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1. INTRODUCTION
2. Histoire
Historiquement, le calandrage était fait à la main avec une énorme pierre à presser. Par
exemple, en Chine, d'énormes roches ont été apportées du nord du fleuve Yangtsé. La pierre
de pressage a été coupée en forme de bol et la surface du fond incurvé parfaitement lisse.
Après avoir placé un morceau de tissu sous la pierre, le travailleur se tenait sur la pierre et la
balançait avec ses deux pieds afin de presser le tissu.
Description du procédé :
Le procédé de calandrage est basé sur un écoulement à température élevée d’une matière
thermoplastique viscoélastique entre au moins deux cylindres entraînés. En fait, l’expérience
montre que seul le calandrage avec quatre cylindres permet de maîtriser correctement la
qualité des films ou des feuilles. Dans une calandre à quatre cylindres, la masse plastique
fondue en provenance du mélangeur gélifieur passe d’un cylindre à l’autre par trois entrefers
qui sont de plus en plus étroits, ce qui entraîne un reflux avant chaque entrefer, en même
temps qu’un élargissement de la feuille. Ces reflux forment ce qu’on appelle les bourrelets.
Seul le premier bourrelet, appelé bourrelet d’alimentation, est limité en largeur par des
guides matière. Les bourrelets 2 et 3 ont une largeur libre et une forme cylindrique, sauf aux
extrémités où la forme s’ovalise.
LE CALANDRAGE
La feuille passe d’un cylindre à l’autre par différences de vitesse et de température. Les
cylindres sont entraînés indépendamment, ce qui permet d’établir une friction entre eux
(typiquement une différence de vitesse de 5 à 30 %) et ainsi d’assurer un passage parfait de
la feuille d’un cylindre à l’autr
Lignes de calandrage
Une calandre ne fonctionne pas de façon indépendante ; elle fait partie d’un ensemble
complexe appelé ligne de calandrage. Les différentes phases généralement rencontrées sont
les suivantes :
— mélange des composants de la formulation (dry-blending) ;
— gélification ;
— homogénéisation ;
— alimentation ;
— calandrage ;
— extraction-étirage ;
— grainage ;
— refroidissement ;
— conditionnement.
Bourrelet d'alimentation
+ +
Surface A
Bourrelet 2
+
Surface B
Bourrelet 3
+
Si la gélification a lieu dans un mélangeur interne fournée par fournée (batch) (60 à 90 kg),
elle est dite discontinue. Si au contraire elle est réalisée dans une extrudeuse gélifieuse, elle
LE CALANDRAGE
est dite continue. Une ligne de calandrage n’est pas universelle, c’est-à-dire qu’il faut la
définir en fonction des produits que l’on veut réaliser.
Il existe deux procédés de calandrage : à basse température ou procédé Luvitherm, et à
haute température, le plus courant.
a. Le procédé Luvitherm :
C’est un procédé dédié au PVC rigide, c’est-à-dire non plastifié. Il permet d’obtenir des films
minces (50 mm) à hautes propriétés mécaniques pour l’emballage alimentaire et les bandes
adhésives. Le calandrage s’effectue à basse température (150 °C), donc en dessous de la
température de gélification. La gélification proprement dite se fait ultérieurement par
conduction sur un ou deux cylindres chauffés à 250 °C. La matière est ensuite refroidie à 120
°C et étirée en phase élastique sur un train de cylindres de petits diamètres animés de vitesses
croissantes, ce qui donne un film mono-orienté longitudinalement, donc mécaniquement
renforcé dans ce sens. Ce procédé, en phase d’abandon, est remplacé depuis plusieurs années
par le procédé haute température.
Dans ce procédé, décrit plus en détail au paragraphe 2, la matière est d’abord gélifiée et
homogénéisée avant d’arriver dans le premier entrefer de la calandre pour former le premier
bourrelet d’alimentation. La calandre est donc une machine de mise en forme, et ne contribue
que marginalement à la gélification du PVC.
