FMA - MG - 2 - Sémiologie Médicale II (230 Q)

Faculté de Médecine Générale
Médecine Générale
Deuxième Année
Sémiologie Médicale II
• QUESTION 61125
( 1 )
1. Dans la marche ataxique ou déséquilibrée :
LETTRE REPONSE CORRECTE

A Le patient a du mal à garder son équilibre
B Il peut suivre une ligne droite
C Elle peut se voir dans l’ataxie cérébelleuse
D Elle peut se voir dans l’ataxie vestibulaire
• QUESTION 61148
( 2 )
2. La marche spastique :

Est due à une hypertonie spastique prédominant sur les muscles
A
extenseurs du membre inférieur
B Le patient avance le pas en fauchant
C L’hypertonie spastique est un signe du syndrome extrapyramidal.
D Elle peut se voir dans l’ataxie proprioceptive
• QUESTION 61156
( 3 )
3. Dans le steppage :

A Il y a une paralysie des muscles releveurs du pied
B Le pied atteint est tombant
C Le patient avance en soulevant le genou
D Le steppage peut être toujours bilatéral.
• QUESTION 61161
( 4 )
4. L’hypotonie peut se voir dans les situations suivantes :

A Atteinte du système nerveux périphérique
B Atteinte médullaire
C Atteinte cérébelleuse
Atteinte cérébrale en cas de lésion brutale ou aiguë de la voie
D
pyramidale
• QUESTION 61173
( 5 )
2
5. Dans le syndrome pyramidal :

A Le déficit moteur peut être total
B La paralysie faciale est de type central
C La paralysie faciale peut être périphérique
D Les réflexes ostéo-tendineux peuvent être exagérés
• QUESTION 61182
( 6 )
6. L’Hypertonie extrapyramidale ou rigidité :

Est une résistance continue et homogène à l’allongement du muscle :
A
c’est la rigidité en « tuyau de plomb ».
B Est perçus au niveau de l’épaule et du genou
C Cède souvent par à-coups réalisant le phénomène de la « roue dentée ».
D L’hypertonie extrapyramidale caractérise le syndrome parkinsonien.
• QUESTION 61193
( 7 )
7. Topographies possibles du déficit moteur :

A Hémiplégie : paralysie des muscles de tout un hémicorps
B Paraplégie : paralysie des muscles des 4 membres
C Monoplégie : paralysie des muscles d’un membre
Topographie tronculaire : paralysie des muscles innervés par une racine
D
nerveuse (exemple : C5 ou S1)
• QUESTION 61234
( 8 )
8. Les réflexes suivants sont ostéo-tendineux :

A Stylo-radial
B Rotulien
C Crémastérien
D Cutanés abdominaux
• QUESTION 61247
( 9 )
9. Le réflexe cutané plantaire :
3
A Est polysynaptique
B A l’état normal, est en flexion ou indifférent
En situation pathologique: écartement des orteils avec une extension
C
majestueuse du gros orteil
D Le réflexe cutané plantaire en extension constitue le signe de Babinski
• QUESTION 61257
( 10 )
10. Les réflexes cutanés abdominaux :

A Sont des métamères médullaires de D6 à D12
B La réponse normale: contraction du muscle droit de l’abdomen.
C La réponse pathologique: contraction du muscle droit de l’abdomen.
Les réflexes cutanés abdominaux sont abolis en cas de syndrome
D
extrapyramidal.
• QUESTION 61263
( 11 )
11. La sensibilité superficielle (ou extéroceptive) comprend :

A La sensibilité tactile épicritique
B La sensibilité tactile protopathique
C La sensibilité viscérale
La sensibilité thermique qui concerne l’appréciation du chaud et du
D
froid.
• QUESTION 61273
( 12 )
12. Les signes subjectifs de la sensibilité sont:

A Les névralgies
B Les paresthésies
C L’allodynie
L’hyperesthésie: sensation douloureuse exagérée provoquée par un
D
stimulus douloureux
• QUESTION 61286
( 13 )
13. L’examen de la Sensibilité superficielle comporte l’examen de :
4
La sensibilité tactile à l’aide du doigt/un coton/la mobilisation d’un
A
poil
La sensibilité douloureuse à l’aide épingle ou le pincement à la
B
recherche du seuil de la douleur de façon comparative
La sensibilité thermique qui s’analyse en appliquant des tubes de verre
C
chaud et froid sur les téguments.
La sensibilité arthrokinétique qui renseigne sur la position des
D
segments de membres.
• QUESTION 61298
( 14 )
14. L’examen de la Sensibilité profonde comporte :

A La Recherche du Signe du Romberg
La sensibilité tactile à l’aide du doigt/un coton/la mobilisation d’un
B
poil
C L’examen de la sensibilité arthrokinétique
D L’examen de la sensibilité vibratoire.
• QUESTION 61312
( 15 )
15. Dans le Syndrome cordonal postérieur on trouve:

A un trouble sélectif de la sensibilité proprioceptive.
Les perceptions de la douleur, de la température et du tact sont peu ou
B
pas affectées.
C un niveau sensitif correspondant au niveau de la lésion médullaire.
D Les troubles subjectifs sont riches (paresthésies)
• QUESTION 61327
( 16 )
16. Les nerfs oculomoteurs comportent :

A Le nerf moteur oculaire commun
B Le nerf pathétique
C Le nerf trijumeau
D Le nerf moteur oculaire externe
• QUESTION 61337
( 17 )
17. Dans les Hallucinations olfactives :
5
Le phénomène épileptique surviennent isolément ou à titre d’aura
A
précédant une crise généralisée.
Est Liée à une décharge du cortex frontal postérieur à sa face
B
orbitaire.
C La perception qui ne correspond pas à la stimulation.
Le sujet confond les odeurs: Exemple odeur fétide à la place d’un
D
parfum.
• QUESTION 61348
( 18 )
18. L’Examen du fond d’œil :

A Il permet l’étude de la papille
B Est Normale lorsque les limites sont nettes
C Est pathologique lorsque la couleur rose orangée
D Peut objectiver un œdème papillaire : limites floues ou invisibles
• QUESTION 61359
( 19 )
19. Parmi les anomalies du champ visuel, il y’a :

A L’amaurose binoculaire avec abolition du réflexe photomoteur .
B Les scotomes : des lacunes du champ visuel
Les hémianopsies qui sont des pertes de la vision dans une moitié du
C
champ visuel
D La Quadranopsie supérieure ou inférieure
• QUESTION 61371
( 20 )
20. La Névralgie du trijumeau :

Est une douleur aiguë en éclair ou en décharge électrique qui irradie
A
suivant le territoire d’une ou deux branches du trijumeau.
Est favorisée souvent par le simple effleurement ou le contact d’un
B
point ou d’une zone précise appelée « zone gâchette ».
C N’est pas déclenchée par la parole et la mastication.
A deux formes étiologiques : la Névralgie essentielle et la Névralgie
D
symptomatique : déficit sensitif objectif
• QUESTION 61422
( 21 )
21. Parmi les complications de la paralysie faciale périphérique :
6
Les syncinésies = contraction involontaire d’un groupe musculaire à
A l’occasion d’une contraction volontaire ou réflexe d’un autre groupe
musculaire.
B L’Anesthésie des 2/3 antérieurs de l’hémi langue
Le syndrome des larmes de crocodile : un larmoiement unilatéral
C
abondant, survenant de façon paroxystique au cours de la mastication
D Les spasmes post- paralytiques : hémispasme facial
• QUESTION 61428
( 22 )
22. L’atteinte du nerf vestibulaire se manifeste par :

A le vertige.
La sensation de déplacement, en règle rotatoire, des objets environnants
B
par rapport au sujet ou du sujet par rapport aux objets.
La rotation : dans un des trois plans de l’espace, le plus souvent
C
horizontal.
D Des nausées et des vomissements peuvent y être associés.
• QUESTION 61436
( 23 )
23. Le nerf vague (X) à une fonction :

A Motrice: motricité du voile du palais et du larynx.
Sensitive : sensibilité du larynx, d’une partie du pharynx, de
B
l’épiglotte, et de la partie adjacente de la base de la langue.
C Végétative.
D Il est hypertenseur
• QUESTION 61446
( 24 )
24. Dans l’exploration de la mémoire l’interrogatoire permet de préciser :

