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Rapport de stage
Stage d’observation :
Département trafic conteneur
Je souhaite d’abord remercier mes parents pour leur soutien tout au long de la période du
stage.
Je tiens à remercier vivement tous ceux qui m’ont le plus directement soutenu et à tout le
personnel de Département trafic conteneur qui n’ont cessé de m’aider avec qui j’ai eu
l’occasion de travailler durant mon stage pour leur sympathie et leur encouragement.
Je remercie Monsieur HOULAIM Yassir de m’avoir facilité l’accès au sein de Marsa Maroc.
Je remercie également plus particulièrement mon encadrant Mr SEFRAOUI Amine pour ses
précieuses directives et la pertinence de ses conseils qui ont contribué à l’aboutissement de ce
travail.
Enfin, je tiens à adresser mes sincères remerciements à toute personne ayant contribué de loin
ou de près à sa réalisation et sans lesquelles ce rapport n’aurait pas vu le jour.
Signes et abréviations :
Conclusion
Introduction
Le commerce international joue un rôle très important dans la croissance économique. Il est
considéré comme un relais de croissance et comme facteur déterminant pour s’approprier des
richesses.
Au cours des deux dernières décennies, des changements importants et extrêmement puissants ont
remodelé le paysage économique mondial, affectant le commerce international ainsi que le transport
international. Celles-ci sont au cœur d'une économie de plus en plus mondialisée.
Il existe un lien très fort entre transport maritime et mondialisation. On peut affirmer que sans
transport maritime, la mondialisation telle qu’on la connaît aujourd’hui n’aurait pas été possible. Au
lendemain de la Seconde guerre mondiale, en 1950, on transportait un peu plus de 500 millions de
tonnes de marchandises par voie maritime. Aujourd’hui, plus de 10 milliards de tonnes transitent
chaque année par la mer, On parle beaucoup de « l’économie dématérialisée ». Or jamais l’économie
internationale n’a autant reposé sur des flux physiques et des biens matériels. Et c’est le transport
maritime qui permet ces flux considérables : 80 % à 90 % en volume du transport de marchandises
à l’échelle internationale se fait par la voie maritime.
Cela repose sur une très grande spécialisation des navires qui s’est mise en place progressivement
avant et après la Seconde guerre mondiale. Elle a commencé avec les vracs, liquides (pétrole) et
solides (charbon, grains…), et a trouvé un aboutissement avec la conteneurisation qui permet de
mettre le monde en boîtes. Les conteneurs sont des boîtes entièrement normalisées à même d’être
empilées sur les navires porte-conteneurs. Mais à l’intérieur de ces boîtes, il est possible de mettre
absolument tous les types de marchandises, biens de consommation, produits semi-finis… Le
conteneur étend à l’économie manufacturière dans laquelle nous vivons les facilités du transport.
La spécialisation des navires permet une très grande productivité de la manutention dans les ports
comme un avion, les navires restent très peu de temps dans les ports. De plus, cette spécialisation
des navires a permis l’augmentation de leur taille, donc des économies d’échelle considérables.
Aujourd’hui des navires porte-conteneurs transportent jusqu’à 20 000 boîtes, soit jusqu’à 200 000
tonnes des produits les plus divers. Cette productivité et cette économie d’échelle aboutissent à
réduire les coûts de transport.
Alors Le transport maritime est l'épine dorsale du commerce international et, par conséquent, de
l'économie mondiale.
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Chapitre 1 : la logistique portuaire
Section 1 : introduction générale sur la logistique portuaire
La logistique est l'activité qui a pour objet de gérer les flux physiques, information financiers
d'une organisation, dans le but de mettre à disposition les ressources
correspondant aux besoins, et ce, aux conditions économiques et pour une qualité de
service déterminées, dans des conditions de sécurité et de sûreté satisfaisantes.
La logistique portuaire peut être définie comme étant l'ensemble des moyens
stratégiques et opérationnels permettant d'optimiser les fonctions intermodales dans la
chaîne portuaire. C'est aussi une démarche permettant de rendre plus rapide et plus
efficiente que rapide les différentes opérations d'un port.
