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Expert près la Cour d’Appel de

PRE-RAPPORT

Le 24 juin 2023 

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE LILLE

AFFAIRE :
Mme X contre Mme Y

ORDONNANCE DE REFERE DU 8 OCTOBRE 2019


N°MI
N°RG
N° Portalis

Tribunal de Grande Instance de Lille Ordonnance de référé du 08/10/2019

Delacour – CPAM Nancy

Affaire : Mme X c/ Mme Y


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DEMANDEUR :

Mme X
Née le à
Profession :
Demeurant

Représenté par Maître ,


Avocat au barreau de ,

DEFENDERESSE :

Mme Y
Née le à
Profession : Infirmière
Demeurant

Représentée par :
Maitre ,
Avocat au Barreau de

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MISSION D’EXPERTISE

Je soussigné :

XXXX
 Infirmière
 Expert près la cour d’appel de ,
Demeurant

Commise par ordonnance de référé du 08/10/2019 en qualité d’expert, avec pour mission de :

- Se faire communiquer par le demandeur ou son représentant légal ou par un tiers


avec l’accord de l’intéressé ou de ses ayants-droits tous documents utiles à sa
mission ;

- Entendre contradictoirement les parties, leurs conseils convoqués ou entendus (ceci


dans le respect des règles de déontologie médicale ou relatives au secret
professionnel) ;

- Recueillir toutes informations orales ou écrites des parties : se faire communiquer


puis examiner tous documents utiles (dont le dossier médical et plus généralement
tous documents médicaux relatifs au fait dommageable dont la partie demanderesse
a été victime) ;

- Rechercher l’état médical du demandeur avant l’acte critiqué ;

- Procéder à l’examen clinique du demandeur et décrire les lésions et séquelles


directement imputables aux soins et traitements critiqués ;

- Rechercher si les actes médicaux réalisés étaient indiqués, si le diagnostic pouvait


être établi avec certitude et si les soins ou actes médicaux ont été attentifs, diligents
et conformes aux données acquises de la science médicale ;

- Rechercher si le patient a reçu une information préalable et suffisante sur les risques
que lui faisait courir l’intervention et si c’est en toute connaissance de cause qu’il
s’est prêté à cette intervention ;

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- Analyser, le cas échéant, de façon détaillée et motivée la nature des erreurs,


imprudences, manques de précaution nécessaires, négligences, pré, per ou
postopératoires, maladresses ou autres défaillances de nature à caractériser une
faute en relation de cause à effet direct et certaine avec le préjudice allégué, en ne
s’attachant qu’à la seule part imputable aux éléments susceptibles d’être retenus
comme fautifs éventuellement relevés (c’est-à-dire en ne retenant pas les éléments
de préjudice corporel se rattachant soit aux suites normales des soins qui étaient
nécessaires, soit à l’état antérieur) ;

- A partir des déclarations de la partie demanderesse imputables au fait dommageable


et des documents médicaux fournis, décrire en détail les lésions initiales, les
modalités du traitement, en précisant autant que possible les durées exactes
d’hospitalisation et, pour chaque période d’hospitalisation, la nature et nom de
l’établissement, le ou les services concernés et la nature des soins ;

- Indiquer la nature de tous les soins et traitements prescrits imputables au fait


dommageable et, si possible, la date de la fin de ceux-ci ;

- Décrire, en cas de difficultés particulières éprouvées par la partie demanderesse, les


conditions de reprise de l’autonomie et, lorsque la nécessité d’une aide temporaire
est alléguée, la consigner et émettre un avis motivé sur sa nécessité et son
imputabilité ;

- Recueillir les doléances de la partie demanderesse en l’interrogeant sur les


conditions d’apparition, l’importance des douleurs et de la gêne fonctionnelle et
leurs conséquences ;

- Décrire un éventuel état antérieur en interrogeant la partie demanderesse et en


citant les seuls antécédents qui peuvent avoir une incidence sur les lésions ou leurs
séquelles. Dans cette hypothèse :
Au cas où il aurait entraîné un déficit fonctionnel antérieur, fixer la part
imputable à l’état antérieur et la part imputable au fait dommageable,
Au cas où il n’y aurait pas de déficit fonctionnel antérieur, dire si le
traumatisme a été la cause déclenchante du déficit fonctionnel actuel ou si celui-ci se
serait de toute façon manifesté spontanément dans l’avenir.