LE CALANDRAGE
Le but du calandreur est d’obtenir des films ou des feuilles avec une faible tolérance
d’épaisseur (± 2 mm) sans défauts d’aspect. Pour cela, il lui faudra éviter les principaux
— défaut de planéité : au déroulage la feuille n’est pas plane, elle présente des ondulations
— défaut de cintrage : au déroulage la feuille ne suit pas une ligne droite dans le plan mais
un arc de cercle (effet banane) qui peut être quantifié par le rapport /L ;
dans la feuille qui sont responsables des phénomènes de retrait rédhibitoires pour les
applications ultérieures ;
— défaut de mouillabilité : il est le plus souvent lié à la formulation la feuille présente une
tension de surface trop faible qui rend difficiles voire impossibles les opérations ultérieures de
• fish-eyes : il s’agit de grains de PVC in fondus. Ce défaut est lié à la qualité des résines et en
• fusées : il s’agit de bulles écrasées en surface donc de forme ovoïde et de taille importante
(1 mm à 1 cm)
LE CALANDRAGE
Figure 3 – Principaux défauts rencontrés en calandrage
4. Types de calandrage :
Il existe trois grands types de calandrage : la lisse, le soft calandrage et le super calandrage.
Leur grande différence réside dans le nombre de nips (nombre de passage du papier entre
deux rouleaux) et dans la nature des rouleaux.
Ces différentes techniques de calandrage permettent d’obtenir du lissé et du brillant au
détriment de la main.
4-1- La lisse
La lisse est constituée de deux rouleaux durs. Cette technique ne donne pas en
général les meilleurs résultats. En effet, malgré l’obtention d’un papier ayant une
apparence impeccable, possédant une épaisseur constante, la non-uniformité de la
densité peut conduire à des problèmes d’impression. Ceci est essentiellement dû à
un problème de limitation de la charge linéique du lissé (120 kg/cm) et cela
malgré les diverses possibilités de chauffage.
LE CALANDRAGE
Son principal avantage est qu’elle est située sur machine. Utilisée historiquement
pour le papier journal, elle tend de plus en plus à être remplacée par la soft
calandre.
Dans le cas du soft calandrage, on exerce des pressions moins importantes sur les fibres, de
ce fait on rencontre des largeurs de nips plus grandes afin d’équilibrer. Ceci implique qu’il
est impossible de récupérer les défauts d’uniformité d’épaisseur comme dans le cas des
lisses mais par contre on obtient un meilleur lissé.
Avantages :
Inconvénients :
LE CALANDRAGE
Complexité accrue de la machine à papier
Coût énergétique supérieur
Utilisation de rouleaux mous en plastique (matériaux synthétiques)
supportant des charges moins élevées
Avantage :
Nombreuses nips
Obtention de degrés de qualité élevés
Faible coût énergétique
Inconvénients :
Productivité faible
5.1. Le papier SC
De nos jours, il existe deux grandes classes de technologies pour supercalandrer un papier :
la technologie dite « classique » et les technologies modernes. Les technologies modernes
ont été mise au point par Voith et Valmet : la supercalandre Janus MK2 (Voith) depuis
Octobre 1996 et l’Optiload (Valmet) depuis Avril 1997. Elles reposent sur un même
principe et peuvent être installées directement sur machine en ligne. Les vitesses
annoncées dépassent les 1500 m/mn avec des températures allant jusqu'à 1700°C.
LE CALANDRAGE
Ces équipements très onéreux doivent encore faire leur preuve.
1. La supercalandre "classique"
C’est en fait une alternance de rouleaux durs et mous, montés les uns au dessus des autres,
située hors machine.
La supercalandre Janus est par ailleurs modulable. Il est possible de se servir de tous les
rouleaux pour « supercalandrer » mais aussi de n’utiliser qu’un nip seulement pour
« softcalandrer ».
