Vous êtes sur la page 1sur 12

Menu principal









Recherc her Lire

 Créer un compte
 Se connecter
Outils personnels

The annual celebration of Africa is Open! 


Climate & Weather 
Enter your photos, video, and audio

Sommaire
 masquer

Début


Structure des silicates
Afficher / masquer la sous-section Structure des silicates
o
Structures de petites dimensions

o
Structures polymères

o
Formules des silicates polymères


Classification des silicates
Afficher / masquer la sous-section Classification des silicates
o
Classification chimique
o
Classification minéralogique et structurale


Les silicates en astronomie


Importance biogéochimique et modélisations


Notes et références


Bibliographie
Afficher / masquer la sous-section Bibliographie

Voir aussi
Afficher / masquer la sous-section Voir aussi
o
Articles connexes

o
Liens externes

Silicate
37 langues
 Article
 Discussion
 Lire
 Modifier
 Modifier le code
 Voir l’historique

Outils













Motif structurel de base de la plupart des polymorphes du dioxyde de silicium qui forme des assemblages
de tétraèdres SiO4 liés les uns aux autres par leurs sommets, chaque atome d'oxygène étant commun à
deux tétraèdres, d'où la formule générale de SiO21.

Un silicate est un sel combinant le dioxyde de silicium SiO2 à d'autres oxydes


métalliques. Les minéraux ayant une composition de silicate sont également qualifiés
de silicates et constituent une famille de minéraux extrêmement importante.
En minéralogie, les polymorphes de la silice sont classés parmi les silicates.
Les silicates constituent 97 % pds de la croûte terrestre, et plus de 90 % pds de
la lithosphère. Il en existe de nombreuses familles :

 silicates ferromagnésiens
(chlorites, serpentines, amphiboles, pyroxènes, péridots ou olivines, grenats) ;
 aluminosilicates, dans lesquels l’aluminium remplace partiellement
le silicium (feldspaths riches en silice, zéolites, micas) ;
 silicates d’alumine (tourmaline, grenats).

Structure des silicates[modifier | modifier le code]

ion orthosilicate tétraédrique

ion disilicate (Si2O7)6−


macroanion linéaire
[SiO32−]n (chaîne)

macroanion [Si4O116−]n (ruban)

macroanion [Si2O52−]n (feuillet)

Les silicates sont des minéraux dont le squelette est essentiellement formé par
des tétraèdres de silicium et d'oxygène (SiO4) additionnés
d’aluminium, magnésium, fer, calcium, potassium, sodium et autres éléments. Dans
quelques rares cas le silicium n'est pas tétraédrique (coordinence 4) mais
octaédrique (coordinence 6) comme dans la stishovite SiO2 ou
la thaumasite Ca3Si(OH)6(CO3)(SO4) • 12 H2O.
Structures de petites dimensions[modifier | modifier le code]
Dans le cas le plus simple, celui des nésosilicates (orthosilicates), les tétraèdres sont
présents dans la structure sous forme d'anions (SiO4)4−.
Les tétraèdres SiO4 peuvent mettre en commun un certain nombre d'atomes
d'oxygène par les sommets2 pour former d'autres structures également de petites
dimensions.
On distingue ainsi les disilicates (sorosilicates) caractérisés par la présence de
l'anion (Si2O7)6− et les cyclosilicates comportant des anions cycliques qui résultent de
l'enchaînement de trois, quatre ou six groupes SiO3.
Les anions sont associés à des cations qui assurent la neutralité électrique de
l'ensemble.
Structures polymères[modifier | modifier le code]
Les tétraèdres SiO4 peuvent s'associer pour former des structures de taille très
grande (structures polymères). Ces structures sont caractérisées par de longs
enchaînements covalents -Si-O-Si-O-Si-O- qui peuvent être unidimensionnels ou
former des réseaux bi- ou tri-dimensionnels.
Les structures polymères se présentent ainsi sous la forme de macro-anions à
extension indéfinie, linéaires comme dans les pyroxènes, en chaînes doubles
(rubans) dans les amphiboles, en feuillets dans les phyllosilicates, tridimensionnels
dans les aluminosilicates tels que les feldspaths, ou sous la forme d'une
structure macromoléculaire tridimensionnelle dans la silice qui peut
être cristalline ou amorphe.
Ci-contre (et ci-dessous) les modèles moléculaires de macroanions et de la silice
cristallisée (atomes Si en gris et O en rouge). Les formules des structures sont
écrites selon la notation propre aux polymères :
[ motif ]n : n (très grand) = nombre de motifs.
Les macroanions, comme les anions, sont associés à des cations qui assurent la
neutralité électrique de l'ensemble.
Dans la macromolécule de silice cristallisée, le motif de répétition est un tétraèdre
qui se répète dans les trois directions de l'espace. Les quatre atomes
d'oxygène O aux sommets d'un tétraèdre SiO4 sont mis en commun avec d'autres
tétraèdres SiO4. Un atome O est partagé entre deux tétraèdres, il compte donc
pour  ⁄  O dans un tétraèdre. Le motif de répétition s'écrit alors SiO 4/2, soit SiO23.
1
2

