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‫ اﻟﺪار اﻟﺒﻴﻀﺎء‬- ‫اﻟﻤﺪرﺳﺔ اﻟﻮﻃﻨﻴﺔ ﻟﻠﺘﺠﺎرة واﻟﺘﺴﻴﻴﺮ‬

Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Casablanca

Module : Comptabilité de gestion


Responsable du module : Pr FELLAJI
Niveau : S3

Introduction à la comptabilité analytique

I. LES FINALITES DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE


A. Remédier aux insuffisances de la comptabilité générale

La comptabilité générale est un système d’information destiné principalement aux ………………


…………………………. (fournisseurs, actionnaires, administration fiscale,…).

La tenue d’une comptabilité générale est …………………………….., et soumise à la réglementation


comptable et fiscale.

Elle poursuit trois objectifs principaux :

- enregistrer chronologiquement les ……………………………………………. de l’entreprise, c'est-à-


dire les flux physiques et monétaires entre l’entreprise et son environnement ;
- déterminer au moins une fois par an, le ……………………………………………. de l’entreprise ;
- présenter la ………………………………………………….. de l’entreprise.

Toutefois, la comptabilité générale présente certaines insuffisances quant à l’évaluation précise


des performances de l’entreprise et à la production d’informations utiles à la prise de décision.

- Elle détermine le ………………………………………., portant sur l’ensemble des activités de


l’entreprise et ne fournit aucune information sur les performances de chacune des activités
- Elle ne permet qu’une connaissance a ………………………….. du résultat net global. Or, cette
information sur l’activité passée peut se révéler tardive pour apporter les correctifs
nécessaires.
- Elle ne prend en compte que les …………………………….. à l’entreprise : les flux internes
(sorties de stocks, échanges entre unités,…) ne sont pas répertoriés.

B. Les apports de la comptabilité analytique

La comptabilité de gestion est un ensemble de données nécessaires aux utilisateurs …………………….

La comptabilité analytique a pour but essentiel de mettre en évidence les éléments constitutifs
des ………………….. et des ………………………. susceptibles d’éclairer les prises de décision.
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Plus précisément, les objectifs de la comptabilité analytique sont les suivants:

- ……………………………………………………

La comptabilité analytique permet de calculer des coûts et résultats par produit, par fonction, par
activité.

Par exemple, l’entreprise BIC a trois principales activités : briquets, rasoirs, stylos. Alors que la
comptabilité générale nous donne le ………………………………… réalisé par l’entreprise, la comptabilité
analytique nous donne le résultat réalisé par chaque activité, on parle de ……………………………………..
Cela permet de prendre des décisions différentes dans chaque secteur.

- …………………………………………

Un inventaire permanent des stocks permet de connaître à tout moment les quantités possédées
et la valeur des stocks. La comptabilité analytique est donc nécessaire pour évaluer les stocks
présents au bilan.

- ………………………………………………………………….

A l’aide de simulation, l’entreprise peut déterminer ses coûts prévisionnels qui l’aideront à fixer un
prix de vente prévisionnel et donc à déterminer un résultat prévisionnel.

II. LES INFORMATIONS PRODUITES PAR LA COMPTABILITE ANALYTIQUE

La comptabilité analytique permet principalement de calculer des ………………….. à partir desquels


vont être déterminés des …………………… et des …………………….. par produit. Ces informations sont
essentielles pour connaître la contribution de chaque produit dans le résultat global de
l’entreprise et prendre des décisions adaptées à la situation de l’entreprise.

A. Les coûts

Un coût est un ensemble de charges engagées par l’entreprise pour réaliser un objectif bien
déterminé. En comptabilité analytique cet objectif peut être ……………….. (ou …………………………….),
la ………………………. et la …………………….

Le coût de revient regroupe l’ensemble des charges nécessaires à l’élaboration d’un produit (de
l’approvisionnement jusqu’à la livraison).

ON NE DIT PAS PRIX DE REVIENT MAIS ……………………………………...

B. Les marges et les résultats

Une marge est la différence entre un …………………………………. et un certain …………………..

 Différentes marges peuvent être calculées :


 Marge sur coût d’achat = prix de vente – coût d’achat
 Marge sur coût de production = prix de vente – coût de production
 Marge sur coût de distribution = prix de vente – coût de distribution

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Le résultat unitaire est la différence entre le prix de vente et le coût de revient unitaire.

Le résultat global est la différence entre le chiffre d’affaires et le coût de revient global.

Le résultat analytique représente la différence entre le prix de vente et le coût de revient.


 Si : Prix de vente > Coût de revient  ……………………………….
 Si : Prix de vente < Coût de revient  ……………………………….

