synthèse. Jamais de
retour en arrière en science (nucléaire par exemple).
De tous travaux se dégagent caractères généraux d’EV : particulièrement nombreux, 4 fondamentaux :
1° L’organisation // 2° Le métabolisme // 3° La reproduction // 4° La capacité d’évoluer.
Autres : caractères secondaires qui peuvent être rattachés à catégories initiales.

1 - L’organisation
En comparaison avec matière inerte (sans mouvement) qui peut présenter certain degré d’organisation (cristaux). Matière vivante apparait
avec degré d’organisation beaucoup + extrême, tous EV présentent structures complexes & hautement organisées – diversité. Organisation
de base : organisation cellulaire. Diversité que l’on perçoit entre élément/animal : se ramène à multiples variations de même schéma. =/ types
de cellules (peau, nerveuses, sanguines, musculaires), mais toutes avec membrane, intérieur : organites – même base. Bactéries : cellules.
Se rattache de chaque organisme vivant & constituant d’organisme (cellule) parait posséder fonction spécifique orientée, comme si EV étaient
doué de projet. Propriété : Jacques Monod (Français, 1965) : « la téléonomie » : conception où s'exerce,
tout au long d'évolution, finalité de nature purement mécanique, tenant à mise en œuvre par EV du
projet dont ils sont dotés & François Jacob (1965) : «  Le rêve des organismes, des cellules  » : assurer
descendance, se diviser, assurer pérennité d’espèce cellulaire, d’organisme. Tout ce qui est représenté
au niveau d’organisme représenté au niveau du vivant. Respiration : organisme vivant respire (peau,
plante, animal).
Réalité : chaque cellule respire, organite particulier s’en occupe : la mitochondrie assure respiration.
Nutrition : tous EV ont besoin de se nourrir, Blob : gloutonne flocons d’avoines. Organisme se nourrit
mais c’est chacune des cellules qui se nourrit : cellule se nourrit de nutriment, protéines, acides
aminés…

Nutrition + respiration : produire énergie (glucose, ATP) + déchets + chaleur. Humain : température autour de 37°C, mais variation. Cellules en
consomment énormément pour maintenir température du corps. Courbe sur 24h de température corporelle : réveil (4h du matin) : pic
minimal : 36,6/7/5 entraine réaction hormonale qui induit à réveil. Journée : monte graduellement : pic maximum : fin d’après-midi/début de
soirée : prendre 1 degré. 38 : pas bien / 40 : pas bien car toutes cellules vulnérables : surtout cellules nerveuses. Trop élevée chez enfants :
atteinte cellules nerveuses : convulsions. 2 ou 3 degrés de battement. Nous vivons dans environnement où il fait chaud / froid : écart :
organisme doit s’adapter. Vivant respire & se nourrit, produit déchet, énergie (se déplacer, réfléchir…). Schéma du vivant.
Grand professeur Américain : voiture thermique : mettre essence, gazole. Moteur à combustion fonctionne : arrivée d’air : sinon cale. Moteur
tourne : déchets, particules fines (CO2). Alimentation, nutriments – O2 (respirer) – rejet de CO2 – production d’énergie & chaleur (système de
refroidissement). Analogie fonctionne. Respire : vivante (sur principe). Non vivante : ne se reproduit pas (caractères fondamentaux) donc ne
suffit pas pour être vivant : ne répond pas à toutes caractéristiques.

2 – Le métabolisme (cellulaire)
Contrairement à matière inanimée, EV ont capacité d’extraire & transformer énergie à
partir d’environnement & capacité d’utiliser énergie pour construire & maintenir propres
structures. S’observe au niveau d’organisme entier mais aussi chaque cellule qui le
compose « métabolisme » : consiste dans déroulement contrôlé de nombreuses réactions
chimiques, biochimiques, qui traduisent utilisation et transformations puisée dans milieu ambiant. Troubles métaboliques existent.
Pathologies mentales dues à problèmes métaboliques existent. Retards mentaux sévères chez enfants : troubles métaboliques & substances
dans alimentation. Diagnostic à naissance : test de Guthrie, score d'Apgar, du Buvard… Adopter régime adapté : molécule phénylalanine :
acide aminé, précurseur de dopamine, de noradrénaline, d'adrénaline & mélanine. Seuls micro-organismes & plantes sont capables de
synthétiser la phénylalanine. Organisation & métabolisme sont étroitement liés : 1° organisation = 2° structure & 3° métabolisme =
fonctionnement : structure fonctionne, lien, pilier de biologie. Question de structure : comment cela se présente, est organisé ?
Fonctionnement : comment cela marche ? 3e autre niveau en biologie : le fonctionnel : à quoi ça sert : produire énergie.

COURS N°2 :
Métabolisme cellulaire : traduit toutes activités de cellules (fonctionnement) - ensemble de réactions chimiques qui permettent à cellules de
produire nouvelles molécules pour construire leur structure (membrane cytoplasmique, noyau). Hétérotrophe – Autotrophe.

3 - La reproduction
La + extraordinaire des EV : capacité de pouvoir se reproduire & transmettre à descendance ensemble d’informations relatives à structure &
fonctionnement (à métabolisme). Tout n’est pas strictement transmit (accidents possibles). 2 types de reproductions : sexuée & asexuée
(conforme ou invariante).
Reproduction asexuée : touche tous organismes. Mitose : cellule mère entre en division & donne 2 cellules filles identiques entre elles &
identiques à cellule mère. Accident possible dans processus de division.
Reproduction sexuée : modalités variables, mais identiques chez toutes espèces. Méiose : aboutissement de cellules qui seront cellules
reproductrices « gamètes » : ovules, spermatozoïdes. Suite à méiose : rencontre de 2 cellules (mâle & femelle). Dans processus de
reproduction : donne unique cellule – œuf (zygote - homozygote / hétérozygote). Ensuite : mitoses successives avec développement
d’organisme. Réparation tissu lors de blessures : succession mitoses, division cellulaire pour cicatrisation : remplir surface manquante.

4 - La capacité de varier & évoluer


Plusieurs processus : pas confondre acquis & inné. Modifications acquises intéressent métabolisme cellulaire : adaptation à contrainte
d’environnement (ne concerne pas matériel génétique). FC : teint pâle / montagne en ski : bronzage = modification acquise, adaptation
cellulaire s’adapte en fonction d’environnement. Bronzage : protection de peau. S’inscrire en salle sport = accroissement de masse
musculaire : adaptation à environnement qui a changé (stress, alimentation). Modifications acquises pour organisme : réversible. + tard :
retour à initial.
Modifications peuvent s’inscrire dans patrimoine génétique = mutations génétiques : phénomènes accidentels (rares, mais pas tellement).
Mutations qui, combinées à sélection naturelle, permettent transformations (exceptionnelles ou accidentelles) d’EV au cours du temps.

