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SC
Lecture 1 F.N°:1
Séquence: I Intitulé : : Dégager la structure narrative en cinq étapes page : 111
Support : livre de l’élève
Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Passerelle p : 111
-Rédiger le synopsis d’une nouvelle
Période : 6
Guide pédagogique p :
120
Dégager la structure narrative en cinq étapes.
Objectif:
Correction: Collective
Je retiens
La structure narrative de la nouvelle se compose de quatre étapes :
1- La situation initiale (situation de calme, présentation de
certains personnages, du lieu et du temps).
Correction: Collective
Je retiens
Les informations données sur un personnage principal sont : Prénom et
Bilan nom, son âge, ses qualités physiques, ses qualités morales et son
métier
3 A.SC
langue F.N°:1
Séquence: II Intitulé : : Justifier un choix en utilisant l’expression de la cause page :
Support : livre de 116
Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
l’élève Parcours p : 116
-Rédiger le synopsis d’une nouvelle
Période : 6
Guide pédagogique p :
126
Justifier un choix en utilisant l’expression de la cause .
Objectif:
Correction: Collective
Je retiens
-La conjonction de coordination sert à relier
Bilan
-La conjonction de subordination sert à introduit une proposition
subordonnée
3 A.SC
L’oral F.N°:1
Séquence: II Intitulé : : Négocier le projet page : 116
Support : livre de
Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
l’élève Parcours p : 118
-Rédiger le synopsis d’une nouvelle
Période : 6
Guide pédagogique p :
128
Négocier le projet .
Objectif:
Présnter le projet
Produire une nouvelle pour participer à un councours
Rappelle qu’il s’agit en fait de produire deux nouvelles : une
collective dans le cadre d’un projet de classe,une nouvelle dans
Découverte
le cadre de projets de groupes
Proposer les modalité de travail : projet collectif, projet
individuel
Correction: Collective
Dans une nouvelle, l’accent est mis sur la situation initiale (on y sait déjà
presque tout ce qui va arriver) et sur la situation finale qui est une chute de
l’histoire. Entre les deux, l’action est très rapide : on ne donne que peu de
détails.
-peu de personnages
-peu d’analyse de sentiments
Bilan
-un seul événement faisant le centre du récit
-une durée brève de l’histoire dans le but de la lire d’une seule traite
-un seul lieu
-un récit qui se veut vrai (même s’il est fantastique)
-peu de pages
3 A.SC
Langue F.N°:2
Séquence: II Intitulé : : Utiliser l’expression du but pour fixer un objectif à propos du
Support : livre de projet page : 120
l’élève Parcours p : 120
Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6
-Rédiger le synopsis d’une nouvelle
Guide pédagogique p :
130
Utiliser l’expression du but pour fixer un objectif à propos du projet
Objectif:
Correction: Collective
Correction: Collective
La solution
L’enfant était là →vivre
sur la terre
Situation finale
Mme Svedenson→ la fin
Production écrite
3 A.SC F.N°:2
Séquence: II Intitulé : Rédiger le synopsis d’une nouvelle page : 125
Support : livre de
l’élève (Parcours) p : Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
125 -Rédiger le synopsis d’une nouvelle
Période : 6
Guide pédagogique p :
135
Etapes de la nouvelle
Situation stable
Evénement inattendu
Bilan Les péripéties
La solution
Situation finale
Lecture
3 A.SC F.N°:3
Séquence: III Intitulé : Identifier les caractéristiques du début d’une nouvelle page :
Support : livre de 127
l’élève (Parcours) p :
127 Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6 -Rédiger le début d’une nouvelle
Guide pédagogique p :
140
Identifier les caractéristiques du début d’une nouvelle
Objectifs:
Lis le texte attentivement et puis : cherche le sens des mots suivants : une noce, les
compliments, odeurs des jasmins, sauta lestement, les convives.
Relève le lieu de l’histoire
Le temps de l’histoire
Les personnages en présence
Complète le tableau suivant : passage à dominante descriptive, passage à dominante
narrative.
Découverte Indique le mot qui sépare les deux parties dans le texte
A partir de la structure narrative en cinq étapes déjà étudiée, dis : la première partie
correspond à …... la deuxième partie correspond à …
Relève dans la première partie : les verbes conjugués, les mots indiquant la stabilité et
le calme.
Relève dans la deuxième partie : les verbes conjugués, les mots exprimant un
mouvement..
Relève deux mots qui renvoient à l’homme cheval.
Précise la valeur narrative de ces deux mots
Relève le champ lexical des fêtes.