Laize de 10 m maximum
Vitesse de 1300 à 2000 m/min
Gamme de charge linéique : 50 à 550 kN/m
Température de surface variable (125-170°C)
Utilisation de 1 à 8 nips selon les besoins
Le fait que les rouleaux soient inclinés par rapport à la verticale représente un avantage
certain : le poids des rouleaux supérieurs influe moins sur ceux situés en aval (comme c'est
le cas dans une super calandre classique). Ainsi, le papier subit une répartition des charges
plus constante tout au long de son parcours.
LE CALANDRAGE
Le problème c'est que cette inclinaison sur la machine requiert plus de place.
Les types de papiers pouvant être traités avec cet équipement sont pour l’instant assez
restreints mais dans un avenir proche ils se diversifieront !
Le papier subit ainsi un traitement uniforme du haut en bas de l’Optiload comme le montre
la photo de la vue d’ensemble Et non une charge croissante.
De plus, il est possible d’arriver au même résultat qu’une supercalandre tout en appliquant
une charge linéique globale moindre. Ceci permet d’obtenir un gain d’énergie et d’user
moins les revêtements des rouleaux. Le revêtement polymère des rouleaux mous est très
résistant (Dura Polymer Technology de Valmet), supportant des gammes de charges, de
températures et de vitesses importantes. La spécificité de l’Optiload vient d'un système de
vérins de compensation sur chaque rouleau.
LE CALANDRAGE
Il est possible de distinguer plusieurs catégories de couchage : le couchage à lame, à spray
et à film. Les résultats et les coûts varient d’une technologie à une autre :
LE CALANDRAGE
A
BC D E F G H I
Graineur
Contrepartie
a horizontal
Contrepartie Graineur
b vertical
Pp
c x
ha
b 9/2
Fr L/2 H/2
LE CALANDRAGE
Figure 8 – Grandeurs intervenant dans le calcul de la déformation des cylindres
Le calcul simplifié se fait avec les hypothèses suivantes : calandre en L inversé (tableau 1, 3e
ligne) ; le cylindre 3 n’est pas déformé (action symétrique de la matière). Le calcul porte donc
sur la déformation du cylindre 4. Celui-ci, sous l’action de son propre poids et de la force F
d’écartement due à la pression de la matière dans le bourrelet, subit une déformation selon x
qui se décompose ainsi :
— déformation due au poids propre Pp du cylindre :
Il n’est pas possible de compenser la déformation par la seule action du roll bending. Pour
améliorer le profil de la feuille on utilise en plus du roll bending le cross axis. La correction
est donnée par :
avec D le diamètre des cylindres et B le biaisage. Le profil résultant n’est pas parfaitement
plan. Pour obtenir un profil parfait il faut profiler le dernier cylindre de la calandre ce qui
limite la gamme de production possible en épaisseur et formulations ; la calandre n’est donc
pas un outil très polyvalent. Il faut cependant reconnaître que beaucoup de lignes de
calandrage sont utilisées dans des conditions « anormales » et produisent des feuilles de
qualité moyenne. La spécialisation d’une ligne permet à l’inverse de produire des feuilles
d’excellente qualité à très haut débit.
LE CALANDRAGE
6.3. Contrôle de l’épaisseur, de la planéité, de la rectitude
Le contrôle d’épaisseur des films et feuilles calandrés se fait en continu par l’intermédiaire
de jauges à rayonnement b qui balaient la largeur de la feuille pendant son défilement. Le
profil mesuré est un profil sinusoïdal qui est ensuite « traduit » en profil transversal
par un calculateur spécialement programmé. Le contrôle automatique de l’épaisseur est alors
possible.
Le contrôle de la planéité n’est possible qu’a posteriori. La bonne planéité d’une feuille ou
d’un film calandrés, dépend essentiellement :
— du profil transversal ;
— de la précision des profils de température des cylindres de la calandre et des cylindres
étireurs (une tolérance de ± 0,5 °C sur la largeur est nécessaire) ;
— de la maîtrise des tensions des cylindres étireurs et de refroidissement : il faut éviter une
perte de largeur de la feuille ou du film se traduisant par une surépaisseur sur les bords. Cette
surépaisseur est alors compensée au niveau de la calandre par un réglage de l’entrefer entre
les cylindres ce qui aboutit à un profil très irrégulier générateur de mauvaise planéité.