Lorsque contraintes d’environnement perdurent sur long terme (plusieurs générations) : peuvent s’inscrire dans patrimoine génétique
(couleur de peau par ex), erroné : acquis / inné (mutations) : débat. « Epigénétique » : autour de génétique, découverte de gènes, qui sous
influence de contraintes, s’expriment =/ment. Stress, médicaments, cigarettes, alimentation…impactent fonctionnement de gènes. Maladies
génétiques peuvent se développer progressivement… : acquis niveau épigénétique peut être transmit à générations suivantes. Exemple :
modèle olfactif chez souris. Odeur d’acétophénone : souris perçoit, mais n’induit pas comportements spécifiques : pas d’incidence.
Conditionnement : stimulus suivi d’un autre = réponse au 2e. Stress léger : décharge électrique. Plusieurs fois : comportement de peur
« freezing ». Associer odeur à comportement. Mise en place – extinction du conditionnement - réminiscence du réflexe - maitriser
processus neuronal de fonctionnement.

Générations suivantes, descendance de souris : manifestent freezing = modification épigénétique. Retrouver gène codant pour
acétophénone : méthylation (hyper ou hypo ?) : permet processus épigénétique. Modification de méthylation : spermatozoïdes. 4x +
sensibles à acétophénone (substance potentiellement dangereuse : processus adaptatif). Perdure ? : finit par disparaitre car pas pression
d’environnement : retour à état initial. Sans épigénétique : on ne pourrait pas fonctionner . Varier & évoluer avec histoire de mutations
(responsables de diversité qu’on observe au sein de même espèce).

CHAPITRE II : L’organisation de la biosphère


Base du monde vivant : cellule & ses niveaux d’organisation. Cellule : unité dans hiérarchie & composée de molécules (biologie cellulaire &
moléculaire, atomes (nombre restreint), quarks (éléments constitutifs d’atomes)). Cellules de même type s’organisent & forment tissu
(nerveux, de peau). Histologie : biologie traite structure de tissus vivants. Tissus s’agrègent, forment organes (cœur, poumons…), & s’associent
à « systèmes », « appareils ». Ensemble de systèmes forment organismes. Incapable de tout connaitre sur organisme. Parkinson : intérêt
pour système moteur  Vision générale (tous niveaux complémentaires pour compréhension la + totale possible d’organisme).

Biosphère : milieu du vivant, se décompose en 3 :


1° Lithosphère : partie la + superficielle de croute terrestre. Beaucoup de vivants à surface (vers, insectes,
champignons…). Creuser : beaucoup – de vivant car roche - 10aine de centimètres/mètres.

2° Hydrosphère : eau, cours d’eau, zones humides, mer, océan, rivières… : grande quantité de vivants. +
impactée par problèmes de pollution (interdiction de pêcher…). Exemples : krill, (petites crevettes en band)
mangées par pétrels (odeur de phytoplancton : odeur du sulfure de diméthyle) : plastique se décompose &
retrouvé en microparticules : odeur similaire car dégage sulfure de diméthyle. 2 conséquences : plastique
sur organisme mauvais : 70 à 80% d’oiseaux morts envahit de plastique + meurs de faim : plastique pas
nutritif. & tortue des mers : confondent sacs plastiques avec médusent : microorganismes s’agglutinent :
sont trompées par odeur & vision. Zones humides, maraîchage : difficultés d’EV pour se reproduire. On
pensait que lacs d’eau de montagne purs. Echantillons : catastrophe car pollués (pluies acides…).

3° Atmosphère : presque plus d’EV : 2 caractères primordiaux :


1° Permanence d’eau à état liquide : glace sur Lune, Mars : eau pas utilisable ou insuffisante - entre 0 et 100°C.
2° Permanence de lumière solaire : seule source d’énergie de toute biosphère. Lumière solaire directe & indirecte (dans espace & temps).
Grands fonds marins (énormément de vivants) : nuit noire, pas de présence directe de lumière mais pourtant fonctionne : lumière a connexion
indirecte dans espace & temps. Grotte profonde : animaux présents depuis longtemps totalement translucides : plus de pigmentation.

Histoire évolutive : remonter sur x générations & retrouver ancêtre qui ont profité de lumière solaire : indirecte dans temps.
« Biocénose » : organisation d’ensemble d’organismes vivants / d’EV (& leurs interaction) d'un milieu donné dans temps donné.
Théorie des systèmes / systémiques : système constitué d’éléments, en interactions les uns avec
les autres, qui est + que la sommes d’éléments constitutifs.
Si 1 élément défaillant = ensemble du système dysfonctionne ou fonctionne plus du tout. Tout
est + que somme des parties. Idem pour biocénose en danger : toutes espèces menacées 
système défaillant & nécessite réadaptation. Plusieurs catégories d’EV :
1° Autotrophes : « producteurs » comme plantes, trophiques : se nourrit lui-même, autonome.
2° Hétérotrophes : « consommateurs » comme animaux, ne se nourrissent pas eux-mêmes = à
disposition de matières élaborées, dépendant.
3° Décomposeurs : décomposent & se nourrissent comme bactéries, végétaux : décomposent
excrément d’animaux, cadavres de consommateurs & producteurs. Relation trophique strictement linéaire : triangle.

Plantes puisent dans sol ressources dont elles ont besoin : énergie dans monde inerte (non vivant), dans vivant : dépend du non-vivant &
lumière solaire : photosynthèse (organismes cellulaires : chloroplastes (sucre)), indispensables, mais ne savent pas les synthétiser.
Consommateurs puisent chez producteurs. Biocénose : relations trophiques +/- complexes : relation de chaines alimentaires = individu 1 va
manger individu 2… mais 2 peut bien manger 1 voire 1 mange 1… (voir milieu marin le + complexe).

Constituants du vivant (matière)


1° Catégorie - composition chimique
Cellules (unités de bases) constituées de molécules, elles-mêmes constituées d’atomes. Particularité du vivant : nombre d’atomes,
constitution pas très élevée. Quelques atomes de bases :
ATOME SYMBOLE QUANTITE DANS ATMOSPHERE
Oxygène O 2/3 du vivant : 62,8%
Carbone C 19,37% du vivant
Hydrogène H 9,3%
Azote N 5,14%
Reste : <1% comme : Sodium (Na) : 0,26% // Potassium (K) : 0,22% // Fer (Fe) : 0,005%
+20aine que l’on trouve sous trace : « homéostasie » : stabilité de concentration.

Constituants de base se constituent toutes molécules & parmi-elles : molécule d’eau (H2O) : 2 atomes d’hydrogènes et 1 d’oxygène =
essentiel, le + abondant. Son % varie en fonction d’organisme, d’animal, végétal. Représente entre 60 et 90% de masse cellulaire. 63% du
poids corporel d’adulte. Méduses : 98%, & sont même intelligentes. 85% poids corporel d’escargot. Pomme : 90%.
Mammifères : déshydratation de 10% entraine mort chez adulte sain. Elément crucial dans vivant & pour maintien du vivant.

2e Catégorie - sels minéraux


Matière vivante a 2 formes :
1° Structure : peu ou pas soluble dans eau (coquilles, squelettes, carapace) - contient calcium, magnésium…
2° Solution : ions : atome chargé électriquement – « anions » ou + « cation » (Azote : Na+ / Potassium : K+ / Calcium : Cl - …)
Exemple : sel de cuisine, forme solide : NaCl // Eau salée de pâtes : ions Na+ & ions Cl-.
Expérience : dans récipient, eau + montage électrique avec ampoule qu’on relie à pile, fermer circuit en mettant 2 fils dans bacs : ne se passe
rien. Quand sel ajouté : lampe éclaire car présence d’ions : eau devient conductrice.
Attention : membrane + ions : égalisation de concentrations entre les 2 compartiments. Modèle pour biologie cellulaire car « milieu
intracellulaire » & « milieu extracellulaire » avec concentrations =/tes qui doivent être maintenues. Membrane de cellules pas totalement
imperméables : « canaux ioniques » peuvent être ouverts / fermés = sortir / entrer ions : modifications concentrations intracellulaires
surtout.

