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I.1.1 Historique :
L’état a crée par décret du 31 décembre 1963, complété par celui du 21septembre1966, la
société nationale pour la recherche, la production, le transport, la transformation et la
commercialisation des hydrocarbures liquides et gazeux SONATRACH : (Société National de
Transport et Commercialisation des Hydrocarbures).
La SONATRACH occupe une place capitale dans l’économie du pays, elle emploie 3700
agents tous cors de métiers confondus, elle est gérée par un directeur général avec
collaboration de 4 directeurs adjoints.
F Finance A Approvisionnement
T Technique G Maintenance
Département Maintenance
« G »
Service Service
Chaudronnerie Logistique
Ses missions sont d’assister les krafts quotidiennement, on relève les sections suivant :
b) Section préparation :
Tri des DT, déterminer les paramètres de travail de manière à faciliter l’exécution efficace.
c)Section planning :
Planifie les travaux, dans un intervalle de temps spécifique, calculer l’écart c à d mettre en
évidence la charge de travail (Nombre d’heures/hommes).
d) Section statistiques :
Réalise les rapports hebdomadaires, mensuels et bilans annuels, corrige et met à jour le taux
(Nombre d’heures/hommes).
e)Section prédictive :
Inspecte les machines tournantes, mesure des vibrations afin de régler des anomalies et
d’établir un plan de maintenance. La demande de travail se transforme en ordre de travail
suivant les urgences à savoir :
Il s’occupe de :
II.1. Historique :
Dans un passé plus récent, l’antiquité, le pompage de l’eau est apparu comme un besoin, qui
a conduit l’homme à développer une technologie que l’on peut qualifier d’avancée. Il est
intéressant de constater que certains types de pompes, vieux de 2 000 ans, sont encore
produits et commercialisés de nos jours, avec succès. C’est le cas de la vis d’Archimède.
La technologie des pompes a évolué lentement, et même très lentement pendant deux
millénaires, pour finalement exploser à la fin du XIXe siècle et se placer sur une autre
trajectoire, à pente fortement positive. Le big bang correspondait à l’apparition des pompes
centrifuges, et plus généralement roto dynamiques.
La technologie des pompes roto dynamiques a beaucoup évolué depuis sa naissance, comme
on le voit sur la figure ci-contre, extraite d’un document Sulzer. Elle montre quatre étapes
dans le développement des pompes alimentaires de chaudière. La réduction de taille
s’accompagne, en outre, de l’accroissement simultané des débits, des niveaux de pression et
de température.
II.2. Généralités :
II.2.1. Définition :
Toute machine qui communique de l’énergie mécanique à un liquide peut être regroupée sous
l’appellation de pompe. Cette énergie se manifeste essentiellement sous 2 formes : Cinétique pour le
débit et potentielle pour la pression.
Une pompe n’est que finalement un ascenseur à énergie : Le liquide qui rentre par sa bride
d’aspiration ou de gavage avec un certain niveau d’énergie en ressort avec un niveau plus élevé. Sans
rentrer dans les détails, on peut classer ces pompes en quatre grandes familles selon comment elles
communiquent leurs énergies : Volumétriques, centrifuges, axiales. De nombreuses pompes dites
roto-dynamiques combinent les effets centrifuges et axiaux, il s’agit des pompes hélico-centrifuges
ou simplement mixtes.
Le principe de base de n’importe quelle pompe est de faire transporter un liquide d’un réservoir à un
autre dont l’un est situé à un niveau plus bas, à l’amont de la pompe, c’est à dire à une faible
pression d’aspiration et l’autre situé à l’aval, c’est à dire à une pression de refoulement nettement
supérieure.
D’une façon générale, le principe est de fournir au liquide la pression nécessaire pour qu’il puisse se
déplacer d’un point à un autre.
Toutes les pompes se divisent en deux classes principales selon le mode de fonctionnement suivant :
Hélico centripètes
III.1. Introduction :
Parmi les équipements qu’on veut les traités des problèmes qui persiste toujours sont des
pompes centrifuges multicellulaires (pompe de M.E.A) de la phase de traitement du gaz
naturel précisément dans le procédé décarbonatation et de l’unité de chaudière (pompes
d’alimentation de chaudière à haute pression E.A.C), d’où l’utilisation de notre
équipement et dans ce moment la, on prend les pompes de MEA comme cas particulier.
Le gaz d’alimentation pénètre dan s l’unité avec une pression contrôlée, en règle générale, à
41.4 bars. Le gaz est tout d'abord admis dans une section de séparation rapide située au fond
de l'absorbeur X01-F-502, section dans laquelle le liquide est entraîné et séparé du débit du
gaz d'alimentation.