A L’histoire personnelle du patient (souvenirs autobiographiques)
B Les événements historiques anciens Seulement
C Les événements historiques anciens et les événements actuels.
On étudie la mémoire à court terme en demandant au sujet de répéter des
D
chiffres ou des mots.
• QUESTION 61456
( 25 )
25. L’Aphasie de Broca :
7
A Est une grande réduction du langage : aphasie non fluente.
Le sujet restant muet ou émettant quelques sons mal articulés ou des
B
stéréotypies.
C Il existe une réduction de l’expression écrite.
D Le malade est inconscient de son trouble
• QUESTION 61474
( 26 )
26. L’Aphasie de Wernicke :

Est une aphasie fluente : le langage spontané est rapide, abondant, sans
A
diminution de la fluence verbale, avec parfois logorrhée.
B Le discours est incohérent;
C Le sujet s’exprime, mais ce qu’il dit n’a aucune signification,.
La compréhension orale est très perturbée, rendant la communication
D
impossible.
• QUESTION 61485
( 27 )
27. L’Aphasie globale comporte :

A des troubles majeurs de l’articulation verbale,
B une agraphie
C Des troubles sévères de la compréhension orale et écrite
D Une hémianopsie homonyme gauche.
• QUESTION 61501
( 28 )
28. Parmi les étiologies des aphasies, il y a :

A Les Accidents vasculaires cérébraux ischémiques ou hémorragiques
B Les Tumeurs cérébrales
C Les Causes infectieuses, en particulier les abcès du cerveau
D La maladie d’Alzheimer
• QUESTION 61519
( 29 )
29. L’examen de l’apraxie comporte l’analyse de l’activité motrice dans différentes

circonstances :
8
A L’exécution de mouvements sur ordre.
B L’imitation de ceux réalisés par l’examinateur.
C La préhension d’un objet dans l’espace.
D Le dessin spontané, sur commande, d’après modèle.
• QUESTION 61526
( 30 )
30. L’Apraxie idéo-motrice :

A Affecte la réalisation des gestes simples.
B Affecte la réalisation des gestes complexes.
Le malade étant capable d’exécuter sur commande par exemple un salut
C
militaire.
Les taches étudiées sont : les gestes symboliques conventionnels, les
D gestes expressifs, les gestes descriptifs et les gestes sans
signification sur imitation.
• QUESTION 61549
( 31 )
31. Apraxie idéatoire :

A Affecte la réalisation des gestes simples.
B Est un Trouble de l’exécution des actes complexes.
difficulté d’exécution dans le domaine visuo-spatial, avec difficulté à
C réunir des unités unidimensionnelles pour former des figures à 2 ou 3
dimensions.
Mis en évidence par la manipulation d’objets, comme une clef, des
D
ciseaux, une lettre à cacheter.
• QUESTION 61567
( 32 )
32. L’Apraxie constructive :

Est la difficulté d’exécution dans le domaine visuo-spatial, avec
A difficulté à réunir des unités unidimensionnelles pour former des
figures à 2 ou 3 dimensions.
Peut être mise en évidence par composition d’une figure avec des
B
baguettes de bois ou des allumettes.
Peut être mise en évidence par construction d’un ensemble avec des cubes
C
ou des pièces de bois.
D Une atteinte pariétale droite, gauche ou bilatérale peut être en cause
• QUESTION 61582
( 33 )
9
33. L’Agnosie auditive :

Est un trouble de la reconnaissance d’un son ou bruit, sans déficit
A
sensoriel auditif.
B Sa cause principale est l’Atteinte bilatérale des aires associatives.
C Peut être mise en évidence par un dessin spontané ou copié.
Peut être mise en évidence par composition d’une figure avec des
D
baguettes de bois ou des allumettes.
• QUESTION 61592
( 34 )
34. L’hémiplégie au stade de paralysie flasque :

A Le Déficit moteur est au maximum.
La paralysie prédomine sur les extenseurs au membre supérieur et sur les
B
fléchisseurs au membre inférieur.
La paralysie est flasque, hypotonique avec exagération du ballant et
C
hyperextensibilité.
D Les Reflexes ostéo-tendineux sont vifs.
• QUESTION 61607
( 35 )
35. L’hémiplégie au stade de Au stade de paralysie spastique :

L’hypertonie pyramidale intéresse les muscles les plus volitionnels.
A fléchisseurs aux membres supérieurs et sur les extenseurs aux membres
inférieurs.
B Les Reflexes ostéo-tendineux sont vifs, polycinétiques et diffusés.
Un clonus du pied (trépidation épileptoïde) ou de la rotule peuvent
C
exister.
D Les réflexes cutanés abdominaux et crémastériens sont abolis.
• QUESTION 61618
( 36 )
36. La paraplégie flasque d’origine périphérique :

A Toujours flasque.
Atteinte du 2ème neurone de la voie motrice (corne antérieure ou nerf
B
périphérique).
C Souvent incomplète et asymétrique.
D Donne une amyotrophie rapide.
10
• QUESTION 61628
( 37 )
37. Le syndrome de la queue de cheval :

A Est l’exemple type des paraplégies d’origines périphériques.
Comporte des troubles des réflexes cremastériens et des réflexes cutanés
B
abdominaux.
C Comporte paraplégie flasque incomplète et asymétrique.
D Comporte une aréflexie tendineuse sans signe de Babinski.
• QUESTION 61638
( 38 )
38. Le syndrome cérébelleux associe :

A Des troubles de la statique.
B Des troubles de la marche
C Des troubles de l’exécution du mouvement.
D Un signe de Babinski.
• QUESTION 61651
( 39 )
39. Dans le syndrome cérébelleux :

A Il y a un Élargissement du polygone de sustentation.
B Il y a oscillations dans toutes les directions.
C Les oscillations sont aggravées par l'occlusion des yeux.
D Comporte un déséquilibre lors d’un arrêt brusque.
• QUESTION 61660
( 40 )
40. Les Troubles de la coordination dans l’espace comportent :

A La dysmétrie ou hypermétrie.
B L'asynergie.
C La dyschronométrie.
D L’adiadococinésie (manoeuvre des marionnettes).
• QUESTION 61828
( 41 )
41. Le syndrome parkinsonien est caractérisé par l'association de 4 symptômes majeurs:
11
A L’akinésie.
B Un Élargissement du polygone de sustentation
C Le tremblement de repos.
D La perturbation des réflexes de posture.
• QUESTION 61838
( 42 )
42. L'akinésie du syndrome parkinsonien :

A Est une raréfaction de l'activité motrice du patient.
C'est un trouble de l'initiation et de l'exécution du mouvement apparent
B
dans la motilité volontaire et automatique.
C Se manifeste au niveau des membres.
mise en évidence par la manœuvre des marionnettes, pince pouce- index,
D
fermer ouvrir le poing, taper le sol des pieds.
• QUESTION 61859
( 43 )
43. L'hypertonie extrapyramidale (ou rigidité) :

Elle est observée lors de la mobilisation passive des différents
A
segments des membres.
Elle est observée lors de la mobilisation active des différents segments
B
des membres.
C Se manifeste surtout au niveau du tronc.
Elle donne une sensation de résistance maximale d'emblée, qui reste
D identique quel que soit la position du membre avec conservation de
l’attitude en fin de mouvement.
• QUESTION 61906
( 44 )
44. Le tremblement parkinsonien :

A Disparaît au repos.
Il est exagéré par les émotions, la fatigue (fin de journée) et l’effort
B
intellectuel (calcul mental).
il évoque le geste d'émietter du pain, de compter la monnaie ou de
C
rouler une cigarette.
D Peut entraîner une dysmétrie.
• QUESTION 61921
( 45 )
12
45. Le syndrome choréique :

A Il associe des mouvements choréiques, et une hypotonie diffuse.
Comporte des mouvements anormaux, involontaires, irréguliers, souvent
B
asymétriques.
C Il intéresse les membres et la face.
D Il diminue au cours de l’activité volontaire.
• QUESTION 61938
( 46 )
46. Le syndrome méningé comporte :

A La céphalée.
B Une toux.
C La constipation est inconstante.
D L’hypotension orthostatique.
• QUESTION 61956
( 47 )
47. L’examen au cours du syndrome méningé met en évidence:

La raideur méningée en rapport avec une contracture antalgique des
A
muscles paravertébraux.
B Un Signe de Romberg positif.
Signe de Kernig : le malade ne peut se mettre assis sans fléchir les
C genoux avec résistance à l’extension complète de la jambe lorsque la
hanche est fléchie.
Signe de Brudzinski : la nuque ne peut être fléchie sans flexion
D
compensatrice des cuisses sur le bassin.
• QUESTION 61998
( 48 )
48. Parmi les symptômes suivants, lesquels sont liés directement à l'hypertension
intracrânienne

