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EXPOSE

THEME : LE COMPORTEMENT DE L’EXPERT COMPTABLE

NOMS ET PRENOMS DES EXPOSTANTS :


AGOLI-AGBO Fortunate
CODO TOAFODE Marc-Aurel
MANTE Houlda
KANGNI Lauriano
SALAMI Merveille
SOMISSOU Grâce-de-Dieu
PLAN
INTRODUCTION

I- LES REGLES GENERALES DE COMPORTEMENTS DE L’EXPERT


COMPTABLE
A- Les devoirs de l’expert-comptable
B- Les obligations de l’expert-comptable

II- LES LIMITES DE L’EXPERT-COMPTABLE


A- Les interdits de l’expert-comptable
B- Les sanctions et les mesures de sauvegarde en cas d’inobservation des
règles

CONCLUSION
INTRODUCTION
Un expert -comptable est un professionnel de la comptabilité exerçant le plus souvent
son activité sous la forme de profession libérale. Il peut exercer en cabinet d’expertise
comptable ou dans une entreprise quelconque. Il joue le rôle d‘intermédiaire entre
l’entreprise et ses différents interlocuteurs ou acteurs.
Le professionnel est agréé pour la réalisation des prestations comptables mais il s’agit
également d’un professionnel de droit et cette profession est régie par l’ordre des
experts-comptables.
Quels sont les devoirs et les obligations de l’expert-comptable ?
Quels sont les interdits et les sanctions en cas d’inobservation des règles ?
I- LES REGLES GENERALES DE COMPORTEMENTS DE L’EXPERT
COMPTABLE

A- Les devoirs de l’expert-comptable

Les devoirs des professionnels comptables Au regard de l'importance des missions


données à un expert-comptable dans le cadre d'un cabinet, l'exercice de la profession
est soumis au respect d'une série de devoirs généraux mais également à l'égard des
confrères, des clients et de l'Ordre. A ce propos, l’Assemblée Générale Extraordinaire
du 30 Septembre 2006 et modifiée par l’Assemblée Générale du 11 Juillet 2009
impose à l’Ordre des Experts-Comptables d'établir un code de déontologie et d'en faire
respecter les prescriptions en prenant toutes les mesures nécessaires à cet effet.
Devoirs généraux des professionnels comptables

Dès lors, il nous appartient d'évoquer l'ensemble des devoirs incombant à un expert-
comptable dans le cadre de la pratique de son activité professionnelle. Néanmoins, les
devoirs généraux auxquels les experts-comptables doivent satisfaire dépassent la
problématique professionnelle puisqu'ils sont contraints de mener une vie personnelle
qui ne soit pas susceptible d'altérer la réputation du métier dans sa globalité. Ainsi au
même titre que les avocats ou les médecins, les experts-comptables sont tenus de
prêter serment au terme de leur inscription au tableau de l'Ordre.

 Le devoir d'indépendance

Conformément aux articles 4, 5 et 6 du Code de déontologie relatif aux Principes


Fondamentaux De Comportement, tout d'abord, un expert-comptable doit
continuellement témoigner d'une pleine et entière indépendance dans l'exercice de ses
missions afin de ne pas faire l'objet de soupçons liés à son intégrité ou à son
objectivité. Dans cette optique, il appartient à tout expert-comptable de refuser de
participer à des projets susceptibles de laisser apparaître un conflit d'intérêts. Le devoir
de capacité En outre, un expert-comptable est dans l'obligation d'appréhender
parfaitement les interrogations qui lui sont soumises afin de formuler une proposition
en adéquation avec ses compétences mais également les dispositions légales. En ce
sens, l'expert-comptable s'assure également des capacités de ses collaborateurs
concernant le traitement des dossiers sur lesquels ils sont sollicités. D'autre part en cas
d'accord avec un client en faveur de l'accomplissement d'une mission comptable,
l'exercice de la profession d'expert-comptable suppose la rédaction d'un contrat
rappelant notamment les règles déontologiques principales ainsi que les obligations à
la charge des parties.

