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Commentaire composé

Zola la bête humaine,


Chapitre 10, La mort de la Lison

Lougani Taninna STAV 1

Dans cet extrait du chapitre 10 de la bête humaine de Zola, le narrateur va évoquer dans cette scène
la tragédie de la mort de la locomotive, prénommée la Lison. Cette locomotive était apprécie par
jacques de la même façon qu’un homme ressentirait ça pour une femme. Dans ce terrible passage le
narrateur nous raconte les tendance jalouse de flore, qui elle était amoureuse de Jacques. Flore a
était repousser par Jacques a cause de ces tendances criminelles de peur de l’entraînait la dedans.
Ce qui vient ensuite c’est que Flore, veut se venger de sa rivale Séverine, dont Jacques est son
amant. Pour sa vengeance Flore veut provoquer un accident de la Lison, ou Séverine est a bord.
Mais n’arrivant pas a aboutir sa revanche, et que Séverine survit, elle se jeta sous les raille du train
et se donna la mort. Nous constaterons alors que cette a eu beaucoup d’effet sur les personnages
présent au moment de l’accident. Dans une première partie je parlerai de la mort de la Lison, puis je
parlerai dans ma deuxième partie de ce que l’accident a engendrer.

Pour cette première partie je parlerai donc de la mort de la Lison. Nous pouvons constater que
Jacques entretiens une relation assez bizarre avec sa locomotive, la Lison lui permet de s’échapper
de sa folie meurtrière, qu’il entretiens avec les femmes. Il assimile Lison a un être humain plus
précisément une femme, a travers les métaphores et les comparaisons. Comme dans l’extrait L37 de
la page 325 « le cadavre humain »ou la Lison est associé a un humain , ou alors a la L20 « Comme
une petite plainte d’enfant » la Lison est maintenant comparé a un enfant. Mais elle n’est pas
seulement associé a l’humain, elle est aussi comparé a un animal plus précisément a un cheval
comme a la L19 de la page 324 « de ses flancs ouvert » ou encore a la L23 «  une bête de luxe ».
On peut aussi le voir de façon générale elle est présenté comme un être vivant comme a la L19 page
324 « le souffle »ou encore a la L27 page 324 «  le sang de ses veines ».
Avec tout cela nous pouvons voir la Lison n’est pas qu’une simple locomotive, mais bien plus que
ca elle a de l’importance aux yeux de Jacques comme si elle était humaine et vivante.
Pendant sa mort dans cet extrait on pourrait croire qu’elle en souffre, et qu’elle vit une mort
tragique et douloureuse, tout d’abord nous pouvons le dire car dans l’extrait L38 page 325 «  d’une
si effroyable douleur » qui vient nous orienter encore plus vers la personnification de cette dernière
en lui rajoutant de la douleur a sa mort. Il y a aussi un vocabulaire expressif qui est employé comme
L26 page 324 «  par ses entrailles crevée ». Dans cet extrait nous assistons a la dégradation de la
Lison comme a la L12-13 page 324 « depuis sa maladie contracté dans la neige, il n’y avait pas de
sa faute, si elle était moins alerte » encore la nous pouvons constater qu’elle aurait eu une maladie a
cause du froid tel un être humain. Pour montrer sa dégradation pendant sa mort il y a des antithèses
comme L24 page 324 « bête de luxe » qui s’oppose a « souillé de terre et de boue » ou encore a
L22-23 page 324 « elle, toujours si luisante » qui va s’opposer a « dans une mare noir de charbon »
avec c’est antithèse nous pouvons en apprendre plus sur comment la Lison se meurt
douloureusement, pour accentuer cela nous avons des oxymores comme L4 page 325 « géante
éventrée » et L37page 325 «  colosse broyé ». Pour aussi montrer le coté tragique de la mort, un
effet de decrescendo va être utilisé comme L29 page 32 «  les mouvements deviennent de plus en
plus lent » ou encore a L1 de la page 325 « les révoltes dernières de la vie ». Avec tout cela nous
pouvons voir que la mort de la Lison va avoir un impact sur la souffrance et comment elle était
considéré comme si vivante et pleine de vie.

Dans cette deuxième partie nous allons parler de la réaction des personnages présent lors de la mot
de la Lison. Nous allons commencer par Jacques. A travers la vision d’horreur de Jacques, nous
pouvons voir l’agonie de la locomotive et son point de vue sur ce qu’il se passe comme L13 page
325 «  alors Jacques, ayant compris que la Lison n’était plus referma les yeux » a travers ses yeux il
nous montre son ressenti interne, ses sentiments et comment le monde extérieurs de l’intéresse plus
comme L3 page 324 «  elles ne lui importaient pas », la seule chose sur laquelle il est concentré
c’est la Lison comme L6 page 324 « Elle, la Lison, il la reconnaissait bien ». Pour montrer le
ressentiment de jacques envers tous ça ses émotions sont monte en crescendo comme L6 page 324
«  l’émotion croissante » qui montre que cela augmente mais aussi ligne 16 page 325 «  de larmes
lentes coulaient maintenant, inondant ses joues » on peut voir ici l’utilisation de l’adjectif lent pour
montrer le crescendo de l’émotion de Jacques. Pour Jacques l’émotion est tellement forte, qu’il est
détruit pas la mort de sa Lison au point ou il voulait mourir aussi, L13 page 325 «  avec le désir de
mourir lui aussi » ou encore L14 page 325 «  qu’il croyait être emportait dans le dernier petit souffle
de la machine ».
Nous allons maintenant parler de Pecqueux, dans cet extrait il ressent les même sentiment que
Jacques, mai aussi son monologue interne L25 page 325 «  si belle quand elle luisait au soleil ».
Pecqueux va être conscient que la mort de la Lison va être la fin d’une époque et que lui et Jacques
vont commencer a se détester, comme L19-20age 325 «  c’était donc fini, leur ménage a trois ? ».
Pour ce qui est des deux femmes présente, ce sont des rivales, qui pourtant sont unis par leur amour
pour Jacques et l’indifférence de se dernier envers elles, comme dit L3 page 324 «  elles ne lui
importaient pas ». Malgré leurs différence pendant cette scène elles sont toutes les deux mise a
égalité, inquiète et désespéré comme L33-34 page 325 «  mais les deux femmes, dans leurs angoisse
était exaspéré ». Il y a aussi un changement dans le comportement de Flore qui voulait tuer Jacques
pour avoir une amante et maintenant vouloir le sauver comme L30 page 325 «  la dernière courut
chez elle ». Nous pouvons remarquer que la mort de la lison a apporter des changements dans les
comportement de tous le monde.

Pour conclure nous pourrions dire que la mort de la Lison est un moment clé du récit cela apporte
du changement pour les personnages, mais aussi leurs relations entre chacun et cela apporte un
renouvellement. C’est a partir de ce moment la que tout bascule, le suicide de Flore, l’assassinat de
Séverine par Jacques et le combat mortel entre Pecqueux et Jacques. Tout ça met en scène un
sentiment de suspens mais aussi beaucoup plus de tragédie a l’histoire qui n’y a pu en avoir
auparavant, ce qui va multiplier la violence de ce livre.

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