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5.2.2.1. MODELISATION DU PROJET.................................................................................... 32
5.2.2.2. INTRODUCTION DES CHARGES ............................................................................... 33
5.2.2.3. FERRAILLAGES .................................................................................................... 33
5.2.2.3.1. FERRAILLAGE DES SEMELLES ............................................................................. 33
5.2.2.3.2. FERRAILLAGE DES POTEAUX .............................................................................. 34
5.2.2.3.3. FERRAILLAGE DES POUTRES .............................................................................. 35
5.2.3. BATIMENT : LOGEMENT FONCTIONNAIRE ................................................................. 35
5.2.3.1. MODELISATION DU PROJET.................................................................................... 35
5.2.3.2. FERRAILLAGES .................................................................................................... 35
5.2.3.2.1. FERRAILLAGE DES SEMELLES ............................................................................. 35
5.2.3.2.2. FERRAILLAGE DES POTEAUX .............................................................................. 36
5.2.3.2.3. FERRAILLAGE DES POUTRES .............................................................................. 36
5.2.4. BATIMENT : VESTIAIRE ET LOGEMENT GARDIEN ....................................................... 36
5.2.4.1. MODELISATION DU PROJET.................................................................................... 36
5.2.4.2. FERRAILLAGES .................................................................................................... 36
5.2.4.2.1. FERRAILLAGE DES SEMELLES ............................................................................. 36
5.2.4.2.2. FERRAILLAGE DES POTEAUX .............................................................................. 37
5.2.4.2.3. FERRAILLAGE DES POUTRES .............................................................................. 39
5.2.5. MOSQUEE ........................................................................................................... 41
5.2.5.1. MODELISATION SUR CBS ..................................................................................... 41
5.2.5.2. INTRODUCTION DES CHARGES PERMANENTES ET D’EXPLOITATION ............................ 41
5.2.5.3. FERRAILLAGE ...................................................................................................... 42
5.2.5.3.1. FERRAILLAGE DES SEMELLES ............................................................................. 42
5.2.5.3.2. FERRAILLAGE DES POTEAUX .............................................................................. 42
5.2.5.3.3. FERRAILLAGE DES POTEAUX ............................................................................. 44
5.2.5.3.4. FERRAILLAGE DES POUTRES.............................................................................. 45
5.2.6. CENTRE DE TRAITEMENT DU COURIER (BARID ALMAGHRIB) ............................... 47
5.2.6.1. MODELISATION SUR CBS ..................................................................................... 47
5.2.6.2. INTRODUCTION DES CHARGES PERMANENTE ET D’EXPLOITATION .............................. 47
5.2.6.3. FERRAILLAGE ...................................................................................................... 48
5.2.6.3.1. FERRAILLAGE DES SEMELLES ............................................................................. 48
5.2.6.4. FERRAILLAGE DES POTEAUX ................................................................................. 49
5.2.6.5. FERRAILLAGE DES VOILES ..................................................................................... 52
5.2.6.6. FERRAILLAGE DES POUTRES ................................................................................. 53
CONCLUSION ................................................................................................................... 54
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Introduction générale
L’ingénieur de façon générale travaille par essence sur des projets. Il intervient aussi bien dans la
phase de conception que dans les phases de dimensionnement et d’exécution des projets qui lui sont
confiés.
Le présent projet a pour objectif de nous familiariser sur les différentes approches de traitement des
Le maître d’ouvrage qui est celui à qui appartiendra le projet finalisé s’adresse à une maîtrise
d’œuvre qui est généralement l’architecte. Ce dernier élabore un plan archi sur lequel l’ingénieur de
structure se basera pour établir son plan de coffrage et procéder au ferraillage des différents
Dans les pages qui suivront nous présenterons, les exemples de calcul et les résultats des différents
éléments de structures de trois projets ; un lycée, une mosquée et un centre de traitement des
Building Structure), et un autre de calcul ; Robot structural analysis. Pour chaque ouvrage on va le
présenter, pré dimensionner ces éléments porteuses, après on passe à son modélisation.
