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Prologue – Juste la fin du monde

Texte 5

Amorce sur le prologue : juste la fin du monde est une pièce de théâtre tragique et moderne, ecrite
en 1990 qui m’est en scène 5 personnage : Louis (personnage principal 35 ans), Suzanne, sœur
cadette de louis et d’Antoine, Antoine (jeune frère), Catherine présenter comme la femme d’Antoine
que louis ne connais pas, la mère. Au début de la pièce louis se rend dans sa famille avec laquelle il a
pris des distances depuis plusieurs années. Il y retrouve diffèrent membre de sa famille dont sa belle
sœur qu’il ne connaissais pas, afin de leur annoncer sa maladie et sa mort inéluctable. Les
retrouvailles son location de souvenir évoquer de retrouver de souvenir de tension et d’échange. La
pièce faire retour du fils prodige du mythe d’Abele et caïn (évangile celons luk ou un fils revient après
avoir dilapider sont héritage se qui provoque l’a jalouser de sont fere), des difficultés de
communication et de problème familial et social de la reconnaissance de soi part autrui. Le texte est
souvent aborder dans sa dimension autobiographique du fait de la séropositivité de l’agarase et de
ces relation compliquer a sa propre famille. Le sida = mort. LI existe le tragique antique se défini
comme l’enchaînement d’un personnage a un destin déterminer par des puissance supérieur sur
laquelle les personnage n’a pas de pouvoir. Le tragique classique est l’angoisse devant le libre arbitre
qui impose a un personnage de sacrifier quelque chose de faire une chois être deux impraticables.

Le prologue fait passer au théâtre. Le prologue est un monologue de louis. Louis remplace la cœur
dans l’annonce de sont destin, il est seul se qui accentue le signe de cette annonce tragique.

« louis … J’allais mourir a mon tour » le texte commence avec la double utilisation d’un complément
circonstanciel de temps. Cette phrase perd le lecteur mem avec ces circonstanciel de temps. Il
suspend le grâce a cette mort. Il y a une projection dans le futur et une action dans le passer grâce au
verbe. « J’allais mourir » cela renvoi a un passer antérieur a quelle chose qui n’a pas encore eu lieu.
Sois il s’agit d’une prolepse qui veut dire anticiper (il se sens déjà mort) sa mort futur et une mort qui
c’est déjà passer sois il s’agit d’une prosopopée (a faire parler les mort) le personnages considéré
comme mort donc il parle du sujet de la mort et du lieu de la mort. L’utilisation répéter de mot mort.

« j’ai prés de 34 ans et c’est a cette âge que je mourais » donc il a 33 ans est l’âge de résurrection du
christ il meurs donc a 34 ans donc il va mourir juste après l’âge de résurrection du christ.

« l’année d’apres » est comme une reprise de phrase qui suis celle d’avant. Cette indétermination
marque une crise de la synthase car le lange n’est pas claire. Il y a un retour a la mort et il s’agit d’un
champs funèbre structurer par un refrain.

C’est premier ligne parle qu’il va mourir

« de nombreux … savoir » il attend, il est passif, il n’agit pas. Donc il c’est désengagé du monde. « a
tricher » il a menti sa famille et n’attend que sa mort. Il refoule sa condition d’etre mourant ce qui fait
de lui un être sans lucidité, il se condamne.

« de nombreux mois… d’en avoir fini » une répétition de nombreux mois, et une répétition du verbe
attendre qui crée un lenteur dans le texte et cette lenteur et synonyme de la lenteur de l’existence de
louis qui est enfermer dans l’attente de la mort. Louis ne vie plus réellement. Il décide de se laisser
mourir au lieu de profiter plus de sa vie.

Il y a un part d’autobiographie car la grase avait aussi cette maladie mais il y a aussi une interprétation
littéraire ou tout le monde va mourir et on le sais mais on ne fait rien.
« l’année d’apres » ceci est donc un refrain qui brosse le portrait d’un personne dresser par la mort

« comme … extrême » il attend la mort comme une personne qui n’a pas d’Energie vitale pour
échapper a la mort. Comme un animal pétrifier quand il sait qu’il va mourir louis fait donc une
pétrification devant la mort.

