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Stique.

En effet, dans un contexte d'inflation galopante, en absence de toute politique d'indexation, les
actifs étrangers.

La phase ultime de la dollarisation concerne la fonction d'intermédiaire d'échanges de la monnaie


nationale. En période d'inflation galopante le public a besoin de coupures à valeur faciale de plus en plus
élevée pour effectuer un volume donné de transactions idéalement dans la perspective d'un agent
économique un doublement du niveau général des prix doit s'accompagner d'un doublement de la
valeur faciale de toutes les coupures des billets de banque. Cependant, l'expérience montre que dans les
pays a inflation élèvée la moyenne de la valeur faciale de différentes coupures nouvellement émises a
tendance à évoluer moins rapidement que le rythme de l'augmentation des prix.

Pour évaluer l'ampleur de dollarisation d'une économie, la mesure idéal devrait comprendre la quantité
de tous les billets étrangers en circulation ainsi que les dépôts en monnaie étrangères.

Malheureusement en pratique il est impossible d'évaluer de manière précise le volume des billets
étrangers détenus par le public.

Au Congo, l'inflation et la dépréciation de la monnaie nationale constituent les causes immédiates de la


dollarisation parce qu'elles accroissent le coût d'opportunité lié à la détention de la monnaie nationale.

La dollarisation de l'économie congolaise trouve ses recines immédiates dans l'inflation et la


dépréciation de la monnaie nationale, l'analyse économétrique conforte d'ailleurs cette affirmation.
Cependant, sans pour autant d'attaquer à ses racines, les autorités politiques ont livré à certains
moments une bataille sans merci contre la dollarisation au motif de combattre ses effets motifs sur
économie.

C'est dans un contexte de baisse sensible de la production intérieure et de financement monétaire


excessif des dépenses publiques qu'est apparue l'hyperinflation qui a sévi au Congo sur la période 1990-
2001. Cette inflation galopante s'est également accompagnée d'une forte érosion de la valeur réelle de
la monnaie domestique. Faisant face à cet environnement le public résidents s'est détourné petit à petit
de la monnaie nationale au profit particulièrement du dollar américain.

L'objet de cet article consistait à montrer les spécificités de la dollarisation au Congo.

Contrairement aux autres pays en développement, la dollarisation de l'économie congolaise est restée
dans les aspects purement monétaires, la substitution d'actifs étant marginale. En outre, la dollarisation
a pris une ampleur telle que même l'État est arrivé à accepter le paiement des taxes en devises.

L'étude souligne que ce dont les attentes inflationnistes des agents économiques qui constituent les
causes immédiates de la dollarisation au Congo.

8. Nous avons encore l'article de NADIA Lemzoudi qui a parlé de <<l'impact du degré d'ouverture sur la
croissance économique : cas de six pays d'Afrique de l'ouest>> (10)
Un des sujets suscitant un fort intérêt en économie internationale est l'influence qu'exerce l'ouverture
au commence extérieur sur la croissance économique. La libéralisation des échanges est maintenant
considérée comme source de convergence et un élément clé pour l'élaboration des stratégies de
développement.

Dans le contexte actuel de la mondialisation, il est naturel de s'interroger sur les liens entre l'ouverture
au commerce extérieur et la croissance économique. Si on arrive à établir sans ambiguïté l'existence
d'un impact positif et significatif de l'ouverture sur la croissance, cela encouragera les gouvernements de
pays en voie de développement désireux d'améliorer leur situation d'adopter des politiques de
libéralisation commerciale.

Dans le cadre de cette étude, l'auteur a fait allusion aux pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Ghana, Mali,
Niger et Nigeria.

Nous rappelons ici que l'Afrique de l'ouest est une des régions du monde où l'on trouve les plus faibles
revenus percapita. Les pays de la zone sont confrontés à un niveau de pauvreté alarmant, à de conflits
armés et à la corruption. Ces éléments et beaucoup d'autres, constituent un énorme frein à leur
développement.

David Ricardo, 19e siècle, par sa théorie des avantages comparatifs a démontré que plus un pays était
ouvert, plus cela permettait de réorienter ses ressources rares vers des secteurs plus efficients et
d'améliorer son bien-être.

La question soulevée par cette étude était de savoir si le degré d'ouverture a un impact sur la croissance
économique de six pays de l'Afrique de l'ouest et si c'est le cas s'il existe une différence entre les pays
côtiers et les pays enclavés.

La relation ouverture-croissance est intéressante à analyser empniquement puisque les études


théoriques n'arrivent pas à un consensus tandis que les études ampniques arrivent à travers un effet
positif significatif la réponse à cette question peut également avoir des implications importantes au
niveau des décisions politiques qui sont prises concernant la libéralisation commerciale. La nouvelle
théorie de la croissance suggère que le commerce international ainsi que l'investissement direct
étranger, permettent le transfert et le développement de technologies, et conséquemment la croissance
de l'économie sera stimulée.

Dans cette optique les gouvernements et les organisations internationales ont donc des raisons
d'encourager et d'amorcer des politiques de libération des échanges commerciaux. Cependant ces
politiques doivent différer selon le stage de développement du pays, car des politiques accès sur une
ouverture immédiate pourrait s'avérer ineficientes si elles sont réalisés à un stage prématuré de
développement du pays.

Donc pour ce qui est de ce travail, il est fort utile. Avant d'entreprendre des politiques de libéralisation
trop ambitieuses, un pays en développement enclavés ou non se doit en premier lieu tenter d'instaurer
une stabilité relative, que ce soit au niveau économique, politique, social et légal. De nombreux efforts
doivent être initiés tant par les gouvernements africains et la commenté internationale, afin d'améliorer
leur efficacité économique et atteindre une croissance rapide et soutenue.

9. Nous avons l'article de M. KAMARA P. KIMWANGA SALUMU qui ont parlé de << l'incidence
alimentaire des ménages>> M. KAMARA, P. KIMWANGA <<l'incidence de la dépréciation du franc
congolais sur la sécurité alimentaire des ménages>>, 2021 une étude sur l'incidence de la dépréciation
du franc congolais par rapport au dollar américain sur la sécurité alimentaire à été réalisée dans la
commune de Lubunga, ville de

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