Schéma récapitulatif

III. METHODES DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE

La réalisation des objectifs de la comptabilité analytique comprend trois étapes principales :

 ………………………………………

Cette analyse permet de déterminer les charges qui seront retenues pour servir au calcul des
coûts de l’entreprise.

 ……………………………..
 ……………………………………………….

Exemple :
L’entreprise « ANALYTIS » fabrique et vend des armoires en utilisant du bois et des fournitures
diverses dans un seul atelier. Pour le mois de mars 2014, son activité est la suivante :
Achat de bois et de fournitures diverses ........ 100.000 dh
Transport sur achat de bois et fournitures ......... 5.000 dh
Production du mois de mars ............................... 1.000 armoires
Consommation de matières .............................. 38.000 dh
Main d’œuvre.................................................... 20.000 dh
Autres charges de production :
- Amortissements ................................................ 9.000 dh
- Energie .............................................................. 1.000 dh
Frais de vente :
- Emballages ........................................................ 3.000 dh
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- Transport........................................................... 1.800 dh
Ventes du mois............................................... 950 armoires à 230 dh l’une

Travail à faire : Evaluer pour le mois de mars :


1/ Le coût d’achat des matières et fournitures
2/ Le coût de production des armoires fabriquées
3/ Le coût de revient des armoires vendues
4/ Le résultat analytique sur la vente des armoires.

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Chapitre I—Les Charges Incorporables en Comptabilité Analytique

1. Définition
Ce sont les charges qui entrent périodiquement dans le calcul des coûts analytiques.

CICA = Charges de la comptabilité générale – Charges non incorporables + Charges


supplétives

a- Charges de la CG : Ce sont les charges de la …………………………. du plan comptable général.

b- Charges non incorporables : Ce sont les charges de la comptabilité générale qui n’entrent pas
dans le calcul des coûts analytiques. Il s’agit :
- des charges non courantes à cause de leur caractère exceptionnel car non liées à
l’exploitation ;
- des fractions des dotations aux amortissements qui excèdent les dotations fiscales ;
- de l’impôt sur les résultats car il est calculé à la fin de l’exercice et dont le montant
ne peut être estimé à l’avance ;
- des charges courantes se rapportant aux exercices antérieurs ;
- des dotations aux amortissements des immobilisations en non-valeur (frais
préliminaires, charges à répartir, …)  actif fictif ;
- des charges qui représentent les charges récupérables sur les tiers (TVA) ;
- de certaines dotations aux provisions (provisions pour litige, pour dépréciation).

c- Charges supplétives : Ce sont les charges incorporées aux coûts analytiques mais qui
n’appartiennent pas à la comptabilité générale. On distingue :
- la rémunération du travail du dirigeant ;
- la rémunération du capital à un certain taux d’intérêt dans la société ;
- les charges d’usage (Exemple : amortissement de durée inférieur à celle fiscalement
tolérées).

NB : L’incorporation de ces charges aux coûts a pour objectif de rendre significative la


comparaison des coûts d’entreprise faisant appel à l’endettement dans des proportions
différentes.

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2. Abonnement périodique des charges
Lorsqu’une charge est évaluée pour une période supérieure à celle de la comptabilité analytique, il
convient d’incorporer dans les coûts le montant correspondant à la période de calcul des coûts. Ce
montant est appelé « ……………………………….. ».

Exemple : De la comptabilité d’une société dont le capital s’élève à 600.000 dh, on


extrait les informations suivantes :
a- Charges de la comptabilité générale constatées au mois d’avril 2014 :
- Achats consommés de matières premières ............................. 500.000 dh
- Achats consommés de fournitures ............................................. 51.000 dh
- Autres charges externes (dont 48000 dh de loyer annuel) ...... 108.000 dh
- Impôts et taxes.............................................................................. 8.000 dh
- Charges de personnel ............................................................... 100.000 dh
- Charges financières ..................................................................... 57.000 dh
- Charges non courantes ............................................................... 16.000 dh
b- Les dotations annuelles aux amortissements calculées selon le système linéaire
s’élèvent à .................................................................................... 72.000 dh
c- Les statuts de la société prévoient l’attribution aux associés d’un intérêt annuel
de 12% calculé sur le capital en rémunération de leurs apports.

Travail à faire : Evaluer pour le mois d’avril :


1/ Le montant des charges de la comptabilité générale
2/ Le montant des charges non incorporables
3/ Le montant des charges supplétives
4/ Le montant des C.I.C.A.

