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2 gr changements : le dev devient transitif -> pas spontané, mais les pays dev pourraient le
susciter dans d’autres régions. Rupture avec l’analogie traditionnelle, mais tjr idée de
rattraper le retard. La moitié du monde est en retard. Tjr une finalité de la soc capitaliste,
consommation de masse qui est l’idéal type vers lequel l’ensemble du monde tend.
« concept charnière qui engloutissait la diversité innombrable de l’hémisphère sud dans une
seule et unique catégorie : sous développé » (Sachs, 1990, p.3)
On nie les sec éco, soci, pol des différentes soc. Seulement 2 modèles : les pays occidentaux
et les autres.
Idée qu’au nom de la réduc de la pauvreté, entrer dans des marchés internationaux.
Introduction d’un rapport de dépendance entre les anciens colonisateurs et les colonies. Ce
concept -> à travers ce dev, exploiter des richesses sans occuper le territoire.
Ordre mondiale nouveau fondateur des politiques internationales et nationales (politiques).
Approche libérale avec l’essor de la théorie du ruissellement. Trickle down effect. Une des
principales bases éco néo-libérales. Image des coupes de champagne (mariage). Permettre à
une partie de la pop d’accéder à des richesses, va, par investissements, va permettre d’aider
d’autres personnes.
Cette théorie va être appliquée à l’échelle mondiale. La croissance des Etats développés va
permettre par ruissellement de dev les autres états.
-> s’appuie sur le développement économique
Cette pensée s’appuie sur des pensées anciennes qui viennent de l’Antiquité ->
L’évolutionnisme social. Ce n’est pas apparu au lendemain de la 2GM. Ce qui a évolué après
la 2GM est la centralisation sur le dev ECO + transitive (certains acteurs favorisent ce dev).
Apparition de politiques publiques nationales et internationales pr favoriser le dev.
3. La dimension économique du dev
3.1 Fondements théoriques
L’eco devient la finalité du dev, ou à minima, le moyen principal pr atteindre le bonheur.
Trickle down effect
-Travaux sur le capitalisme industriel au 19e.
- théorèmes de base de la science économique, l’accumulation comme facteur de
production et de croissance
1ère théories du dev portent sur la croissance économique.
Glissement sémantique -> Evolution entre dev et croiss eco. Entrée dans les marchés. Gilbert
Rist : « le dev n’est r d’autre que l’extension planétaire de l’économie de marché ».
3.2 : La théorie du décollage ou des étapes de la croissance
Théorie de Walt Rostow, 1961 : « stades de développement ». On théorise les étapes de la
croissance économique.
Etapes pensées comme universelles. Consommation de masse -> finalité de dev.
Lundi 6 février 22
Arthur Lewis : catégorisation des Etas en fonction d’un modèle unique de développement :
« sous-développés », « en développement ».
La modernisation rostownienne (étapes de croissance) va guider les politiques
internationales. Consacre les espoirs et déceptions dans les états considérés comme « sous
dev ».
Contexte : Période de pleine croissance, plein emploi (années 60) dans des pays. Période
d’accès au confort.
4.Prmières remises en cause
4.1 La théorie de la dépendance
La théorie du décollage de Rostow a nourri les espoirs, illusions.
Théorie de la dépendance apparait. Portée par des auteurs avec des disparités idéologique
d’inspiration marxiste (+ ou – marqués, intenses).
Echange inégal et division internationale du travail expliquent le cycle de la dépendance
économique des pays en voie de dev par rapport aux pays dits développés.
2 niveaux de critique :
- monopoles de certaines entreprises
- Rôle des Etats nationaux ds le relais, le maintien de cette dépendance
Se répend en partie en dehors de la sphère scientifique mais peu dans la sphère politique
(car dit qu’elle sert les intérêts des élites et pas de l’ensemble de la pop).
« dev », « sous dev » -> 2 phases d’une mm pièce. Différence : deux stades distincts d’un
processus linéaire.
Critiques : ne remet pas fondamentalement en cause le contexte libérale.
De + en + difficile de prouver que les soc sont dépendantes réciproquement.
