Vous êtes sur la page 1sur 6

Le plan de travail 

:
- L’introduction
- Les méthodes de collecte de données :
1. Entretiens
2. Observation
3. questionnaire et enquêtes
4. documents et enregistrement
5. groupe de discussion
6. histoire orale
- La conclusion
Introduction :
De nos jours, entreprises et organisations sont les plus en plus
connectées à leurs clients, leurs utilisateurs, leurs employés, leurs
fournisseurs et parfois même leurs concurrents. Les données
peuvent raconter une histoire sur n’importe laquelle de ces relations,
et avec ces informations, les entreprises et es organisations peuvent
améliorer presque tous les aspects de leurs opérations.
Mais si disposer de données précises est précieux, trop d’information
peut vite devenir difficile à gérer et elles peuvent devenir impossibles
à exploiter. Disposer d’une bonne méthode de collecte de données
peut faire la différence entre recevoir des informations utiles qui font
avancer, et recevoir des informations inutiles qui font perdre un
temps précieux.

Heureusement, les entreprises disposent de plusieurs outils pour


collecter de données primaires. Cela va des méthodes traditionnelles
et simple, comme des échanges directs, face à face, à des méthodes
plus sophistiquées de collecte et d’analyse des données.

Voici les méthodes de collectes de données :

1. Entretiens
2. Observation
3. Questionnaires et enquêtes
4. Documents et enregistrement
5. Groupe de discussion
6. Histoire orale
1. Entretiens :
Directif, semi-directif, ou libre : les différents types d’entretiens permettent de
récolter des informations à travers une discussion avec une ou plusieurs
personnes.

La technique de l’entretien est très utile dans la collecte de données


informatives sur des sujets très précis. Il s’agit surtout de s’entretenir avec des
personnes qui ont une expertise ou une expérience particulière sur votre sujet.

Exemple : Pour un mémoire sur la digitalisation de secteur des assurances,


l’étudiant a tout intérêt d’utiliser la technique de l’entretien pour interroger un
expert et collecter des données informatives pertinentes. Récolter des
informations sur ce sujet en proposant un questionnaire à ses proches serait
inutile. Les personnes profanes dans ce domaine n’apporteraient aucune
information pertinente pour le chercheur.

1. L’observation :
Que l’observation soit participante, non participante, structurée ou non
structurée, elle permet de collecter des données intéressantes.

La technique de l’observation s’avère utile quand le chercheur étudiant un


phénomène, un sujet, réel, qui est observable.

Exemple : l’observation serait peu utile dans le cadre du mémoire sur la


digitalisation du secteur des assurances (le fait de pouvoir souscrire à des
assurances depuis son smartphone est un phénomène difficilement observable
concrètement).

En revanche, l’observation pourrait être utile dans un mémoire qui étudie les
conditions de travail de cheminots. L’enquêteur pourrait dans ce cas, observer
longuement des cheminots au travail pour récolter des données informatives
qui lui permettront de connaitre les conditions de travail de ces travailleurs.
3. Le questionnaire :
L’étudiant peut avoir recours au questionnaire s’il veut interroger un grand
nombre de personnes. Avec un échantillon représentatif de la population
ciblée par son sujet, le chercheur peut collecter des données statistiques qui lui
fourniront des informations après analyse.

Ces informations doivent l’aider à dresser un ou plusieurs constats qui


répondent à sa problématique et ses hypothèses de départ.

Exemple : pour un mémoire portant sur la place de la religion dans la société,


l’étudiant peut établir un questionnaire, afin d’obtenir des données
statistiques. Il lui permettra de récolter des informations sur la part de la
population française qui pratique toujours une religion par exemple.

4. Documents et enregistrements :
Il est parfois possible de collecter une quantité considérable de données sans
rien ne demander à personne. La recherche basée sur des documents et des
enregistrements utilise des données existantes pour réaliser son étude.

Exemple : Les registres de présence, les procès-verbaux des réunions et les


rapports financiers ne sont que quelques exemples de documents et
enregistrements exploitables dans ce type de recherche. L’utilisation de
document et enregistrement peut être une méthode efficace et peu couteuse,
car vous utilisez principalement des recherche déjà terminées. Cependant,
dans la mesure ou le chercheur a moins de contrôle sur les résultats, les
documents et les enregistrements peuvent être une source incomplète ou
biaisée.
5. Groupe de discussion :
Mélange d’entretiens, de sondages et d’observation, le recours à un groupe de
discussion est une méthode de collecte de données qui implique de réunir
plusieurs personnes qui ont quelque chose en commun. Le but d’un groupe de
discussion est d’ajouter un élément collectif à la collecte de données
individuelles.

Exemple :

Une étude de groupe de discussion peut demander aux participants de


regarder une présentation, puis de discuter du contenu avant de répondre à
une enquête ou à des questions de type entretiens. Les groupes de discussion
utilisent souvent des questions ouvertes telles que ‘ Qu’avez-vous pensé de la
présentation ?’ ou ‘ Qu’est-ce que vous plait le plus dans e produit ?

Le modérateur du groupe de discussion peut demander au groupe de réfléchir


à l’expérience partagée, plutôt que d’avancer vers le futur.

6. Histoire orale :
A première vue, une histoire orale peut ressembler à un entretien. Les deux
méthodes de collecte de données impliquent de poser des questions. Mais une
histoire orale est plus précisément définie comme l’enregistrement, la
préservation et l’interprétation d’informations historique basées sur les
opinions et les expériences personnelles des personnes impliquées dans les
évènements.

Exemple :

La corrélation que l’on pourrait faire entre les taux d’occurrence de meurtres
et les ventes de crémé glacée, plus il y a des meurtres. Cependant, il existe une
troisième possibilité lorsqu’une variable supplémentaire affecte ces deux
occurrences.
Conclusion :
Pour obtenir des informations sur ce sujet très technique,
nous choisissons d’utiliser la technique de l’entretient semi
directif et interrogeons un professionnel de l’assurance
spécialisée dans la digitalisation du secteur. Notre échantillon
sera donc réduit à une seule personne. Les questions sont
préparées dans un guide d’entretien qui permet à
l’enquêteur de poser de nouvelles questions si besoin.

Vous aimerez peut-être aussi