Après séparation, le liquide est envoyé dans le système de décantation des hydrocarbures,
tandis que le gaz continu va être acheminé vers l'absorbeur, en passant par le pré chauffeur du
gaz X01-E-506.
Le gaz naturel pénètre dans l'absorbeur à 38° C, et circule vers le haut à travers 27 plateaux à
clapets. Le gaz circule à contre courant par rapport à une solution aqueuse de mono-éthanol-
amine (MEA) à 15% s'écoulant vers le bas de la colonne. Cette solution de MEA, pauvre en
CO2, pénètre-t-elle aussi dans l’absorbeur à 38° C, et son débit est régulé à 54.000 KG/ h en
conditions normales.
La solution pauvre est refroidie dans l'échangeur de solution de MEA X01-E-503, et passe
ainsi de 117°c à 72°c. Elle est ensuite refoulée par la pompe de MEA (X01-J-503) vers
l’absorbeur en passant dans le refroidisseur de solution de MEA X01-E-504, où elle subit
un refroidissement plus poussé. La température de la solution est amenée au point de consigne
de 38 °c.
Le gaz d'alimentation ainsi purifié sort par la partie supérieure de l'absorbeur, et passe dans les
sécheurs à tamis moléculaires.
chauffée jusqu'à 93°c par échange thermique avec les liquides résiduels de régénérateur dans
l'échangeur de solution de MEA X01-E -503 A/B.
La solution riche en CO2 est amenée au sommet du régénérateur, au-dessus du plateau
supérieur, point auquel survient une détente rapide à la réduction subite de la pression de 41
bars à 0.7 bars de pression manométrique.
Le CO2 est extrait de la solution MEA riche en CO2 descendante, par les vapeurs montantes
La solution de MEA riche en CO2 passe en cascade dans les 21 plateaux à clapets du
régénérateur pour être recueillie sous forme de solution de MEA pauvre au fond de ce dernier.
Après son passage sur le déversoir, la solution coule vers la section inférieure du régénérateur,
la vapeur d'extraction destinée à la régénération de la solution de MEA est produite en faisant
bouillir une solution pauvre dans le rebouilleur, avec vapeur d'eau à 3,45 bars de pression
manométrique.
pompe de retour de condensât J-506. Le CO2 humide passe dans l'atmosphère à partir du
Un système de filtrage double est prévu pour éviter l'accumulation des impuretés solides dans
la solution de MEA qui risqueraient de provoquer le moussage dans l'absorbeur et le
régénérateur, environ 04% de la solution de MEA pauvre refroidie est continuellement filtrée
par le filtre a charbon P-501 renfermant du charbon active et protégé de part et d'autre par des
filtres cartouche.
L'épurateur de MEA E-505 est conçu pour assurer la récupération du MEA et l’extraction des
impuretés contenues dans la solution. On place du carbonate de sodium anhydre dans
l'épurateur au début d'un cycle de récupération, et un soutirage latéral à faible débit de
solution de MEA effectué au niveau du plateau inférieur du régénérateur assure le maintien
d'un niveau de liquide constant dans l'épurateur, qui est chauffé par de la vapeur à 10.34 bars
de pression afin de vaporiser le MEA qui retourne au régénérateur.
Les contaminants sont des substances non volatiles et forment des sels par réaction chimique
avec le carbonate de sodium anhydre. Au fur et à mesure du développement du cycle de
récupération de MEA, les sels s'accumulent dans l'épurateur, ce qui fait monte la température
d'ébullition de la solution. Une foi la température atteint 150°C, l'épurateur cesse de
fonctionner et doit être nettoyé avant le cycle suivant.
Des puisards et des pompes (X01-J-503/504) sont associés aux réservoirs pour le
transfert de la solution, et la dilution de MEA pour le cas échéant.
Les pompes MEA (X01-J-503/504) sont des pompes multicellulaires (voir la figure 25), à
plan de joint horizontal.
Deux (2) pompes de MEA(X01-J-503/504) qui alimentent de l’absorbeur sont prévues pour
chaque section de décarbonatation. Le rôle de la pompe de MEA est de pomper la solution
MEA pauvre qui vient de la colonne de régénération de MEA (X01-F-501) vers l’absorbeur
de CO2 coté supérieur. Deux (2) pompes sont entrainées par moteur électrique et par turbine
à vapeur, quand l’absorbeur est en service normal.
Aspiration de liquide.
Augmentation progressive dans la pression de la 1ère étape jusqu'à la 3e étape, c'est la
phase basse pression.