Répondre aux questions de la découverte
Application
Correction: Collective
Le début de la nouvelle
Deux étapes Type de texte Temps verbaux Type de verbes
dominant
La situation initiale
De début du texte Descriptif Imparfait Verbes d’état
jusqu’à leur poids
Bilan
La deuxième partie
De tout à coup Narratif Passé simple Verbes d’action
jusqu’à la fin du
texte
Langue
3 A.SC F.N°:3
Séquence: III Intitulé : Utiliser l’imparfait et le passé simple page : 130
Support : livre de
l’élève (Parcours) p : Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
130 -Rédiger le début d’une nouvelle
Période : 6
Guide pédagogique p :
143
Correction: Collective
Etape 2 :
La deuxième partie
De un soir jusqu’à la fin du texte Passé simple
Lecture
3 A.SC F.N°:3
Séquence: III Intitulé : Identifier les caractéristiques de la situation stable page : 133
Support : livre de
l’élève (Parcours) p : Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
133 -Rédiger le début d’une nouvelle
Période : 6
Guide pédagogique p :
145
Correction: Collective
La situation stable
Langue
3 A.SC F.N°:3
Séquence: III Intitulé : Décrire des personnages en utilisant une expression de
Support : livre de comparaison page : 135
l’élève (Parcours) p :
135 Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6 -Rédiger le début d’une nouvelle
Guide pédagogique p :
148
-Décrire des personnages en utilisant une expression de comparaison
Objectifs:
Lis le texte proposé puis :
Relève les noms des deux personnages :le petit s’appelle…. ;le grand s’appelle….
Découverte Utilise les expressions « plus…que », puis « moins…que » pour comparer la taille des
deux personnages
Emploie ces deux expressions dans des phrases
Admettant que les deux personnages sont âgés de 55 ans. Ils sont tous vieux. Je
compare leur âge en utilisant l’expression « aussi…que »
Correction: Collective
L’expression de la comparaison
Correction: Individuelle/Collective
I- Le portrait physique
1. Aspect général:
-l’âge (adolescent, jeune, vieux…) -la taille (costaud, trapu, haut…)
-la masse (mince, gros, ventru, obèse, corpulent…)
– l’attitude (leste, souple, gracieux, prompt…).
– l’occupation: (vétérinaire, architecte, fabricant, juge, dentiste, fermier…)
2. Le visage:
-Le visage peut être (maigre, osseux, ridé, lisse…).
Bilan -Sa forme (ovale, carré, arrondi…).
-Le teint (blanc, brun, rose, injecté de sang, bronzé, blême…).
-La physionomie (gaie, triste, froide, souriante…).
-Les cheveux (châtains, roux, ondulés, dorés, fauve, lisses, crépus, touffus…).
-Le front (étroit, large, bombé, aplati…).
-Les yeux (flamboyants, enfoncés, vifs, étincelants, cernés, tombants, larmoyants…).
-Le nez (retroussé, camus, en bec d’aigle, crochu…).
-La bouche (mince, charnue, épaisse, souriante, entrouverte…).
-Les joues (pommettes, creusées, joufflues…).
-Le menton (rond, carré, pointu…).
3. Les membres:
Les épaules (larges, étroites, carrées…).
Les mains (douces, fines, massives, musclées, ridées…).
Les jambes (musclées, grosses, arquées, élancées…).
La démarche (majestueuse, gracieuse, vive, fière, raide, boiteuse, élégante…).
II- Le portrait moral:
-Les qualités intellectuelles du personnage (instruit, cultivé, intelligent, sage, lucide, savant…).
-Les qualités morales (généreux, charitable, loyal, honnête, franc, aimable, ambitieux…).
-Les défauts intellectuels (illettré, analphabète, inculte, idiot, débile…).
-Les défauts moraux (impoli, avare, hypocrite, curieux, arrogant, odieux…).