A. Définition du port :
Le port désigne tout bassin formant un abri naturel ou artificiel sur les rives d’un océan, d’un
lac ou d’une rivière permettant l’ancrage, le mouillage ou le stationnement à quai des bateaux
à couvert de la houle et des grands vents. Au sens le plus strict, le terme port désigne le plan
d’eau, mais dans son utilisation courante, il inclut les digues, les jetées, les quais et les docks
qui bordent le plan d’eau proprement dit. Mais dans une perspective économique et
industrielle, la notion de port évoque généralement un ensemble d’installations conçues et
exploitées en vue d’assurer le transfert de marchandises entre le navire et la mer et les
différents moyens de transport terrestre : rail, route, navigation intérieure, canalisations
diverses.
Il s’agit donc d’un ensemble complexe occupant une place privilégiée, non seulement dans
la région dont il constitue un des principaux moteurs de développement, mais également sur
le plan national et international. Sa position, généralement à la frontière d’un pays, donc en
contact direct avec le monde extérieur, explique les fonctionsessentielles que le port doit
remplir dans la communauté maritime internationale.
En effet, un port se voit allouer au moins trois missions :
➢ Le développement par le commerce extérieur et intérieur grâce au trafic
des marchandises à des prix compétitifs.
➢ La promotion de l’industrialisation (industries liées au port ou à proximité
decelui-ci).
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➢ La contribution à l’aménagement de l’espace économique et territorial pour
mieux intégrer l’activité économique et sociale s’y rapportant
Les ports peuvent être classés selon leur nature, leur localisation, leur statut, leur activité et
leur génération. On peut classer les ports en deux catégories en fonction de la nature même
de l’abri offert. Les ports naturels sont protégés par un site naturel : baie, péninsule, cap, île.
Les ports artificiels sont entièrement protégés par des structures fabriquées.
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b. Classification Selon leur localisation :
Les ports maritimes :
Sont situés sur la côte d'une mer ou d'un océan ; ce sont souvent les ports principaux pour un
pays ayant une façade maritime, accueillant les plus grands tonnages. Ces ports ont besoin
de davantage de protection contre les vagues et le vent en raison de leur exposition.
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Les ports lacustres :
Ils sont situés en bordure d'un lac. S'ils ne sont pas soumis aux aléas des marées, les vagues
peuvent poser problème sur les grandes étendues d'eau. Les ports lacustres comprennent les
petites marinas au bord des lacs de montagne mais également les grands ports de commerce
sur les Grands Lacs.
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ferries et les paquebots et le transport de marchandises pour les navires cargo.
Les marchandises peuvent être liquides (pétroliers, chimiquiers) et nécessitent des réservoirs
et Tuyauteries dédiées ; ou solides, en vrac (vraquiers, nécessitant des silos ou des espaces
de Stockage) ou emballées ; cargos mixtes ayant besoin d'entrepôts et de grues, ou les porte-
conteneurs avec les grands espaces de stockage associés. Les cargaisons roulantes (pour les
rouliers) ont besoin de zones d'attente, éventuellement de parkings. Outre les espaces de
stockage et les moyens de manutention nécessaires.
Un port de commerce inclut aussi des liaisons routières et ferroviaires, voire fluviales, avec
la terre ; différentes darses et terminaux spécialisés ; des bassins pour les navires de services
associés ; selon les cas, des bassins dédiés à la réparation, un dispositif de séparation du
trafic. Les ports de pêche : Ils sont les plus nombreux dans le monde, et sont souvent ceux
dont les dimensions sont les plus réduites. Leurs dimensions varient selon les bateaux
accueillis.
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Les ports militaires :
Les ports militaires ou ports de guerre, bases navales accueillent les navires de guerre.
Certains ports sont ouverts, mais d'autres, notamment les bases de sous-marins, sont fermés
et interdits au public (comme l'île Longue) pour des raisons de sécurité. Un port militaire.