Cette théorie a souligné la conception tradi occidentale sur la finalité.
4.2 Apport de l’analyse historique
Débats ds les années 50 portent sur un epossible logique de perpetuation du dev ou sous-
dev. Repérer les facteurs qui tendent à croitre ….
limites du modèle de Rostow.
Réflexions diverses qui montrent tt que l’apport de capitaux ds les régions ss-dev ne suffit
pas pour avoir une dyn de croiss eco.
Alexander Gerschenkron. Années 50, remet en cause l’idée d’un dev universel :
-situe la problématique du dev ds un cadre saptio-temporel.
Souligne la diversité des trajectoires de dve
- Mise enlumière des similiratés conduit svt à la généralisation (demi-vérité)
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On a tendance d’ériger des modeles de dev à un instant T sans pec les trajectoires diverses
pr y arriver.
Plsr voies. Phénomène de rattrapage économique = application d’instruments
institutionnels.
Les trajectoires dépendent des contextes socio-éco-politiques de chaque Etat.
->diversité des sit et caractéristiques des pays « ss-dev »
-> des points communes avec certaines situations dans des pays industrialisés
Conclusion
….
2e moitié du 19 : dev est un processus et une finalité. Confusion présente liée à la conception
normative du dev proposée : idée qu’il n’y aurait qu’une seule finalité, organisation socio-
éco vers laquelle tend l’ensemble des sociétés.
Notion de dev polysémique. Discours politiques, plsr acteurs impliqués. Ancrée ds la pensée
occidentale mais anime tjr des débats et est ancrée dans les politique publiques.
Champs des études en dev (interdisciplinaire) est partagé entre 2 tendances : réflexion
globale sur le dev avec ressorts, facteurs (tendance à inspirer les pol publ) et autre :
politiques publiques de dev (enjeux, contraintes, à quoi elles répondent).
Trancher dans quoi porte notre réflexion.
1ere théorie qui prend en compte l’espace mais il est réduit à un cout. Ne prend pas en
compte les spécificités (topographiques) du territoire.
-irréalisme …
-invalidé …
L’espace est envisagé comme un coût et uniforme.
1.2 Apports d’Alfred Marshall : le district industriel et les économies d’agglomération (1890)
Alfred Marshall : Théoricien économique.
Expressions de districts et d’atmosphères industrielles.
Met en avant la tendance naturelle des entreprises industrielles à se concentrer, regrouper
dans l’espace, « cluster ». L’explique par la circulation de l’innovation entre les entreprises,
…. Les facilités d’accès au marché du travail
Diversité des liens entre les entreprises facilite l’innovation …
Novateur mais ignoré par le champs économique. Remobilisé dans les années 1970.
Espace pas seulement pensé comme un cout de transports, contraintes naturelles.
1.3 Modèle d’Alfred Weber : théorie de la localisation industrielle. Son frère est Max Weber.
L’espace est un prisme de localisation des entreprises. Place dans l’économie spatiale. Les
entreprises intègrent les avantages comparatifs aux lieu.
Distance :
-aux marchandises et aux marchés (avant variable + déterminante. Maintenant bcp moins
mais pourrait réapparaitre)
-au marché de l’emploi
-aux économie d’agglomération
La localisation des entreprises dépend de ces variables, pas que du coût de transport.
1.4 Modèle de Walter Christaller (1933) et August Losch (1940) : théorie des lieux centraux
Cmt se structurent les espaces urbains ?
Rendre compte de l’espacement et des inégalités de la taille des villes par leur fonction
économique.
Postulats suivants :
-espace géographique homogène
-comportement maximisateur des agents
- prix fixes
-coût de transport à la charges du consommateur rural
- économie d’échelle
Modèle va dessiner une position centrale des villes qui permet de minimiser les couts. La
centralité n’est pas que fonctionnelle, aspect symbolique ses villes.