Chaque élément de structure nous donnons tout d’abord son mode de fonctionnement ensuite la
méthode de calcul de son ferraillage, enfin nous dressons les résultats dans un tableau pour tout les
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• ALOMRANE TAMANSORTE
• Nom de l’organisme : ALOMRANE TAMANSOURT
• Forme juridique : SA
• Activités:
ALOMRANE TAMANSOURT
• Activités: Etude BA, VRD, coordination, assistance technique, conseil en bâtiment et génie civil
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1.1. Introduction :
On va présenter dans cette partie les trois ouvrages ; un lycée, une mosquée, et un centre de
traitement des courriers (BARID ALMAGHRIB), ainsi les différentes éléments de chaque ouvrage.
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1.2.2.1. Ossature :
La stabilité transversale et longitudinale de ce bâtiment est assurée par des portiques auto stables
construits de poutres et de poteaux encastrés les unes dans les autres horizontaux et verticaux.
1.2.2.2. Planchers :
Les planchers sont des éléments horizontaux dits "diaphragme" qu’assure la fonctionnalité de
l’ouvrage et qui permet la transmission des efforts aux éléments de contreventement.
• Un plancher doit être résistant aux charges verticales et horizontales.
• Un plancher doit assurer une isolation phonique et thermique.
Dans notre cas, les planchers sont de type corps creux d’épaisseurs variés, 16 cm (12+4), 20 cm
(16+4), 25 cm (20+5), 30 cm (25+5) avec poutrelles et hourdis et dalle de compression, ainsi des
dalles pleines d’épaisseur variée de 10 cm à 16 cm.
1.2.2.3. Escalier :
Le bâtiment est menu des cages d’escalier de type droit.
1.2.2.4. Maçonnerie :
• Les murs extérieurs : seront en double cloison de 30 cm d’épaisseur.
• Les murs de séparations intérieurs : seront réalisés en cloison en brique creuse.
1.2.2.5. Revêtement :
Ils seront réalisés :
• en carrelage scellé pour les planchers et les escaliers.
• ciment pour les murs de façade.
• plâtre pour les cloisons intérieures et les plafonds.
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1.3. Construction d’une Mosquée
1.3.2.1. Ossature :
La stabilité transversale et longitudinale de ce bâtiment est assurée par des portiques auto stables
construits de poutres et de poteaux encastrés les unes dans les autres horizontaux et verticaux.
1.3.2.2. Planchers :
Les planchers sont de types corps creux d’épaisseur 20 cm (16+4) avec poutrelles coulées sur place
et dalle de compression de 4 cm d’épaisseur.
1.3.2.3. Escalier :
Le bâtiment est menu d’une cage d’escalier de type droit.
1.3.2.4. Acrotère :
C’est un élément en béton armé dont la hauteur est de 50 cm.
1.3.2.5. Maçonnerie :
• Les murs extérieurs : seront en double cloison de 60 cm d’épaisseur.
• Les murs de séparations intérieurs : seront réalisés en cloison en brique creuse de 45 cm.
1.3.2.6. Revêtement :
Ils seront réalisés :
• en carrelage scellé pour les planchers et les escaliers.
• ciment pour les murs de façade.
• plâtre pour les cloisons intérieures et les plafonds.
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et de la nature du sol.
On adopte deux types de fondations :
• Des semelles isoles pour la mosquée de diamètres varier de 100cm*100cm a 220cm*220cm
• Le radier (semelle continue) pour la Tour
1.4.2.1. Ossature :
La stabilité transversale et longitudinale de ce bâtiment est assurée par des portiques auto stables
construits des poutres et des poteaux encastrés les unes dans les autres et de voile en béton armé
pour le sous sol.
1.4.2.2. Planchers :
Les planchers sont de types corps creux d’épaisseur 16 cm (12+4), 25 cm (20+5) et 30 cm (25+5)
avec poutrelles ainsi des petites dalles pleines.
1.4.2.3. Escalier :
Le bâtiment est menu d’une cage d’escalier de type circulaire.
1.4.2.4. Acrotère :
C’est un élément en béton armé dont la hauteur est de 50 cm.