A flou visuel ou de brouillard devant les yeux.
B Céphalées.
C Vomissements.
D Paralysie du IIIème nerf crânien.
• QUESTION 62028
( 49 )
13
49. La crise tonico-clonique généralisée « Crise grand mal » :

Est une perte de connaissance initiale et immédiate, sans prodrome, avec
A
chute (risque de traumatisme).
Est une suspension pure et brève de la conscience, durant le plus
B
souvent moins de 20 secondes.
C La reprise de conscience est progressive.
Au décours de la crise on peut avoir un traumatisme occasionné par la
D
chute initiale
• QUESTION 62045
( 50 )
50. L’absence de type "Petit Mal":

Est une suspension pure et brève de la conscience, durant le plus
A
souvent moins de 20 secondes.
B Totalement amnésique.
C Sans automatisme,
D parfois associée à quelques secousses palpébrales.
• QUESTION 63835
( 51 )
1. La toux

A Est un acte reflexe qui permet le drainage des voies aériennes
B Doit être respectée si elle est productive
C Doit être respectée quand elle est sèche
D Peut être aigue ou chronique
• QUESTION 63840
( 52 )
2. Les zones réflexogènes de la toux sont :

A La Trachée et la carène
B L’estomac
C Les conduits auditifs externes
D La plèvre
• QUESTION 63856
( 53 )
3. La toux aigue
14
A Survient de moins de 3 semaines
B Peut être de cause pleurale
C Peut être de cause allergique
D Survient sur une durée plus de 3 mois
• QUESTION 63861
( 54 )
4. L’expectoration :

Est l’expulsion de secrétions anormales présentes dans l’arbre trache
́o-
A bronchique par les voies respiratoires et la bouche au cours d’un effort
de toux.
B Est nocturne en cas de bronchite chronique
C Peut se voire en cas de cancer bronchique
Survient au moins 3 mois par an pendant au moins 2 années consécutives
D
en cas de bronchite chronique
• QUESTION 63968
( 55 )
5. L’hémoptysie :

A Peut être d’origine nasale
B Est différente de l’hématémèse qui est d’origine digestive
C Est d’origine buccale
D Est le rejet par la bouche du sang d’origine Sous glottiques
• QUESTION 63973
( 56 )
6. La douleur thoracique

A Provient essentiellement du parenchyme pulmonaire
B Peut être d’origine cardiaque
C Peut être provoquée par un pneumothorax
D Peut être secondaire à une embolie pulmonaire
• QUESTION 63980
( 57 )
7. La douleur thoracique aigue

A Se voit dans pneumothorax
15
B Dans la pleurésie
C Est due à un infarctus
D Insuffisance cardiaque
• QUESTION 63985
( 58 )
8. La douleur thoracique chronique

A Se voit en cas d’atteinte du parenchyme pulmonaire
Se voit dans le cancer bronchique avec envahissement médiastinal et
B
pariétal
C Dans la bronchite chronique
D Se voit en cas de tumeur médiastinal
• QUESTION 63990
( 59 )
1. L’érythrose des pommettes

A Se voit dans la sténose aortique
B Se voit dans le rétrécissement mitral
C Est appelée facies mitrale
D Se voit dans la fuite tricuspidienne
• QUESTION 63996
( 60 )
9. les signes de gravité de la dyspnée

A L’hippocratisme digital
B L’hypotension artérielle
C Le tirage
D La polypnée
• QUESTION 63999
( 61 )
10. Syndrome de Claude Bernard-Horner

A Est dû à la compression de la veine cave supérieure
B Peut être dû à une tumeur de l’apex pulmonaire
C Est secondaire à l’asthme
D Est dû à la compression du nerf sympathique
16
• QUESTION 64009
( 62 )
2. La mesure de la pression artérielle

A doit se faire après 5 à 10 minutes de repos
B doit se faire en position couchée puis debout
C est considérée normale à 150/90 mm Hg
D se fait par méthode palpatoire ou auscultatoire
• QUESTION 64012
( 63 )
11. Syndrome de Claude Bernard-Horner :

A Est dû à à la compression du nerf phrénique
B Associe un myosis
C Associe une exophtalmie
D Associe un ptosis
• QUESTION 64023
( 64 )
12. les vibrations vocales sont diminuées :

A Dans les pleurésies
B Dans les pachypleurites
C En cas de pneumothorax
D Dans les bronchites chroniques
• QUESTION 64024
( 65 )
3. Une durée de l'onde P> 0,12 s correspond à

A HAG
B HAD
C HVG
D HVD
• QUESTION 64029
( 66 )
13. Frottement pleural :
17
A Se voit dans les péricardites
B Se voit dans les épanchements pleuraux minimes
C Se voit dans les épanchements pleuraux abondants.
D Ressemble au froissement du cuir neuf
• QUESTION 64036
( 67 )
4. Une amplitude de l'onde P> 2, 5 mm correspond à

A HAG
B HAD
C HVG
D HVD
• QUESTION 64043
( 68 )
14. La pleurésie :

A Est un épanchement aérien au niveau des plèvres
B S’accompagne d’une sonorité
C Peut être responsable d’une toux
D Peut être douloureuse
• QUESTION 64048
( 69 )
5. Le souffle du rétrécissement Aortique

A Siège au niveau du foyer aortique
B Est d’intensité faible
C Est rude râpeux
D Irradie vers les vaisseaux du cou
• QUESTION 64049
( 70 )
15. Le pneumothorax

A Est responsable d’une douleur brutale
B Est responsable d’une augmentation des vibrations vocales
C Est du syndrome d’épanchement liquidien
18
D Peut être responsable d’une dyspnée
• QUESTION 64056
( 71 )
16. Le syndrome de condensation pulmonaire

A Est une densification du parenchyme pulmonaire
B Peut être systématisé
C S’accompagne d’une diminution des vibrations vocales
D Peut se voire lors d’une embolie pulmonaire
• QUESTION 64059
( 72 )
6. Un indice de Sokolow Lyon > 35 mm traduit une

A HAG
Correspond à l’onde S en V1 + onde R en V6 ou V5 (la plus ample des
B
deux)
C HVG
D HVD
• QUESTION 64068
( 73 )
7. Le souffle du rétrécissement mitral

A Peut s’accompagner d’un claquement d’ouverture mitral
B Siege au niveau de la pointe du cœur
C Peut s’accompagner un frémissement cataire à la palpation
D Irradie à l’aisselle
• QUESTION 64076
( 74 )
17. Le syndrome d’épanchement pleural associe

A Une matité
B Une diminution des vibrations vocales
C Une diminution du murmure vésiculaire
D Des vibrations vocales bien transmises
19
• QUESTION 64081
( 75 )
8. Les facteurs de risque cardiovasculaire modifiables sont

A Le tabac.
B HTA.
C Dyslipidémies.
D l’hérédité coronarienne
• QUESTION 64084
( 76 )
18. Syndrome d’épanchement aérien associe

A Une matité
B Un tympanisme
C Une diminution des vibrations vocales
D Une diminution du murmure vésiculaire
• QUESTION 64094
( 77 )
19. Syndrome de condensation associe

A Une matité
B Des Vibration vocales sont bien transmises
C Une diminution des vibrations vocales
D Un tympanisme
• QUESTION 64096
( 78 )
9. La douleur de la péricardite

A Est déclenchée par l’effort
B Augmente à l’inspiration
C Est soulagée par la position penchée en avant
D Est sensible aux dérivés nitrés
• QUESTION 64104
( 79 )
20. La percussion normale
20
A Permet de percevoir la sonorité pulmonaire
B Trouve une matité
C Trouve des râles bronchiques
D Se fait par le sthétoscope
• QUESTION 64109
( 80 )
10. Le souffle de l'insuffisance mitrale est :

A Rude râpeux
B Irradie vers l’aisselle
C Augmente à l'inspiration
D Siège au niveau de la pointe du cœur
• QUESTION 64114
( 81 )
21. L’asthme

A Est due à une obstruction chronique des bronches
B Est responsable de râles ronflants
C Est soulagé par l’utilisation de béta mimétique
D Est responsable de râles sibilants
• QUESTION 64119
( 82 )
11. Le souffle de l'insuffisance aortique

A Siège au niveau du foyer pulmonaire
B Est diastolique doux et aspiratif
C Irradiant vers les vaisseaux du cou
D Siège au niveau du 2ème espace intercostal droit
• QUESTION 64123
( 83 )
22. L’asthme

