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DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DES FINANCES
DIRECTION GENERALE DES DOUANES
DGD/DE.400/2011
Préambule
Les missions de l’administration des douanes n’ont jamais cessé de
s’adapter à l’évolution des différents environnements tant bien au niveau
national qu’international et aux enjeux et défis auxquels fait face
l’institution douanière, d’où l’opportunité d’adapter l’organisation des
services de façon à ce qu’elle soit mise au diapason des différentes stratégies
menées jusque-là par l’administration douanière : « ... la fonction
organisation est au service de la stratégie... ».
Aussi, est-il judicieux de répertorier sous forme d’un recueil les textes
juridiques inhérents à l’organisation et au fonctionnement de
l’administration centrale de la direction générale des douanes.
1— Décret exécutif n° 08-63 du 17 safar 1429 correspondant au 24 février 2008 portant organisation
et fonctionnement de l’administration centrale de la direction générale des douanes.
1— Décret exécutif n° 08-64 du 17 safar 1429 correspondant au 24 février 2008 fixant l’organisation
et les attributions de l’inspection générale des douanes.
Le Chef du Gouvernement,
Vu la loi n° 79-07 du 21 juillet 1979, modifiée et complétée, portant code des douanes ;
Vu le décret exécutif n° 90-188 du 23 juin 1990 déterminant les structures et les organes de
l’administration centrale des ministères ;
Décrète :
Article 1er. – Le présent décret a pour objet de fixer l’organisation de l’administration centrale de la
direction générale des douanes.
Art. 2. – Sous l’autorité du ministre des Finances, la direction générale des douanes est chargée :
de la communication ;
de la coopération et des relations internationales ;
de la prévention et de la sécurité ;
de l’organisation et de la modernisation des services ;
de dossiers particuliers.
Art. 15. – L’organisation interne de l’administration centrale en bureaux de la direction générale des
douanes est fixée par arrêté conjoint du ministre chargé des finances et de l’autorité chargée de la
fonction publique.
Art. 16. – Les dispositions du décret exécutif n° 93-329 du 13 rajab 1414 correspondant au 27
décembre 1993, modifié et complété, susvisé, sont abrogées.
Art. 17. – Le présent décret sera publié au Journal officiel de la République algérienne démocratique
et populaire.
Abdelaziz BELKHADEM
Arrêtent :
Article 1er. – En application des dispositions de l’article 15 du décret exécutif n° 08-63 du 17 safar 1429
correspondant au 24 février 2008, susvisé, le présent arrêté a pour objet de fixer l’organisation de
l’administration centrale de la direction générale des douanes en bureaux.
bureau de l’accueil ;
bureau de la gestion des doléances ;
bureau des manifestations.
bureau du perfectionnement ;
bureau du recyclage.
Art. 13.- Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République algérienne démocratique et
populaire.
Le directeur (d’études ou d’une structure) représente le directeur général des douanes dans son
domaine d’activité. A ce titre, il a la responsabilité de la conception, de l’animation, de la coordination
Il a une obligation de résultat et doit, en conséquence, rendre compte au directeur général des
douanes de la bonne gestion de son secteur, de l’utilisation efficace des ressources humaines et
matérielles mises à sa disposition et de la réalisation des programmes d’actions mis à sa charge.
Il veille à la régularité des décisions et des actes de gestion pris par ses services, particulièrement
pour s’assurer que les droits légaux des usagers et des requérants sont protégés et que les voies de
recours leur sont garanties.
Il constitue le premier degré de recours pour toutes les affaires relevant de ses prérogatives et
dépassant le seuil de compétence des responsables des services extérieurs. Il veille à ce que les recours
qui dépassent sa compétence soient étudiés et adressés au directeur général des douanes, dûment
revêtus de ses avis motivés.
Le contrôle interne s’effectue par l’analyse du courrier des services extérieurs, les requêtes des
usagers et l’évaluation sur le terrain des activités des services. A ce titre, le programme d’action de
chaque responsable de structure doit prévoir des visites périodiques de travail et d’inspection des
services extérieurs.