1.4.2.5. Maçonnerie :
• Les murs extérieurs : seront en double cloison de 20 cm d’épaisseur.
• Les murs de séparations intérieurs : seront réalisés en cloison en brique creuse de 10 cm.
1.4.2.6. Revêtement :
Ils seront réalisés :
• en carrelage scellé pour les planchers et les escaliers.
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1.5. Conclusion
Après avoir présenté chaque ouvrage et ces éléments composants, on va définir les caractéristiques
mécaniques des matériaux utilisée dans le système porteur.
2.1. Introduction
Définir ; les caractéristiques mécaniques des matériaux de base utilisé dans la construction (béton,
acier), et le règle de calcul (BAEL 91), est la première étape indispensable dans tout calcul béton
armé.
2.2.1. Béton :
Le béton est un matériau constitué par mélange de ciment, de granulats (sable et gravier) et d’eau; il
est caractérisé, du point de vue mécanique, par sa résistance à la compression à 28 jours
fc28=25MPas.
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Pour j = 28j, on a : ftj = 0.6 + 0.06 (25) = 2.1 MPas
2.2.2. Acier :
2.2.2.1. Généralités :
Les armatures d’un béton armé sont des aciers qui se distinguent par leurs nuances et leurs états de
surfaces (RL, HA)
• Les ronds lisses FeE215 et FeE 235 correspondent, respectivement, à des limites
d’élasticités garanties de 215 MPas et 235 MPas.
• Les aciers à haute adhérence FeE400 et FeE500 correspondent, respectivement, à des
limites d’élasticités garanties de 400 MPas et 500 MPas.
• Treillis soudé de type TS520
2.4. Conclusion
Les règles BAEL faisaient intervenir un coefficient de sécurité globale et rendent nos structures plus
sécurisées.
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Le pré dimensionnement sert à donner aux planchers, poteaux, poutres des dimensions en suivant ;
les règles BAEL91, et les contraintes architecturaux, après on définir les charges permanentes et
d’exploitation.
3.2.1. Planchers :
Les planchers sont constitués de corps creux reposant sur les poutrelles qui seront à leur tour
disposées suivant les petites portées.
Ils assurent une isolation thermique et acoustique entre les différents étages.
La hauteur du plancher doit satisfaire la condition suivante :
h/L > 22.5
avec :
h : hauteur totale du plancher.
L : longueur de la portée libre maximale de la grande travée dans le sens des poutrelles.
Dans notre cas : on a des dalles a hourdis d’épaisseurs variées;16cm, 20cm, 25cm, et30cm.
.m 2
Figure2 : Exemple schématique d’une dalle à hourdis de type 16+4
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Lycée-log-fonct-gardien-vestiaire voir Annexe12
Mosquée voir Annexe16
Centre de traitement des courriers voir Annexe22
3.2.2. Poutres :
Ce sont des éléments en béton armé coulés sur place dont le rôle est l’acheminement des charges et
surcharges des planchers aux éléments verticaux (poteaux et voiles). D’après le BAEL 91, les
dimensions d’une section rectangulaire simplement appuyée sont :
Hauteur :
L/15 < h < L/10 avec, L : la portée libre de la poutre.
Largeur: 0,4h < b < 0,7h
• Plans des poutres des différentes (Format A3) :
Lycée-classes voir Annexe4
Lycée-administration voir Annexe8
Lycée-log-fonct-gardien-vestiaire voir Annexe12
Mosquée voir Annexe15
Centre de traitement des courriers voir Annexe21
3.2.3. Poteaux :
Le pré dimensionnement des poteaux se fait par la descente de charges pour le poteau le plus
Sollicité.
On adopte plusieurs types de poteaux avec différentes sections imposées par le pré
dimensionnement, ainsi des autres types des poteaux pour des raisons liées à la géométrie de
l’ouvrage.