- Procéder à un examen clinique détaillé en fonction des lésions initiales et des


doléances exprimées par la partie demanderesse ;

- Analyser dans une discussion précise et synthétique l’imputabilité ente les faits
dommageables, les lésions initiales et les séquelles invoquées en se prononçant sur :
- la réalité des lésions initiales,

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- la réalité de l’état séquellaire,


- l’imputabilité directe et certaine des séquelles aux lésions initiales et en
précisant l’incidence éventuelle d’un état antérieur.

- Déterminer la durée du déficit fonctionnel temporaire, période pendant laquelle,


pour des raisons médicales en relation certaine, directe et exclusive avec le fait
dommageable, la partie demanderesse a dû interrompre totalement ses activités
professionnelles ou habituelles ;

- Si l’incapacité fonctionnelle n’a été que partielle, en préciser le taux ;

- Fixer la date de consolidation, qui est le moment où les lésions se fixent et prennent
un caractère permanent tel qu’un traitement n’est plus nécessaire, si ce n’est pour
éviter une aggravation ;

- Chiffrer, par référence au « Barème indicatif des déficits fonctionnels séquellaires en


droit commun » le taux éventuel de déficit fonctionnel permanent (incapacité
permanente) imputable au fait dommageable, résultant de l’atteinte permanente
d’une ou plusieurs fonctions persistant au moment de la consolidation, le taux de
déficit fonctionnel devant prendre en compte, non seulement les atteintes aux
fonctions physiologiques de la partie demanderesse mais aussi les douleurs
physiques et morales permanentes qu’elle ressent, la perte de qualité de vie et les
troubles dans les conditions d’existence qu’elle rencontre au quotidien après
consolidation ; dans l’hypothèse d’un état antérieur, préciser en quoi l’accident a eu
une incidence sur celui-ci et décrire les conséquences de cette situation ;

- Lorsque la partie demanderesse allègue une répercussion dans l’exercice de ses


activités professionnelles, recueillir les doléances, les analyser, les confronter avec les
séquelles retenues, en précisant les activités professionnelles rendues plus difficiles
ou impossibles ; dire si un changement de poste ou d’emploi apparaît lié aux
séquelles ;

- Décrire les souffrances physiques, psychiques ou morales endurées pendant la


maladie traumatique (avant consolidation) du fait des blessures subies. Les évaluer
selon l’échelle habituelle de sept degrés ;

- Donner un avis sur l’existence, la nature et l’importance du préjudice esthétique, en


précisant s’il est temporaire ou définitif. L’évaluer selon l’échelle habituelle de sept
degrés, indépendamment de l’éventuelle atteinte fonctionnelle prise en compte au
titre du déficit ;

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- Lorsque la partie demanderesse allègue l’impossibilité de se livrer à des activités


spécifiques de sport et de loisir, donner un avis médical sur cette impossibilité et son
caractère définitif, sans prendre position sur l’existence ou non d’un préjudice
afférent à cette allégation ;

- Dire s’il existe un préjudice sexuel ; le décrire en précisant s’il recouvre l’un ou
plusieurs des trois aspects pouvant être altérés séparément ou cumulativement,
partiellement ou totalement : la morphologie, l’acte sexuel (libido, impuissance ou
frigidité) et la fertilité (fonction de reproduction) ;

- Indiquer, le cas échéant :


- si l’assistance d’une tierce personne constante ou occasionnelle, spécialisée
ou non est, ou a été nécessaire, en décrivant avec précision les besoins (niveau de
compétence technique, durée d’intervention quotidienne),
- si des appareillages, des fournitures complémentaires et si des soins
postérieurs à la consolidation sont à prévoir (préciser le cas échéant la périodicité du
renouvellement des appareils et des fournitures),

- Le cas échéant, donner un avis sur l’aptitude à mener un projet de vie autonome ;

Je certifie avoir rempli personnellement la mission qui m’a été confiée, et de mes constatations
avoir rédigé le présent rapport dont j’affirme le caractère sincère et véritable.

OBJET DU LITIGE

La patiente demanderesse assigne en justice une IDE libérale (défenderesse) à la suite d’une
injection intra-musculaire d’un traitement contre l’endométriose. Elle se plaint de
dommages dont elle serait victime à la suite des soins prodigués par l’infirmière. Elle sollicite
du tribunal la désignation d’un expert pour rechercher les causes et étendue de ces
dommages.