En matière de gestion des ressources humaines, le directeur exerce un pouvoir hiérarchique sur
l’ensemble des personnels mis sous son autorité. A ce titre, il a pouvoir d’appréciation, de notation et de
proposition de sanction positive ou négative. Il partage ce pouvoir avec ses cadres dirigeants (chefs
d’études, sous-directeurs et chefs de bureau).
En matière de formation, les directeurs, les chefs d’études et les sous-directeurs ont l’obligation
de collaborer avec la structure chargée de la formation et de contribuer à l’élaboration et à la réalisation
En matière d’informatisation, les directeurs, les chefs d’études et les sous-directeurs participent à
la définition et à l’expression des besoins en matière d’applicatifs relatifs aux activités de leur secteur
ainsi que celle de même nature relevant des services extérieurs dont ils assurent la tutelle fonctionnelle.
Les chefs d’études et les sous-directeurs sont astreints à la même obligation avec les cadres et les
chefs de bureau de leurs structures.
Enfin, en matière de planification et d’évaluation des activités et des responsables de ses services,
dans le cadre de la mise en œuvre du programme d’action pluriannuel ou annuel de la direction générale
des douanes, le directeur :
Il est à rappeler que les missions des directeurs d’études sont définies en vertu de la circulaire n°
1905/DGD/SP/DE.400 du 7 décembre 2009.
d’assurer le suivi des relations avec les organisations internationales intervenant dans les
questions techniques intéressant l’administration des douanes, notamment l’Organisation
mondiale des douanes ;
d’assister aux réunions préparatoires prévues par les organisations internationales ;
d’examiner, en collaboration avec les structures centrales concernées, les projets
d’accords et de conventions élaborés sous l’égide des organisations internationales,
soumis à examen par les autres départements ministériels ;
de représenter l’administration des douanes au sein des comités et commissions mixtes
relevant des organisations internationales.
2-1- La sous-direction du tarif douanier et de l’origine des marchandises, composée de trois (3)
bureaux :
Bureau de l’analyse des statistiques de recouvrement des droits et taxes, chargé notamment :
Bureau des régimes douaniers particuliers et des titres de passage en douane, chargé notamment :
3-2- La sous-direction des régimes douaniers économiques, composée de deux (2) bureaux :
de participer à la mise à jour des textes législatifs et réglementaires relatifs aux régimes
douaniers économiques de l’activité industrielle en fonction de l’évolution de
l’environnement juridique, administratif et économique ;
Bureau du fichier technique des usines exercées et des entrepôts spéciaux, chargé notamment :
d’exploiter les informations contenues dans les bases de données informatiques aux fins
de la sélection des opérations à inscrire dans le programme des contrôles a posteriori ;
d’exploiter les informations recueillies, les alertes et les avis de fraude diffusés et les bilans
établis pour faire ressortir les opérations ou les opérateurs susceptibles d’être inscrits dans
le programme annuel des contrôles a posteriori ;
d’exploiter les rapports d’analyse des risques de fraude et des informations recueillies
auprès des auxiliaires de la douane et des tiers en vue de la sélection des opérations à
inscrire dans le programme annuel des contrôles a posteriori ;
d’établir des programmes de contrôle a posteriori ;
de collaborer avec les services du renseignement douanier afin d’améliorer l’action de
l’administration des douanes au niveau des brigades mixtes.
d’instruire, d’orienter et d’encadrer les services extérieurs déconcentrés des douanes,
notamment ceux chargés des contrôles a posteriori ;
Bureau du suivi des contrôles des régimes suspensifs et des avantages fiscaux, chargé
notamment :
de saisir les autorités et organismes étrangers aux fins d’authentification des documents
commerciaux ;
de prendre en charge les demandes d’enquête émanant des autorités douanières
étrangères dans le cadre des conventions d’assistance mutuelle ;
de transmettre les informations en matière de lutte contre la fraude aux administrations
douanières étrangères ;
d’évaluer les résultats et l’efficacité des conventions d’assistance mutuelle administrative
internationale ;
d’exploiter les renseignements contenus dans les réponses des autorités douanières
étrangères ;
de proposer toute mesure susceptible de parfaire l’assistance mutuelle.