Le contrôle de la rectitude n’est lui aussi possible qu’à posteriori.
Un défaut de rectitude a plusieurs causes possibles :
— dispositif de biaisage sur le cylindre de détachement de la feuille (ce système n’existe plus
sur les calandres modernes) ;
— profil d’épaisseur non symétrique : un bord est plus épais ce qui provoque un défaut de
planéité et de rectitude ;
— profil de température des étireurs non uniforme : dans ce cas, l’étirage sur une génératrice
peut se faire d’un côté en phase plastique et de l’autre en phase élastique. Cela aura pour
conséquence, lors de la suppression des tensions au déroulage, de provoquer un effet de
cintrage ;
— défaut de parallélisme des rouleaux extracteurs et refroidisseurs. Pour obtenir des films et
feuilles de qualité en planéité et rectitude il faut un dispositif de postcalandre de très grande
précision mécanique, thermique et cinématique.
LE CALANDRAGE
Figure 9 – Extraction du film et retrait
LE CALANDRAGE
7. Le PVC
Le sigle PVC désigne une matière plastique particulière. Cela signifie en anglais PolyVinyl
Chloride, et en français PolyChlorure de Vinyle.
57% de sel
7.1. Historique
Le polychlorure de vinyle a été découvert par accident à au moins deux occasions au cours
du XIXe siècle, en premier lieu en 1835 par Henri Victor Regnault et en 1872 par Eugen
Baumann. Dans les deux cas, le polymère est apparu comme un solide blanc dans des
bouteilles de chlorure de vinyle après exposition à la lumière solaire. Au début du XXe siècle,
les chimistes russes Ivan Ostromislensky et Fritz Klatte ont tous deux tenté d'utiliser le PVC
dans des produits commerciaux, mais leurs efforts ne furent pas couronnés de succès à cause
des difficultés de transformation du polymère. En 1926, Waldo Semon, en collaboration avec
la société B. F. Goodrich, a développé une méthode de plastification du PVC en le
mélangeant avec des additifs. Ceci a permis de rendre le matériau plus flexible et plus facile à
fabriquer, genèse du succès commercial du PVC.
LE CALANDRAGE
7.2. Les différents usages du PVC
L’utilisation du PVC s’effectue en fonction de sa qualité. Car il faut savoir qu’il en existe
quatre types dans l’industrie. Primo, on retrouve le PVC rigide qui est particulièrement
apprécié dans la fabrication des canalisations (écoulements, gouttières, eaux usées…). Cette
matière est plus stable et moins nocive que le plomb, d’où son grand succès dans la création
des tuyaux d'évacuation d'eau.
Il est également bien connu dans l’élaboration des habillages de fenêtres. Il existe également
le PVC souple qui possède un aspect brillant et qui s’utilise surtout dans la création de
certains types de plafonds ou de revêtements de sol. Enfin, on a le PVC sous forme de films
plastifiés qui servent à la réalisation des emballages. A noter également, pour finir, le PVC
expansé très prisé pour réaliser des enseignes ou des publicités sur les lieux de vente.
Le PVC doit son grand succès à ses innombrables avantages. Les évolutions techniques et
technologiques ont effectivement permis d’améliorer les qualités de ce matériau. Résistant
aux flammes, à l’usure du temps et aux intempéries, il est également imputrescible et ne craint
pas les variations climatiques. Ce matériau est léger, malléable et 100% recyclable. Il possède
une bonne capacité d’isolation, c’est pourquoi on l’apprécie dans le domaine de la menuiserie.
Et par-dessus tout, le PVC est très abordable par rapport à d’autres matériaux utilisés dans la
construction comme l’aluminium ou le bois.