3e Catégorie - protéines
Composées d’atomes, gène codant protéine. Enzyme (catalyseur) = accélérateur de métabolisme cellulaire, + importante, outils de réactions
chimiques. Anticorps : système immunitaire : régulation. Insuline participe à régulation du taux de glucose dans sang (entre 0,8 et 1,2).

4e Catégorie - lipides (graisses)


Lipides simples – complexes. Groupe hétérogène, fonctions : 1°énergétique (sucre) : élément nutritif, 2°structure de cellule : membrane
constituée de lipides = isolant du point de vue électrique. 3°médiateur chimique (hormones : stéroïdes).

5° Catégories - glucides
Source, réserve d’énergie, animaux ne peut pas synthétiser glucides : chercher chez producteurs / végétaux. Glucides stockées pour être
utilisées quand besoin « glycogène » : foie, muscles. Pas utilisable direct par organisme :
transformées par protéines en glucose utilisable.
Monosaccarides (sucres simples) : CnH2On. Sucre, glucose : C6H12O6 // Polysaccarides :
C6H12O6n.
= Polymères : molécule formée par enchaînement de monomères.
Eléments composites : glycoprotéines (assemblages de glucose & protéines) // glycolipides :
assemblages sucre – lipides.
COURS N°3 :
Description de structures & fonctions de cellule : Considérée comme :
1° Unité de base du vivant : unité de structure avec plan d’organisation général commun à toutes cellules mêmes si =/tes & =/ces.
2° Unité de composition : mêmes éléments : molécules, atomes…
3° Unité de fonctionnement : toutes réalisent activités biologiques en suivant mêmes lois générales
4° Unité d’information : chaque cellule renferme informations nécessaires à maintien d’identité cellulaire : réalisation de sa fonction (ce
pourquoi elle existe) & pour sa reproduction fidèle (stockées au niveau de matériel génétique, en général dans noyau de cellule).
Formes & tailles de cellules =/tes, variées  :
-Forme classique
-Forme globulaire, lenticulaire, aplatie, biconcave, réniforme comme globules rouges (hématies, érythrocytes). Fonction : transport d’O2 &
CO2.
Autre : fonction de globules blancs : entretien système immunitaire, défense d’organisme.
-Forme de très grand flagelle (permet déplacement par formation de vague) comme spermatozoïdes. Fonction : se déplacer le + rapidement
pour atteindre ovule et la féconder en 1er  fonctions & structures liées.
-Forme très allongée, imbriquées les unes dans les autres comme dans cellule musculaire striée. Particularité : allongées dans sens de
longueur du muscle. Fonction : contraction – décontraction.
-Forme étoilée, sphérique, assez courte, comme cellule nerveuse. Composée de corps cellulaire, dendrites, axone, fibre nerveuse. Fonction :
transport, vecteur d’informations.
(Commissure relie les 2 hémisphères : 1 seule et même cellule, de plusieurs cm).

Tailles de cellules : taille inférieure à limite de résolution d’œil, on ne peut les voir à œil nu : besoin de microscope. Théorie cellulaire a vu jour
grâce à mise au point de microscope optique. Tailles de cellules : +/- grosses, exemple de mesure d’ovule (grosse cellule) :
Départ : entre 120 – 140 micromètres (10-6) // 19e siècle : 10-3 // Aujourd’hui : 10-9 évolution
Autres exemples :
Cellule musculaire : 250 micromètres // Cellule humaine : 5 – 20 micromères // Bactérie : entre 0,1 - 3 micromètres.
Virus : entre 100 et 3000 ångströms // Acides aminés : quelques ångströms (5) (« enchtreum »)

Besançon : champion du monde de nanomètre. Nanorobots, nanites : utilisées dans applications médicales – grande technologie médicale
d’avenir pour délivrer médicaments, repérage de cellules qui dysfonctionnent (diagnostic complexe), intervention directe.

CHAPITRE III – L’organisation cellulaire


Il existe 2 grands types cellulaires : on distingue cellules dites « procaryotes » de « eucaryotes ».
1° Procaryotes, « cellules simples, rudimentaires » : cellules sans noyau = bactéries. N’a pas de
noyau identifié. Taille : 1 à 10 micromètres (µm). Structure : membrane plasmique mais doublée
par couche supplémentaire + épaisse « paroi bactérienne ».
Dans hyaloplasme (cytoplasme) : quelques organites (ribosomes) : matériel nucléaire héréditaire.
Molécule unique d’ADN (Acide Désoxyribo Nucléique), ARN (Acide Ribo Nucléique) & se reproduit
seule par rapport à eucaryotes.

2° Eucaryotes, « cellule complexe » : organisme dont noyau cellulaire est séparé du cytoplasme
par membrane. Noyau identifié. Taille : 10 et 100 µm. Ne possède qu’une membrane plasmique.
Apparition du vivant : uniquement cellules procaryotes au départ. Evolution : apparition
d’eucaryotes à partir de procaryotes. Possède ADN & ARN également.

Toutes cellules d’animaux, végétaux, algues, champignons comportent 3 parties principales :


1° Membrane plasmique : frontière +/- étanche sépare milieu intra cellulaire - extra cellulaire,
peut avoir échanges, entrées, sorties d’éléments.
2° Cytoplasme : hyaloplasme + tous organites cellulaires (mitochondries…)
3° Noyau : noyau identifié avec sa propre membrane « nucléaire ». Présente particularité
morphologique : percée de « pores nucléaire » : pas continue, à intervalles réguliers. Il présente
substance intérieure : « nucléoplasme », plasma du nuclé, donc noyau. On y trouve chromatine (=matériel héréditaire lorsqu’il n’est pas
encore visible (chr) quand cellule pas en division).
Caryotype : étaler chromosomes par paires.

Dans les 2, hyaloplasme (en grec : plasma transparent) : n’a aucune fonction biologique (substance amorphe). La seule à contenir éléments,
organites, mais sans participer à réactions : juste contenant +/- liquide.
Matériel héréditaire : stockage d’information (carte mémoire) & expression de matériel génétique (il faut matériel pour qu’il s’exprime,
réalisé par ARN principalement).

Virus : pas cellules, ni procaryote, ni eucaryote. Est-ce vivant ? : structure simple. Possède qu’1 des 2 acides nucléiques : virus à ADN ou ARN :
stockage & mémoire dans les 2 cas. Stocke mais ne se reproduit pas ? Se reproduire : utilise machinerie métabolique de cellules eucaryotes &
procaryotes, se fixe sur cellules (procaryotes : virus bactériophages) & déverse matériel génétique à intérieur de cellule, qui va ensuite
reproduire virus. Certains sont pathogènes mais plupart inoffensifs, hyper sélectifs.
Autre fonction : virus « rétrovirus » n’ont pas d’action directe. SIDA agit sur système immunitaire (lymphocyte) & réduit capacités de défense
d’organisme. Ils ont grande capacité à muter (COVID), (sans savoir pourquoi : facteurs extérieurs ou s’inscrit dans fonctionnement
intrinsèque ?)