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Les travaux qui portent sur ces régions mette en avant l’imp des différents liens qui lient les
entreprises (commerciaux, familiaux)
2.1.3 Avènement de la science régionale
Asso de Science Régionale créée en 54. Initiative de Walter Isard. Va s’intéresser au rôle de
l’espace dans le terr. Démarche qui conduit à des démarches pluridisciplinaires pr
s’intéresser aux spécificités …
L’espace n’est plus une variable ds l’aspect économique mais au rôle de l’espace dans l’éco.
Science rej soutenue, Financée massivement en Europe et aux EU. 1. Contexte de
reconstruction. 2. Guerre Froide. Les impacts des activités territoriales….. Le champ pol veut
comprendre les enjeux territo ….
Auj, dominée par le champs de l’économie. Economie de modélisation. Maintenant ->
géographes.
Elle va être un support scientifique, comprendre les spécificités territoriales.
Territoire et dimension sociale de l’espace qui apparait petit à petit.
2.2 De nvx modèles de dev : le dev endogène et le dev local
Ces modèles prennent en c les disparités et spécificités territoriales. Petit à petit,
changement de pensé …
2.2.1 Le dev endogène
Né avc la nécessité de freiner les inégalités de développement ds l’espace. 2chelles
régionales, internationales (infranationales).
Adience imp ds les pays du sud, « en voie de dev » : s’appuyer sur les ressources locales. Dev
par le bas, décentralisé, ascendant.
Croiss éco est un objectif et moyen. Cet obj peut se faire qu’à partir et avec .. .
Il s’associe aux premières prises de conscience env. Ds le courant endogène, apparition de
l’éco-développement. Pays en « voie de dev ». Finitude de certains ressources nat. Logique
de limite des investissements étrangers et besoin d’un dev qui part de la base pr profiter à la
pop.
Combine 3 dimensions :
-économique (croiss éco à travers l’expl de ressources prov en partie de la région
-socio-culturelle (reflete les besoins culturels, appelé identité communautaire)
-dimension politique (intégration de groupes et ind dans la prise en compte)
Elargissement du dev. Pas que croiss éco. Intégrer des dimensions soc et pol.
Années 50 -> gr entre qui ouvraient de nvx marchés ss prendre les spécificités des pays.
Modification de l’identité culturelle et patrimoniales. Entretenait aussi des régimes
autoritaires.
Dev endogène : réponse à ce pb. Les régions doivent bâtir le dev à partir de leurs ressources
sans attendre des aides extérieurs qui ne sont pas neutres.
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Ces 2 approchent mettent accent ds un territoire donné, un potentiel économique selon des
filières.
On s’intéresse à l’ancrage des activités eco dans un terr. Système de prod géolocalisés
spécifiquement. Les avantages
3.1. Les districts industriels
Années 70 -> « redécouverte » du concept marchallien de district industriel : G.Becattini
explique la résilience de certaines régions italiennes (centre/nord) spécialisées ds
l’habillement/cuir, petite mécanique. Régions qui résistent à la crise éco.
Traits caractéristiques. District industriel :
-territoire organisé autour d’une petite ville, spécialisation ds la prod d’un produit spécifique
qui nécessite la collab de savoir-faire accumulés localement,
-l’agglomération de nombreuses PME (petites et moyennes entreprises) spécialisées et liens
qui oscillent entre coopération et concurrence,
-des économies externes et l’homogénéité du territoire,
- une atmosphère favorable à l’apprentissage par un marché localisé et spécialisé à l’échelle
locale.
- un fort consensus social, sentiment d’appartenance à une communauté locale
- existence d’institutions collectives entre ces PME
Regain pour les PME qui ont une capacité d’adaptation que les grandes entreprises n’ont
pas.
Citation de Becattini « … »
L’espace n’est plus seulement une distance, mais aussi une appropriation.
Critique : ces grands traits énoncés à partir des districts italiens donc construction d’un
modèle type. Travaux oscillent entre 2 tendances : caractéristiques qui reviennent et, dans
un mm temps, spécificités. Démarche empirique : expériences, études de cas.
Pas de méthode de comparaison donc déclinaisons d’études.
3.2. Le théorie des milieux novateurs
Dev par Philippe Aydalot et Denis Maillat
Comprendre l’imbrication entre les activités économiques et les contextes territoriaux.