A Est due à une obstruction paroxystique des bronches
B Est responsable de bradypnée expiratoire
C On peut trouver une matité à la percussion
21
D Est responsable de râles crépitants à l’auscultation
• QUESTION 64128
( 84 )
23. Dans le syndrome cave supérieur on trouve

A Un œdème en pèlerine
B Une circulation veineuse abdominale
C Un reflux hépato-jugulaire
D Une turgescence des veines jugulaires
• QUESTION 64132
( 85 )
12. Le dédoublement physiologique du B2

A Est perçu en inspiration
B Est perçu en expiration
C Est perçu au niveau du foyer tricuspidien
D Est perçu au niveau du foyer pulmonaire
• QUESTION 64136
( 86 )
24. Les syndromes médiastinaux :

A Peuvent être responsable de compression nerveuse
B Peuvent être responsable de dysphagie
C Peuvent être responsable d’un syndrome cave inférieur
D Peuvent se voire en cas de tumeur médiastinale
• QUESTION 64140
( 87 )
13. L’intensité des bruits augmente en cas de

A Bradycardie
B Épanchement péricardique
C Tachycardie
D Hyperthyroïdie
22
• QUESTION 64144
( 88 )
25. Le syndrome cave supérieur

A Est responsable de d’exophtalmie
B Est responsable d’œdème de la face
C Est responsable d’une circulation collatérale thoracique
D Est dû à une compression de l’œsophage
• QUESTION 64151
( 89 )
26. Râles sibilants

A S’entend dans le temps inspiratoire
B S’entend dans le temps expiratoire
C Témoin d’un encombrement bronchique
D Se voit dans l’asthme
• QUESTION 64152
( 90 )
14. L’intensité des bruits diminue lors

A D’un effort
B D’un épanchement péricardique
C D’une Tachycardie
D D’une Hypothyroïdie
• QUESTION 64156
( 91 )
27. Hippocratisme digital se voit dans

A Le cancer bronchique
B Les cardiopathies congénitales cyanogènes
C L’asthme
D Les fibroses pulmonaires
• QUESTION 64159
( 92 )
15. l’insuffisance mitrale
23
A S’accompagne d’un frémissement cataire
B Est responsable d’un souffle systolique de régurgitation
C Est responsable d’un
D Est responsable d’un souffle systolique qui irradie vers l’aisselle
• QUESTION 64162
( 93 )
28. Dans le Syndrome médiastinal on peut trouver

A une dysphagie
B une dysphonie
C une dyspnée
D une dyspepsie
• QUESTION 64165
( 94 )
29. L’intoxication tabagique

A Est évaluée en nombre paquet année
B Peut être responsable de cancer broncho-pulmonaire
Est évaluer en Nombre de paquet de 20 cigarettes/ jour multiplié par le
C
nombre d’années de tabagisme
D N’est pas un facteur de risque cardio-vasculaire
• QUESTION 64167
( 95 )
16. Le souffle de sténose aortique

A Est situé au 2ème espace intercostal droit
C Est en jet de vapeur
C Irradie vers les vaisseaux du cou
D Augmente à l’inspiration
• QUESTION 64170
( 96 )
30. La toux chronique :

Productive s’accompagne d’expectorations pendant au moins 3 mois pendant
A
2 ans consécutifs
B Peut être secondaire à la tuberculose
24
C Est productive dans la dilatation des bronches
D Peut être calmée par des bétabloquants
• QUESTION 64174
( 97 )
17. L’espace PR

A est situé entre le début du QRS et la fin de l’onde T
B Correspond à la conduction auriculo-ventriculaire
C Correspond à la durée du cycle cardiaque
D est situé entre le début de l’onde P et le début du QRS
• QUESTION 64177
( 98 )
31. La toux sèche

A Peut survenir en cas de reflux gastro-œsophagien
B Peut être déclenchée par l’effort
C S’accompagne d’expectorations purulentes
D Est calmée par les inhibiteurs de l’enzyme de conversion
• QUESTION 64180
( 99 )
18. L’arc inférieur gauche de la silhouette cardiaque sur une radiographie pulmonaire de face
correspond

A à l’aorte
B au ventricule droit quand la pointe est sus diaphragmatique
C à l’oreillette gauche
D au ventricule gauche quand la pointe est sous diaphragmatique
• QUESTION 64184
( 100 )
32. L’hémoptysie

A Peut être précédée par une chaleur retro sternale
B Peut être foudroyante responsable du décès
C Est un rejet du sang dans un effort de vomissement
D Est l’équivalent d’une gingivorragie
25
• QUESTION 64187
( 101 )
19. L’arc moyen gauche de la silhouette cardiaque

A est l’aorte
B correspond à l’artère pulmonaire
C Oreillette gauche
D est convexe ou rectiligne en cas d’HTAP
• QUESTION 64188
( 102 )
33. Les hémoptysies peuvent se voire au cours :

A Des cancers bronchiques
B D’une bronchoscopie avec biopsie
C De pneumothorax
D D’un surdosage par des anticoagulants
• QUESTION 64195
( 103 )
34. La dyspnée

A Inspiratoire est due à un obstacle des bronches de petit calibre
B Peut être chiffrée par la classification de Sadoul
C Est une sensation subjective de respiration difficile
D Peut être inspiratoire ou expiratoire
• QUESTION 64197
( 104 )
20. La syncope

A Est une perte de connaissance brutale et brève avec chute
B Est de durée prolongée
C La perte de connaissance est incomplète avec vertige
D Peut être d’origine cardiaque
• QUESTION 64200
( 105 )
35. La rétraction d’un hémithorax
26
A Se voit dans les pachy-pleurites
B Se voit dans les résections parenchymateuses
C Correspond à l’affaissement d’un hémithorax par rapport à l’autre
D Est souvent bilatérale
• QUESTION 64204
( 106 )
21. La douleur de l’infarctus du myocarde

A Est médio thoracique, rétrosternale en barre de durée prolongée
C Est non calmée par les dérivés nitrés
D Est brève, et sensible à la trinitrine
• QUESTION 64205
( 107 )
36. Les signes de détresse respiratoire sont :

A Un tirage intercostal
B Une fréquence respiratoire normale à 16 c/minute
C Dépression sus claviculaire
D Battements des ailes du nez
• QUESTION 64209
( 108 )
37. Les râles sibilants :

A Se voit dans l’œdème aigue pulmonaire
B Asthme
C Bronchite aigue
D Sont provoquées par la passage de l’air dans des bronchioles rétrécies
• QUESTION 64212
( 109 )
22. Le quatrième bruit ou B4 ?

A Est lié à la fermeture de la valve pulmonaire
B Est lié à la fermeture de la valve aortique
C Est lie
́ àla fermeture de la valve mitrale
27
Correspondant àla phase de remplissage active du ventricule gauche (par
D
la contraction auriculaire)
• QUESTION 64215
( 110 )
38. Une fréquence respiratoire

A > 32 cycles /minutes témoigne d’une détresse respiratoire
B Normale est entre 14 à 16 cycles /minutes
C > 22 cycles /minutes est considérée normale
D < 12 cycles /minutes est appelée polypnée
• QUESTION 64218
( 111 )
23. L’éclat du B2 pulmonaire au foyer pulmonaire

A Correspond à une hypertension artérielle systémique
B Correspond à une hypertension artérielle pulmonaire
C est perçu au 2ème espace intercostal gauche
D est perçu au 5ème espace intercostal gauche
• QUESTION 64221
( 112 )
39. La dyspnée aigue :

A Est secondaire à une fibrose pulmonaire
B Est due à un corps étranger
C Peut être causée par un œdème aigu du poumon
D Peut être secondaire à une bronchectasie
• QUESTION 64225
( 113 )
24. Le premier bruit ou B1

A Est lie
́ àla fermeture de la valve tricuspide
B Est lié à la fermeture de la valve aortique
C Est lié à la fermeture de la valve mitrale
D Est assourdi en cas de rétrécissement aortique
28
• QUESTION 64227
( 114 )
40. La dyspnée chronique :

A Peut être secondaire à une cause cardiaque
B Est due à une tumeur trachéale
C Peut être causée par une pleurésie abondante
D Peut être secondaire à une anémie
• QUESTION 64233
( 115 )
41. La vomique

A Est toujours constituée de sang
B Est due à un corps étranger
C Peut être purulente
D Peut être claire eau de roche en cas de rupture de kyste hydatique
• QUESTION 64234
( 116 )
25. la fuite tricuspidienne