Mitochondries : matériel génétique =/ & résiste beaucoup mieux à temps par rapport à noyau. Hypothèse dans évolution : mitochondrie à
origine de cellule procaryote. Mitochondries se reproduisent en même temps que cellules, & fonction vitale : respiration.
Membrane plasmique : couche + superficielle de cellule, hautement spécialisée, qui limite cellule à sa périphérie & isole du milieu
extracellulaire, agit comme filtre sélectif & contrôle entrées, sorties : frontières poreuses. Structure essentiellement lipoprotéique (composée
de lipides & protéines). 3 couches de membranes « trilaminaire » : composée de 2 couches denses qui englobe couche claire. Globules rouges,
hématies : 35% de lipides, 55% de protéines & 10% de glucides  90% « protéo lipidique » : protéines situées sur les 2 faces de membrane
plasmique liées par covalence à lipides de cette membrane.

Fonctions de cellules (variées) :
Fonction de perméabilité : activité physiologique, cellule directement tributaire d’échanges qu’elle réalise avec environnement : doit puiser
nutriments dont elle a besoin, assimilable par organisme ou cellule directement. Aliments transformés donc non directs : puise glucose,
vitamines, ions… & rejette déchets en dehors de cellules qui proviennent de métabolisme (d’activité biologique). Substances diverses
traversent dans tous les sens membrane qui présente perméabilité « sélective ».
Mais plusieurs cas de figure :
1° Perméabilité liée à spécialisation cellulaire : dépend de type de cellule pour substance donnée. Exemple : sodium radioactif (Na+ : on le
visualise facilement) : comparer 2 types de cellules : hématies & cellules nerveuses =/ces : hématies présentent + grande perméabilité.
2° Elle varie suivant endroit de cellule considérée : varie d’endroit à autre, pôle cellulaire à autre. Exemple : tissu où il y a beaucoup de
passage ou transit : intestin (nutriments) : passages =/ entre entrées & sorties en fonction du pôle.
3° Varie en fonction d’état physiologique de cellule à moment donné : suivant état, +/- perméable à tel type d’évènement : cellules cycliques.
4° Peut être modifiée par facteurs externes : physiques (température) – chimiques (hormones) : influence cellule & activité de membrane +/-
perméable.

Mécanismes d’entrées – sorties – fonctionnement :  


1° Endocytose : pénétration de matériel de milieu extracellulaire dans cellule (milieu intracellulaire - organisme), par invagination de
membrane plasmique, suivie de formation de vésicules s'isolant dans cytoplasme. Pas de mécanisme lors de rencontre (contact) avec face
externe de membrane à moment donné. Lors de période active de membrane, contact provoque déformation morphologique : membrane
forme sorte de petite poche qui va entourer éléments à ingérer « invagination », qui se referme ensuite complètement. Nécessite beaucoup
d’énergie car poche va être libérée à intérieur de cellule (éléments isolés du reste de cellule par poche).
Phase de contact passive & période active que lors de contact, suivant taille & nature de matériel ingéré, 2 processus :
« Phagocytose » : processus mis en œuvre par cellules immunitaires spécialisées pour internaliser micro-organismes & cellules apoptotiques
(mort cellulaire programmée). Matériel solide, de grande taille & concerne bactéries de la part de globules blancs.
« Pinocytose » : type d'endocytose permettant capture de micromolécules dans de petites vésicules, redirigées vers lysosomes en vue de leur
assimilation. Processus fréquent chez organismes filtreurs. Elle joue rôle dans absorption de certaines toxines. Absorption par cellule.
Matériel liquide & de très petite taille.
Fonction, endocytose intervient dans : 1° Nutrition de cellule // 2° Mécanismes de défense d’organisme // 3° Transit de nombreuses
substances (qui se déplacent, vont & viennent entre cellules), sans interactions biologiques.

2° Exocytose : de milieu intra vers extra cellulaire. Se produit quand vésicule initialement dans cytosol,
contenant solutés (enzymes, hormones, neurotransmetteurs) fusionne avec membrane plasmique, libérant contenu dans espace
extracellulaire. Eléments se retrouvent face à côté interne de membrane. Cytoplasme de cellule n’est pas stable, fixe mais en mouvement
« courants cytoplasmiques » : tendance centripètes, envoient vers milieu de cellule. Lors de contact avec face intérieure de membrane :
formation de matériel transitoire (structure) « diaphragme ». Une fois formée : s’autodétruit « se résout en micelles », s’effrite & laisse passer
élément dans milieu extracellulaire. Membrane se reconstitue ensuite & retrouve sa continuité. Intervient dans rejet de déchets produits par
fonctionnement de cellule & intervient dans transit d’éléments.

2 fonctions d’exocytose :
A° Fonction d’adhérence : dans tissu, cellules adhèrent les unes aux autres par face extérieure de membrane. Cohésion cellulaire assurée par
plusieurs dispositifs :
1° Espace intercellulaire : 2 cellules continues, membranes ne se touchent pas : espace rempli de substance, matériel, qui permet adhésion de
cellules les unes aux autres (forme de colle, ciment entre cellules).
2° Interdigitations : parfois, dans certains tissu, colle ne suffit pas pour maintenir cohésion. Autre mécanisme de type morphologique : obéit à
loi de tenon mortaise : ni clou, ni vis, principe : permet accrochage de pièce de bois/métal, qui se tiennent d’elles-mêmes. Ici, déformations
morphologiques permettent accrochage de cellules entre-elles. Tissu à fortes contraintes mécaniques.
3° Jonctions intercellulaires : de =/ types :
-Jonctions serrées : cas où pas d’espace entre cellules  2 membranes des 2 cellules sont finalement accolées (tissus denses)
-Jonctions adhérentes : dispositif supplémentaire d’accrochage qui maintient cellules entres elles comme pince qui les maintiennent :
« desmosomes » (=point d'ancrage du cytosquelette de chaque cellule). Tissus à fortes contraintes mécaniques.
-Jonctions lacunaires : tissus où beaucoup de transits. Plutôt qu’utiliser endocytose & exocytose (gros coût énergétique) : entre 2 cellules on a
canaux, points de passage directs de cellule vers l’autre, au sein de même tissu, sans aucun coût énergétique.

B° Fonction de reconnaissance - Expérience : on place tissus embryonnaires dans milieu de survie pour cellules (qui se divisent énormément &
prolifères).
-Milieu de survie dépourvue d’ions calcium : tissu de désagrège, cellules isolées. Ions calcium indispensables à cohésion de cellules les unes
aux autres & matériel qui sert de ciment efficace.
-Cellules dissociées se retrouvent dans milieu de survie avec ions calcium : elles se réagrègent les unes aux autres, reconstituent tissu.
-Dans coupelle avec ions calcium : cellules isolées de 2 tissus =/ : se réagrègent entre cellules de même type & non entre tissu ou type =/. 
Elles savent se reconnaitre entre elles et distinguer cellules =/tes d’elles-mêmes : fonction de reconnaissance.