La formule de la silice s'écrit donc [SiO 2]n4.

macromolécule
[SiO2]n
(silice cristallisée, tridimensionnelle - ici : quartz β)
 

Tétraèdre SiO4
 

Structure d'une silice cristallisée (quartz β)


L'indice n est généralement omis dans l'écriture [SiO2]n, et la formule s'écrit
simplement SiO2.
Remarque
Les formules des structures peuvent également être représentées avec la charge
du macroanion et non celle du motif, par exemple [SiO 3]n2n− au lieu de [SiO32−]n5.
Formules des silicates polymères[modifier | modifier le code]
Les macroanions s'associent à des cations minéraux pour former des polymères
minéraux6.
Les proportions des entités ioniques reflètent la neutralité électrique de la
matière.
Exemples
Les macroanions linéaires [SiO32−]n s'associent à des cations tels que les
ions Li+, Mg2+, Ca2+, Al3+, pour former des pyroxènes :

 avec les ions Mg2+ ils forment l'enstatite de formule [MgSiO3]n6


 avec les ions Ca2+ et Mg2+ ils forment le diopside de formule [CaMg(SiO3)2]n
 avec les ions Li+ et Al3+ ils forment le spodumène de formule [LiAl(SiO3)2]n
Ces formules sont généralement simplifiées en omettant l'indice n : 

 MgSiO3
 CaMg(SiO3)2
 LiAl(SiO3)25.
Remarque
La disposition des tétraèdres dans un macroanion linéaire est alternativement
d'un côté et de l'autre de la ligne médiane :

Si l'on tient compte de cette disposition, le motif de répétition associe maintenant


deux tétraèdres consécutifs. Sa formule est [Si2O6]4− (7).
Les formules des polymères précédents deviennent :

 [Mg2Si2O6]n pour l'enstatite ;
 [CaMgSi2O6]n pour le diopside ;
 [LiAlSi2O6]n pour le spodumène.
En omettant l'indice n, les formules s'écrivent : 

 Mg2Si2O6
 CaMgSi2O6
 LiAlSi2O6

Classification des silicates[modifier | modifier le code]


Classification chimique[modifier | modifier le code]
Les silicates peuvent être considérés comme des sels des acides siliciques. Ces
sels associent un ou plusieurs cations métalliques à un oxanion du silicium. En
fonction du rapport Si/O on distingue notamment :

 les orthosilicates (anion : SiO44−), sels de l'acide orthosilicique H4SiO4 ;


 les pyrosilicates (anion : Si2O76−), sels de l'acide pyrosilicique H6Si2O7 ;
 les métasilicates (anion : SiO32−), sels de l'acide métasilicique H2SiO3 ;
 les disilicates (anion : Si2O52−), sels de l'acide disilicique H2Si2O5.
La classification chimique recoupe partiellement la classification structurale.
Notamment, les orthosilicates sont en général des nésosilicates, et les
métasilicates des inosilicates.
Classification minéralogique et structurale[modifier | modifier le
code]
Les géologues ont longtemps considéré les silicates du globe terrestre comme
des sels d'acide silicique issus de la dissolution du dioxyde de silicium. Ils les
envisagent désormais comme des édifices chimiques résultant de l'association
d'oxygène et de silicium (voire d'aluminium dans le cas des aluminosilicates),
formant des tétraèdres (Si, Al)O4 reliés entre eux soit par un ou plusieurs atomes
d'oxygène, soit par des cations (ceux-ci, tels Mg, Fe, Al se trouvent aux centres
d'octaèdres quasi réguliers)8.
Les silicates peuvent être classés selon plusieurs critères, mais les deux
classifications les plus employées en minéralogie sont basées sur l’enchaînement
des tétraèdres :