A Est responsable d’un souffle systolique
B Est audible Au 2e
̀me espace intercostal droit
C Est responsable d’un souffle systolique qui augmente à l’inspiration
Est audible au 5e
̀me espace intercostal gauche àla jonction avec la
D
ligne mamelonnaire
• QUESTION 64238
( 117 )
42. L’expectoration :

Est l’expulsion de secrétions anormales présentes dans l’arbre trache
́o-
A bronchique par les voies respiratoires et la bouche au cours d’un effort
de toux.
B Récente date de quelques jours à quelques de semaines
C Chronique datant quelques jours à quelques de semaines
D Purulente témoigne d’une bronchopneumopathie
• QUESTION 64243
( 118 )
29
26. l’angine de poitrine stable

A Est médio thoracique, rétrosternale de durée brève
C Est sensible aux dérivés nitrés
D Apparaît à l’effort
• QUESTION 64245
( 119 )
43. La bronchopneumopathie chronique obstructive

Est responsable d’expectorations au moins 3 mois pendant 2 années
A
consécutives
B Est responsable d’une toux sèche
C Est responsable de douleur thoracique
D Est responsable de dyspnée
• QUESTION 64251
( 120 )
27. Un homme de 50 ans consulte pour une douleur thoracique constrictive angoissante
d'apparition récente survenant à la marche, forçant à l'arrêt et cédant rapidement. Quelle
est la proposition la plus appropriée ?

A Infarctus du myocarde
B Embolie pulmonaire
C Angine de poitrine
D Dissection aortique débutante
• QUESTION 64252
( 121 )
44. Dans le syndrome emphysémateux

A Il existe une matité à la percussion
B Il y a une exagération des vibrations vocales
C Il y a une atténuation du murmure vésiculaire
D Il existe une hypersonorité
• QUESTION 64257
( 122 )
45. Dans la dilatation des bronches
30
A Il y a une bronchorrhée matinale
B Il y a des râles crépitants
C Il y a des râles sibilants
D Est responsable de dyspnée
• QUESTION 64258
( 123 )
28. Lors de l'auscultation d'une sténose mitrale on peut trouver

A Un roulement diastolique
B Un éclat du B1
C Un souffle systolique
D Un dédoublement du B2
• QUESTION 64261
( 124 )
46. Les râles sibilants

A Sont auscultés en cas de fibrose pulmonaires
B Correspondent à un épanchement pleural
C Sont dus au passage de l’air dans des bronchioles rétrécies
D Sont auscultés en cas d’asthme
• QUESTION 64262
( 125 )
29. Les œdèmes de l’insuffisance cardiaque sont :

A Inflammatoires
B Bilatérales
C Douloureux
D Prennent le godet
• QUESTION 64270
( 126 )
30. la dissection aortique est responsable

D’une douleur constrictive médio-thoracique irradiant vers les vaisseaux
A
du cou et le membre supérieur gauche
B D’une douleur qui augmente à l’inspiration
C D’une douleur avec des hémoptysies
31
D D’une douleur qui irradie vers le dos
• QUESTION 64274
( 127 )
48. Au cours d’une ponction pleurale

A Il s’agit d’un transudat quand le taux d’albumine est supérieur à 30 g/l
B Il s’agit d’un transudat quand le taux d’albumine est inférieur à 30 g/l
C L’exsudat témoigne d’une origine inflammatoire
D Le transudat oriente vers une cause cardiaque
• QUESTION 64275
( 128 )
31. Parmi les techniques d'auscultation suivantes, quelle est la plus adéquate pour
rechercher une insuffisance aortique ?

A Patient assis penché en avant et en expiration forcée
B Patient en décubitus latéral gauche et après effort
C Patient en décubitus latéral droit, en inspiration forcée
D Patient assis penché en avant et en inspiration forcé
• QUESTION 64279
( 129 )
49. La ponction pleurale

A Permet d’évacuer un épanchement liquidien
Permet de faire des prélèvements pour analyse chimique et
B
bactériologique
C Peut ramener un liquide jaune citrin
D Ne permet pas l’étude macroscopique
• QUESTION 64282
( 130 )
32. L'augmentation inspiratoire du souffle systolique xiphoïdien est un argument en faveur de

:

A Insuffisance mitrale
B Rétrécissement mitral
C Insuffisance tricuspidienne
D Rétrécissement aortique
32
• QUESTION 64284
( 131 )
50. Quelles sont les propositions justes :

A Le syndrome de Pancoast-Tobias associe douleur et troubles sensitifs
Le syndrome de Pancoast- Tobias se voit en cas d’un cancer du sommet
B
pulmonaire
L’atteinte du nerf sympathique es responsable d’un syndrome cave
C
supérieur
D L’atteinte du nerf récurent peut être responsable de dysphonie
• QUESTION 64288
( 132 )
33. Quelles sont les propositions vraies

A Les souffles de régurgitations peuvent être diastoliques ou systolique
Les souffles systoliques d’éjection traduisent un obstacle sur la voie
B
d’éjection aortique.
Les souffles systoliques d’éjection traduisent le passage du sang au
C
cours de la systole à travers un orifice rétréci
Les souffles systoliques d’éjection sont auscultés au foyers mitral et
D
tricuspidien
• QUESTION 64289
( 133 )
51. Le syndrome médiastinal

Est dû à une compression d’un organe du médiastin par une tumeur de
A
voisinage
B Peut se révéler par des manifestations digestives
C Peut se révéler par des manifestations nerveuses
D Peut être causé par une pleurésie minime
• QUESTION 64294
( 134 )
34. L’hépatomégalie de l’insuffisance cardiaque droite

A Est dure avec une surface irrégulière
B Est lisse et douloureuse à la palpation
C Est totalement indolore à la palpation
D est associée à une turgescence des veines jugulaires
33
• QUESTION 64298
( 135 )
35. La cyanose

A Est une décoloration des conjonctives
B Est une coloration bleue de la peau et muqueuses
C Prédomine au niveau des lèvres et des oreilles
D Se voit dans certaines pathologies cardiaques et pulmonaires
• QUESTION 64304
( 136 )
36. L’hippocratisme digital

Est une déformation des extrémités des doigts et des orteils en
A
baguettes de tambours
B S’observe dans les cardiopathies cyanogènes
C S’observe dans les insuffisances respiratoires
C Se voit dans le rétrécissement mitral
• QUESTION 64309
( 137 )
37. Le foie cardiaque

A Est indolore
B Sa compression entraine un reflux dans les veines jugulaires
C Est expansif en systole dans l’insuffisance tricuspidienne importante
D Mesure moins de 12 mm
• QUESTION 64313
( 138 )
38. L’orthopnée

A Est une dyspnée stade II de la NHYA
B est un signe d’insuffisance cardiaque gauche
C Peut s’accompagne de râles crépitants en cas d’œdème aigu pulmonaire
D Le malade n’ arrive pas à supporter le décubitus dorsal
• QUESTION 64318
( 139 )
39. La triade de Durozier
34
Comporte un éclat du B1 et un claquement d’ouverture de la valve
A
aortique
B est un souffle systolique et un éclat du B2
comporte un claquement d’ouverture de la valve mitrale, un roulement
C
diastolique au foyer mitral et un éclat du B1
D Se rencontre dans le rétrécissement mitral
• QUESTION 64324
( 140 )
40. L’intensité des bruits du cœur

A Diminue en cas d’emphysème
B Diminue dans les épanchements péricardiques
C Diminue en cas de tachycardie
D Augmente en cas d’épanchement pleural
• QUESTION 64329
( 141 )
41. Sur une radiographie pulmonaire de face

A L’index cardio-thoracique est normal si < 0,5
L’index cardio-thoracique est considéré comme cardiomégalie V4 si est
B
compris entre 0,55 et 0,6
C L’arc moyen gauche normal est concave
La pointe sus diaphragmatique de l’arc inférieur gauche correspond au
D
ventricule gauche
• QUESTION 64335
( 142 )
42. quelles sont les réponses justes ?