Lecture
3 A.SC F.N°:4
Séquence: III Intitulé : Identifier les caractéristiques d’un événement inattendu page :
Support : livre de 139
l’élève (Parcours) p :
139 Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6 -Rédiger le début d’une nouvelle
Guide pédagogique p :
153
- Identifier les caractéristiques d’un événement inattendu
Objectifs:
Lis le texte proposé puis :
Cherche le sens des mots suivants : ridé, tortu, un poirier, roquet, japper
Découverte Justifie que le lieu et le moment de l’histoire sont les mêmes que dans la première
partie du texte (situation stable)
Relève les verbes conjugués et indique à quel temps ils sont conjugués
Relève le mot qui déclenche ce changement
Relève les mots qui renvoient à « chien »
Précise si l’impression qui se dégage de la description de l’homme est valorisante ou
dévalorisante
Relève des mots pour le justifier
Répondre aux questions de la découverte et je m’entraîne pp :139-
Application 140
Correction: Collective
Correction: Individuelle/Collective
Correction: Individuelle/Collective
Le crime de l’été
Lecture
3 A.SC F.N°:5
Séquence: IV Intitulé : Identifier des événements dans une nouvelle page : 148
Support : livre de
l’élève (Parcours) p : Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
148 -Rédiger le début d’une nouvelle
Période : 6 Durée : 1h
Guide pédagogique p :
162
Identifier des événements dans une nouvelle
Objectifs:
Lis le texte suivant puis :
Explique les mots suivants : Rivière,ecrin,ambitieuse
Découverte Relève dans le chapeau :l’objet perdu par Mme Loisel,la valeur de cet objet, la
propriétaire de l’objet
Relève les personnages en présence,le lieu et le temps de l’histoire
Précise l’état psychologique dans lequel était Loisel
Indique l’effet produit par les phrases courtes
Relève les événements vécus par M.Loisel lors de la recherche de la rivière
Relève les informations fournies par le dialogue
Relève les phrases qui annoncent des situations de crise
Relève la phrase qui annonce la solution
Répondre aux questions qui accompagnent le texte p : 149
Application
Correction: Collective
Correction: Collective
Une phrase énumérative est une phrase qui comporte des éléments juxtaposés
appartenant à la même classe grammaticale (verbes, sujets, etc)
L’énumération des qualifiants est fréquente dans les descriptions (lieux, objets) et
Bilan les portraits
Dans l’énumération, le dernier terme est, le plus souvent, précédé de « et »
Exemples
En classe, les élèves doivent être attentifs, calmes et travailleurs
Ali était un beau garçon jeune, doux, actif, aimable et courageux
Lecture
3 A.SC F.N°:5
Séquence: IV Intitulé : Identifier des événements dans un récit page : 153
Support : livre de
l’élève (Parcours) p : Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
153 -Rédiger le début d’une nouvelle
Période : 6 Durée : 1h
Guide pédagogique p :
167
Correction: Collective
Evénement 2
Evénement 3
Langue
3 A.SC F.N°:5
Séquence: IV Intitulé : Mettre en valeur une action en utilisant une concession page :
Support : livre de 155
l’élève (Parcours) p :
155 Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6 -Rédiger le début d’une nouvelle
Guide pédagogique p : Durée : 1h
169
Mettre en valeur une action en utilisant une concession
Objectifs:
Lis attentivement les phrases puis répond aux questions suivantes :
Relève les personnages dans chaque phrase
Découverte Relèl’action ou les actions contenue (s) dans chaque phrase
Relève l’état dans lequel se trouve chaque personnage avant d’accomplir cette
action
Découpe chaque phrase comme suit : expression de la concession,état du
personnage,action qu’il accomplit
Correction: Collective
Exemples :
Correction: Collective
Cette fable présente deux animaux déjà connus de La Fontaine. En effet, ici les loups
et les brebis décident de faire la paix. Comme promesse à cette paix, ils échangent des
louveteaux et des chiens. Mais quand les louveteaux grandissent et qu'ils deviennent
loups, la guerre reprend de plus belle
Ainsi, dans un premier temps jusqu'à la ligne onze, le lecteur est imprégné d'une
paix que l'on peut définir comme illusoire, une sorte de marché de dupe entre les
brebis et les loups. Pourquoi peut-on dire cela ? Parce que les loups « donnent » leurs
enfants aux brebis tout en sachant qu'ils sont des dangers en devenir. En revanche,
les brebis donnent leurs chiens, symbole de la protection.
Bilan C'est dans la deuxième et dernière partie du texte que le lecteur va très vite
comprendre qu'en réalité il y a des contrariétés au fait de « paraître » égaux. Car, on
comprend bien que les bergers tuent les loups qui, à son tour, tuent les brebis.