 la classification topochimique (classification de Machatski-Bragg) est basée


sur l’enchaînement des tétraèdres, dans lesquels le silicium et l’aluminium
peuvent donner lieu à une substitution isomorphe ; les tétraèdres où seul
l’aluminium est présent sont qualifiés d'hétéro-tétraèdres ;
 la classification topologique (classification de Zoltai) est basée sur
l’enchaînement des tétraèdres centrés sur n’importe quel cation.
Les sous-catégories définies par ces deux critères sont les mêmes et, dans la
plupart des cas, le résultat final est aussi le même. Toutefois, dans le cas
d’aluminosilicates dont la structure comporte des tétraèdres centrés sur des
cations autres que le silicium et l’aluminium, les deux classifications divergent.
Les principaux groupes d’aluminosilicates sont :

 les nésosilicates (ou orthosilicates) : les tétraèdres n'ont aucun sommet


commun, mais seulement avec d’autres polyèdres ; les anions appartiennent
tous aux tétraèdres. Exemples : zircon, olivines, grenats ;
o nésosubsilicates : comme pour les nésosilicates, les tétraèdres n'ont pas
de sommet commun, mais ici la structure comporte en plus des anions qui
n’appartiennent pas à des tétraèdres.
Exemples : disthène, andalousite, sillimanite, staurotide, topaze, titanite (s
phène) ;
 les sorosilicates : deux tétraèdres partagent un sommet et forment un groupe
[Si2O7]6−. Exemples : épidotes, mélilite, thortveitite, hémimorphite ;
 les cyclosilicates : la structure est composée d’anneaux isolés de 3, 4 ou 6
tétraèdres. Exemples : tourmaline, béryl, cordiérite, dioptase ;
 les inosilicates : les tétraèdres sont associés en chaînes ou en rubans.
Exemples : pyroxènes, amphiboles, pyroxénoïdes, amphiboloïdes ;
 les phyllosilicates : les tétraèdres partagent trois sommets sur quatre et
forment un feuillet bidimensionnel.
Exemples : chlorites, micas, talc, pyrophyllite, serpentine, kaolinite ;
 les tectosilicates : les tétraèdres ont tous leurs sommets communs.
Exemples : quartz, tridymite, cristobalite, feldspaths, feldspathoïdes, zéolites, 
scapolites.
Les principales différences entre la classification topochimique de Machatski-
Bragg et celle topologique de Zoltai sont données dans le tableau suivant.

Exemples de différence entre les deux classifications des aluminosilicates. [4], [6] et [8] indiquent


la coordination des cations.

Classification
Classification
topochimique Hétéro-
Minéral Formule topologique
(Machatski- tétraèdre(s)
(Zoltai)
Bragg)

[4]
Pétalite Li[4]Al[4]SiO4 phyllo tecto Al, Li

[4]
α-eucriptite Li[4]Al[4]SiO4 neso tecto Al, Li

[4]
Phénacite Be2[4]SiO4 neso tecto Be

[4]
Willemite Zn2[4]SiO4 neso tecto Zn

[6]
Béryl Al2[4]Be3[4]Si6O18 cyclo tecto Be

[6]
Cordiérite Mg2[4]Al3[4](AlSi5)O18 cyclo tecto Al

[4]
Zn4[4]Si2O7(OH)2 •
Hémimorphite soro tecto Zn
H2 O

[8]
Mélilite CaNa[4]Al[4]Si2O7 soro phyllo Al

[6]
Sillimanite Al[4]Al[4]SiO5 neso soro Al

Les silicates en astronomie[modifier | modifier le code]