Peut inclure un arsenal, une école navale, un chantier de réparations, des moyens de
ravitaillement, de logement et d'entraînement pour les équipages. Certains navires militaires,
notamment les patrouilleurs, peuvent être basés dans d'autres types de ports
C. Activités du port :
➔ Les activités portuaires non économiques :
L’aménagement des quais et des bassins, l’entretien et la sécurité des ouvrages portuaire
(ex. : les routes, les barrières), la signalisation maritime, la surveillance du trafic, ainsi
que la police portuaire font partie du service public à caractère administratif.
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Les services au navire :
Ce sont les entreprises qui interviennent pour assister le navire lors de son escale par
exemple :
-les pilotes
-les remorqueurs
-les lamaneurs
-les consignataires ou agents maritimes qui représentent dans le port l’armateur ou
l’affréteur du navire
-les sociétés d’avitaillement et de soutage
-les sociétés de réparation navale
-les sociétés de réparation location. Maintenances des conteneurs
-les entreprises de récupération des déchets de navires.
-les services offerts à terre pour les marins
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• Une communauté d’acteurs :
1) L’autorité portuaire :
Des multiples autres services administratifs sont également présents dans les ports à
savoir :
1/ Les services maritimes et les affaires maritimes ;
2/ La gendarmerie ;
3/ La police aux frontières ;
4/ Les services d’incendie et de sécurité.
Cas du Maroc
➢ ANP :
Au Maroc l’Agence Nationale des Ports (ANP) veille à la police portuaire, la régulation,
l’octroi et suivi des concessions et des autorisations d’exercice des activités portuaires,
maintenance, développement et modernisation des infrastructures et des superstructures
gestion du domaine public portuaire. Et l’accompagnement de la politique du
Gouvernement en matière de renforcement de l’introduction du secteur privé dans la
gestion portuaire, de garantie du service public et du libre jeu de la concurrence.
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➢ SODEP :
Société d’Exploitation des Ports (SODEP) vise de redonner une énergie a une dynamique
nouvelle à l’exploitation portuaire nationale, dégager les ressources nécessaires
systématiques et rigoureuses de l’installation portuaire, d’associer les partenaires
économiques à la gestion des ports à travers des organes de nouvellesstructures d’assurer
à tous les ports un niveau égal de développement pour qu’ilspuissent assurer leur rôle au
niveau du développement régional.
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Section 2 : Aperçu sur Marsa Maroc « 1ère entreprise d’exploitation
des ports au Maroc :
A. Fiche signalétique :
Marsa Maroc est une société marocaine chargée de l’exploitation des ports du Maroc, elle
est présente sur 9 ports au Maroc à savoir : le port de Casablanca, le Port de Nador, le Port
de Tanger, le Port d’Agadir, le Port de Safi, le Port de Laayoune, le Port de Dakhla, le
Port de Mohammedia et le Port de Jorf Lasfar.
Marsa Maroc est le fruit de la réforme qu’a connu le secteur portuaire en 2006. En effet,
la réforme portuaire a séparé entre les fonctions d’autorité et les fonctions commerciales
et a introduit la concurrence au secteur portuaire. Suite à la lois 15/02, l’office
d’exploitation des ports se divise en 2 : la SODEP (Marsa Maroc) détenant la fonction
commerciale et l’ANP (Agence nationale des ports) comme autorité du marché.
Marsa Maroc est une société anonyme à conseil de surveillance et directoire, le conseil de
surveillance se compose des membres désignés par l’assemblée générale et présidé par le
ministre d’équipement, du transport, de la logistique et de l’eau. Le conseil de surveillance
contrôle la gestion du directoire et participe à l’approbation des stratégies de l’entreprise.