Les poteaux sont pré dimensionnés à l’ELU en flexion compose en supposant que seul le béton
reprend l’effort normal Nu tel que : Nu = 1,35G + 1,5Q
3.3. Détermination des charges et surcharges :
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Tableau5 : charge permanente sur plancher Etage de type 16+4
N° Eléments Epaisseur(m) Poids Charges
volumique (KN/m2)
1 Carreau de béton 0.025 21.6 0.540
2 Sable 0.020 16 .7 0.334
3 Forme de pente 0.090 21.6 1.944
4 Dalle en corps creux 16+4 - 2.85
5 Enduit de plâtre 0 .020 12.75 0.255
5.923
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• Lycée
Tableau10 : charge d’exploitation, cas du lycée
Elément Surcharge (KN/m2)
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Tableau10 : charge d’exploitation, cas du mosquée et centre de traitement des courriers
Elément Surcharge (KN/m2)
Dalle mezzanine 5
Terrasse inaccessible 1
Escalier 4
4.1. Introduction
Le présent règlement de construction parasismique (RPS2000) a pour objectif de limiter les
dommages en vies humaines et en matériel susceptibles de survenir suite à des tremblements de
terre.
Il dé finit ainsi la méthode de l’évaluation de l’action sismique sur les bâtiments à prendre en
compte dans le calcul des structures et décrit les critères de conception et les dispositions techniques
à adopter pour permettre à ces bâtiments de résister aux secousses sismiques.
Le domaine d’application du règlement ne s’étend pas à toutes les catégories de constructions. Sont
exclues de ce domaine, les structures inhabituelles et les ouvrages tels que
• les ponts et les barrages.
• les bâtiments industriels à destination particulière telles que les centrales nucléaires, les grandes
centrales électriques et les usines chimiques.
• Les ouvrages réalisés par des matériaux ou des systèmes non couverts par les normes en
vigueur.
L’analyse de telles fait appel à des méthodes dynamiques plus appropriées, basées sur des modèles
mathématiques qui reproduisent le mieux possible les différents paramètres intervenant dans la
réponse sismique de la structure.
Les objectifs essentiels du « Règlement de Construction Parasismique (RPS 2000) » visent à :
a) Assurer la sécurité du public pendant un tremblement de terre
b) Assurer la protection des biens matériels.
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maximale sur 1 g) inférieures à 0.1 (Zones 1
et 2).
Il est considéré moyen pour des valeurs de A
comprises entre 0.1 et 0.20 ; ce qui
correspond à la Zone 3.
Au-delà de cette valeur le séisme est
considéré violent.
Dans notre cas A/g = 0,08 ; ce qui implique
zone 2.
4.4. La ductilité
La ductilité d’un système structural traduit sa capacité de dissiper une grande partie de l’énergie
sous des sollicitations sismiques, par des déformations inélastiques sans réduction substantielle de
sa résistance. La ductilité dépend des caractéristiques des matériaux de la structure, des dimensions
des éléments et des détails de construction.
Le système structural de tout bâtiment conçu pour résister aux efforts sismiques doit présenter une
ductilité suffisante au cours du séisme. Trois niveaux de ductilité sont définis selon le
comportement requis de la structure. Chaque niveau traduit la capacité de la structure à dissiper
l’énergie provenant du séisme.
A) STRUCTURES PEU DUCTILES (NIVEAU 1 DE DUCTILITE : ND1)
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Ce niveau de ductilité correspond aux structures dont la réponse sismique doit évoluer
essentiellement dans le domaine élastique et pour lesquelles le règlement n’exige pas de
prescriptions spéciales.
B) STRUCTURES A DUCTILITE MOYENNE (NIVEAU 2 DE DUCTILITE : ND 2)
Ce niveau est relié aux structures pour lesquelles on adopte des dispositions spécifiques leur
permettant de travailler dans le domaine inélastique au cours du mouvement sismique avec une
protection raisonnable contre toute rupture prématurée.
C) STRUCTURES DE GRANDE DUCTILITE (NIVEAU 3 DE DUCTILITE : ND3)
Ces structures sont appelé es à avoir une grande capacité de dissipation d’énergie, un certain
nombre de prescriptions et dispositions techniques est exigé afin de minimiser la probabilité de
rupture prématurée et de détérioration de résistance.