« imperceptiblement … aussitôt » il essaye de ne plus être visible pour ne plus etre la cible de sont
ennemie. Donc il y a quand meme une réaction. Il y a un régime de lecture (un paragraphe au lieu
que les autres ligne sont deux ou trois mot) ce paragraphe sert a expliquer au lecteur donc comme si
le lecteur était un confidant. Il y a un champs lexical de la guerre et qu’il est la victime d’un opposant
qui chercher a lui nuire. Aussitôt est un adverbe de temps et que le danger ici est que chaque
dépense d’Energie est une mort immédiate. Cela illustre le danger extrême de la ligne 12

« l’année d’après, malgré tout » encore une répétition. Malgré tout est une forme d’opposition
indirecte comme une nouveau thème. Cela est considérer comme un renversement.

Ligne de 5 a la 15 est la façon de vivre d’un mort et pas part des projets

« la peur … malgré tout» donc malgré la peur de sortir. La peur émotion liée a la conscience d’une
menace qui parfois empêche d’agir. La ligne 18 peut être présenter comme une proposition
participiale. Le risque est l’acceptation de louis du danger soit de mourir précocement sois d’aggraver
sa maladie. Bien qu’il n’ait pas vraiment d’espoir de survivre, malgré que toute action sera vaine il y a
encore de « malgré tout l’année d’après » mais cette fois cette répétition ne se lie pas au motif de la
mort mais a une concession.

« je décidai … le voyage », je montre une marque d’existence. Décidai est un verbe inchoatif car il rée
une rupture qui marque un changement et qui crée une chose nouvelle. Cela marque une rupture et
transformation de sujet passif en une agent actif. Donc louis prend le control de son existence en
devenant le souverain pour agir contre la mort. Comme changement ils décident de voir sa famille
donc il s’agit d’une scène de retrouvaille. « Revenir sur ce n’est pas » est de mauvais augure, il s’agit
d’une évolution négative et donc risque dans un lieu que l’on a abandonné, revenir a c’est origine.
Faire le voyage peut m’être en avant la mise en crise car souvent imprévisible.

« pour annoncer … précision » cela montre une révélation, donner une révélation. « Lentement »
signifie qu’il doit prendre sont temps au lieu qu’il n’as pas de temps car il va bientôt mourir. « soins »
montre qu’il faut bien le faire et qu’il se fait du soucie pour la considération de sa famille. Avec
précision sert a enrichir cette envie de bien faire. On est donc le confident de louis car il va prendre
autant de temps pour nous equliquer sa situation que a sa famille

« ce que je crois » il n’as pas la certitude de pourvoir le réaliser donc de le dire a sa famille.

« lentement … posée » il y a une sorte de répétition. Cette repretion veut montrer que louis réfléchir
beaucoup a sont discours a dire devant sa famille pour ne pas les blesser. « D’une manière posée » il
s’agit de ne pas répéter un mot mais aussi de ralentir la vitesse du discours et donc une ammonie
avec la lenteur que recherche louis pour sont sujet de discours de sa famille. Si le lecteur faire l’objet
du souci particulier comme les membre de sa famille donc louis s’adresse au lecteur comment il veut
dire a sa famille comme si on était un confident.

« et n’ai-je … posé ? », « pour les autres et eux » il pose une question au lecteur qui a pour bute
d’obtenir une forme de rapprochement entre le lecteur et louis. « n’ai-je pas toujours été un homme
posé ? » cela fait une répétition de ce passer composé. Cela veut montré que louis est une personne
posé, qui prend du temps pour c’est discours et donc un forme droit dans c’est échange.
Cela amené a un pacte de lecture qui lie le lecteur et louis ou louis montre une forme d’honnêtes qui
sert a reconstruire des liens avec sa famille comme avec le lecteur juste avant sa mort.

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