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B. Historique de Marsa Maroc et date clés :
TABLEAU 2: HISTORIQUE DU MARSA MAROC
2006 La réforme Portuaire
Création de la SODEP
2007 L’adoption du nom commercial «
Marsa Maroc »
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C. Répartition du Capital de Marsa Maroc :
Le capital de la société d’exploitation des Ports (Marsa Maroc) est réparti entre plusieurs
entité. En effet, l’état marocain qui était majoritaire avec 60% du Capital de Marsa Maroc
avant le 27 juillet 2021, Elle a annoncé qu’elle cédera 35% de son capital au Groupe Tanger
Med (juridiquement TMSA) pour la somme de 5,48 milliards de dirhams. Le Régime collectif
d’allocation de retraite (RCAR) détient 3,33%, Wafa assurance a comme part est 3,33% et la
Caisse Marocaine de retraite (CMR) détient aussi 3,33%. Les 30% restante représente le
capital flottant de Marsa Maroc, c’est à dire la partie du capital échangeable sur le marché
boursier.
30%
Etat Marocain
RCAR
CMR
Wafa assurance
3,33% Flotant
3,33% 60%
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Chapitre 2 : Présentation de la direction d’exploitation
du port de Casablanca (DEPC)
Section 1 : L’organisation de la DEPC :
La direction d'exploitation au Port de Casablanca est une entité fonctionnelle de Marsa
Marocqui est présente dans tous les ports du Maroc (9 ports). C'est l'antenne de la
direction générale, avec une autonomie pour gérer et fixer les objectifs et les budgets.
Directeur
D’exploitatio
n
Département Financeet
Département RH
comptabilité
Département Achats
Département Trafic
Polyvalents
Département
Division QSSE équipement
Département
Division juridique infrastructure
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1.1 Les différents types des conteneurs :
Généralement, il existe différents types de conteneurs qui sont classés en trois grandes sertes
deconteneurs : les conteneurs divers (dry, flat, etc.), les conteneurs isothermes (réfrigéré, etc.)
et les conteneurs-citernes.
Conteneurs standards ou secs « dry » : Ce sont des conteneurs dédiés à la
transportation de tous types marchandises, ils sont définis par les caractéristiques
suivant : des parois latérales et des extrémités rigides et ils sont équipés de portes à
une extrémité.
Conteneurs-citernes « tank » : Ces conteneurs sont composés en deux éléments de
base : la citerne et l’ossature. Ce dernier est utilisé » pour transporter les liquides et
produits chimiques, ils contiennent des accessoires destinés à faciliter le chargement
et le déchargement du conteneur
Conteneurs flats racks : Les conteneurs flats sont composés en deux côtés, ils sont
principalement mis en œuvre pour transporter des marchandises volumineuses lourdes
ou hors gabarit (en hauteur ou en largeur), et des marchandises fragiles et
encombrantes.
Conteneurs réfrigérés « REEFERS » : Ce sont des conteneurs, qui sont utilisés pour
transporter et stocker des marchandises périssables ou de matérielles exigeant une
température hygrométrie constante. Ils s’agissent principalement de fruits, de
légumes, de viandes et de produits laitiers. Ces conteneurs ont des caractéristiques
thermiques (parois isolées) munies d’un dispositif de réfrigération et de chauffage.
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1.2 Les équipements de transfert de conteneurs dans un
terminal à conteneurs :
Un terminal à conteneur peut utiliser différents types d’équipements pour assurer
les opérations de manutention des conteneurs :
Grues, portiques de quai : pour charger ou décharger les navires.
Cavaliers, tracteurs ou des chariots élévateurs : pour transporter
les conteneurs au sein du terminal à conteneurs. En effet, les
chariots cavaliers peuvent charger et poser les conteneurs eux-
mêmes, tandis que le chargement ou le déchargement des tracteurs
nécessite l’utilisation des grues, des cavaliers, ou des chariots
élévateurs
PORTIQUE GRUE
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1.3 Les services présentés par Marsa Maroc :
-Services aux navires : ces services concernent les navires accostés dans les ports
exploitéspar Marsa Maroc :
Le pilotage des navires : Marsa Maroc offre une assistance des navires en cas de
difficultéde passages dans les Ports du Maroc
Le Remorquage des navires : Ce service consiste à tracter les navires à l’aide des
remorqueurs pour quitter le quai ou d’y accoster.