Fonction localisée sur partie + superficielle de membrane plasmique « le glycolemme ».


Aspects fonctionnels : identité cellulaire, réceptivité hormonale (hormones, médiateurs chimiques) : glandes stockent & déversent dans
circulation sanguine : elles se déplacent à vitesse de circulation biologique & hormones types agissent sur cellules types. Hormones
atteignent toutes cellules car arrosées par sang.
Principe de reconnaissance entre hormones & cellules (attribution) – reconnaissance « morphologique  » : récepteurs hormonaux à surface de
membrane. Formes compatibles ou non selon cellules, hormones & récepteurs « cellules cibles » par hormones correspondantes –
récepteurs.

Fonctions / propriétés immunologiques  :


Savent reconnaitre cellules étrangères à elles mais aussi d’organisme. Lors de greffe : donneur compatible pour éviter rejet - compatibilité &
reconnaissance ou non au niveau de cellule. Lors de transfusion sanguine : compatible ou non, se reconnait ou pas.
COURS N°4 :
Parenthèse spécifique : cellules cancéreuses. Expérience :
-Dans coupelle, milieu de culture se trouve cellules saines isolées (se divisent, prolifèrent, forment tissu. Couche monocellulaire (se compose
d’une seule cellule) : se divisent & quand espace rempli : arrêtent de proliférer car elles possèdent propriété « d’inhibition de contact » sur
couche externe de membrane. Successions de mitoses, mais quand tissu reconstitué : stop.
-Même expérience avec cellules cancéreuses : se multiplient aussi par divisions infinies (plusieurs couches) : propriété de cellules saines
perdue.

Différents organites cellulaires - structures & fonctions :


Hyaloplasme : structure amorphe du système cellulaire, qui ne participe pas à activité biologique de cellule = contenant où baignent
organites.

Mitochondrie
Structure : organite cytoplasmique de forme cylindrique (en bâtonnet), rarement sphérique : diamètre 0.3 à 1 micromètres & longueur de 1 à
5 µm. Nombre variable selon type & endroit. Représente part importante de masse cellulaire totale  : 20% environ. On distingue membrane
externe & interne spécifique : plis « crêtes mitochondriales », replis, orientés & perpendiculaires à grands axe (invaginations). Entre
membranes : espace « chambre externe », « espace intermembranaire ». Intérieur membrane interne : rempli de substance
amorphe « matrice mitochondriale ». Dans matrice : inclusions diverses granules, fibrilles d’ADN (spécifique car au départ, c’était
probablement cellules procaryotes : grande résistance au temps : identification tardive). Elle est comparable à ribosome « mitoribosomes » :
2 formes isolées & accrochées à pédoncule, paroi de membrane interne tapissée par pédoncule avec mitoribosome au bout.

Fonction : fournit énergie à cellule en la stockant et en la rechargeant, sous forme d’ATP (Adénosine Tri Phosphate). Une fois chargée, libère
groupement phosphate qui libère énergie : ATP devient ADP. Quand inverse, ADP  ATP : groupement phosphate (=structure peut libérer
énergie lors de séparation). Cellules utilisent énergie de façon =/te selon type de cellule & endroit de mitochondrie.  
Exemple de neurone : axone suivit de synapse : besoin de beaucoup d’énergie (intervention de mitochondrie). Circulation/vecteur,
neuromédiateur/neurotransmetteur devient message chimique. + de neurotransmetteurs que de besoin : recapture. Cas de dépression :
sérotonine (=molécule produite par neurones pour moduler communication entre d'autres neurones dans cerveau) : problème de recapture
de molécule (1 des problèmes de dépression). Respiration à origine de cellule : mitochondrie. Energie stockée & libérée l’est pour toutes
activités biologiques de cellules. Mitochondrie se calle sur activité de cellule – à demande.

Réticulum endoplasmique
Structure : correspond à système de membranes délimitant cavités closes de formes variables &
généralement aplaties. 2 cas de figure :
-R.E.R. : face externe de membrane tapissée de ribosomes « réticulum endoplasmique rugueux /
granulaire » ou « ergastoplasme »
-R.E.L. : face externe de membrane dépourvue de ribosome : lisses « réticulum endoplasmique
lisse / agranulaire »

Fonctions :
1° De synthèse : RER grâce à ribosome qu’il porte à sa surface, intervient dans synthèse de protéines. REL : dans membrane, se trouvent
systèmes enzymatiques capables de synthétiser certains éléments comme lipides.
2° De transport : cavités de RE peut servir à transports d’éléments divers de cellule à une autre.
3° De détoxification / détoxication : enlever toxicité fondamentale dans membrane du REL : localiser systèmes enzymatiques capables de
métaboliser certaines substances toxiques pour cellules (exogènes ou endogènes) : médicaments, hormones, pesticides… Transformer
toxique en assimilable par organisme. Mécanisme peut être insuffisant.
4° De distribution : exemple : cellule musculaire striées : RE entoure paquet de myofibrilles (glissement de fibres). Quand contraction : besoin
de distribution rapide & efficace d’ions calcium (Ca ++). RE de grande taille pour assurer distribution équitable de Ca ++. Lors d’effort
intense : muscle se bloque, plus de distribution.

Appareil de « golgi » - découvert au 19e siècle


Structure : comme RE, membranes délimitent cavités, disposition + ordonnée & se présente en « dictyosome » : saccules aplatis & empilés les
uns sur les autres. Organite extrêmement polarisé (pôles) : une partie en perpétuelle formation car bouts de membrane s’agrandissent &
forment dictyosome (partie centrale). Autre pôle : partie en perpétuelle destruction instable. Général : appareil occupe position fixe au sein
de cellule : localisé près de noyau.
Fonction : conditionnement de substances exportables (en transit). Eléments véhiculés, emballés & transportés.

Lysosomes
Structure : petit organite cellulaire que l’on trouve partout & contient enzymes qui dégradent plupart de macromolécules biologiques.
Fonction : digestion/métabolisation de déchets produits par cellules & molécules étrangères. Attention, beaucoup de pathologies dérivent
de dysfonctionnement de lysosomes (retard mentaux répandus).

Ribosomes
Structure : formé de 2 sous-unités globulaires de taille inégale & unies (grosse & petite, réunies). Façon isolées : se baladent // Attachées : à
pédoncules à face interne de membrane // Réunies : entre 5 et 40 unités – par de l’ARN messager (filament).

Fonction : synthèse de protéines (=assemblage de petites molécules « acides aminés », de taille modeste).
Enzymes : activités spécifiques sur cellules selon enzyme : facilitent réactions chimiques qui se produisent dans cellule.
Protéines règlent activités biologiques de cellules. 5 types :
1° De structure : participent à matériel de construction d’édifice cellulaire. Exemple : cératine (peau, ongles, cheveux…) – sclérotine
(carapaces d’insectes) – fibroïne dans soies (proc) - collagène : os, tendon… - élastine : compose nerfs.
2° De réserve : ovalbumine : œuf / caséine : lait / gliadine : blé / zéine : mais / ferritine : sang « transferrine ».
3° De transport : hémoglobine (« myoglobine » dans muscle).
4° Contractiles : actine, myosine lors de contraction musculaire.
5° De protection : trombine : rôle fondamental dans processus de coagulation sanguine - problème génétique.
Hormones : insuline, qui participe à régulation de métabolisme glucidique - hormone de croissance.
Microfilaments & microtubules
Structure : microfilaments forment le « cytosquelette » : de cellule eucaryotes & fibres musculaires - structure assez rigide. Microtubules :
filaments du cytosquelette impliqués dans fonctions majeures telles que mitose & transport intracellulaire.
Fonction : responsables du maintien de forme de cellule. Impliqués dans trafic intracellulaire en formant « rails » le long desquels protéines
motrices se déplacent & transportent divers organites.