La morale de la fable
L'auteur, dans cette deuxième partie, va très facilement amener le lecteur vers une morale
tout à fait explicite, cette fois-ci :
Correction: Collective
a)Des guillemets
b) Des tirets
3 A.SC
Langue F.N°:6
Application
3 A.SC
Langue F.N°:6
3 A.SC
L’oral F.N°:7
3 A.SC
Lecture F.N°:8
3 A.SC
Langue F.N°:8
Séquence: V Intitulé : Exprimer une hypothèse sur ce que fait un personnage Page:
Support : livre de l’élève 173
(Parcours) p : 173 Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6 -Rédiger le début d’une nouvelle
Guide pédagogique p : Durée : 1h
188
Objectifs: Identifier la fin d’une nouvelle (la solution)
Lis attentivement le texte puis :
Choisis parmi les trois temps ou modes proposés celui qui est convenable dans
chaque phrase
Etablis le rapport entre ces temps/modes et les autres temps utilisés dans la phrase
Découpe chacune des trois phrases en proposition principale et proposition
Découverte subordonnée
Relève les mots (les conjonctions) qui relient les deux propositions pour les trois
phrases
Conclus que ces données ne sont pas vraies
Dégage la structure de ces phrases
Application Répondre aux questions qui accompagnent le texte
Correction: Collective
Phrases avec " si "
Si + présent de l’indicatif, verbe au présent, au futur ou à l’impératif
Si tu viens, je mange du chocolat
Si tu viens, on s’amusera
Si tu viens, téléphone-moi
Valeur : une action se réalisera dans le présent ou le futur à condition qu’une autre se
réalise.
Si + imparfait, verbe au conditionnel présent
Si j’allais à Paris, j’irais tous les jours voir un spectacle. (L’hypothèse se situe
dans le présent ou le futur, l’action envisagée a peu de chances de se réaliser)
Si j’étais d’origine chinoise, je parlerais sûrement. (L’action se situe dans le
présent mais l’action hypothétique est irréalisable)
Si+ plus-que-parfait, verbe au conditionnel passé
S’il m’avait téléphoné, je lui aurais expliqué la situation (L’hypothèse est située
Bilan dans le passé et l’action envisagée ne s’est pas réalisée)
Conjonctions
À condition que+ subjonctif (valeur générale). Exemple : Je te prêterai mon livre à
condition que tu me le rendes demain.
Pourvu que + subjonctif (condition nécessaire). Exemple : Vous pourrez voyager pourvu
que la SNCF ne fasse pas de grève.
Pour peu que + subjonctif (condition minimale). Exemple : Elle rougit pour peu qu’on
lui fasse un compliment.
À supposer que/ En attendant que + subjonctif (Hypothèse choisie par le locuteur).
Exemple : À supposer qu’il ne vienne pas, nous ajournerons la conférence.
Au cas où + conditionnel (Hypothèse qui ne dépend pas du locuteur). Exemple : Nous
resterons à l’hôtel au cas où il pleuvrait.
3 A.SC
L’oral F.N°:8
Correction: Collective
Si……
3 A.SC
L’oral 2 F.N°:8
Séquence: V Intitulé : Imaginer des actions des événements ou des réactions possibles
Support : livre de l’élève Page: 175
(Parcours) p : 175 Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6 -Rédiger le début d’une nouvelle
Guide pédagogique p : Durée : 1h
190
Objectifs: Imaginer des actions des événements ou des réactions
possibles
Consigne :
L’un de vos camarades vous propose les images suivantes à partir desquelles il vous
demande de deviner des événements, des actions ou des réactions possibles.
Découverte
Application Répondre aux questions qui accompagnent le poème
Correction: Collective
Si……
3 A.SC
L’oral 2 F.N°:8
Séquence: V Intitulé : Imaginer des actions des événements ou des réactions possibles
Support : livre de l’élève Page: 176
(Parcours) p : 176 Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
Période : 6 -Rédiger le début d’une nouvelle
Guide pédagogique p : Durée : 1h
192
Objectifs: Imaginer des actions des événements ou des réactions
possibles
Consigne :
L’un de vos camarades vous propose les images suivantes à partir desquelles il vous
demande de deviner des événements, des actions ou des réactions possibles.
Découverte
Application Présenter le sujet et les images
Observer les images ; puis expliquer la consigne
Dégager individuellement ou en binômes les circonstances de
l’histoire
Imaginer des actions, des réactions, des événements
Rappeler la construction de la phrase hypothétique
Préparer individuellement ou en binômes les interventions
Correction: Collective
3 A.SC
Lecture 2 F.N°:9
Séquence: V Intitulé : Identifier la fin d’une nouvelle (la situation finale Page: 178
Support : livre de l’élève Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
(Parcours) p : 178 Durée : 1h
Période : 6
Guide pédagogique p :
194
Objectifs: Identifier la fin d’une nouvelle (la situation finale
Lis attentivement le texte puis :
Cherche le sens des mots suivants : l’argot, tressaillir, la bride, une bagatelle.
Relève les personnages en présence, le lieu de l’histoire, le temps de l’histoire.
Dégage l’événement qui a déclenché le départ de Jose Maria.
Dégage le sentiment de Jose Maria en ce moment.
Découverte Relève le verbe qui le montre.