Bureau des demandes de protection douanière et du suivi des interventions, chargé notamment :
5-3- La sous-direction de la lutte contre la contrebande et les stupéfiants, composée de deux (2)
bureaux :
d’élaborer des bases de données nationales sur les courants de la grande contrebande
(carburant, cheptel, cigarettes, produits pyrotechniques, armes…) et d’orienter l’action
des services extérieurs déconcentrés en la matière ;
d’orienter, d’encadrer et d’assister les postes de douane de surveillance ;
d’établir le fichier national des contrebandiers ;
d’étudier les requêtes portant sur des contestations relatives au contentieux douanier ;
d’étudier et d’analyser les questions se rapportant au contentieux douanier émanant des
différents services des douanes et d’en donner un avis ;
de suivre l’apurement des dossiers contentieux ;
d’assurer ou de faire assurer le contrôle préliminaire des bulletins de renseignements et
des avis sommaires et d’instruire les services extérieurs déconcentrés des douanes pour la
rectification, le cas échéant, des avis sommaires et des actes contentieux établis ;
de s’assurer du bon établissement des contentieux par rapport aux lois et règlements dont
l’application est mise à la charge de l’administration des douanes ;
de procéder au contrôle interne de l’activité contentieuse à partir de l’exploitation de la
base de données contentieuse ;
de traiter et de suivre des dossiers particuliers portant sur des contentieux majeurs.
Bureau du suivi de l’exécution forcée sur les biens et les personnes, chargé notamment :
6-3- La sous-direction des études de la jurisprudence en matière douanière, composée de deux (2)
bureaux :
Bureau des études juridiques en matière de répression des infractions, chargé notamment :
Bureau des règles et des critères relatifs à l’organisation du travail, chargé notamment :
d'élaborer les fiches d'étude et d'analyse des postes de travail existants dans
l'administration des douanes et de veiller à leur actualisation périodique ;
d'élaborer la nomenclature des métiers existants dans les services de l'administration des
douanes ;
d'élaborer les profils des carrières des fonctionnaires des douanes et des normes de leur de
gestion ;
de réaliser périodiquement des audits des ressources humaines ;
de participer à tous les travaux relatifs à l'organisation du travail dans les services des
douanes ;
d'élaborer les plans pluriannuels d'emploi, de formation initiale, de reconversion et de
mise à la retraite ;
de planifier, en collaboration avec les services de la direction de la formation, les
différentes actions de formation, de recyclage et de perfectionnement en vue de parfaire
les compétences existantes ;
d'identifier les techniques et outils permettant une gestion prévisionnelle, qualitative et
collective des ressources humaines ;
d'organiser, en collaboration avec les services de la direction des relations publiques et de
l’information, des séminaires et journées d'étude relatives à la gestion des ressources
humaines dans l'administration des douanes ;
Bureau de l’exploitation et de l’analyse des rapports d’activités des brigades, chargé notamment :
d’exploiter périodiquement les évaluations de la formation établies par les écoles des
douanes et les structures déconcentrées, en vue d’établir un rapport et de proposer des
améliorations ;
d’apporter son concours pour toutes les formations assurées par les établissements de
formation au profit des auxiliaires des douanes ;
d’étudier toutes les possibilités en vue d’adapter les programmes de formation initiale
(mise en situation et travaux pratiques) et de mettre à jour les mallettes pédagogiques ;
de préparer et d’accompagner pédagogiquement les écoles des douanes à leur passage à la
spécialisation.