PROCEDURE ET DILIGENCES

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DOCUMENTS COMMUNIQUÉS

Annexe 1 : Ordonnance médicale de prescription du DECAPEPTYL 11,25 mg (2 pages)


Annexe 2 : Enveloppe à destination de l’Infirmière
Annexe 3 : Instruction d’utilisation du DECAPEPTYL
Annexe 5 : Compte rendu d’échographie avec iconographie (2 pages)
Annexe 4 : non utilisée
Annexe 6 : Certificat du docteur XXXXX du 16/01/2019
Annexe 7 : Attestation de délivrance du DECAPEPTYL par le Pharmacien
Annexe 8 : Ordonnance médicale du Docteur XXXXXX de DECAPEPTYL et d’ANTADYS en date
du 17/10/2018
Annexe 9 : Résumé de la prise en charge de Madame XXXXXX (3 pages)
Annexe 10 : Compte rendu des urgences du 15/11/2018
Annexe 11 : Résultat d’anatomopathologie de biopsie du 25/09/2018
Annexe 12 : Bulletin de situation de l’hôpital privé XXX du 13/09/2018
Annexe 13 : Compte rendu des urgences du centre hospitalier de Roubaix du 15/04/2019 (2
pages)
Annexe 14 : Compte rendu opératoire du 13/09/2018
Annexe 15 : Compte rendu de consultation du Docteur XXXXXX (sapiteur) (3 pages)
Annexe 16 : Mail de réponse aux questions du Laboratoire IPSEN Pharma (3 pages)
Annexe 17 : non utilisée
Annexe 18 : Compte rendu de la réunion contradictoire du 7 février 2020 (7 pages)
Annexe 19 : Courriel du 28/01/2020 du Docteur XXXX prescripteur
Annexe 20 : Extrait du VIDAL (MAJ du 23/01/2020)

RAPPEL DES FAITS


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AUDITION DES PARTIES


Annexe 18

EXAMEN CLINIQUE
Annexe 15

DISCUSSION

REPONSES AUX QUESTIONS DE LA MISSION

- Se faire communiquer par le demandeur ou son représentant légal ou par un tiers avec
l’accord de l’intéressé ou de ses ayants-droits tous documents utiles à sa mission ;

- Entendre contradictoirement les parties, leurs conseils convoqués ou entendus (ceci dans le
respect des règles de déontologie médicale ou relatives au secret professionnel) ;

- Recueillir toutes informations orales ou écrites des parties : se faire communiquer puis
examiner tous documents utiles (dont le dossier médical et plus généralement tous
documents médicaux relatifs au fait dommageable dont la partie demanderesse a été
victime) ;

- Rechercher l’état médical du demandeur avant l’acte critiqué ;

- Procéder à l’examen clinique du demandeur et décrire les lésions et séquelles directement


imputables aux soins et traitements critiqués ;

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- Rechercher si les actes médicaux réalisés étaient indiqués, si le diagnostic pouvait être établi
avec certitude et si les soins ou actes médicaux ont été attentifs, diligents et conformes aux
données acquises de la science médicale ;

- Rechercher si le patient a reçu une information préalable et suffisante sur les risques que lui
faisait courir l’intervention et si c’est en toute connaissance de cause qu’il s’est prêté à cette
intervention ;

- Analyser, le cas échéant, de façon détaillée et motivée la nature des erreurs, imprudences,
manques de précaution nécessaires, négligences, pré, per ou postopératoires, maladresses ou
autres défaillances de nature à caractériser une faute en relation de cause à effet direct et
certaine avec le préjudice allégué, en ne s’attachant qu’à la seule part imputable aux
éléments susceptibles d’être retenus comme fautifs éventuellement relevés (c’est-à-dire en ne
retenant pas les éléments de préjudice corporel se rattachant soit aux suites normales des
soins qui étaient nécessaires, soit à l’état antérieur) ;

- A partir des déclarations de la partie demanderesse imputables au fait dommageable et des


documents médicaux fournis, décrire en détail les lésions initiales, les modalités du
traitement, en précisant autant que possible les durées exactes d’hospitalisation et, pour
chaque période d’hospitalisation, la nature et nom de l’établissement, le ou les services
concernés et la nature des soins ;

- Indiquer la nature de tous les soins et traitements prescrits imputables au fait dommageable
et, si possible, la date de la fin de ceux-ci ;

- Décrire, en cas de difficultés particulières éprouvées par la partie demanderesse, les


conditions de reprise de l’autonomie et, lorsque la nécessité d’une aide temporaire est
alléguée, la consigner et émettre un avis motivé sur sa nécessité et son imputabilité ;

- Recueillir les doléances de la partie demanderesse en l’interrogeant sur les conditions


d’apparition, l’importance des douleurs et de la gêne fonctionnelle et leurs conséquences ;

- Décrire un éventuel état antérieur en interrogeant la partie demanderesse et en citant les


seuls antécédents qui peuvent avoir une incidence sur les lésions ou leurs séquelles. Dans
cette hypothèse :
Au cas où il aurait entraîné un déficit fonctionnel antérieur, fixer la part imputable à l’état
antérieur et la part imputable au fait dommageable,
Au cas où il n’y aurait pas de déficit fonctionnel antérieur, dire si le traumatisme a été la
cause déclenchante du déficit fonctionnel actuel ou si celui-ci se serait de toute façon
manifesté spontanément dans l’avenir.