A Des pouls amples sont en rapport avec une sténose aortique
B Le signe de Harzer et rapport avec une hypertrophie ventriculaire droite
Un frémissement continu au niveau des régions sus claviculaires est en
C
rapport avec un canal artériel persistant
Le bruit de galop droit et les oedèmes des membres sont des signes
D
d’insuffisance cardiaque droite
• QUESTION 64339
( 143 )
43. les bruits de galop
35
A Traduisent une insuffisance cardiaque
Sont perçus au niveau de la pointe du cœur quand c’est une insuffisance
B
cardiaque droite
Sont perçus au niveau de la pointe du cœur quand c’est une insuffisance
C
cardiaque gauche
D Associe tachycardie et assourdissement des bruits du cœur
• QUESTION 64342
( 144 )
44. sur la radiographie pulmonaire de face quelles sont les réponses justes

A La dilatation de l’oreillette droite est responsable d’un débord droit
La dilatation de l’oreillette gauche est responsable d’un aspect en
B
double contour de l’arc inférieur droit
C On peut trouver des calcifications valvulaires
D L’index cardio-thoracique normal est de 0,70
• QUESTION 64346
( 145 )
45. les troubles du métabolisme du cholestérol se traduisent par

A Un hippocratisme
B Des xanthélasmas
C Une exophtalmie
D Un ptosis
• QUESTION 64349
( 146 )
46. l’hyperpulsatilité des artères carotides traduit

A Une insuffisance cardiaque droite
B Une insuffisance mitrale
C Une insuffisance aortique
D Une insuffisance cardiaque gauche
• QUESTION 64351
( 147 )
47. le choc de pointe

A Est perçu normalement au niveau du 5ème espace intercostal gauche
36
Est abaissé au niveau du 6ème espace intercostale gauche dans les
B
dilatations du ventricule gauche
Est perçu normalement au niveau du 5ème espace intercostal droit en cas
C
de dextrocardie
D Est perçu normalement au niveau du 2ème espace intercostale gauche
• QUESTION 64356
( 148 )
48. l’abolition des pouls fémoraux oriente vers

A Une insuffisance aortique
B Une coarctation de l’aorte
C Une sténose aortique
D Un accident embolique périphérique
• QUESTION 64359
( 149 )
49. Au cours du remplissage ventriculaire

A Il existe une phase de contraction iso volumétrique
B Il y a une phase de remplissage passif et actif
C Le remplissage actif est dû à la contraction des oreillettes
Le remplissage passif comporte un remplissage lent et un remplissage
D
rapide
• QUESTION 64366
( 150 )
50. sur l’électrocardiogramme

A Une amplitude des QRS < 5 mm correspond à un microvoltage
Le bloc auriculo-ventriculaire type I correspond à un allongement du PR
B
> 21ms
C Le segment ST normal est sous forme d’un sus décalage
Un rythme cardiaque est dit sinusal quand l’Onde P est négative en D2,
D
D3 et aVF
• QUESTION 70591
( 151 )
41. Parmi les propositions suivantes ; laquelle correspond à l’amnésie organique sélective ?
37
A Incapacité à fixer des informations nouvelles
B Impossibilité de restituer un souvenir jusque là bien conservé
Une lacune amnésique qui recouvre la période où les souvenirs n’ont pas
C
été fixés
Impossibilité de fixer des informations nouvelles s’associant à un
D
effacement partiel ou global des souvenirs anciens
• QUESTION 70593
( 152 )
21. L’humeur normale est :

A Adaptée
B Fixée
C Élastique
D Oscille entre le pôle de la tristesse et la joie
• QUESTION 70594
( 153 )
42. Quelles sont les différentes formes de distorsions de la mémoire ?

A Amnésie factice
B Paramnésie
C Hypermnésie paroxystiques
D Ecmnésie
• QUESTION 70597
( 154 )
43. Laquelle des amnésies suivantes est fréquente dans l’état d’hystérie ?

A Amnésie de fixation
B Amnésie sélective
C Amnésie d’évocation
D Amnésie antéro-rétrograde
• QUESTION 70598
( 155 )
22. À propos de l’humeur pathologique:

A A perdu son élasticité
B Est versatile
38
C Elle est fixée au pôle de tristesse dans la dépression
D Peut être discordante
• QUESTION 70601
( 156 )
44. Lequel ou laquelle des troubles de mémoire suivants correspond à des illusions de mémoire
?

A Amnésie organique
B Ecmnésie
C Paramnésie
D Hypermnésie
• QUESTION 70603
( 157 )
45. Laquelle des amnésies suivantes figure parmi les signes d’un syndrome post traumatique ?

A Amnésie factice
B Amnésie post émotionnelle
C Amnésie antéro-rétrograde
D Amnésie de fixation
• QUESTION 70604
( 158 )
23. L’état dépressif est défini comme:

A Tristesse pathologique
B Tristesse fixe
C Tristesse permanente
D Exaltation de l’humeur
• QUESTION 70606
( 159 )
46. La triade clinique de l’anorexie mentale contient :

A Gloutonnerie
B Anorexie
C Amnésie
D Amaigrissement
E Aménorrhée
39
• QUESTION 70608
( 160 )
24. la triade de la dépression est constituée par:

A Une humeur dépressive
B Un ralentissement moteur
C Une insomnie
D Un ralentissement psychique
• QUESTION 70609
( 161 )
61.On considère que la pensée est normale quand elle est:

A Rationnelle
B Cohérente
Adaptée
D Les liens entre les idées sont logiques
• QUESTION 70611
( 162 )
47. Qu’est ce que la boulimie ?

A Restriction des apports énergétiques par rapport aux besoins
B Rapidité de manger
C Absorption excessive de nourriture entrainant une prise de poids
Absorption en une période de temps limité d’une quantité de nourriture
D
largement supérieure avec sentiment de perte de contrôle
• QUESTION 70613
( 163 )
25. Le ralentissement psychique:

A Ne concerne pas l’imagination
B Concerne le traitement de l’information
C Touche la mémoire
D Est présent quelle que soit l’intensité du trouble dépressif
• QUESTION 70614
( 164 )
48. Quelles sont les différentes formes de conduites alimentaires aberrantes ?
40
A Potomanie
B Pica
C Dipsomanie
D Mérycisme
• QUESTION 70617
( 165 )
49. A quoi correspond la potomanie ?

Besoin impérieux de boire de grandes quantités de boissons en général
A
alcoolisés
B Besoin irrésistibles d’ingérer de grande quantité d’eau
C Ingestion répétés de substances non nutritives
D Absorption de matière fécale
• QUESTION 70618
( 166 )
26. Peuvent être associés au noyau dépressif:

A Des symptômes gastro-intestinaux
B Une anxiété
C Une insomnie
D Une diminution de l’appétit
• QUESTION 70620
( 167 )
50. Le mérycisme est défini comme :

A Rumination avec régurgitation répétées de la nourriture
B Besoin irrésistibles d’ingérer de grande quantité d’eau
C Ingestion répétés de substances non nutritive
D Absorption de matière fécale
• QUESTION 70621
( 168 )
27. L’anxiété :

A Est une peur sans objet
B Nécessite obligatoirement la présence d’un objet anxiogène
C Peut être normale
41
D Est toujours pathologique
E Engendre un vécu pénible
• QUESTION 70624
( 169 )
51. Le pica est :

A Souvent retrouvé en cas d’autisme ou déficience intellectuelle
B Un comportement de restriction alimentaire
C Un comportement d’ingestion de substances non nutritives
Un comportement alimentaire correspond à une pratique culturellement
D
admise et socialement acceptée
• QUESTION 70625
( 170 )
62.Le trouble du cours de la pensée peut concerner les différentes composantes de la pensée,
lesquelles ?

A Le rythme
B L’organisation
C La continuité
Le contenu
• QUESTION 70627
( 171 )
52. Quels sont les critères permettant de poser le diagnostic d'anorexie mentale selon le DSM
5 ?

A Une restriction de la consommation énergétique par rapport aux besoins
B L'aménorrhée
Une altération de la perception de son poids ou de la forme de son
C
propre corps
D Une peur intense de prendre du poids
• QUESTION 70628
( 172 )
28. Dans l’anxiété, on retrouve :

A Des palpitations
B Des troubles de sommeil
42
C Des précordialgies
D Un délire de persécution
E Une sensation d’étouffement
• QUESTION 70631
( 173 )
53. Laquelle des conduites alimentaires suivantes est fréquente chez le dément ?

A Anorexie mentale
B Coprophagie
C Gloutonnerie
D Hyperphagie
• QUESTION 70632
( 174 )
63. Dans les troubles de rythme de la pensée on peut trouver :

A Bradypsychie
B Appauvrissement des idées et des associations
C Fuite des idées
D Des idées délirantes
• QUESTION 70633
( 175 )
29. L’attaque de panique:

A Sa répétition définit le trouble panique
B Est à son maximum d’emblée
C Est paroxystique
D Est une urgence psychiatrique
E N’est pas spontanée
• QUESTION 70634
( 176 )
54. L’addiction contient :

Besoin impérieux, impulsif et incontrôlable de réaliser un comportement
A
spécifique et de le poursuivre malgré ses conséquences négatives.
B L'utilisation exagérée et continue de drogues exclusivement
C L'utilisation exagérée et continue des écrans et des jeux pathologiques
43
Elle englobe les troubles liés à l’usage de substances psychoactives
D
ainsi que les conduites addictives comportementales
• QUESTION 70635
( 177 )
30. L’anxiété comporte :

A Des manifestations psychiques seulement
B Des manifestations comportementales
C Des manifestations somatiques
D Des manifestations somatiques, psychiques et comportementales
E Des manifestations psychiques
• QUESTION 70636
( 178 )
55. Quels sont les différents stades du comportement addictif ?