Certaines étoiles entourées de matière circumstellaire « froide » — en deçà de la
température de sublimation des silicates, aux alentours de 1 500 K — présentent
des grains de poussière constitués de silicates. Leur présence est révélée par
des raies spectrales larges caractéristiques des silicates, dans les bandes
spectrales infrarouges N et Q, à 10 et 20 µm respectivement.
Le profil spectral de ces raies, qui dépend du type de silicate, de la géométrie des
grains de poussière et de la présence additionnelle d’autres composés (exemple :
la glace à moins de 300 K), donne des indications sur les conditions physico-
chimiques des environnements étudiés.
La présence de silicates est fréquemment attestée autour des étoiles jeunes et
des étoiles évoluées, notamment dans les disques d’accrétion et les enveloppes
circumstellaires. En particulier, les silicates sont les principaux constituants
des planètes telluriques du Système solaire : Vénus, la Terre, Mars et, dans une
un peu moindre mesure, Mercure.

Importance biogéochimique et
modélisations[modifier | modifier le code]
On sait que le climat agit sur l'altération des roches, et qu'il existe aussi
des boucles de rétroaction faisant que les composés d'altérations modifient le
cycle du CO2 et du carbone dans l'océan, et par suite l'évolution du climat 9,10.
Le lessivage des roches riches en silicates a considérablement augmenté en
raison des pratiques humaines d'agriculture, de sylviculture et d'aménagement
des sols, d'incendie/écobuage et plus généralement de transformation
écologiques des paysages.
De même les phénomènes de pluies acides et d'acidification des eaux
douces exacerbent localement la dissolution de roches et sols. Ces phénomènes
contribuent à dégrader les sols en amont, mais ils contribuent aussi en aval à la
formation de roches carbonatées dans les océans, et donc au transfert de CO2 de
l'atmosphère à la lithosphère (« puits de carbone » dans ce cas). L'altération des
roches contribue au cycle du carbone11,12,13,14,15, dans le contexte du dérèglement
climatique a justifié la production d'une cartographie planétaire lithologique (world
lithological map) pour 6 grands types de roche par latitude, continents, et bassin
de drainage océanique et pour 49 grands bassins fluviaux terrestres. Ce travail
de cartographie a été couplé aux modèles disponibles sur le cycle du CO 2 pour
évaluer la quantité de CO2 atmosphérique consommé par les roches durant leur
processus d'altération et pour évaluer l'alcalinité apportée par les cours d'eau à
l'océan. On a montré que l'altération des roches a dans le passé
considérablement varié selon les
phases glaciaires et interglaciaires des paléoclimats16. Parmi les roches silicatés,
les schistes (shales) et les basaltes17 semblent jouer une grande influence sur la
quantité de CO2 pompée par le processus d'altération du substratum rocheux 9.

Notes et références[modifier | modifier le code]