Précise la raison du soulagement du notaire.
Devine la raison de l’arrivée des gendarmes.
Relève les phrases qui préparent la stabilité de la situation finale.
Relève l’indicateur de temps qui annonce la situation finale.
Application Répondre aux questions qui accompagnent le texte
Correction: Collective
3 A.SC
Langue 2 F.N°:9
Exemples :
Il a mal aux dents si bien qu’il a vu son dentiste.
Bilan Le verbe « a » est conjugué à l’indicatif. (Il est certain
qu’il a vu le dentiste).
La subordonnée commence par « si bien que ».
Elle exprime la conséquence de la principale. (Il a vu le
dentiste.)
C’est bien une subordonnée de conséquence. (Appelée
aussi consécutive.)
Il a tellement mal aux dents qu’il aurait vu son dentiste.
Le verbe « aurait » est au conditionnel car il n’est pas certain
qu’il ait vu le dentiste.
La proposition subordonnée commence par « tellement… qu’
».
Elle exprime la conséquence de la principale. (Il aurait vu le
dentiste.)
C’est bien une subordonnée de conséquence. (Appelée aussi
consécutive.)
3 A.SC
L’oral F.N°:9
Correction: Collective
3 A.SC
Production F.N°:9
écrite
Séquence: V Intitulé : Produire la fin d’une nouvelle Page: 182
Support : livre de l’élève Compétence visée : Comprendre et produire une nouvelle
(Parcours) p : 182 Durée : 2h
Période : 6
Guide pédagogique p :
200
Correction: Individuelle/Collective
La chute.
La chute est préparée depuis le début du texte (dès le 1er mot parfois).
Elle donne envie de relire le texte, d'y chercher des indices qui auraient pu
nous mettre sur la voie et de rechercher une nouvelle interprétation.
Langue et
3 A.SC communication F.N°:2
Correction: Collective
1- des conjonctions de coordination simples : mais, ou, et, donc, or, ni,
car.
2- des adverbes de liaison : ainsi, aussi, alors, puis, ensuite, enfin…
3- des expressions comme à savoir, au contraire, c’est-à-dire, en
Bilan
effet, c’est pourquoi…
Langue et
3 A.SC communication F.N°:2
Objectifs:
Observe le support.
Souligne les verbes conjugués dans le support
Découverte Classe les verbes soulignés dans le tableau suivant : verbes à l’imparfait, verbes au
passé simple
Conjugue les verbes d’un extrait d’une nouvelle policière aux temps du récit
L’inspecteur (chercher) ……….le moindre indice qui pourrait
l'aider à résoudre l'enquête. Soupçonnant la femme de monsieur Broutz qui (s'appeler)
…………Clotilde, il (commencer)…………….. à lui poser des questions sur l'endroit où
elle (se trouver)…………au moment du meurtre de son mari pour
savoir si elle (avoir) …………un alibi, et si oui, lequel !
Elle (répondre) …………qu'elle (se trouver) …………….chez une amie qui (s'appeler)
………….. Jacqueline, elles (faire)………une partie de cartes toutes les
deux. Elle était arrivée vers 19 heures et était repartie aux environs de 21 heures.
Mais l'inspecteur Colombo, perplexe, lui (demander) ………si elle s'était absentée
pendant quelques minutes,
Répondre aux questions p :113
Application
Correction: Collective
Un beau matin d’été, j’allais chez mon ami Paul. Paul était âgé d’une cinquantaine
d’années, il était plutôt grand, mince, avec un visage émacié.
J’arrivai chez lui aux environs de onze heures. Tout était fermé.
Je frappai à la porte, mais personne ne répondit. Je pensai qu’il était parti faire ses
courses, donc je repassai vers 12 heures. Mais rien à faire personne ne répondait. Je vis un
voisin de Paul. Je lui demandai s’il avait vu Paul aujourd’hui, mais il me répondit que non.
Alors je me décidai à faire le tour de la maison. Soudain je vis un carreau de cassé.
Je pénétrai dans la maison lorsque je vis Paul mort dans son fauteuil. Je me précipitai
vers le téléphone pour appeler la gendarmerie.
En début d’après-midi, le médecin légiste de Pont-l’Abbé arriva sur les lieux du crime
pour examiner le cadavre.
Le commissaire Blanchart chargé de l’enquête, sortit du mur la balle à l’aide d’une
pince à épiler. Le criminel avait du rater son premier tir mais le deuxième il ne l’avait pas
loupé. Il s’agissait d’une balle de 22 long rifle.
On alla faire une descente à la rue des Oeillets. Il n’y avait personne mais on trouva 1
kg de résine de cannabis dans sa chambre sous son lit.