Accent sur le terr et les conditions qui existent ds ces terr ..
Capacité d’innovation est pensé comme le produit d’un ensemble d’interactions au niveau
de la prod du marché, de l’environnement institutionnel.
L’env institutionnel parait essentiel …
L’espace est un construit soc qui a des particularités qui vont pvr constituer des ressources.
Inventeur : invente et Innovateur : diffusion
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E 1998, 2e définition pour corriger la première. « une forme de réseau qui se produit dans
une localisation donnée, où la proximité d’entreprises et d’institutions assure certains
éléments communs et améliore la fréquence et l’impact des interactions ».
Dans les clusters -> logique de réseaux.
Acteurs : associations, universités, think-tank : réunions de groupes (personnels
d’entreprises, personnes influentes, intellectuels qui conseillent des politiques publiques).
Technopoles : favoriser des liens entre les entreprises. Vont concentrer bcp d’espoirs et de
désillusion. Les clusters vont prendre la suite des technopoles dans les politiques publiques.
L’espace dans l’approche de Porteur est l’avantage de proximité. Mais ce n’est pas parce
qu’on est localisé à proximité qu’on a des interactions sociales.
Critique : idéologie libérale qui oublie les effets des institutions. Elles peuvent restreindre les
circulations des biens et capitaux.
Pas de reconnaissances des acteurs. Pour lui, les acteurs sont concurrentiels. Ils ne
coopèrent que s’ils en tirent un avantage. Il néglige le fait que les acteurs peuvent avoir une
autre forme de logique que la compétition -> coopération. Ex : Acteurs de coopération
solidaire.
Auj, la logique de rentabilité éco peut s’appuyer les coopérations.
3.5. Apports et limites des modèles territoriaux d’innovation
Innovation : capacité à s’adapter à des transformations
Multitude de modélisations faite.
………
Ils démontrent la dimension interactionnelle de l’innovation.
Les biais analytiques :
- démultiplications des modèle set faible généricité. Les études de cas ne s’appuyaient pas
sur un cadre théorique commun. Ont conduit à élaborer des territoires types.
- ces modèles ont bcp mis un dev par le bas. Excès d’optimisme parfois. Etude des exceptions
prometteuses. On a supposé qu’on pourrait calquer les modèles dans les régions en crise.
- fondés sur une ontologie économique : toute forme de relation est soumise d’emblée à un
calcul d’intérêt/la pertinence des relations dépend de leur contribution à la valeur ajoutée.
Un concept : prise d’analyse qui permet d’analyser un phénomène. On ne peut pas atteindre
la réalité, c’est la superposition de pleins de lunettes. On choisit un prisme de vue.
Ontologie : philosophie qui rassemble les lunettes pour analyser. -> Logique économique.
Diversité des traj possibles pr améliorer la vie des hab, qui se repose sur une logique
économique.
Dev communautaire remet en cause l’ontologie économique.
L’approche territoriale ….. permet un espace de discussion pr comprendre les contextes
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Cours 3
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Chap 3 :
3.Acteurs et gouvernance du développement local
3.3. Citoyenneté et décision locale : la gouvernance territoriale peut-elle être
démocratique ?
En France : démocratie participative comme complément de la démocratie représentative
L’échelle locale comme échelle de prédisposition ?
Loi relative à la démocratie de proximité (2002) : création des conseils de quartier obligatoire
dans les villes de + de 80 000 habitants/facultatif pour les villes de 20 000 à 80 000 habitants.
Révision constitutionnelle – acte II de la décentralisation (2003) : droit de pétition et
référendum local
Limites :
-surreprésentation de l’habitat individuel
-expression des intérêts privés contre l’intérêt général
- délibération peu décisives
- ne mobilise pas l’ensemble des catégories de population
Processus de dev -> coordination de différents acteurs
Reconnaissance du rôle des cit : société civile et individuel (un à un)
Enjeu en Fr de l’intégration de la démocratie participative.