Le tableau ci-dessus illustre le niveau de ductilité requis pour les deux classes de bâtiments en
fonction de l’intensité du séisme.
Tableau11 : Ductilité et classes de bâtiment
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4.6. Amortissement
L’amortissement représente les frottements internes développés dans la structure en mouvement. Il
est fonction des matériaux composant la structure, du niveau des contraintes dans le matériau et de
l’intensité du mouvement. On distingue l’amortissement frictionnel, où la force est constante,
l’amortissement visqueux, où la force est proportionnelle à la vitesse, et un amortissement interne
où la force est fonction de l’amplitude.
L’amortissement pris en compte est du type visqueux. Il est dé fini par un coefficient , exprimé en
pourcentage d’un amortissement critique, donné par le tableau ci-dessous.
Le coefficient d’amortissement est pris en considération dans le spectre de réponse utilisé pour
l’analyse de la structure.
4.7.1.1. Béton
a) Il est demandé que le bé ton utilisé pour les constructions en zones sismiques ait un
comportement stable sous de grandes dé formations réversibles.
b) Les caractéristiques mécaniques doivent être conformes au règlement en vigueur de béton armé,
Toutefois la résistance s28 à la compression doit être supérieure 22 Mpas.
4.7.1.2. Acier
Il est demandé que :
• Les armatures pour bé ton armé soient à haute adhérence.
• La valeur supérieure de la limite d’élasticité fy soit é gale à 500 MPas.
• Le coefficient de sécurité à adopter ait pour valeur : γs = 1.15
• Le diagramme dé formations- contraintes est celui utilisé par le règlement du béton armé
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4.7.2. Choix de site
a) Toute construction de bâtiments doit être interdite au voisinage des failles actives ou passives.
b) Les études du sol du site des fondations sont obligatoires et conduites de la même manière que
dans le cas des situations non sismiques. Elles doivent notamment permettre le classement du site
par rapport aux différents types prescrits par le règlement.
c) Une attention particulière doit être porté e aux conditions des sites à risque telles que :
• La présence de remblai non compacté ou sol reconstitué ;
• La présence de nappe peu profonde susceptible de donner lieu à une liquéfaction en cas de
séisme ;
• Le risque de glissement de terrain.
d) Dans les sites à risques, les constructions ne sont autorisé es que si des mesures pour limiter les
risques sont prises.
Tableau 14 : Classification des sites
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4.9. Conclusion
La situation géographique du Maroc, aux frontières de la plaque africaine, fait que plusieurs régions
de notre pays peuvent être qualifiées de zones sismiquement actives. Les dernières sollicitations
telluriques, qu’a connues la région d’Al Hoceima, en ont apporté l’ultime preuve. Avec le RPS2000
on souhaiteront de limiter les dégâts humains et matériels résultant des séismes comme celle d’Al-
Hoceima.
5.1. Introduction
La modélisation du projet c’est de saisir la structure complète (poteaux-poutres-voiles) charges,
séisme. Et permette le calcul et l’interprétation des résultats (modes, efforts, ferraillages) de chaque
élément de la structure ou de la structure tout entier.
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5.2. Lycée
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5.2.1.2. Introduction des charges
On introduit alors les charges permanente et d’exploitation qu’on a vue dans les tableaux ci-dessus
pour chaque étage, il faut bien distinguée les différentes types de dalles (dalle à hourdis ou dalle
pleine), les différentes épaisseurs, et le sens de porté.