d’établir une grille d’évaluation et de la faire appliquer sur le terrain en vue de mesurer
l’efficacité des actions de formation ;
d’établir, sur la base de besoins en formations formulées par les structures centrales et les
services extérieurs, des programmes de formation pluriannuels ;
de mettre en œuvre en coordination avec le centre national de formation douanière, et
dans les limites de son champ d’intervention, la politique de perfectionnement ;
de recenser, sur la base du référentiel métiers et compétences (RMC) et en collaboration
avec l’ensemble des structures, les besoins en formation par thème et par structure ;
de programmer et de suivre les formations dispensées (régions, lieux, dates, durées,
moyens pédagogiques, formateurs…) ;
d’évaluer les formations dispensées et de proposer des actions correctives, le cas échéant ;
de définir les critères d’éligibilité aux postes de formateur en douane ;
de tenir un fichier national de formateurs et de veiller à sa mise à jour ;
d'assurer la tenue des registres des engagements et des mandatements des dépenses de
fonctionnement et d'équipement ;
de suivre les paiements effectués par le comptable assignataire sur le budget de
fonctionnement et d’équipement de l’administration centrale ;
d’arrêter le compte administratif de l’ordonnateur principal et des ordonnateurs
secondaires.
10-3- La sous-direction du suivi des programmes et de la prévision budgétaire composée de deux (2)
bureaux :
Bureau du suivi de la gestion des infrastructures des services extérieurs, chargé notamment :
La mise en œuvre des dispositions de la présente circulaire nécessite une passation de consignes
entre les différents services, et ce, conformément à la réglementation en vigueur, notamment les
dispositions de la circulaire n° 1031/DGD/SP/DE.400 du 31 juillet 2007, modifiée et complétée.
Ainsi, les directions nouvellement créées doivent-elles prendre connaissance de tous les dossiers
relevant de leurs prérogatives, telles que fixées par les dispositions de la présente.
Le Chef du Gouvernement,
Vu la loi n° 79-07 du 21 juillet 1979, modifiée et complétée, portant code des douanes ;
Vu le décret exécutif n° 90-188 du 23 juin 1990 déterminant les structures et les organes de
l’administration centrale des ministères ;
Vu le décret exécutif n° 91-195 bis du 1er juin 1991, modifié et complété, portant création,
organisation et fonctionnement de l’inspection générale des services des douanes,
Décrète :
Article. 1er- Le présent décret exécutif a pour objet de fixer l’organisation et les attributions de
l’inspection générale des douanes.
Art. 2.- L’inspection générale des douanes est chargée de procéder périodiquement à des contrôles et à
l’inspection des services des douanes.
la gestion des crédits mis à la disposition des services des douanes et de la conformité des
opérations contrôlées aux prévisions et programmes arrêtés en matière de budget
d’équipement et de fonctionnement ;
Outre les missions de contrôle et d’inspection, citées ci-dessus, l’inspection générale des douanes
procède, sur instruction du directeur général des douanes, à des enquêtes inopinées.
Art. 3.- L’inspection générale des douanes est dirigée par un inspecteur général, assisté de cinq (5)
inspecteurs.
Les inspecteurs sont assistés chacun par deux (2) chargés d’inspection.
Art. 4.- L’inspecteur général des douanes est chargé d’animer et de coordonner l’activité des
inspecteurs, à ce titre, il est chargé :
Art. 5.- Il est créé auprès de l’inspection générale des douanes, quatre (4) inspections régionales des
douanes dirigées par des inspecteurs régionaux.
Les inspections régionales des douanes exercent les missions prévues à l’article 2 ci-dessus au niveau des
services déconcentrés de l’administration des douanes.
L’implantation et la compétence territoriale des inspections régionales des douanes sont fixées par
arrêté du ministre chargé des finances.
Art. 6.- Les inspecteurs régionaux sont placés sous l’autorité hiérarchique de l’inspecteur général des
douanes.
Art. 7.- Les inspecteurs régionaux des douanes sont assistés chacun de trois
(3) chefs de brigade de contrôle et de six (6) à douze (12) vérificateurs de gestion.
Art. 8.- Les fonctionnaires visés aux articles 3, 6 et 7 ci-dessus de l’inspection générale des douanes sont
habilités :
à contrôler la gestion des caisses et à vérifier les fonds, valeurs, titres, matières et marchandises
de toute nature détenues par les gestionnaires et les receveurs des douanes ;
à se faire présenter, à tout moment, tout document ou pièce justificative nécessaire à leurs
vérifications ;
à formuler toutes demandes de renseignements verbales ou écrites ;
Art. 9.- Les chargés d’inspection exercent un droit de révision sur l’ensemble des opérations effectuées
par les receveurs des douanes.