 Le secret professionnel

Au regard de l’Article 8 du Code de déontologie il résulte en conséquence au terme de


la signature dudit contrat, l'expert-comptable doit non seulement respecter le secret
professionnel mais également faire preuve d'une grande discrétion à l'égard des
informations recueillies auprès de son client.

 Le devoir de non-publicité

Par ailleurs, la question de la publicité est véritablement cruciale. En effet, le Code de


déontologie interdit aux experts-comptables, toute démarche non sollicitée en vue de
proposer leurs services à des tiers. En revanche, les experts-comptables bénéficient de
l'opportunité de participer à des colloques professionnels et de présenter leurs activités
par le biais de différents outils de communication à condition de ne pas porter atteinte
à l'image de la profession. Aussi, le Code de déontologie autorise tout expert-
comptable à ajouter des mentions complémentaires relatives à ses coordonnées
professionnelles, son parcours universitaire et ses distinctions honorifiques reconnues.

 Devoirs spécifiques des professionnels comptables

Le TITRE 3 du Code de déontologie des professionnels de l'expertise-comptable


impose des devoirs spécifiques à l'expert-comptable vis-à-vis de ses clients, ses
confrères mais également de l'Ordre. C'est pourquoi il nous appartient d'évoquer
successivement ces trois aspects des devoirs de l'expert-comptable dans le cadre de
l'exercice de sa profession

 Les devoirs vis-à-vis du client (Section 1 du Code de déontologie)


Tout d'abord, l'expert-comptable est soumis à une série de devoirs à l'égard de ses
clients ou des adhérents de l'association de gestion et de comptabilité dans laquelle il
travaille. Ainsi à l'occasion de l'exercice de ses missions, l'expert-comptable est tenu
de satisfaire pleinement à son devoir d'information et de conseil au profit de son client
d'autant plus qu'il engage sa responsabilité professionnelle en ce sens. D'autre part,
l'expert-comptable doit mener à son terme chaque mission sauf s'il dispose d'un motif
juste et raisonnable dont le plus fréquent est certainement l'absence de diligence de la
part de son client. En outre à la lumière de son devoir d'indépendance absolue,
l'expert-comptable est dans l'obligation de renoncer à un contrat lorsqu'il sent
l'existence possible d'un conflit d'intérêts. Par ailleurs si la détermination des
honoraires est parfaitement libre, il revient à l'expert-comptable d'inviter
vigoureusement son client à privilégier l'arbitrage ou la conciliation en cas de
contestation.

 Les devoirs vis-à-vis de ses confrères (Section 2 du Code de déontologie)

Ensuite au regard de l'organisation de cette profession libérale réglementée, l'expert-


comptable est soumis à plusieurs devoirs de confraternité. En ce sens, l'expert-
comptable ne doit pas pénaliser ses confrères par le biais de propos écrits ou oraux
présentant un caractère insultant. En effet, la courtoisie est une valeur fondamentale
dont tout expert-comptable doit faire preuve dans le cadre de ses relations
confraternelles. Toutefois dans l'hypothèse où un différend naît entre deux experts-
comptables, sa résolution incombe au Président du Conseil Régional de l'Ordre des
Experts-Comptables qui recourt prioritairement à la conciliation ou à l'arbitrage. Par
ailleurs s'agissant de ces relations confraternelles, le remplacement d'un expert-
comptable par un autre dans l'optique de l'accomplissement d'une mission est
strictement encadré par l’Article 33 (Section 2) du Code de déontologie relatif aux
Rapports de confraternité entre membres de l’Ordre. Ainsi, l'expert-comptable
nouvellement désigné par un client doit en informer son confrère dans les plus brefs
délais et s'assurer que les honoraires dus ont été acquittés de manière intégrale. De plus
lorsqu'un expert-comptable n'est plus en mesure d'exercer son activité en cas de décès
ou d'incapacité temporaire, le Président du Conseil Régional de l'Ordre des Experts-
Comptables procède à la désignation d'un confrère. A l'occasion de cette aide
ponctuelle, il convient d'indiquer que l'expert-comptable remplaçant intervient à titre
gratuit même si en pratique une indemnité est souvent prévue.