5.2.1.3. Ferraillages
5.2.1.3.1. Ferraillage des semelles
• Exemple de calcul
Comme exemple de calcul on prend la semelle sélectionné ci-dessous :
Plan d’exécution :
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Dimensionnement : 250cm*250cm
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Les semelles sont tracées sur plan voir annexe1 (format A3)
Poteaux RDC
• Exemple de calcul
On prend le poteau ci-dessous :
Figure11 : exemple du poteau, lycée-classes
Plan d’exécution :
Section : 35cm*35cm
Acier longitudinal : 8T25
Acier transversal : cadre T8 espacement 8 cm
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Type : P9 (voir les types de poteaux ci-dessous)
• Type des poteaux
On trouve 9 types de poteaux numérotées de P1 à P9 :
Poteaux Etages
On adoptera le même type des poteaux pour le 1er et le 2eme étage, 3types comme il est schématisé
ci-dessous :
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On adoptera les même types des poteaux pour la 1er et la 2eme étage, plan voir annexe3
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5.2.2.3. Ferraillages
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Tableau16 : Tableau des semelles, lycée-administration
Poteaux RDC
Poteaux Etages
Pour l’étage on adoptera un type unique P1 :
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Figu
Figure16 : Image de modélisation du lycée- re17 : Charges appliquées sur lycée-
administration par le CBS administration introduites par le CB
5.2.3.2. Ferraillages
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5.2.3.2.2. Ferraillage des poteaux
On a un seul type de poteaux pour le RDC :
5.2.4.2. Ferraillages
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S1 80 80 4T10 4T10 35
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5.3. Mosquée
2
Sur terrasse Q = 1 KN/m2
Sur terrasse G=6,6 KN/m
Sur la mezzanine Q = 5 KN/m2
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5.3.3. Ferraillage
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Figure26 : Exemple de poteau (50*50) de la mosquée
• Surface portante mezzanine : S = 10,5 m2
• Lc = 0,7 * L0 = 5,6 m
• A2 = 8*(a+B)/100 = 8 cm2
• A3 = 0,2*a*b/100 = 5 cm2
La différence remarquée entre le calcul directe (A = 8 cm2) et le calcul par ROBOT (A = 33 cm2)
est lié principalement au flexion composé et au calcul sismique.
Figure27 : Exemple de calcul du poteau (50*50) de la mosquée avec l’expert sans et avec
disposition séismique
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Après le calcul du ferraillage par l’expert avec et sans disposition sismique on trouve :
On conclut que la différence remarqué entre le calcul directe et par Robot est principalement au
disposition séismique.
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• Exemple de calcul d’une poutre (méthode forfaitaire) Poutre avec trois travées (1_35,
1_36, 1_37)
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O remarque que les sections d’acier calculés avec Robot sont plus grande que ceux calculé à la
main ; c’est grâce aux dispositions séismique.
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Poutres de mezzanine
Plan des poutres de mezzanine format A3 voir l’Annexe15
Plans d’exécution des poutres de mezzanine : voir le CD (fichier électronique, format PDF)
Poutres de RDC
Plan des poutres de RDC format A3 voir l’Annexe16
Plans d’exécution des poutres de RDC voir le CD (fichier électronique, format PDF)
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Figure30 : Charges appliquées sur le centre de traitement des courriers avec CBS
5.4.3. Ferraillage
Semelles RDC
On a 8 types des semelles de S1 à S8
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Tableau21 : Tableau des semelles de sous-sol, CTC
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5.4.3.3. Ferraillage des voiles
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MASTER ICP-BTP PROJET PROFESSIONNEL DE FIN D’ETUDE
5.4.3.4. Ferraillage des poutres
Poutres de PH Sous-sol
• Plan PH sous-sol voir l’Annexe20
Poutres de mezzanine
• Plan PH sous-sol voir l’Annexe21
Poutres PH RDC
• Plan PH sous-sol voir l’Annexe22
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MASTER ICP-BTP PROJET PROFESSIONNEL DE FIN D’ETUDE
Conclusion :
Au terme de ce mini projet nous pouvons affirmer que nous avons fait le tour des étapes de
dimensionnement des projets BA. Nous sommes donc armés et assez avertis pour aborder tout
dimensionnement de Bâtiment.
A noter que nous avons effectué tous les calculs avec Robot structural Analysis, nous a faits
conception qui était la première phase difficile et indispensable qui précède tout calcul de BA.
il reste important que l’ingénieur sache ce qu’il y a derrière les interfaces des ordinateurs pour
mieux utiliser son logiciel et nous pensons qu’après avoir manipuler toutes les formules de béton
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