Le liquide passe en avant la 3e étape à la 4e étape par une volute.
le débit liquide passe du 3ieme étage au 4ime par une volute.
Du 4ieme jusqu'aux 6ieme la direction du liquide aspiré est réservée, c'est la phase haute
pression.
C'est à la sortie de la 6e étape que le liquide atteint sa pression maximale.
Un bon montage et une bonne lubrification sont les facteurs principaux nécessaires pour
assurer un bon fonctionnement du palier en service.
Figure 1 –palier
(Indicateur de niveau d’huile) (Entrée eau de refroidissement)
Cette bague est fixe, cote translation par l’épaulement et en rotation par le tétant.
Pour la pompe MEA le constructeur a choisi d’utilisé une garniture mécanique ou cartouche
garniture a ressort unique (JOHN CRANE) sa fonction est d’établir l’étanchéité (empêcher les
fuites du fluide vers l’extérieur).
Ensemble cartouche garniture est utilisé pour facilite l’installation des garnitures, l’utilisateur
n’a pas a se soucier de la langueur de montage et des faces de frottement, cela a déjà été
contrôlé par le fabricant, le montage se trouve ainsi facilite, plus rapide, avec moins de
contrôles et par conséquent, plus fiable.
5 6 7 1 2 3 4
6666
11 11 11
Figure 4-garniture mécanique
Simple.
Peu chère.
Ces impulseures sont a aspiration unique du type ferme, faites d’une seul pièce et équilibrées
dynamiquement, ce type centrifuge légèrement incline en arrière réduit le risque de surcharge.
Ceux-ci sont aussi assembles dans opposition et par des groupes égaux ce qui assure une
balance axiale avec double volute.
Ces impulseurs sont monté serrer sur l’arbre
Figure 7-demi-lune
Figure 8-clavette
Remarque :
Les impulseur neufs reçus (le numéro 2,4et 6) ont un diamètre un peu grand que ceux requis
(soit 9 pousse pour 8,812 requis).
Elles sont statiques et installer sur le corps de la pompe, La fixation des bagues cote
translation se fait par l’épaulement mais cote rotation elle se fait par le tétant.
Figure12-bague d’usure
(Surfaces d’usure)
3. Vidanger la pompe.
4. Désaccouplez.
5. Deviser les boulons de fixation.
6. Démontage de la tuyauterie des boites de garniture et de la purge.
7. Pour le déplacement de la pompe vers l’atelier en emploie deux palans :
a) Un attaché sur la poutrelle en béton.
b) Un attaché sur une charpente métallique.
En utilise cette opération pour la turbo pompe, mais pour la moto pompe en utilise la grue.
III.4-1-2À l’atelier :
1. Démonter le moyeu d’accouplement sans oublier l’écrou de blocage.
2. Démonter le déflecteur.
3. Démonter le couvercle du palier intérieur.
4. Dévisser la vis de blocage du roulement radiale puis en démonte la chemise avec le
roulement en même temps.
5. Dé
m on
t ag
e du
palier interne.
6. Démontage du déflecteur.
7. Démontage de la boite a garniture.
a) Sans oublier de dévisser la bague de blocage.
b) Dévisser les boulons de fixation de la boite a garniture.
8. Démontage du palier externe, même opération que le palier interne sauf qu’il ya un
seul déflecteur.
9. Démontage de la boite a garniture.
10. Déboulonné les boulons du demi-corps supérieur.
11. A l’aide d’un palan démonter le demi-corps.
12. Enlever le rotor et le poser sur un support.
13. Avant le démontage des impulseurs il faut les repérer du 1er au 6éme
14. A l’aide d’un chalumeau chauffer le 1er impulseur, pousser vers le 2eme impulseur puis
enlever la demi-lune et la clavète, en suite retirer le vers l’exterieur, la même méthode
pour les autre impulseur.
III.4-2Gamme opératoire de remontage :
III.4-2-1A l’atelier :
Préparation du rotor pour l’équilibrage :
1. L’équilibrage étant le bute de l’opération on ne monte sur l’arbre que et tous les
éléments rotatifs.
2. Nettoyer parfaitement les pièces a assemblé.
3. Vérifier entre points au tour la concentricité de l’arbre, la flexion ou faux ronds ne
doivent pas dépasser 0,002millieme.
4. Montage des bague d’usure sur les impulseurs tout en respectant les jeux du
constructeur.
5. Montage des impulseurs.
6. Montage du piston d’équilibrage.
7.
4. O
n
fait l’alignement entre le moyeu d’accouplement de la pompe et le moyeu
d’accouplement de la turbine à l’aide d’un comparateur.
7.
Conclusion :