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Je n’oublie pas bien sûr de remercier tout le personnel de Marsa Maroc pour
leur accueil chaleureux, leur compréhension et leur soutien lors de mon stage,
et spécialement ceux qui travaillent dans le département commercial.
SOMMAIRE
Remerciements
Introduction Générale
Conclusion Générale
Bibliographie
Introduction Générale
A l'issue des 4 années d'étude que nous avons effectué au sein de l'ENCG
Casablanca, nous sommes tenus de faire un stage dans une entreprise dans
l'intention de vérifier les connaissances acquises durant cette année de formation
et aussi pour s'ouvrir sur le monde professionnel et sur l'entreprise et son
environnement. La signification d'un stage bien formulé a pour objectif :
Durant le mois de février 2023, j'ai effectué mon stage au sein de MARSA
MAROC. Durant cette période je me suis intéressée largement au commerce
international, par curiosité de comparer ce qu'on a appris en cours théorique
avec la pratique dans une vraie entreprise. Au-delà d'enrichir mes connaissances
en commerce, ce stage m'a permis aussi d'apprendre plus sur le domaine de
logistique et de portuaire. Le présent rapport aura pour objectif de présenter le
secteur du commerce international et sa relation avec la logistique portuaire, la
définition de la gestion de flux, approfondissement sur le flux des contenaires
au Maroc.
Chapitre 2
1. Les conteneurs :
Dans le domaine du transport, un conteneur (terme recommandé en France par
la DGLFLF et au Canada par l'OQLF) ou container, est un caisson métallique
parallélépipédique conçu pour le transport de marchandises par différents
modes de transport. Ses dimensions ont été normalisées au niveau international.
Il est muni à tous les angles de pièces de préhension permettant de l'arrimer et
de le transborder d'un véhicule à l'autre (pièces de coin, corner casting ou corner
fitting). Il fait partie de la catégorie des UTI (« unités de transport intermodal »),
comme les caisses mobiles et certaines semi-remorques. Il permet ainsi de
diminuer les temps de rupture de charge et de transbordement. Ses adaptations
spécifiques facilitent les opérations de « mise en boîte » des marchandises (=
empotage) et de vidage (= dépotage).
Selon la norme ISO (Organisation internationale de normalisation) établie en
1967, il y a trois grandes séries de conteneurs dont la longueur est
respectivement de 20 pieds, 30 pieds (9,14 m) et 40 pieds. Tous les conteneurs
de ces séries ont la même largeur, 8 pieds (243,84 cm), ce qui a permis le
développement des navires porte-conteneurs, mais cette largeur ne suffit en
général pas pour transporter de front deux palettes européennes normalisées
EUR (1 200 mm × 800 mm) dans le sens de leur longueur, ni trois dans le sens
de leur largeur. C'est pourquoi les caisses mobiles (dont les dimensions le
permettent) ont connu un grand succès en Europe et en Asie.
Le développement du conteneur est étroitement lié à celui des échanges
internationaux par voie maritime, particulièrement des produits manufacturés.
Les statistiques de transport intermodal sont généralement exprimées en unités «
EVP », soit « équivalent vingt pieds ». Les premiers cargos 8 500 EVP sont
entrés en service au début des années 2000 et leur taille et capacité n'ont cessé
de croitre. En 2012, la compagnie française CMA CGM a lancé le CMA CGM
Marco Polo, d'une capacité de 16 020 conteneurs et qui était le plus long porte-
conteneurs du monde en activité jusqu'à l'entrée en service en juillet 2013 du
Maersk McKinney Moller, d'une capacite de 18 270 conteneurs.
Les principaux fabricants de conteneurs sont deux sociétés chinoises : CIMC
qui détient la moitié du marché mondial avec 1,2 millions d'unités produites en
2004 (contre 70 000 en 1994) et Singamas. Un conteneur simple de 20 pieds
coûtait en 2007 environ 1 400 euros, pour une durée de vie de 15 ans.