 Les devoirs vis-à-vis de L'ordre des Experts comptables (TITRE 3, Section 3 du


Code)

Enfin, l'expert-comptable a une série de devoirs à l'égard de l'Ordre des Experts-


Comptables et plus précisément de son Conseil National Supérieur et ses Conseils
Régionaux. A ce propos, il s'agit essentiellement de devoirs destinés à assurer la
protection de la réputation de la profession d'expert-comptable dans sa globalité. En
effet si un expert-comptable fait l'objet de poursuites judiciaires, il est dans l'obligation
d'en informer immédiatement le Conseil Régional de l'Ordre des Experts-Comptables
dont il dépend. De même en cas de litige lié au refus de paiement des honoraires par
un client, l'expert-comptable doit contacter le Président du Conseil.

B- Les obligations de l’expert-comptable

Le Code de déontologie s’applique à tous les experts-comptables, quel que soit leur
mode d’exercice de leur métier. Il s’applique ainsi aux experts-comptables, aux
cabinets d’expertise comptable, aux comptables stagiaires et aux associations de
gestion et de comptabilité.

Un professionnel de l’expertise comptable à quatre types d’obligations :

 Une obligation d’information

Elle impose à l’expert-comptable de tenir au client des obligations réglementaires


induites par son activité professionnelle. Elles peuvent être d’ordre social, fiscal,
environnemental ou encore juridique. Le cabinet d’expertise comptable est tenu bien
sûr de les connaître mais aussi de les indiquer et/ou de les rappeler à chacun de ses
clients, à tout le moins de constater qu’elles sont observées. À travers sa mission de
tenue et de révision des comptes, l’expert-comptable est en position de discerner un
risque économique ou un risque de réputation. Il est de son devoir de partager cette
information avec l’entreprise, de façon à lui permettre de prendre toute disposition
utile et de réagir dans les meilleurs délais.

 Un devoir d’alerte

Même si la performance de l’entreprise n’est pas affectée à date, la relation de


proximité entretenue par l’expert-comptable avec le dirigeant de l’entreprise peut lui
permettre de détecter un comportement ou des choix porteurs de risques. Le
professionnel est là encore tenu d’alerter son client et de tenter de le dissuader de toute
décision manifestement préjudiciable pour l’entreprise ou pour son patrimoine

 Un comportement engagé

Lorsque l’expert-comptable constate que son client prend des décisions contraires à
son intérêt, ou non conformes à la loyauté vis-à-vis des tiers, il est tenu de lui signaler
son erreur. Le cabinet comptable est invité à documenter ses efforts de pédagogie en
consignant par écrit ces éventuelles réserves. L’expert-comptable démontre par cette
expression écrite qu’il a réellement et fortement incité son client à respecter ses
obligations et qu’il ne cautionne en aucun cas d’éventuels manquements
préjudiciables. Indépendamment du fait de dégager sa responsabilité en cas de
conséquences néfastes, le cabinet comptable place ainsi son client face à ses
responsabilités.

 Une position diligente

La position de diligence s’impose lorsque les efforts de l’expert-comptable pour faire


entendre raison à son client ont échoué. S’interdisant toute forme de complaisance, le
cabinet d’expertise comptable est tenu par cette position diligente de mettre fin à la
collaboration. Ce type de décision de dernier ressort intervient bien entendu in fine, au
constat d’un manquement avéré et délibéré de l’entreprise à ses obligations. Et surtout
dans le cas où le client refuse de revenir sur une décision manifestement non conforme
ou préjudiciable. Il en va de la responsabilité de l’expert-comptable. Une
problématique de conflit d’intérêts ou de perte d’indépendance de l’expert-comptable
est une autre cause possible de rupture du contrat. Un conflit éventuel portant sur la
réalisation de la mission ou sur le règlement des honoraires au cabinet peuvent opposer
un expert-comptable à son client. Dans ce cas, sous réserve de l’accord du client, le
Président du Conseil de l’Ordre est qualifié statutairement pour arbitrer ou animer une
séance de conciliation.