Soudain la personne perdit le contrôle de son véhicule et s'encastra dans un poteau
téléphonique. Heureusement il n'était pas grièvement blessé et je pus l'arrêter.
Le criminel prit 5 ans de prison ferme et une amende de 6O OOO francs pour
possession de drogue et délit de fuite.
Toutes les intrigues policières commencent par un méfait. Elles se construisent ensuite autour d’une enquête
menée par un détective, professionnel ou amateur. L’enquête est la partie la plus importante de la nouvelle
policière, car elle rassemble tous les éléments qui permettront au détective d’élucider le méfait et
d’appréhender le coupable.
Le brouillage des pistes : la manière dont le coupable a caché son crime pour éviter d’être accusé
(déguisement, faux indices, etc.)
La scène du crime : l’endroit où le méfait a été commis et les indices que le malfaiteur a laissés derrière lui.
Le cadre de l’enquête : les lieux où évoluent les personnages impliqués dans l’enquête
Les témoins : il s’agit soit de témoins du crime, soit de témoins qui permettent de vérifier les alibis d’autres
personnages
Les mobiles : les raisons pour lesquelles les suspects auraient pu commettre le méfait
Les alibis : qui se trouvait où, et pour quelle raison, au moment où le crime a été commis
Les indices : les informations qui peuvent incriminer tel ou tel suspect (des objets, des phrases qui les ont trahi,
des témoignages qui se contredisent, des preuves scientifiques, des empreintes, …)
Date/heure limite pour démasquer le coupable : pour augmenter le suspense, de nombreux auteurs
introduisent une limite de temps pour résoudre l’enquête. Au-delà de cette limite, le malfaiteur s’en tirerait
indemne ou bien commettrait un méfait encore plus grand.
Les circonstances dans lesquelles le détective affronte le malfaiteur (facultatif) : juste avant la fin de
l’histoire, alors que le détective est prêt à démasquer le coupable, ce dernier va essayer de l’empêcher de parler.
À ce moment-ci, soit le coupable est arrêté, soit il réussit à s’échapper.
> Une nouvelle, c’est une sorte de roman très court : un récit d’aventures, souvent, mais pas exclusivement.
Le rythme, le démarrage, la chute y sont essentiels.
> Ce qui spécifie la nouvelle versus le roman, c’est essentiellement sa concision. Elle fait cependant appel
aux mêmes effets stylistiques romanesques, séquences narratives et dialogues.
> Ce qui différencie la fable de la nouvelle, c’est qu’il n’y a pas de morale, pas de conclusion, pas
d’enseignements.
> À la différence du conte, la nouvelle se doit d’être précise, par une approche psychologique fine des héros,
par des descriptions courtes mais chirurgicales de l’environnement. La nouvelle peut être sentimentale,
historique, réaliste, fantastique.
> La nouvelle est donc aussi un exercice créatif pour l’écrivain amateur ou confirmé, un champ
d’expérimentation narratif et stylistique, un espace de pratique de l’ensemble des techniques de la construction
d’une histoire quel que soit son genre (fantastique, policier, science fiction…). La nouvelle permet parfois à
l’auteur d’évaluer ses idées avant d’entreprendre des constructions d’intrigues plus sophistiquées pour un
roman par exemple.
En général, le récit s’organise autour d’un seul événement (ponctuel ou léger). Les personnages sont peu
nombreux, leur psychologie n'est étudiée que dans le cadre de l’intrigue qui forme l’histoire.
Écrire une nouvelle, c’est écrire dans le champ de l’intensité. "Son effet et ses techniques sont concentrées ; et
comme le temps consacré à la lecture d'une nouvelle est bien moindre que celui nécessaire à la digestion d'un
roman, rien ne se perd de la totalité de l'effet » nous dit Baudelaire.
Guy de Maupassant est en France considéré comme le maîtres de la nouvelle. Il y traite tous les registres :
tragique, comique, biographique et symbolique ainsi que bien d’autres exercices stylistiques.
Vous pensez qu’il sera plus facile de vous lancer dans l’écriture par la nouvelle parce que c’est court. FAUX.
Dans la nouvelle, l’apparente simplicité de la trame (et de la longueur) en fait souvent le premier projet
d'écriture d’un écrivain en herbe. Avec peu de narration, peu de personnages et des dénouements rapides, le
module court est attractif pour l’amateur. Mais court ne signifie pas aisé. C'est précisément sa taille qui lui
donne ses lettres de noblesse. Des fulgurances, des retournements créent suspense et interrogations. Si vous
n’avez pas le rythme dans le sang, mieux vaut abandonner.