Centriole
Structure : structure cylindrique avec symétrie d'ordre 9, caractéristique, qui résulte d'arrangement de triplets de microtubules à partir
desquels centrioles sont assemblés : 9 triplets de microtubules.
Fonction : participe à organisation du cytosquelette & régule processus fondamentaux comme migration cellulaire & ségrégation de
chromosomes pendant division : rôle essentiel dans division cellulaire (déplacement de chromosomes à intérieur de cellule).

Cellule végétale :
Structure : organite contenant « chloroplastes », qui renferment substance « chlorophylle » assurant photosynthèse.
Fonction : photosynthèse : lieu où sont fabriquées molécules comme sucres grâce à énergie lumineuse reçue (soleil) : convertir en énergie
chimique – synthétiser composés organiques (glucides, glucose). Eau, sels minéraux (sol) & lumière solaire : rôle central dans maintien du
vivant. Animaux ne synthétisent pas.

Cellule animale :
Noyau cellulaire : représenté de façon sphérique. Type cellulaire peut être =/  : ovoïde (œuf) // réniforme (rein, haricots) // multilobés
(plusieurs lobes) // chapelet (morceaux accrochés les uns aux autres). Plusieurs noyaux : plurinucléés. Règle générale : 1 seul noyau par
cellule.
Exceptions : cellules anucléées sont sans noyau comme hématies car il sert à division cellulaire & donc maintenir lignée. Globules produits
dans moelle d’os. Hématies ne se divisent pas pour en donner 2.

Noyau
Joue rôle essentiel dans vie & fonctionnement cellulaire - expérience de « mérotomie » : fragmentation chirurgicale de cellule, destinée à
étudier rôle du noyau dans cellule eucaryote. La couper en 2 avec micromanipulateur : partie avec noyau & partie sans = milieu de survie.
Après coupure : morceau cellulaire nuclée : survie normalement, croissance s’opère lentement, & se retrouve avec cellule normale.
Morceau sans noyau : activité métabolique diminue vite, synthèse de protéine ralenti & cesse rapidement : morceau se désagrège &
disparait.
Si pas trop tard : greffe de noyau de même type de cellule : activité métabolique & synthèse reprennent : se reconstitue comme au départ.
Mérotomie démontre que cytoplasme peut survire longtemps sans noyau & qu’un petit fragment peut suffire pour éviter mort cellulaire.
-Noyau dirige métabolisme cellulaire : toute activité biologique de cellule (sinon s’éteint)
-Joue rôle primordial, quasi exclusif dans division cellulaire : renferme toute information héréditaire : à la fois support d’information :
renferme ce qui est nécessaire à expression génétique : reproduction (ADN & ARN).

COURS N°5 :
CHAPITRE IV – Mitose, méiose (schémas)
Mitose - division cellulaire : série d’évènements qui se déroulent de façon chronologique, & conduit à partir de cellule mère, à formation de 2
cellules filles, rigoureusement identiques entre elles & à cellule mère. Assure transmission génétique de lignée à l’autre. Permet, 3 cas :
-Développement & croissance d’organismes à partir de cellule initiale « œuf » ou « zygote » : série de mitoses.
-Renouvellement, dans organisme, de cellules âgées ou mortes « apoptose » : mort programmée de cellules - remplacées par mitoses.
-Reconstitution, réparation de tissu lésé (inhibition de contact).
Situation normale, taux de renouvellement de cellule variable en fonction de cellules : se divisent & prolifèrent énormément & d’autres pas
(comme nerveuses). Quand pas en division, cellule en interphase : période de cycle multiplication de lignée où cellule double masse &
volume.

Mitose décomposée en 4 phases :


1-Prophase : grossissement noyau & matérialisation de chr à partir de chromatine. Chaque chr apparait clivé : chromatide. 2 chromatides
attachées l’une à l’autre par centromère. Disparition d’enveloppe du noyau, nucléaire.
2-Métaphase : courte, regroupement & alignement de chr dans plan qui passe par milieu de cellule « plaque équatoriale ».
3-Anaphase : clivage de centromère, séparation : migrent aux 2 pôles de cellule, en chromosomes.
4-Télophase : se reforment 2 noyaux fils : chr se déspiralisent, se retransforment en chromatines puis cellule initiale se divise en 2 cellules
filles « cytodiérèse ».
2n chromosomes : cellule diploïde (23 paires chez nous) avec 1 sexuel : XX ou XY

Méiose - reproduction sexuée : successions de 2 divisions :


1ère : « réductionnelle » / hétérotypique : répartit 2n chr  2 cellules à n chr. Cellule initiale diploïde donne naissance à 2 haploïdes. Attention,
ensuite : soit mitose soit cellules restent en interphase.
2ème : « reproduction sexuée », comme mitose : aboutit à formation de gamètes : cellules reproductrices à n chr. Fécondation - cellule mâle à
n chr rencontre cellule femelle à n chr : œuf initial « zygote » se retrouve avec 2n chr avec 50% matériel génétique père & mère.

Il peut y avoir accidents dans transmission d’informations :


-+ que 46 chr : trisomie (1 en + sur paire 21/13/18).
-Sur 1 chr : petit bout se perd : tous gènes codant caractères sur morceaux se trouvent inopérants.
-Modifications / accidents direct au niveau de gènes.

CHAPITRE V – Génétique : ségrégation (distribution) des allèles (de gènes)

Mendel (loi de Mendel, Mendéliennes), 1822-1884, moine autrichien - père fondateur. Potage : s’intéressait à variations, & avait prédilection :
=/tes variétés de petits poids : croisements, analysait générations suivantes. Notes dans carnets : définissait grandes lois de génétique.
Génétique : étude de reproduction & de variation d’EV, sont associée : niveau reproduction d’espèces. Reproduction : tendance à produire
l’identique & en même temps dissemblable : enfant ressemble ou non à parents (traits généraux d’espèces & sur certains
caractères observables de père ou mère). Modifications s’inscrivent dans descendance : permet diversité d’espèces & évolution. Mutations
& variations génétiques assurent diversité au cours de phylogénie : reconstruire relations de parenté entre séquences de nucléotides ou
acides aminés / phylogénétique : traite modifications génétiques au sein d’espèces animales / végétales – histoire évolutive d’espèce à laquelle
appartient individu étudié. Ontogénétique : développement d’individus.

Zygote : assure descendance grâce à fécondation, fruit de transmission de 2 individus : résultat d’union de 2 patrimoines génétiques, de 50%
père et 50% mère, (1 des 2 gènes porté sur descendance).