A L’abus
B La perte de contrôle
C La dépendance
D Le syndrome de sevrage
• QUESTION 70637
( 179 )
64. La tachypsychie :

Est un élément sémiologique qui fait partie du trouble de rythme de la
A
pensée
B C’est une accélération de rythme de la pensée
C Se traduit par une accélération de débit verbal : logorrhée
D Observée dans l’épisode maniaque
• QUESTION 70639
( 180 )
56. La tolérance est définie comme :

L'adaptation de l'organisme à une substance, rendant nécessaire
A
l'augmentation des doses pour l'obtention des mêmes effets.
Besoin impérieux et répétitif de consommer les substances psychoactives
B
sans que le sujet ne puisse contrôler son comportement.
44
L'utilisation exagérée et continue de substances psychoactives connues
C de par leurs effets négatifs .et de par les situations de risque
auxquelles se trouve exposé l'usager de ces substances
Un ensemble de symptômes psychiques et physiques qui se produisent lors
D de la suppression d'une substance psychoactive et disparaissent dès sa
réintroduction.
• QUESTION 70640
( 181 )
31. Dans les manifestations psychiques de l’anxiété, on retrouve :

A Une peur de perdre la raison
B Une sensation de déréalisation
C Une impression de devenir fou
D Une tachycardie
E Une humeur euphorique
• QUESTION 70642
( 182 )
57. Le syndrome de sevrage correspond à :

A
B
C de par leurs effets négatifs ; et de par les situations de risque
réintroduction.
• QUESTION 70643
( 183 )
32. Dans les manifestations comportementales de l’anxiété , on retrouve:

A Un fading mental
B Une stupeur
C Un comportement de fuite
D Une amnésie
• QUESTION 70645
( 184 )
45
58. L’abus correspond à :

A
B
réintroduction.
• QUESTION 70646
( 185 )
65.La pensée peut être perturbée dans sa continuité et on peut ainsi observer :

A Des barrages
B Des obsessions idéatives
C Des obsessions phobiques
D Fading mental
• QUESTION 70648
( 186 )
33. Les hallucinations :

A Sont des troubles de la perception
B Sont des fausses perceptions
C Surviennent en l’absence d’un stimulus externe
D Sont une déformation visuelle de l’objet réel
• QUESTION 70649
( 187 )
59. La dépendance est définie comme :

A
B
réintroduction.
46
• QUESTION 70651
( 188 )
66.Les barrages sont :

A Des troubles de contenu de la pensée
B Des troubles d’organisation de la pensée
C Des troubles de la continuité de la pensée
D Se voient dans les troubles dépressifs
• QUESTION 70652
( 189 )
60. Le syndrome d’intoxication est défini selon le DSM5 comme :

A de la suppression d'une substance psychoactive et disparaissent dès sa
réintroduction.
Consommation récente d’une substance psychoactive malgrès ses effets
B
négatifs.
Changements comportementaux ou psychologiques problématiques,
C cliniquement significatifs qui se sont développés pendant ou après
l’ingestion d’une substance psychoactive.
d) L'adaptation de l'organisme à une substance, rendant nécessaire
D
• QUESTION 70653
( 190 )
34. Parmi les types d’hallucinations psychosensorielles, on distingue:

A Hallucinations hypnagogiques
B Hallucinations tactiles
C Hallucinations visuelles
D Hallucinations auditives
• QUESTION 70655
( 191 )
35. les hallucinations psychiques :

A Sont de fausses hallucinations
B Sont caractérisées par leur représentation mentale
C Sont individualisées en l’absence de sensorialité
D sont également appelées hallucinoses
47
• QUESTION 70656
( 192 )
67. Le barrage :

A Est un arrêt progressif du cours de la pensée
B Après un moment le sujet reprend sur le même thème
C Après un moment le sujet peut reprendre sur un thème différent
D Se voit dans la schizophrénie
• QUESTION 70658
( 193 )
36. Parmi les hallucinations psychiques, on retrouve:

A Des hallucinations psychomotrices verbales
B Des illusions
C L’automatisme mental
D Le syndrome d’influence
• QUESTION 70660
( 194 )
37. A propos de l’automatisme mental de Clérembault:

A Une partie de la pensée s’échappe au contrôle du sujet
B Le sujet devient spectateur de son propre comportement
C Fait partie des hallucinations psychiques
D S’accompagne toujours d’hallucinations sensorielles
• QUESTION 70661
( 195 )
68. Le fading mental :

A Est un arrêt progressif du cours de la pensée
B Est un arrêt brutal du cours de la pensée
C Est une stase de la pensée
D Peut survenir dans les troubles dépressifs
• QUESTION 70663
( 196 )
38. Le grand automatisme mental :
48
A Est aussi appelé triple automatisme
B Apparait en premier
Associe des phénomènes hallucinatoires : idéo- verbal, sensoriel et
C
sensitif, et psychomoteur
D Peut évoluer vers le syndrome d’influence
• QUESTION 70664
( 197 )
39. Les symptômes constituant le syndrome de passivité :

A Interférence de la pensée
B Parasitisme de la pensée
C Dévidage muet des souvenirs
D Etrangeté de la pensée
• QUESTION 70666
( 198 )
69. Le fading mental est considéré comme :

A Trouble de continuité de la pensée
B Trouble de continuité de langage
C Rupture brutale du discours
D Rupture progressive du cours de la pensée
• QUESTION 70669
( 199 )
40. Les hallucinations psychosensorielles :

A Peuvent être simples
B Peuvent être élaborées
C Peuvent être complexes
D Peuvent intéresser tous les organes de sens
• QUESTION 70671
( 200 )
70. Le fading mental est un élément sémiologique qui peut être observé au cours :

A D’un épisode dépressif majeur
B D’une schizophrénie
C D’un trouble obsessionnel compulsif
49
D D’un épisode maniaque
• QUESTION 70674
( 201 )
71.les troubles de contenu de la pensée englobent :

A Les idées délirantes
B Les idées fixes
C Les obsessions
D Les phobies
• QUESTION 70676
( 202 )
72. Le délire est défini par :

Une conviction intime et inébranlable en une ou plusieurs idées qui ne
A
s’opposent pas à la réalité
B Le sujet intègre ces idées dans la réalité.
C Le sujet n’intègre pas ces idées dans la réalité.
D Se voit fréquemment dans la schizophrénie.
• QUESTION 70681
( 203 )
73. Les caractéristiques de délire sont :

A Le mécanisme.
B Le vécu.
C La durée.
D La systématisation.
• QUESTION 70683
( 204 )
74. En parlant de délire :

A La durée de délire est variable selon le type du trouble
La durée de délire est inférieure à 3 mois dans les troubles
B
psychotiques aigus
La durée de délire dans les troubles psychotiques chroniques est à
C
partir de 6 mois
D Le délire est flou mal systématisé dans la schizophrénie
50
• QUESTION 70687
( 205 )
75. Le mécanisme de délire peut être :

A Hallucinatoire
B Imaginatif
C Intuitif
D Interprétatif
• QUESTION 70689
( 206 )
1. La perception accrue peut se voir dans :

A L’accès maniaque
B L’épisode dépressif
C La schizophrénie
D Les troubles anxieux
• QUESTION 70692
( 207 )
76. les idées obsessionnelles sont définies par :

Idées, représentations ou images involontaires, pénibles et
A
incontrôlables
B S’imposent d’une façon répétitive à la conscience du sujet
Le patient est inconscient du caractère irrationnel et absurde de ces
C
idées
D Source d’anxiété importante pour le patient
• QUESTION 70696
( 208 )
2. L’agnosie c’est :

A Incapacité d'identifier un objet offert à la perception
B L’échec relève d’un déficit sensoriel
L’échec ne relève ni d’un déficit sensoriel ni d’un trouble de la
C
conscience
D Présence d’un trouble de conscience
• QUESTION 70698
( 209 )
51
77. Les types d’obsessions retrouvées dans les troubles de contenu de la pensée :