En revanche la nouvelle est un récit court et dynamique qui permet de mettre rapidement le point final à une
œuvre. L’écriture doit être incisive, précise. Tout mot doit être pesé.
Lorsque vous aurez achevé un recueil de plusieurs nouvelles, vous pourrez vous lancer dans un projet plus
ambitieux comme un roman. L’intérêt de la nouvelle, c’est qu’elle crée une pression dans votre travail, elle ne
vous permet pas de remettre au lendemain vos ambitions. Elle vous met devant vous-même à chaque instant.
Une bonne nouvelle peut faire une page, vous n’avez donc plus d’excuses. L’écriture régulière de nouvelles vous
permet d’acquérir rapidement l’assurance de celui qui a déjà écrit un livre.
Sachez avant de débuter ou vous voulez en venir :
- Décrire, sublimer ou fustiger un personnage ?
- Camper et explorer un décor ou une atmosphère ?
- Construire une intrigue complète, avec un mystère et sa résolution ?
- …
Tous ces points de départ sont valables lorsque vous écrivez une nouvelle mais imposent que vous construisiez
votre texte de manière adéquate.
"La nouvelle doit être une figure géométrique parfaite. Tout est dans l'ellipse, le mouvement
puis la chute. La nouvelle est comme un portrait, une esquisse et le lecteur en a une vision
fugitive."
C’en est peut être la meilleure définition car la bonne nouvelle est un texte parfaitement dégraissé qui transmet
une ambiance, une sensibilité - pas un mot n'est à ôter ! Un petit texte qui forme un monde entier.
Avant de vous lancer dans l’écriture, prenez le temps de vous interroger sur ce que vous souhaitez écrire. Vous
éviterez de commencer à écrire à partir d’une inspiration pour vous rendre compte qu’elle ne va nulle part.
>> Comment votre nouvelle commence-t-elle ?
>> Comment se termine-t-elle ?
>> Voulez-vous développer un portrait de personnage ?
>> Souhaitez-vous explorer un décor ou une atmosphère ?
>> Désirez-vous construire une intrigue complète, avec un mystère et son élucidation ?
Pour aller plus loin, interrogez-vous sur le sous-texte de votre nouvelle. Lorsque vous vous concentrez sur le
premier degré du récit, vous vous donnez les moyens d’écrire un bon texte mais lorsque vous explorez les
profondeurs du sens de votre histoire, vous vous ouvrez à la possibilité d’écrire un texte qui remuera
profondément votre lecteur.
>> Quelle est la « morale » de votre histoire ? Que voulez-vous que le lecteur en retienne ?
>> Comment passerez-vous du début au milieu ? Quel est l’événement qui vous permet de basculer de
l’exposition au développement ?
>> Comment passerez-vous du milieu à la fin ?
>> Comment justifierez-vous aux yeux de votre lecteur que le développement s’achève et que le récit est bouclé
?
>> Que se passe-t-il au milieu de votre histoire qui puisse susciter et cultiver l’intérêt de votre lecteur ?
Peu importe que vous ayez une intrigue ou que vous ne fassiez que décrire un personnage, vous devez
convaincre votre lecteur de continuer à vous lire et vous réalisez ceci en lui faisant ressentir des émotions et en
éveillant sa curiosité. Comment ferez-vous en sorte que votre lecteur se demande : « que va-t-il se passer
ensuite ? »
Lorsque vous aurez clarifié vos intentions et que vous aurez une meilleure idée de l’univers narratif de votre
texte, vous pourrez écrire votre premier jet.
Comment écrire une nouvelle
Réfléchissez à ce que vous voulez que soit l’histoire et à ce qu’il va s’y passer. Réfléchissez aux choses
dont vous voulez parler ou que vous voulez illustrer. Décidez de votre angle d’approche ou du point de
vue de l’histoire [1].
Par exemple, vous pourriez commencer avec une intrigue simple, par exemple le personnage
principal qui doit gérer une mauvaise nouvelle ou qui reçoit la visite inattendue d’un ami ou d’un
membre de sa famille.
Vous pouvez aussi essayer une intrigue plus compliquée, par exemple votre personnage principal
qui se réveille dans une dimension parallèle ou qui découvre le secret gênant de quelqu’un
d’autre.
La plupart des nouvelles vont se concentrer sur un personnage ou deux personnages au maximum.
Réfléchissez à un héros avec un désir précis, mais aussi plein de contradictions. Vous ne devez pas choisir
un personnage bon et un personnage mauvais. Donnez-lui des attributs et des sentiments intéressants
pour qu’il ait l’air plus compliqué et complet [2].