Gènes : se trouvent sur chr & chaque gène est responsable de réalisation d’un caractère donné. Chez Homme : environ 30 000. Famille la +
importante de gène : constituent système immunitaire (immunologie).
-Gènes que l’on « voit » : gène codant sur caractère donné, observable, exemple : couleur de cheveux, d’yeux…
-Gènes « isolés », plus actifs « pseudogènes ». Chez homme : la + grande famille après immunité c’est odorat (environ 850 codent pour
odorat) : il n’y en a qu’environ 300 de fonctionnels & environ 400 pseudogènes. Au cours d’histoire évolutive humaine : tous gènes étaient
fonctionnels à moment. Ancêtres de nos ancêtres avaient répertoire génétique développé car nez ras du sol : plus maintenant car homme
s’est redressé (bipède) : odora devenu – important. Mode de vie terrestre, croisement : déclin d’odorat / accroissement & développement de
vision & audition. Odorologie : chiens de policiers. Eléphant : meilleur odorat classifié.
-Gènes « tronqués » : tout le gène n’est plus fonctionnel, seulement qu’une partie.
Toujours localisés à endroit précis sur chr : « le locus » : lieu en latin.

Allèle : versions possibles de même gène, informations =/tes, peut être dominant ou récessif.
Génotype : ensemble de gènes portés par matériel génétique d’individu : représentent potentialités d’individus (mémoire) : pas forcément ce
que l’on voit, ce qui est exprimé. Peut être porteur sain quand maladie génétique.
Phénotype : expression du génotype, matériel génétique : ensemble de caractères observables, susceptibles de varier en fonction de
conditions d’environnement.

Type sauvage s’oppose à caractère résistant : sert de référence (noté +). Exemple chez drosophiles : se reproduisent rapidement & en grand
nombre : descendance. Il existe nombreuses souches mutantes : se distinguent par caractères qui portent sur formes/tailles d’ailes, couleur,
taille, forme d’yeux, taille, forme d’abdomen : proportions de chaque caractère permettent de déterminer lois de transmission (Mendel).

COURS N°6 :
Exemple de drosophile : souche pure, sauvage (non mutée) : notée [+] // souches mutantes peuvent se distinguer par caractères portant sur
ceux que l’on peut voir à œil nu. 2 individus de même souche : descendants de même souche.
Départ : +/+ X vg/vg (parents sont [+/vg]) : Mâle souche pure [+] (grandes taille & formes d’ailes).
Si on croise mâle vestigial [vg] : petite taille & forme d’aile, avec femelle [vg] : 100% d’individus de 1ère génération (F1) sont [vg], de type
sauvage :
Vg Vg
+ +/vg +/vg
+ +/vg +/vg
Génotype F1 : [+/vg].

Puis croiser individus de F1 entre eux - tableau de croisement :


+ Vg
+ +/+ homozygote +/vg hétérozygote
Vg +/vg hétérozygote Vg/vg homozygote
Croiser individu sauvage pure [+] & sauvage type [vg] : 75% [+] & 25% [vg] car vg = récessif. Si vg apparait dans F2 c’est qu’il est présent dans
F1.
Caractères répondent à loi dominant – récessif. Ici, [vg] récessif & [+] dominant. Pour que récessif s’exprime, il faut qu’il soit homozygote
(=/hétérozygote). Si hétérozygote : dominant s’exprime.
F2 : on ne sait pas si individu [vg] est de génotype (vg/vg) car caractère récessif. Dans les 75%, on ne sait pas si (+/+) ou (+/vg) : génotype
inconnu.
Hypothèse : 1/3 de génotype (+/+) & 50% de génotype (+/vg).

Test cross – back cross : consiste à croiser individu tiré au sort avec individu de type récessif.
2 possibilités :
Vg Vg Vg Vg
+ +/vg +/vg + +/vg +/vg
+ +/vg +/vg Vg Vg/vg Vg/vg
Tous +/vg 50% de population de génotype (+/vg) & 50% de génotype (vg/vg)
Type de croissement : croiser 2 homozygotes vg x vg : tous homozygote (vg/vg) / 2 homozygotes + x + : tous homozygote de souche pure.

Pas confondre phénotype (s’exprime, ce qu’on voit) & génotype (2 marques de gène sur chr) + dimension dominant – récessif.
Co dominance : absence de relation dominance-récessivité dans transmission génétique – chez hétérozygote, expression dans lieu donné de
2 allèles =/ codant pour caractères exprimés sans qu'aucun d'entre eux ne masque l'autre : s’expriment tous les 2.

Quand récessif s’exprime, il faut que ce soit homozygote. Quand dominant, il suffit qu’il y ait 1 gène sur les 2 pour que ça s’exprime.
Voir exemple feuille : pédigré couleur yeux bleus/marrons. Qu’en déduire ?
Hypothèse : forte probabilité pour que b récessif. Quand récessif, peut facilement sauter génération + contre-hypothèse.
Exercice, sujet ancien : le même jour, Jean & Claude achètent chacun un couple de souris dont femelle a pelage brun & mâle, pelage noir. 6
mois + tard, Jean revoit Claude & apprend que couple de celui-ci a descendance de 34 petits nés en 3 portées, tous de couleur noire. Couple de
souris de Jean n’a que 15 descendants nés en 2 portées, dont 7 noirs & 8 bruns.

1° Comment peut-on expliquer que du point de vue de couleur, descendance du couple de souris de Jean soit =/te du couple de Claude ?
Génotype de souris de Jean & de celles de Claude est =/. Hypothèse : gène de fourrure noire dominant N – brun récessif b.

2° Question : Quels sont les génotypes du couple de souris de Jean ? Justifiez. Et le génotype des petits ?
Jean : N/b soit b/b
N b
b N/b b/b
b N/b b/b

3° Question : Quels sont les génotypes du couple de souris de Claude ? justifiez. Et le génotype des petits ?
Claude : N/b soit N/N
N N
b N/b N/b
b N/b N/b
Gènes de souris de Jean hétérozygotes ou homozygotes – Claude hétérozygotes

Contre-hypothèse : Brun : B dominant / Noir : n récessif


B n B B
n B/n n/n n B/n B/n
n B/n n/n n B/n B/n
Tous de génotype (B/n) : hypothèse ne fonctionne pas. N dominant & b récessif - génotype de petits : Jean : N/b (7) et b/b (8) & Claude : N/b.
Vérité fausse (mauvais exemple) car : co-dominant : ils sont soit N/b soit B/n

COURS N°7 :
Chr  Gènes  Allèles. Fécondation : père & mère donnent 50% de leur patrimoine : distribution = ségrégation des allèles.
Phénotype : ce qui s’exprime / Génotype : ce qui est codé dans gènes. Gène récessif : pour qu’il s’exprime, il faut qu’il soit homozygote / Gène
dominant : homozygote ou hétérozygote, mais tout ne fonctionne pas sur ce mode : codominant.

CHAPITRE VI : hérédité liée au sexe


Transmission de certains caractères : lié à sexe. Chez Homme : 2 chr par paires, dont 1 paire chr sexuels : F-XX / M-XY (idem drosophiles).
Règles :
-Mâle ne peut transmettre chr X qu’à descendant féminin. Ce chr ne peut réapparaitre chez mâle qu’à génération suivante.
-Mère transmet 1 de ses chr X à chacun de ses descendants, qu’il s’agisse de mâle / femelle. Ce chr ne pourra être transmis que par canal de
descendance féminine.