Limite de cette démo : volontaires pas forcément représentatifs de la pop et untérêts ind à
l’encontre …
Peut de démarches de « grandes ampleurs ». Budgets participatifs.
Ateliers participatifs. Surreprésentations de prof, retraités, cadres et professions
intermédiaires. Sur-représentation des pop les + diplômées, + âgées et parfois étudiants
(milieu urbain).
Certains pop sous-représentées. On exclue involontairement ou volontairement une partie
de la population. Horaires.
On veut intégrer le + possible de citoyens mais ces outils de participation citoyenne ont bcp
de limites et reposent sur le coordinateur.
3.4 Les conflits
Coordination ne veut pas dire absence de conflits.
Gouvernance territoriale =/ vision idyllique des relations économiques et sociales.
Parce qu’on passerait à l’échelle locale, suppose que la coordination entre les acteurs est +
simple que l’échelle nationale car ils partagent un mm territorial.
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Le volume de brevets a été x15 en 20 ans. Les brevets ne correspondent plus à une
innovation réelle. On s’en sert pr localiser une innovation -> métropoles avec les sièges
sociaux. Les organismes qui permettent de poser un brevet sont situés dans les métropoles.
Richard …. : une série d’innovateur qui innovent seuls, localisés dans les espaces ruaux,
inductriels. Cas de l’industrie et l’artisanat. On brevète – dans ce type d’entreprise (dans les
PME que les grands groupes). Ces entrepreneurs ne travaillent pas ts en réseaux, pas besoin
d’être en contact avec les autres.
Proximité spatiales temporaires (séminaires, salons, forums).
Proximité organisationnelle
Diversité dans les stratégies d’innovation stratégique.
Discours ambivalent entre le champs politique (2 logique : innovation concentrée et
agglomérée et dans les métropoles) et scientifique
Métropolitano-centré
Conception de l’innovation économique.Visée commerciale. Acteurs productifs visés.
Progressivement -> innovation sociale.
2.Penser des formes plurielles d’innovation
2.1. Innovation sociale ?
Fruit de plsr courants -> svt social.Innovation soc peut être un concept pr comrendre les
crises de la soc. Remobilisée au 20e s pr expliquer l’évolution des rapports sociaux.
Années 90 -> IS recouvre une diversité de phénomène. Initiatives, alternatives aux marchés.
OCDE peine à d éfinir l’IS car elle semble – tangible que l’innov technologique.
Def posée par le Conseil de la Science et de la Technologie au Québec : « Tt nvl approche,
pratique ou intervention, ou encore ….»
Dans cette def, l’IS est définie par les objectifs sociaux auxquels elle répond. Et par tant par
ce qu’elle est. Notion polysémique. Sens diff ds le champs politique et sens diff dans le
champs
-mode de transformation d’adaptation des institutions ; Outils modernisation politiques
publiques. Contexte de New Public Management (conception renouvelée des pol publique
qui vise à réduire les financements. – investir dans les pol publ et mieux investir dans les pol
publ). Dématérialisation en est un exemple.
L’apparition apparait dans un contexte de limitation de la dette publique.
Pour les gouv, levier de refonte des pol publ. Comble les manques de l’etat
……………
2.1.3 …
L’innovation sociale vise à répondre …
Initiatives collectives, ascendantes, non gouvernementales. S’inscrivent dans des contextes
territoriaux collectifs.
Lundi 6 février 22
Ces lieux du num se diffusent très rapidement ds les années 2000 et conduisent les pol publ
à être attentif. Espaces urbains visés en premier. Créent des dynamiques entrepreneuriales
et transforma la vision de certains quartiers. Ville créative avec l’idée que ces lieux attirent
une pop fortement qualifiée. Encourager ces lieux là ds d’anciens quartiers industriels.
Moyen de stimuler le renouvellement de ces quartiers. Institutionnalisation de la
reconnaissance de l’importance de ces lieux.
Très vite, enchevêtrement dans le vocabulaire. Petit à petit, regroupé sous la grande
appellation tiers-lieux. La notion scientifique dev par Oldenburg est réutilisé là avec le nom
(pas tt à fait lieu de travail ni lieu résidence) mais ça s’arrête là. Qualifie les espaces de nvx
lieux qui accueillent de nvx liens. Pas le côté de la société civile derrière.