Exercice : Les postes de charges de la société industrielle de cartonnage « SIC » se présente


comme suit au 31/12/2014 :
- Achats consommés de matières et fournitures...................... 1300.000 dh
- Autres charges externes ........................................................... 200.000 dh
- Impôts et taxes............................................................................ 40.000 dh
- Charges de personnel ............................................................... 120.000 dh
- Autres charges d’exploitation ..................................................... 20.000 dh
- Charges d’intérêts ....................................................................... 44.000 dh
- Dotations financières .................................................................. 26.000 dh
- Valeurs nettes d’amort. des immob. cédées .............................. 66.000 dh
- Dotations non courantes ............................................................ 14.000 dh
- Impôts sir les résultats ................................................................ 35.000 dh
Autres informations :
Parmi les charges courantes figurent :
- des dotations des immob. en non-valeur ................................... 12.500 dh
- des dotations pour créances douteuses ....................................... 7.500 dh
- un achat de carburant non comptabilisé en 2013 ........................ 1.600 dh
Les capitaux propres de la société s’élèvent à 4.650.000 dh
Le taux d’intérêt sur le marché est de 10% l’an.

Travail à faire : Calculer :


1/ Le total des charges de la comptabilité générale
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2/ Le montant des charges non incorporables
3/ Le montant des charges supplétives
4/ En déduire le montant des charges incorporables aux coûts.

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Chapitre II—Processus de production et hiérarchie des coûts

Le schéma du processus productif permet de présenter le réseau d’analyse des coûts.

Le réseau d’analyse des coûts présente l’enchainement des opérations qui conduisent à
l’élaboration du produit ou du service et les points de mesure correspondant pour les coûts.

Le réseau d’analyse des coûts est plus ou moins complexe en fonction de l’activité de l’entreprise.

1. ENTREPRISE COMMERCIALE : DE L’ORGANISATION DE L’ACTIVITE AU


RESEAU DES COÛTS

Etape 1 Etape 2 Etape 3


Achats de marchandises Stockage de marchandises Ventes de marchandises
Service des Entrepôt de marchandises Service de distribution
approvisionnements
Coût d'achat des marchandises Coût d'achat des marchandises Frais de distribution des
achetées vendues marchandises vendues

Représentation du processus de production d’une entreprise commerciale :

2. ENTREPRISE INDUSTRIELLE : DE L’ORGANISATION DE L’ACTIVITE AU RESEAU


DES COÛTS

Etape 1 Etape 2 Etape 3 Etape 4 Etape 5


Achats de matières Stockage de Fabrication des Stockage des Ventes de
premières matières produits finis produits finis produits finis
premières
Service des Entrepôt de Atelier de Entrepôt de Service de
approvisionnements matières fabrication des produits finis distribution
premières produits
Coût d’achat des Coût d’achat des Coût de Coût de Frais de
matières premières matières production des production des distribution des
achetées premières produits produits vendus produits finis
consommées fabriqués vendus

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Représentation du processus de production d’une entreprise industrielle :

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Chapitre III—La valorisation des stocks

Selon le CGNC, un stock peut être défini comme : « un ensemble de biens ou de services qui
interviennent dans le cycle d’exploitation de l’entreprise pour être :
 soit vendus en l’état ou au terme d’un processus de production ;
 soit consommés au premier usage. »

1. Notion d’inventaire permanent


Les calculs effectués en comptabilité analytique supposent la connaissance permanente des
mouvements des stocks d’où la nécessité de mettre en place un inventaire comptable permanent
c'est-à-dire une organisation des comptes de stocks qui, par l’enregistrement des mouvements,
permet de connaître de façon constante et théorique les existants chiffrés en quantité et en
valeur.
L’organisation administrative permettant de répondre à cet impératif comporte différents
documents dont les principaux sont :
 Les bons de réception pour constater les entrées ;
 Les bons de sorties pour enregistrer les sorties du magasin ;
 Les fiches de stocks qui centralisent les informations contenues dans les autres documents.

Compte d’inventaire permanent


Entrées Sorties Stock
Date Libellé
Qté P.U Montant Qté P.U Montant Qté P.U Montant

2. Evaluation des entrées


Le coût d’entrée varie en fonction des éléments stockés :
 Pour les matières et fournitures : il s’agit du coût d’achat
 Pour les produits intermédiaires et les produits finis : il s’agit du coût de production

3. Evaluation des sorties


Le coût de sortie dépend de la méthode d’évaluation utilisée par l’entreprise. Ces méthodes
peuvent permettre :
 Soit un calcul de coût moyen ;
 Soit l’identification d’un lot entré (défini par une date et un coût précis) par un coût
déterminé ;
 Soit la détermination d’un coût conventionnel.

a- La valorisation des sorties reposant sur un coût moyen


 La méthode du coût moyen unitaire pondéré calculé en fin de période
La valorisation des stocks ne s’effectue qu’en fin de période en calculant le coût unitaire moyen
pondéré par les quantités des éléments en stock selon la formule suivante :

Valeur du SI + Valeur des entrées de la périodes


CMUP =
Stock initial en quantité + Entrée en quantité

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(+) Appliquer un coût unitaire à toutes les sorties.
(-) La valorisation des stocks n’est possible qu’en fin de période.