Vous pouvez aussi vous inspirer de personnes que vous connaissez pour créer votre personnage
principal. Vous pouvez aussi observer des inconnus dans des lieux publics et vous servir de leurs
traits pour créer votre personnage.
Par exemple, votre héroïne est peut-être une adolescente qui veut protéger son frère des élèves qui
le harcèlent à l’école, mais qui veut en même temps s’intégrer au reste de ses camarades. Votre
personnage principal pourrait aussi être un homme plus âgé qui se sent seul et qui développe une
relation proche avec son voisin pour apprendre que celui-ci est impliqué dans des activités
illégales.
. Toutes les bonnes nouvelles vont tourner autour d’un conflit central où le personnage principal doit
gérer un certain problème. Présentez le conflit au début de l’histoire. Rendez la vie de votre héros plus
difficile ou compliquée [3].
Par exemple, il pourrait désirer quelque chose qu’il a du mal à obtenir. Il pourrait aussi être piégé
dans une situation dangereuse et il doit trouver comment rester en vie.
Le décor est un autre élément clé de la nouvelle, c’est-à-dire l’endroit où les évènements de l’histoire se
déroulent. Vous pouvez choisir un seul décor central et ajouter des détails aux scènes dans lesquelles se
trouvent vos personnages. Trouvez un décor qui vous intéresse et que vous voulez rendre intéressant
pour le lecteur [4].
Par exemple, vous pourriez choisir un lycée dans la ville de votre enfance. Vous pourriez aussi
choisir de présenter l’histoire dans une colonie sur Mars.
Essayez de ne pas surcharger l’histoire avec de nombreux décors ou vous allez troubler vos
lecteurs. En général, il suffit d’un ou de deux décors pour une nouvelle.
5 Réfléchissez à un thème en particulier.
De nombreuses nouvelles ont un thème central et elles l’explorent depuis le point de vue du narrateur ou
du héros. Vous pourriez choisir quelque chose de vague comme l’amour, le désir ou la perte et le décrire
depuis le point de vue de votre personnage [5].
Vous pouvez aussi vous concentrer sur quelque chose de plus spécifique, par exemple l’amour
fraternel, le désir d’amitié ou la perte d’un parent.
Toutes les bonnes nouvelles présentent un moment bouleversant où le personnage principal atteint un
point culminant émotionnel. Cela se produit en général dans la dernière moitié de l’histoire ou vers la fin.
À ce moment-là, il pourrait se sentir accablé, piégé, désespéré ou même hors de contrôle [6].
Par exemple, vous pourriez choisir un point culminant où le héros, un homme âgé et seul, doit
affronter son voisin et ses activités illégales. Vous pourriez aussi choisir de montrer votre héroïne,
une adolescente, qui prend la défense de son frère contre les élèves qui le harcèlent.
Trouvez une fin qui va laisser votre lecteur surpris, choqué ou intrigué. Évitez les évènements trop
évidents, car le lecteur pourrait le deviner avant même d’en être arrivé à la fin. Donnez-lui un faux
sentiment de sécurité où il pense qu’il sait comment l’histoire va se terminer, puis redirigez son attention
sur un autre personnage ou une image qui va le mettre en état de choc [7].
Évitez les fins faciles qui utilisent des clichés ou des rebondissements déjà vus pour surprendre le
lecteur. Faites monter la tension et le suspense crescendo dans l’histoire pour choquer votre
lecteur à la fin.
Apprenez à écrire une bonne nouvelle et à attirer l’attention de vos lecteurs en vous inspirant d’écrivains
confirmés. Lisez des nouvelles dans des genres différents, de la fiction à la science-fiction en passant par
le fantastique. Observez la manière dont l’auteur se sert du personnage, des thèmes, du décor et de
l’intrigue pour créer un effet intéressant dans l’histoire. Voici quelques idées :
1. La situation initiale
2. L’élément déclencheur
Quelque chose survient d’un seul coup et provoque une rupture de la stabilité.
L’action est alors déclenchée. L’élément perturbateur peut être l’arrivée d’un
personnage, une révélation, une découverte, un événement particulier…L’histoire
est alors au passé simple.
3. Le déroulement (péripéties)
Il s’agit de toutes les actions qui ont lieu alors : la quête de la belle princesse, la
vie d’un homme ayant une cervelle en or, la vengeance d’un homme… Les
personnages tentent de trouver un nouvel équilibre. L’histoire est au passé simple
mais il peut y avoir des descriptions ou des pauses de réflexion (imparfait).
4. Le dénouement
5. La situation finale*