S’étend à des territoires ruraux (hors agglomération). Peuvent faire émerger des
dynamiques sociales, entrepreneuriales, culturelles dans les zones rurales -> déclin
démographique.
Séries d’institutions, initiatives ascendantes locales qui se saisissent de cette notion de tiers-
lieu. Pol publ qui va essayer de s’en emparer. Cherchent à se rejoindre mais peu ordonné.
Logiques ascendantes et descendantes qui se rejoignent : reconnaissance des espaces et des
lieux.
Vidéo sur les tiers-lieux.
Le jardin d’Arvieu, fabrique des territoires. Temporalité du projet : une vingtaine d’années.
L’innovation occupe une place de + en + déterminante dans le dev terr, d’abord registre
technique. Pluralité d’innovation, notamment sociale. À la réponse à des besoins sociaux et
ont des impacts économiques + qu’à des politiques de développement économique,
combien même les projets d'innovation sociale sont créateurs d'emplois.
…..
Chapitre 5 : La transition ; paradigme concurrent ou renouvelé ?
- relevé de notes
Un certains nombre de philosophes, Pascal Chabot, va qualifier la transition comme
« l’esprit de l’époque ». Idée d’une transition qui s’intègre dans les médies depuis les
années 2010. Prise de conscience env qui requalifie …. Notion transition remplace le dev
dur : énergétique, économique ….
1.Définition de la notion de transition et émergence d’un nouveau paradigme ?
Ancienne : passage d’un état d’équilibre à un autre état. D’abord question démographique :
transition démographique.
Utilisé par William Rostaud : étapes de la croiss éco pr tendre vers un pays dev avec une
conso de masse.
Années 80, courant scientifique « la transitologie », courant qui vise à comprendre les
transitions démocratiques et pol en Amérique du sud, puis Europes centrales et de l’est et
Afrique subsaharienne à la suite de la guerre froide.
Met en avant les risques théologiques : une finalité prédéterminée, évenements
s’enchainent selon une suite logique.
Lundi 6 février 22
Digramme de venn (schéma du dev dur). A fortement contribué à la diffusion du dev dur.
Explique pédagogiquement les 3 piliers. La notion de transition ne redéfinit pas ce
diagramme, elle s’intéresse à comment on passe de la situation actuelle au diagramme de
venn. Elle ne rediscute pas ce modèle là.
La transition ? dépend de la coordination des acteurs. Idée que tous les états doivent tendre
vers un mm modèle pr le dev dur. Comme dans le passé, Etats occidentaux portent un
modèle de dev qu’ils veulent imposer à tous (seul ce dev est possible).
Avant c t le modèle capitaliste.
Travaux ont montré que la réponse peut prendre différentes formes. Choix politiques
différents peuvent être fait pr répondre à ces changements.
Pdv scientifique : la notion de transition est ….
Finalité évidente. On discute des étapes, leviers. On ne remet pas en cause le résultats.
Greenwashing : utiliser l’écologie pr le marketing. promouvoir une entreprise, un groupe.
Transformer son image de marque.
A conduit à la dépopulation de dev dur.
3.Continuité et convergence des questionnements
Forme de convergence des questionnement dans le champs politique.
Nos sociétés s’interrogent sur les modes de transformation possibles.
Réflexion de + en + imp sur le rôle des initiatives citoyennes ds les transformations sociales
(transformation : ne suppose pas une directionnalité précise comme le terme transition).
Apports de la géographie des risques. … idée retour à une stabilité après des perturbations.
Enchainement des périodes + ou – calmes mais il n’existe pas de stabilité.
…..
Structures sont par définition le système territoriale ….
Soit on suit un modèle mais on ne l’atteindra jamais. Soit on peut l’atteindre avec un régime
totalitaire.
Courant deep transition. Vient des transition studies.
Schot et Kanger montrent cmt nos soc évoluent en remettant en cause l’idée de …. brutales.