- Procéder à un examen clinique détaillé en fonction des lésions initiales et des doléances
exprimées par la partie demanderesse ;

- Analyser dans une discussion précise et synthétique l’imputabilité ente les faits
dommageables, les lésions initiales et les séquelles invoquées en se prononçant sur :

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- la réalité des lésions initiales,


- la réalité de l’état séquellaire,
- l’imputabilité directe et certaine des séquelles aux lésions initiales et en précisant l’incidence
éventuelle d’un état antérieur.

- Déterminer la durée du déficit fonctionnel temporaire, période pendant laquelle, pour des
raisons médicales en relation certaine, directe et exclusive avec le fait dommageable, la
partie demanderesse a dû interrompre totalement ses activités professionnelles ou
habituelles ;

- Si l’incapacité fonctionnelle n’a été que partielle, en préciser le taux ;

- Fixer la date de consolidation, qui est le moment où les lésions se fixent et prennent un
caractère permanent tel qu’un traitement n’est plus nécessaire, si ce n’est pour éviter une
aggravation ;

- Chiffrer, par référence au « Barème indicatif des déficits fonctionnels séquellaires en droit
commun » le taux éventuel de déficit fonctionnel permanent (incapacité permanente)
imputable au fait dommageable, résultant de l’atteinte permanente d’une ou plusieurs
fonctions persistant au moment de la consolidation, le taux de déficit fonctionnel devant
prendre en compte, non seulement les atteintes aux fonctions physiologiques de la partie
demanderesse mais aussi les douleurs physiques et morales permanentes qu’elle ressent, la
perte de qualité de vie et les troubles dans les conditions d’existence qu’elle rencontre au
quotidien après consolidation ; dans l’hypothèse d’un état antérieur, préciser en quoi
l’accident a eu une incidence sur celui-ci et décrire les conséquences de cette situation ;

- Lorsque la partie demanderesse allègue une répercussion dans l’exercice de ses activités
professionnelles, recueillir les doléances, les analyser, les confronter avec les séquelles
retenues, en précisant les activités professionnelles rendues plus difficiles ou impossibles  ; dire
si un changement de poste ou d’emploi apparaît lié aux séquelles ;

- Décrire les souffrances physiques, psychiques ou morales endurées pendant la maladie


traumatique (avant consolidation) du fait des blessures subies. Les évaluer selon l’échelle
habituelle de sept degrés ;

- Donner un avis sur l’existence, la nature et l’importance du préjudice esthétique, en précisant


s’il est temporaire ou définitif. L’évaluer selon l’échelle habituelle de sept degrés,
indépendamment de l’éventuelle atteinte fonctionnelle prise en compte au titre du déficit ;

- Lorsque la partie demanderesse allègue l’impossibilité de se livrer à des activités spécifiques


de sport et de loisir, donner un avis médical sur cette impossibilité et son caractère définitif,
sans prendre position sur l’existence ou non d’un préjudice afférent à cette allégation ;

- Dire s’il existe un préjudice sexuel ; le décrire en précisant s’il recouvre l’un ou plusieurs des
trois aspects pouvant être altérés séparément ou cumulativement, partiellement ou

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totalement : la morphologie, l’acte sexuel (libido, impuissance ou frigidité) et la fertilité


(fonction de reproduction) ;

- Indiquer, le cas échéant :


- si l’assistance d’une tierce personne constante ou occasionnelle, spécialisée ou non est, ou a
été nécessaire, en décrivant avec précision les besoins (niveau de compétence technique,
durée d’intervention quotidienne),
- si des appareillages, des fournitures complémentaires et si des soins postérieurs à la
consolidation sont à prévoir (préciser le cas échéant la périodicité du renouvellement des
appareils et des fournitures),

- Le cas échéant, donner un avis sur l’aptitude à mener un projet de vie autonome ;

ANNEXES

SITOGRAPHIE

BIBLIOGRAPHIE

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