 La méthode du coût moyen unitaire pondéré calculé après chaque période


Selon cette méthode, toutes les sorties qui suivent une entrée donnée sont évaluées à un coût
moyen. Chaque nouvelle entrée déclenche donc le calcul d’un nouveau coût. Celui-ci est égal à la
moyenne pondérée des coûts des quantités en stock et de celui de l’entrée constatée.

(+) Permettre une valorisation des stocks en temps réel sans attendre la fin de période de
référence.
(-) Elle impose une multiplication du calcul du coût moyen.

b- La valorisation des sorties reposant sur l’identification de lot


Un lot est constitué par une entrée en stock constatée à un certain coût unitaire. Deux critères
principaux permettent donc d’identifier un lot :
- sa date d’entrée en stock (qui détermine un rang dans l’ordre chronologique des
entrées) ;
- son coût unitaire d’entrée en stock.

 Premier entré, premier sorti (FIFO)


Les éléments stockés, selon cette méthode, sortent du stock en étant prélevés sur les lots les plus
anciens. Dès que ces lots sont épuisés, c’est le coût du lot suivant qui est retenu pour valoriser les
sorties suivantes.

(+) Permettre une valorisation immédiate des stocks.


(-) En utilisant cette méthode les sorties suivent avec retard les variations des prix. Ce retard est
fonction d’une rotation des stocks plus ou moins rapide. Elle conduit à minorer les coûts en
période de hausse des prix.

 Dernier entré, premier sorti (LIFO)


Cette méthode utilise le principe opposé à la précédente puisque les sorties sont valorisées au
coût des derniers lots entrés.

(+) Une valorisation immédiate des sorties des stocks.


(-) Elle est interdite par l’administration fiscale : elle conduit en période de hausse des prix à
minorer les coûts par une surévaluation des consommations des matières.

Application 1 :
Une entreprise utilise dans son processus de production la matière première « MP1 ».
Les mouvements de la matière première « MP1 » pendant le mois de novembre ont été les
suivantes :

 02 Novembre : Un stock initial de 320 kg à 0,80 dh/kg.


 03 Novembre : Sortie de 100 kg pour la commande n° 45.
 04 Novembre : Réception de 140 kg facturés à 0,98 dh/kg
 06 Novembre : Sortie de 140 kg pour la commande n° 46.
 11 Novembre : Sortie de 120 kg pour la commande n° 47.
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 18 Novembre : Entrée de 150 kg au prix de 1,06 dh le kg
 20 Novembre : Sortie de 100 kg pour la commande n° 48.
 27 Novembre : Entrée de 130 kg au prix de 1,08 dh le kg
 30 Novembre : Sortie de 110 kg pour la commande n° 49.

Travail à faire : Présenter le compte d’inventaire permanant selon les méthodes suivantes :
1) le coût moyen unitaire pondéré (CMUP)
2) FIFO
3) LIFO

Application 2 :
Un stock a enregistré, durant le mois de novembre, les mouvements suivants :

Date Mouvement Quantité Coût unitaire


01-05 Stock initial 12 32
07-05 Entrée 14 34
12-05 Sortie 8 -
15-05 Sortie 10 -
18-05 Entrée 20 34,5
22-05 Sortie 12 -
25-05 Sortie 6 -
28-05 Entrée 15 35
31-05 Sortie 9 -

Travail à faire : Le responsable de ce stock vous demande de lui dresser des inventaires selon les
méthodes :
1) FIFO
2) LIFO
3) CMUP.

4. Inventaire physique et stock final


La tenue de l’inventaire comptable permanent ne dispense pas l’entreprise d’effectuer un
inventaire physique (au moins une fois par an). La comparaison des stocks obtenue par l’inventaire
physique et l’inventaire permanent peut mettre en évidence une différence quantitative appelée
« ……………………………………………….. » qui doit être prise en compte pour ajuster et rectifier le stock
permanent.

Cette correction peut être :


 Un ………………………………….. lorsque : Stock Réel > Stock Théorique
 traité comme une entrée fictive
 Un ………………………………….. lorsque : Stock Réel < Stock Théorique
 traité comme une sortie fictive

L’entreprise doit donc redresser le stock théorique en faisant apparaître le stock final pour la
quantité réellement dénombrée (le SF est la quantité réelle en stock et non la quantité
comptable).

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