II- LES LIMITES DE L’EXPERT COMPTABLE

A. Les interdits de l’expert-comptable


 Les interdits liés à l’intégrité

Le professionnel comptable ne doit pas sciemment être associé à des rapports,


déclarations, communications ou autres informations lorsqu'il considère que ces
informations :

(a) contiennent une affirmation substantiellement fausse ou trompeuse ;

(b) contiennent des déclarations ou des informations fournies de façon inconsidérée ;

(c) omettent ou occultent des informations devant être obligatoirement incluses,


lorsque cette omission ou cette modification est de nature trompeuse.

 Les interdits liés à l’objectivité

Le professionnel comptable ne doit pas fournir un service professionnel si une


circonstance ou une relation génère un parti pris ou influence de façon inappropriée
son jugement professionnel par rapport à ce service.

 Les interdits liés à la confidentialité

Le professionnel comptable ne doit pas :

(a) divulguer en dehors du cabinet ou de l'organisation qui les emploie, des


informations confidentielles recueillies dans le cadre de leurs relations
professionnelles ou commerciales sans avoir d'autorisation spécifique appropriée, à
moins qu'il existe un droit ou une obligation légale ou professionnelle de le faire ;
(b) se servir d'informations confidentielles recueillies dans le cadre de relations
professionnelles ou commerciales, pour leur bénéfice personnel ou au bénéfice de
tiers.

 Les interdits liés aux comportements professionnels

Les professionnels comptables ne doivent pas nuire au renom de la profession dans


leurs activités de marketing et de promotion portant sur eux-mêmes et leurs travaux.
Les professionnels comptables doivent être honnêtes et sincères et ne pas :

(a) exprimer de prétentions exagérées quant aux services qu'ils sont en mesure de
rendre, aux qualifications qu'ils possèdent ou à l'expérience qu'ils ont acquise ;

(b) faire des allusions désobligeantes ou des comparaisons sans fondement avec les
travaux d’autrui.

 Les interdits liés à la Compétence et la diligence professionnelles

Le principe de compétence et de diligence professionnelles impose les obligations


suivantes à l’ensemble des professionnels comptables de ne pas :

(a) fournir un service professionnel de mauvaise qualité à leurs clients ou à leurs


employeurs compte tenu de leurs connaissances et de leurs compétences
professionnelles assimilées au cours de la formation ;

(b) agir de façon en non-conformité avec les normes techniques et professionnelles


applicables lors de la fourniture des services professionnels.

 Autres types d’interdits


a. Interdits liés à l’intérêt personnel
Des intérêts financiers ou d’autres intérêts ne doivent pas influencer de manière
inappropriée le jugement ou le comportement du professionnel comptable.

b. Interdits liés à l’auto-révision

Un professionnel comptable ne doit pas évaluer de façon inappropriée les résultats


d’un jugement porté antérieurement ou d’un service fourni précédemment par un
confrère ou par une autre personne de son cabinet ou de son employeur et sur lesquels
il s’appuiera pour former son jugement dans le cadre de la fourniture d’un service
ultérieur.

c. Interdits liés à la représentation

Un professionnel comptable ne doit pas défendre la position d’un client ou d’un


employeur au point que son objectivité soit compromise.

d. Interdits liés à la familiarité

Compte tenu de liens anciens ou étroits avec un client ou un employeur, le


professionnel comptable ne doit pas être trop bienveillant à l'égard des intérêts ou des
travaux de ce client ou de cet employeur.