A A base Idéative
B A base délirante
C A base phobique
D A base Impulsive
• QUESTION 70701
( 210 )
78. l’idée phobique est définie par :

La crainte obsédante liée à une situation ou à un objet et survenant en
A
l'absence de cette situation ou de cet objet en cause
Le sujet a conscience du trouble, en souffre et reconnaît cette crainte
B
comme excessive ou déraisonnable
Etats anxieux déclenchés par un objet ou une situation n'ayant pas en
C
eux-mêmes un caractère objectivement dangereux.
D L'anxiété disparaît en l'absence de l'objet ou de la situation
• QUESTION 70706
( 211 )
79. L’obsession phobique est définie par :

La crainte obsédante et irraisonnée de commettre de manière irrésistible
A
un acte immoral absurde, agressif, obscène
La crainte obsédante liée à une situation ou à un objet et survenant en
B
l'absence de la situation ou de l’objet phobogène
Cette crainte est reconnue comme étant absurde par le sujet mais à
C
laquelle il ne peut pas s’échapper
D C’est un trouble de cours de la pensée
• QUESTION 70708
( 212 )
3. L’illusion :

A Déformation de la perception d’un objet réel
B Perception d’un objet non réel
C Ne se voit que dans les troubles psychiatriques
D Le sujet est conscient de la non réalité de sa perception
• QUESTION 70711
( 213 )
52
80.Dans les obsessions impulsives :

Le patient présente une crainte obsédante de commettre un acte immoral,
A
absurde, dangereux ou agressif
B Le sujet est conscient du caractère absurde et irrationnel de ces idées
L’angoisse associée est importante et la lutte contre les idées est
C
intense
D Le sujet ressent des sentiments de culpabilité
• QUESTION 70712
( 214 )
4. Les hallucinoses :

A Perception sans objet à percevoir
B Le sujet ne critique pas le trouble
C Le sujet ne les intègre pas dans la réalité
D Leurs causes sont essentiellement d’origine organique
• QUESTION 70716
( 215 )
5. Les hallucinations

A Perception sans objet à percevoir
B Le sujet les intègre dans sa réalité
C Le sujet critique les troubles
D Elles ne sont présentes que dans la schizophrénie
• QUESTION 70721
( 216 )
6. Hallucinations psychiques

A Elémentaires ou complexes
B Caractérisées par leur sensorialité et leur spatialité
C Il peut évoluer vers le syndrome d’influence
D Le sujet ne contrôle plus sa pensée
• QUESTION 70725
( 217 )
7. Les activités psychiques de base comportent
53
A La conscience
B La perception
C L’attention
D L’intelligence
• QUESTION 70728
( 218 )
8. Les troubles qualitatifs de la conscience comportent

A Obnubilation
B L’onirisme
C La stupeur
D Les états seconds
• QUESTION 70731
( 219 )
9. L’attention

A Diminué dans les troubles anxieux
B Diminué dans les accès maniaques
C Augmenté chez le dément
D Labile chez le schizophrène
• QUESTION 70734
( 220 )
10. La désorientation temporo-spatiale

A N’est rencontré que dans le syndrome confusionnel
B se voit dans la démence.
C Souvent observée chez les schizophrènes
D Peut s’observer dans la dépression
• QUESTION 70736
( 221 )
11. Les hypermnésies peuvent être observés dans

A La consommation d’alcool
B Les états maniaques
C La consommation de l’ecstasy
54
D Les états dépressifs
• QUESTION 70739
( 222 )
12. Les amnésies lacunaires

A Se voient dans les accès maniaques
B Sont irréversibles
C Se voient dans les troubles dissociatifs
D Souvent d’origine organique
• QUESTION 70742
( 223 )
13. Les ecmnésies sont

A Des faux souvenirs
Le sujet revit des scènes du passé comme si elles étaient actuelles et
B
présentes.
C Ils sont essentiellement d’origine organique
D Ce sont des distorsions de la mémoire
• QUESTION 70745
( 224 )
14. Dépersonnalisation

A Altération de la perception de soi
B entraîne un vécu angoissant
C est un trouble qui se voit chez le schizophrène
D s’accompagne souvent de déréalisation
• QUESTION 70748
( 225 )
15. La tonalité de la voix

A Exprime l’état affectif du sujet
B Monotone dans le syndrome démentiel
C Elevée dans le syndrome maniaque
D Voilé dans le syndrome confusionnel
55
• QUESTION 70750
( 226 )
16. Le fading mental

A Trouble du cours de la pensée
B Rupture brusque du discours
C Rupture progressive du discours
D Avec reprise du discours sur le même sujet
• QUESTION 70755
( 227 )
17. Le barrage

A Rupture brusque du discours
B Rupture progressive du discours
C Avec reprise du discours sur un sujet différent
D Du aux troubles de l’attention
• QUESTION 70758
( 228 )
18. La palilalie

A Répétition de mots de façon mécanique
Répétition involontaire, immédiate des derniers mots entendus par le
B
malade
C Se voit dans le syndrome démentiel
D Se voit dans la schizophrénie
• QUESTION 70761
( 229 )
19. Paralogisme

A Trouble de la syntaxe
B Utilisation des mots habituels avec une signification nouvelle
C Utilisation des mots inexistants
D Emploi d’un langage inventé,
• QUESTION 70764
( 230 )
20. Le langage
56
A Permet d’exprimer la pensée
B Se fait par le biais de la parole seulement
C L’odorat est un moyen de langage
Les troubles de langage ne se voient que dans la pathologie
D
psychiatrique
57
58

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1. Dans la marche ataxique ou déséquilibrée :

LETTRE REPONSE CORRECTE

LETTRE REPONSE CORRECTE

LETTRE REPONSE CORRECTE

4. L’hypotonie peut se voir dans les situations suivantes :

LETTRE REPONSE CORRECTE

LETTRE REPONSE CORRECTE

6. L’Hypertonie extrapyramidale ou rigidité :

LETTRE REPONSE CORRECTE

7. Topographies possibles du déficit moteur :

LETTRE REPONSE CORRECTE

8. Les réflexes suivants sont ostéo-tendineux :

LETTRE REPONSE CORRECTE

9. Le réflexe cutané plantaire :

10. Les réflexes cutanés abdominaux :

LETTRE REPONSE CORRECTE

11. La sensibilité superficielle (ou extéroceptive) comprend :

LETTRE REPONSE CORRECTE

12. Les signes subjectifs de la sensibilité sont:

LETTRE REPONSE CORRECTE

13. L’examen de la Sensibilité superficielle comporte l’examen de :

14. L’examen de la Sensibilité profonde comporte :

LETTRE REPONSE CORRECTE

15. Dans le Syndrome cordonal postérieur on trouve:

LETTRE REPONSE CORRECTE

16. Les nerfs oculomoteurs comportent :

LETTRE REPONSE CORRECTE

17. Dans les Hallucinations olfactives :

18. L’Examen du fond d’œil :

LETTRE REPONSE CORRECTE

19. Parmi les anomalies du champ visuel, il y’a :

LETTRE REPONSE CORRECTE

20. La Névralgie du trijumeau :

LETTRE REPONSE CORRECTE

21. Parmi les complications de la paralysie faciale périphérique :

22. L’atteinte du nerf vestibulaire se manifeste par :

LETTRE REPONSE CORRECTE

23. Le nerf vague (X) à une fonction :

LETTRE REPONSE CORRECTE

24. Dans l’exploration de la mémoire l’interrogatoire permet de préciser :

LETTRE REPONSE CORRECTE

25. L’Aphasie de Broca :

26. L’Aphasie de Wernicke :

LETTRE REPONSE CORRECTE

27. L’Aphasie globale comporte :

LETTRE REPONSE CORRECTE

28. Parmi les étiologies des aphasies, il y a :

LETTRE REPONSE CORRECTE

29. L’examen de l’apraxie comporte l’analyse de l’activité motrice dans différentes

LETTRE REPONSE CORRECTE

30. L’Apraxie idéo-motrice :

LETTRE REPONSE CORRECTE

31. Apraxie idéatoire :

LETTRE REPONSE CORRECTE

32. L’Apraxie constructive :

LETTRE REPONSE CORRECTE

LETTRE REPONSE CORRECTE

34. L’hémiplégie au stade de paralysie flasque :

LETTRE REPONSE CORRECTE

35. L’hémiplégie au stade de Au stade de paralysie spastique :

LETTRE REPONSE CORRECTE

36. La paraplégie flasque d’origine périphérique :