Le branchement : il existe des types de conteneurs appelé Frigo qui comporte des
marchandises nécessitant un degré de température élevé, pour cela Marsa Maroc
offre desservices de branchement pour ce type de conteneur.
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1.4 infrastructures des Terminaux à Conteneurs du Port de
Casablanca :
Détenue à hauteur de 100% par Marsa Maroc, TC3PC exploite le terminal à conteneurs
3 dans le cadre d’un contrat de concession d’une durée de 30 ans ; à compter de 2013.
Infrastructures du TC3 :
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Terminal à Conteneurs Est du Port de Casablanca :
Le TCE est le plus grand des terminaux du port du Casablanca, d’une superficie totale
de 60 hectares. Il offre une capacité d'accostage de 600 mètres.
-Zone d’opérations portuaires « le quai » : le rôle de cette zone est de servir de point
de transfert des conteneurs entre le terminal et les navires. La partie du terminal où sont
effectuées, les opérations de chargement et de déchargement des navires après leur
accostage.
Infrastructures du TCE :
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600 ml de quai d'une profondeur de 11 m à 12 m 4 postes
à quai 60 ha pour le stockage de conteneurs 400
branchements électriques pour les conteneurs frigorifiques
1 passerelle RO-RO d'une capacité de 100 t
Activité conteneurs
Linéaire de quai 600m
Profondeur maximale 12m
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La Division juridique : chargée des affaires juridiques de la DEPC, elle gère
Les affaires contentieuses et les polices d’assurance, et émet les avis juridiques à
tous les autres départements.
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Section 2 : département trafic conteneur DTC
1. Présentation du département trafics conteneurs
➢ Facturation :
Après formalités et visite douanière pour les TC pleins, et après embarquement pour les TC
vides, le client règle les factures de magasinage, aconage, ad valorem et autres prestations
suivant la procédure de la facturation de la DF au guichet facturation de Terminal à
conteneurspour les clients à crédit et au guichet facturation de la Division Facturation.
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➢ Contrôle de conformité :
Dès réception de la liste de séquence et des documents des conteneurs à embarquer, trois
typesde contrôle sont opérés :
- Un contrôle portant sur l’horaire de dépôt de la liste de séquence ;
- Un contrôle sur le contenu de la liste de séquence : conformité des données
séquencées avec ceux des TC, existence de l’ordre d’embarquement ...
- Un contrôle de la date de préemption de la facture dans le cas d’un paiement au comptant.
➢ Régularisation :
Un tirage de la liste de séquence sous forme de listing informatique est ensuite effectué en
plusieurs exemplaires.
Le chef d’escale ou le magasinier export remet une copie au pointeur ODEP à quai, une à la
zone export. Le représentant de la compagnie de navigation garde une copie.
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➢ Localisation des conteneurs
➢ Vérification de conformité :
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➢ Embarquement des TC :
Dès réception des bordereaux de pointage, le magasiner export reçoit par cahier de
transmissiondu service pointage 2 fois par jour : un matin et après-midi.
Il saisit les BPE sur AS/400, édite l’état des conteneurs embarqués sur listing
informatiques et vérifie avec les documents des conteneurs préalablement
séquencés. Le magasinier export mentionne au verso des factures des TC
embarqués, le nom du navire, la date et le moyen d’embarquement des conteneurs.
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➢ Facturation :
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Conclusion
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WEBOGRAPHIE :
➔ www.memoireonline.com/04/10/3403/gestion-des-
terminaux-à- conteneurs-au-portdecontonou- bénin-html.
➔ www.logistiqueconseil.org/Articles/Logistique/Fonctio
ns- logistiques.htm Article sur l’activité et la fonction
logistique
➔ https://www.marsamaroc.co.ma/fr
➔ https://www.douane.gov.ma/web/guest
➔ http://www.logistiqueconseil.org/Articles/Controle-
audit/KPI-stockage.htm
➔ www.sodep.co.
➔ file:///D:/la%20logistique%20portuaire.pdf
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