2. La gestion de flux :
A- Définition :
La gestion des flux consiste à piloter l'ensemble des activités successives qui
sont réalisées lors de la fabrication d'un produit ou sa distribution. C'est ce
mouvement des matières/composants/sous-ensembles/encours/produits finis le
long de la chaîne de fabrication et de distribution qui forme le flux.
Dans une usine, lorsque l'ensemble des produits fabriqués parcourt les mêmes
étapes de production, il y a une seule chaîne de fabrication et donc un flux. Si
par contre on se retrouve avec des produits A, B et C qui parcourent en un
moment donné de leur fabrication une série d'activités différentes pour chacun
des trois produits, on a un total de trois flux de production. Un flux est aussi
appelé une chaîne d'activité ou chaîne de valeur (en anglais : value Stream).
• Flux de distribution ou flux aval : circulation des produits finis ou semis finis
de l'entrepôt de l'entreprise jusqu'à ce lui d'une autre entreprise cliente.
Les flux de logistique externe sont tous constitués par une chaîne d'opération
d'emballage, de manutention, de transport et de stockage.
Selon la méthode d'approvisionnement choisie dans le processus, les flux
logistiques peuvent prendre différentes formes. C'est ainsi qu'on distingue :
• Les flux poussés : une particularité des flux internes, dans ce type
d'organisation, chaque étape de fabrication est déclenchée par la disponibilité
des matières premières ou des composants au niveau du poste amont. Les
produits fabriqués sont stockés en attente d'une demande pour la consommation.
• Les flux tirés : Le déclenchement de la livraison ou de la fabrication d'un
produit se fait uniquement sur la demande d'un poste client. Par principe il y a
zéro stock dans la chaîne.
• Les flux tendus : une combinaison des deux précédents flux, c'est équivalent
d'un flux tiré, mais avec un minimum de stocks et d'encours repartis le long de
la chaîne logistique.
• Les flux synchrones : dans ce type d'organisation, la livraison de
composants différents est réalisée dans le respect de leur ordre d'entrée
dans le processus de fabrication. Ils sont donc livrés juste ou moment de
leur utilisation. Ce qui permet de réduire les stocks et les coûts qui y
sont liés.
o L'analyse des délais (durée des cycles, les temps d'arrêt, temps de
changement des outils...) ;
o L'analyse de la qualité des produits (nature des défauts, nombre
de défauts, origine...) ;
o L'analyse des stocks intermédiaires (tailles des lots, taille des
stocks et en-cours, coût) ;
o L'analyse des opérations de manutention et transport (nombre
de mouvements, coûts);
o L'analyse de l'emploi des ressources (quantité, rendement,
efficacité, productivité ...)
o L'analyse des flux d'information (nature et quantités).
Chapitre 1
Nous avons aussi effectué une analyse plus détaillée sur les parts de marché de
Marsa Maroc tout le long des 5 dernières années.
Parmi les difficultés rencontrées et les observations que j'ai pu constater : une
difficulté à trouver les informations nécessaires sur internet, les données n'était
pas facilement accessibles, j'ai dû alors collecter les informations retrouvées et
les synthétiser de ma propre manière.
3. Recommandations :
Afin de faciliter l'accès à l'information, je préconise la mise en place d'une
rubrique qui regroupe les informations relatives aux chiffres clés de la
logistique portuaire en fonction des ports et des années sur des tableaux bien
présentés qui faciliteront la lecture des données et qui permettront, par
conséquent, une meilleure analyse du marché.
De même, il serait aussi important de présenter les parts de marché de
l'entreprise sur le site afin de mettre en avant la place qu'occupe Marsa Maroc
sur le marché et qui n'est pas des moindres.
CONCLUSION
WEBLIOGRAPHIE
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Conteneur
https://www.google.com/amp/s/m.lematin.ma/amp/article.php%3fid=367759&a
nnee=2021