e. Interdits liés à l’intimidation

Le professionnel comptable ne doit pas être dissuadé d'agir avec objectivité, du fait de
pressions, réelles ou perçues, notamment de tentatives en vue d’exercer une influence
inappropriée sur lui.

f. Interdits liés à la publicité

Il n'est pas autorisé de faire des publicités comparatives ou de véhiculer une image


erronée de la profession d'expertise comptable. Plus largement, les cabinets
d'expertise comptable ne sont pas autorisés à faire du démarchage c'est-à-dire
effectuer toute démarche non sollicitée en vue de proposer leurs services à des tiers.
B- Les sanctions et mesures de sauvegarde en cas d’inobservation des règles

 Les sanctions

Les experts-comptables sont tenus de respecter les règles de la profession et de


s’abstenir de réaliser des actes contraires à l’honneur et la probité. S’ils ne respectent
pas ces règles, leur responsabilité disciplinaire peut être engagée. Les sanctions seront
d’ordre professionnel, c’est-à-dire que, contrairement à la responsabilité civile,
l’expert ne pourra être condamné à verser des dommages et intérêts.

La procédure disciplinaire est indépendante des procédures de droit commun. La


procédure disciplinaire peut être engagée sans qu’une procédure civile ou pénale n’ait
été déclenchée.

Différentes sanctions existantes :

– la réprimande,

– le blâme avec inscription au dossier,

– la suspension pour une durée déterminée avec ou sans sursis,

– la radiation du tableau comportant interdiction définitive d’exercer la profession.

La réprimande, le blâme et la suspension peuvent être accompagnés d’une interdiction


de faire partie des Conseils de l’Ordre pendant une durée qui ne peut excéder dix ans.
À titre de sanction accessoire, la peine peut faire l’objet d’une publicité dans la presse
professionnelle.

De plus selon l’art 71 du Code d’éthique et de déontologie, « Tout acte contraire aux


dispositions du Code d’éthique et de déontologie, étant commis en violation du
serment prêté par les membres de l’Ordre, est passible des sanctions disciplinaires ou
autres prévues par la loi et le règlement intérieur sans préjudice, s’il y a lieu, des
poursuites de droit commun.

 Les mesures de sauvegarde

Les mesures de sauvegarde sont des actions ou toute autre mesure qui peuvent
éliminer ces menaces ou les réduire à un niveau acceptable. Elles se répartissent en
deux grandes catégories :

a) Les mesures de sauvegarde mises en place par la profession, la législation ou la


réglementation ;

b) Les mesures de sauvegarde prévues dans l'environnement de travail.

Les mesures de sauvegarde mises en place par la profession, la législation ou la


réglementation comprennent :

 La formation théorique et pratique et l'expérience préalables à l'accès à la


profession.
 Les obligations de formation professionnelle continue.
 Les règles de gouvernance.
 Les normes professionnelles.
 Les procédures de supervision et de discipline de la profession ou des
organismes de réglementation.
 Les revues externes par un tiers légalement habilité des rapports, déclarations,
communications ou informations produites par un professionnel comptable.
Les mesures de sauvegarde prévues dans l'environnement de travail comprennent :

 Des processus d’alerte professionnelle efficaces et connus, mis en place par


l'employeur, la profession ou un régulateur, qui permettent aux collègues, aux
employeurs et aux membres du public de déclarer ou d'attirer l'attention sur des
comportements non professionnels ou contraires à la déontologie.
 Une obligation explicite de faire part des manquements aux règles de
déontologie.

CONCLUSION

De tout ce qui précède on retient que l’expert-comptable est tenu de respecter les
règles en vigueur dans le code de déontologie et d’éthique des professionnels de
l’expertise comptable parce qu’il est avant tout un prestataire de services dont la
mission est de veiller au respect des obligations comptables, sociales et fiscales dans
une entreprise.

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