Attention, ce polymère thermoplastique révèle quand même certaines limites. Il n’est pas
biodégradable et peut devenir toxique en cas de combustion ou d’incendie. Quand il est
présenté sous la forme de menuiseries, il a tendance à mal vieillir car n’est pas très résistant
aux rayons ultra-violets du soleil. De plus, il a du mal à résister à l’usure, surtout s’il est
employé en tant que revêtement de sol. Du point de vue esthétique, son aspect plastique
continue à prédominer malgré les touches décoratives et finitions qu’on peut lui apporter.
LE CALANDRAGE
7.4. Description des lignes de calandrage PVC
Les exemples ci-dessous décrivent les lignes de calandrage les plus courantes (figures 10 et
11).
Formulation
Nous décrivons, sans entrer dans le détail, les bases de la formulation.
PVC rigide :
La formulation comprend :
LE CALANDRAGE
PVC plastifié
La formulation comprend :
— PVC polymérisé par un procédé suspension ou masse à haut pouvoir absorbant du
plastifiant (KW variant de 62 à 80) ;
— plastifiants : le plus courant est le DEHP (diétylhexylphtalate)
mais il en existe un très grand nombre permettant de faire varier les propriétés finales
des films ou des feuilles. Les taux de plastifiant varient de 25 à 80 pcr (pour-cent de
résine) ;
— stabilisants thermiques : on utilise des sels d’acides gras, généralement des sels de
Ba/Zn ou Ca/Zn. Les sels de Cd sont main- tenant interdits pour des raisons
environnementales. Avec ces sels, on ajoute des costabilisants du type époxy-stéarate.
Il faut s’assurer de la compatibilité à chaud des stabilisants pour éviter leur dépôt sur
les cylindres de la calandre (plate-out), ce dépôt entraînant de graves défauts de
mouillabilité de la feuille ;
— agents anti-UV ;
— agents fongistatiques, pour protéger le plastifiant de l’attaque des champignons voir
de certaines bactéries ;
— pigments ;
— charges pour certaines propriétés spécifiques (ignifugation par exemple) ou pour
des raisons économiques ;
LE CALANDRAGE
Figure 10 – Différentes lignes de calandrage pour PVC
LE CALANDRAGE
Figure 11 – Vue générale d’une ligne de calandrage
— lubrifiant externe : pour les films ou feuilles d’épaisseur inférieure à 600 mm, on utilise
l’acide stéarique en faible dose (0,1 pcr). pour les feuilles épaisses, on n’utilise pas de
lubrifiant externe : il faut éviter le glissement sur la surface des cylindres qui entraîne une
mauvaise rotation des bourrelets et provoque l’inclusion d’air et des défauts de surface.
LE CALANDRAGE
CONCLUSION
Les progrès accomplis dans la compréhension du procédé ont permis de définir des lignes de
calandrage produisant des feuilles et des films de haute qualité avec des débits très élevés et
des grandes largeurs (5 à 6 m contre 2 à 3 il y a 10 ans).
La modélisation du procédé de calandrage a contribué à cette compréhension. Nous avons les
conditions d’obtention d’une feuille exempte de défauts de mattage et de fusées, à deux
températures différentes, à partir des paramètres de calandrage.
— des températures différentes entre les cylindres ; ainsi que l’écoulement transversal dans le
bourrelet de calandrage qui contribue à l’élargissement de la feuille.
Le défi est d’aboutir à une automatisation complète de la ligne de calandrage à partir d’une
mesure en continu de l’épaisseur de la feuille et des efforts de calandrage. Ceci nécessiterait la
mise au point du contrôle des différents bourrelets de la calandre. Actuellement seul le
premier bourrelet est susceptible d’être contrôlé.
LE CALANDRAGE
Bibliographie et Webographie
TECHNIQUES DE L'INGENIEUR .
R. Grant "Producers take the soft option in calendering" Paperloop, 2001 –Disponible sur
<http://www.paperloop.com/db_area/archive/ppi_mag/2001/0111/ppi1.htm>
LE CALANDRAGE