1. ↑ Les valeurs numériques sont celles du quartz α
2. ↑ Les tétraèdres SiO4 ne partagent pas d'arêtes ni de faces ; source : Maurice Bernard, op. cit., p.
259.
3. ↑ Maurice Bernard, Cours de chimie minérale, 2e éd., Éditions Dunod, 1994 (ISBN 2 10 002067
6), p. 262-263.
4. ↑ Raymond Quelet, Précis de chimie, Tome 1 - Chimie générale, 9e éd., Presses universitaires de
France, 1966, p. 188.
5. ↑ Revenir plus haut en :a et b Huheey, Keiter et al., op. cit., p. 742, 743 - Présentation en ligne [archive] - Lire en
ligne [archive]
6. ↑ Revenir plus haut en :a et b Jean-Pierre Mercier et al., op. cit., p. 95, 96 - Présentation en ligne [archive] - Lire
en ligne [archive].
7. ↑ Jacques Angenault, op. cit., p. 510.
8. ↑ Jacques Bersani, Louis Lecomte, Antoinette Bernard et al., Encyclopaedia universalis. Rhéologie
- Silicates, Encyclopaedia universalis France, 1996, p. 1088
9. ↑ Revenir plus haut en :a et b Amiotte Suchet, P., Probst, J. L., & Ludwig, W. (2003) Worldwide distribution of
continental rock lithology: Implications for the atmospheric/soil CO2  uptake by continental
weathering and alkalinity river transport to the oceans [archive]. Global Biogeochemical Cycles,
17(2)
10. ↑ Suchet, P. A., & Probst, J. L. (1995). global model for present‐day atmospheric/soil
CO2  consumption by chemical erosion of continental rocks (GEM‐CO2) [archive]. Tellus B, 47(1‐2),
273-280.
11. ↑ Berner, R. A., A. C. Lasaga, and R. M. Garrels, The carbonate-silicate geochemical cycle and its
effect on atmospheric carbon dioxide over the past 100 millions years, Am. J. Sci., 283, 641–683,
1983.
12. ↑ Meybeck, M., Global chemical weathering of surficial rocks estimated from river dissolved loads,
Am. J. Sci., 287, 401–428, 1987.
13. ↑ Amiotte Suchet, P., and J. L. Probst, Flux de CO2 atmosphérique consommé par altération
chimique continentale: Influence de la nature de la roche, C. R. Acad. Sci., Ser. II, 317, 615–622,
1993
14. ↑ Amiotte Suchet, P., and J. L. Probst, Modelling of atmospheric CO2 consumption by chemical
weathering of rocks: Application to the Garonne, Congo and Amazon basins, Chem. Geol., 107,
205–210, 1993
15. ↑ Amiotte Suchet, P., and J. L. Probst, A global model for present day atmospheric/soil
CO2 consumption by chemical erosion of continental rocks (GEM-CO2), Tellus, Ser. B, 47, 273–
280, 1995.
16. ↑ Ludwig, W., P. Amiotte Suchet, and J. L. Probst (1999) Enhanced chemical weathering of rocks
during the Last Glacial Maximum: A sink of atmospheric CO2  ? Chem. Geol., 159, 147–151.
17. ↑ Dessert, C., Dupré, B., Gaillardet, J., François, L. M., & Allegre, C. J. (2003). Basalt weathering
laws and the impact of basalt weathering on the global carbon cycle. Chemical Geology, 202(3),
257-273.

Bibliographie[modifier | modifier le code]
Structure des silicates[modifier | modifier le code]

 Jean Pierre Mercier, Gérald Zambelli, Wilfried Kurz, Traité des matériaux,


Vol.1 - Introduction à la science des matériaux, 3e éd., Presses
polytechniques et universitaires romandes, 1999 (ISBN 2-88074-402-4), p. 95-96,
120-124.
 Maurice Bernard, Cours de chimie minérale, 2e éd., Éditions Dunod,
1994 (ISBN 2 10 002067 6), p. 259-263.
 André Guinier, La structure de la matière – du ciel bleu à la matière
plastique, Éditions Hachette, 1980 (ISBN 2-01-007095-X), p. 130-132.
 Raymond Quelet, Précis de chimie, Tome 1 - Chimie générale, 9e éd., Presses
universitaires de France, 1966, p. 186-192.
 Huheey, Keiter et al., Chimie inorganique, De Boeck Université,
1996 (ISBN 2804121127).
 Jacques Angenault, La Chimie – dictionnaire
encyclopédique, 2e édition, Éditions Dunod, 1995 (ISBN 2100024973), p. 509-
516.

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Sur les autres projets Wikimedia :
silicate, sur le Wiktionnaire

Articles connexes[modifier | modifier le code]

 Altération des silicates


 Classification des minéraux
 Glossaire des minéraux
Liens externes[modifier | modifier le code]

 Ressource relative à la santé  : 


o (en) Medical Subject Headings
 Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes  : 
o Britannica [archive]
o Gran Enciclopèdia Catalana [archive]
o Universalis [archive]
 Notices d'autorité  : 
o LCCN
o Israël
o Lettonie
 Site présentant les silicates [archive]

  Portail des minéraux et roches 


  Portail de la chimie
Catégorie : 
 Silicate
[+]
 La dernière modification de cette page a été faite le 13 avril 2023 à 04:14.
 Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les
mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de
détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment
citer les auteurs et mentionner la licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie
par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.
 Politique de confidentialité

 À propos de Wikipédia

 Avertissements

 Contact

 Version mobile

 Développeurs

 Statistiques

 Déclaration sur les témoins (cookies)


Vous aimerez peut-être aussi