Exemple drosophile : croisement femelle de souche pure [+] avec mâle de souche mutée [w] (yeux blancs).
Génération F1 tous type sauvage : w récessif.
Descendance d’individus de F1 : génération F2 apparait avec proportions 3/4 [+], 1/4 [w]. Toutes femelles sauvages (50%) & 50% mâles : 25%
type sauvage & 25% type white.

Croisement femelle w & mâle souche pure  + :


Génération F’1 : 50% mâles w & 50% femelles sauvages.
Si on croise individus de F’1 : F’2 : 25% d’individus mâles + / 25% mâles w / 25% femelles + / 25% femelles w
=/tes proportions selon croisement  : caractère porté par chr sexuels (w récessif). Si chr XY mâle (caryotype) : Y petit par rapport à X : il y a
certains nombre de gènes portés par X qui n’ont pas de correspondance sur Y (devient de + en + petit).
Tableaux de croisement :
Femelle w (x) rien (y)
Mâle
+ (x) +/w +/-
+ (x) +/w +/- (rien)
Ils sont tous sauvages. Attention : qu’ils soient mâles ou femelles : toutes femelles ont même génotype & tous mâles ont même génotype
(hétérozygotes & homozygotes).

F2 :
F + - Rien
M
+ +/+ +/-
w +/w w/-
Toutes femelles sauvages & Mâles : 50% sauvages / 50% whites

Croisement femelle white w/w & mâle +/- :


F + -
M
w +/w w/-
w +/w w/-
50% femelles sauvages & 50% mâles whites
F2 :
F w -
M
+ +/w +/-
w w/w w/-
25% / 25% / 25% / 25%.
Caractère soit porté par mâle / femelle (sexe) a incidence sur transmission de caractère car proportions =/tes de gène du caractère porté.

Exemple Homme : défaut vision de couleurs : daltonisme - gènes codent pour ensemble de toutes couleurs
& nuances : 3 longueurs d’ondes =/ dont 2 portés par chr sexuels.
Pédigré, 5 générations (partir du bas vers haut) : quand trouble, grisement de case si daltonien (peut être
malade (atteint), porteur sain ou sain).
Je sais que toutes daltoniennes : d/d & daltoniens : d/- (rien) & vision normale : N/-.
Il y a 13 daltoniens : 2 femmes & 11 hommes atteint surtout hommes (proportion).
Défaut de vision de couleur lié à sexe : récessif. Femmes à vision normale peuvent transmettre daltonisme si
hétérozygote (N/b). Pour que fille soit daltonienne, il faut que père le soit & que mère soit hétérozygote /
homozygote. Femme daltonienne à obligatoirement garçon daltonien (pas fille).

Exemple drosophile (ne pas oublier de tester contre-hypothèse)


Croiser 12 femelles yeux rouges & 6 mâles yeux blancs F1 : 140 femelles yeux rouges & 120 mâles yeux rouges.
Croiser entre eux individus de F1  F2  : 139 femelles yeux rouges & 72 mâles yeux rouges / 72 mâles yeux blancs.

1° Concernant caractère couleur yeux, fonctionne-t-il sur mode dominant – récessif, si ou lequel ?
Hypothèse : yeux rouges dominant : R / yeux blancs récessifs : b  car F1 a yeux rouges en totalité.

2° Est ce qu’il s’agit de gène porté par chr sexuel (lié au sexe) : si oui ou non pourquoi ?
Hypothèse : oui lié au sexe  F2 : proportions rouges & blancs =/te selon sexe.

3° Pour chaque génération, établir génotype possible.


Hypothèse : si blancs récessif : mâles forcément b/b // double hypothèse : mâle forcément b/- // femelles : peuvent être R/R ou R/b

Tableaux de croisement de F1
F-M b -
R R/b R/-
R R/b R/-
Tous sont R : homozygote. Femelles & mâles ont même génotype.

F–M b -
R R/b R/-
b b/b b/-
Ne fonctionne pas.

F2 :
F–M R -
R R/R R/-
b R/b b/-
Toutes yeux rouges en F2 & mâles : 50% rouges & 50% b. Hypothèses validées.

COURS N°8 :
Exercice myopathie de Duchenne : dégénérescence du système musculaire (1 garçon / 5000). Garçon myopathe ne peut avoir d’enfants.
N : normal // d : Duchenne // x : rien.

1° Déterminer mode de transmission de maladie (dominant-récessif, lié ou non à sexe).


Hypothèses : récessif car pas toute génération touchée & lié à sexe car d’après définition, seulement garçons touchés.

2° Expliquer pourquoi femmes ne sont pas atteintes par maladie.


Rarement cas car si fille devait être hétérozygote N/d & qu’elle perd bout de chr où il y a N : d s’exprime.

3° Si possible, déterminer génotype de chacun d’individus sur pédigré


Schéma Impossible de conclure si liés ou non à sexe : se fier à définition pour répondre : donc lié.

CHAPITRE VII : gènes liés (YouTube)

Questions probables / similaires à examen :

-Donner caractères généraux d’EV – expliquez les 4 en détails

-Qu’est-ce que métabolisme cellulaire ?

-Quelles sont caractères primordiaux de biosphère ?

-Dans biotype donné, qui sont hétérotrophes / autotrophes ?

-VRAI / FAUX : les ions chargés positivement s’appellent … & les ions chargés négativement s’appellent ….

-Les enzymes sont protéines ?

-VRAI / FAUX : les protéines sont constituées par des enchainements d’unités + petites appelées : acides aminés.

-Quels sont les principaux représentants de cellules procaryotes ?

-Les virus sont des cellules ? Si oui / non, pourquoi ?

-Expliquer comment virus procède pour se reproduire ?

-Il y a différents virus, lesquels ?

-VRAI / FAUX : les cellules animales sont cellules eucaryotes.

-VRAI / FAUX : les cellules de champignons sont cellule eucaryotes.

-Quelle est structure de membrane plasmique ? Quelles sont ses fonctions ?

-Décrire mécanisme d’endocytose & ses fonctions.

-Décrire mécanisme d’exocytose & ses fonctions.

-Faire schéma & annoter les =/tes parties de mitochondrie. Quelles sont ses principales fonctions ?

-Quelles sont les 2 types de réticulum endoplasmique ? Expliquer analogies & =/ces. Quelle est fonction du réticulum endoplasmique ?

-Quelle est fonction principale de ribosomes ?

-VRAI / FAUX : toutes cellules possèdent noyau.

-En quoi consiste l’expérience de la mérotomie ?


-Noyau cellulaire : expliquer sa structure & ses fonctions.

-Mitose : décrire =/tes étapes.

-Méiose : décrire =/tes étapes.

-Expliquer analogies & =/ces entre mitose – méiose.

-Qu’appelle-t-on des gènes allèles ?

-Qu’appelle-t-on des gènes liés à sexe ?

-Qu’appelle-t-on gènes liés ? (Pas à partiel s’il fait ce qu’il dit)

-Expliquer mode de transmission de type dominant / récessif & illustrer ceci avec exemple vu en cours.

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