Art. 10.- Les responsables des services contrôlés assurent aux fonctionnaires de l’inspection générale des
douanes les conditions de travail nécessaires à l’accomplissement de leur mission, ils sont tenus :
de présenter aux inspecteurs et aux chargés d’inspection les fonds et valeurs qu’ils détiennent, à
Les agents responsables de services et organismes contrôlés par l’inspection générale des
douanes ne peuvent se soustraire aux obligations prévues à l’alinéa 1er du présent article en opposant
aux inspecteurs et aux chargés d’inspection le respect de la voie hiérarchique, le secret professionnel ou
encore le caractère confidentiel des documents à consulter ou les opérations à contrôler.
Art. 11.- Tout refus opposé aux demandes de présentations ou de communications formulées par les
chargés d’inspection et les vérificateurs de gestion, conformément aux articles 8, 9 et 10 ci-dessus, est
porté, sans délai à la connaissance du supérieur hiérarchique de l’agent concerné.
Après mise en demeure restée sans effet, le chargé d’inspection concerné dresse à l’encontre de
l’agent en cause, un procès-verbal de carence et saisit par simple transmission dudit procès-verbal
l’autorité investie du pouvoir disciplinaire.
Art. 12.- Lorsqu’un chargé d’inspection constate des lacunes ou des retards importants dans la
comptabilité d’un service ou organisme contrôlé, il peut ordonner aux comptables les travaux de mise à
jour ou de remise en ordre immédiat de cette comptabilité.
L’autorité ayant pouvoir hiérarchique est tenue de prendre toutes mesures dictées par la
situation ou les circonstances.
Art. 13.- En cas de constatation d’une infraction ne permettant pas le maintien en fonction du
comptable ou de l’un des agents visés à l’article 9 ci-dessus, l’autorité ayant pouvoir disciplinaire prend
immédiatement les mesures conservatoires dictées par les circonstances.
Art. 15.- Les responsables des services ou organismes contrôlés sont tenus de répondre, dans un délai
maximum d’un (1) mois, à compter de la date de notification du rapport, à toutes les constatations et
observations des inspecteurs et des chargés d’inspection, en indiquant, le cas échéant les mesures de
redressement, d’assainissement ou toutes autres décisions prises en relation directe avec les faits relevés.
Art.16. - Au terme de la procédure contradictoire prévue à l’article précédent, l’inspecteur général des
douanes établit un rapport de synthèse où il consigne ses conclusions. Ce rapport constitue avec les
documents prévus aux articles 14 et 15 ci-dessus, le rapport final de vérifications ou d’enquêtes.
Art.17.- Les chargés d’inspection assurent la préparation des interventions qui leur sont assignées, la
coordination des vérifications sur place et l’établissement des rapports.
ils exercent le pouvoir hiérarchique sur les personnels mis à leur disposition ;
ils prennent l’initiative de toutes vérifications conformes aux dispositions légales et règlements en
vigueur et entrant dans le cadre de leur mission ;
ils informent régulièrement l’inspecteur général des douanes du déroulement de leurs travaux sur
place.
Art. 18.- Les dispositions du décret exécutif ° 91-195 bis du 1er juin 1991, modifié et complété, susvisé,
sont abrogées, à l’exception de celles de son article 1er.
Art. 19.- Le présent décret sera publié au Journal officiel de la République algérienne démocratique et
populaire.
Abdelaziz BELKHADEM
Arrête :
Art. 1er .- L’annexe prévue à l’article 2 de l’arrêté du 29 chaouel 1430 correspondant au 18 octobre
2009, susvisé, est modifiée et complétée conformément au tableau annexé au présent arrêté.
Art. 2.- Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République algérienne démocratique et
populaire.
INSPECTIONS REGIONALES
Compétence territoriale
Dénomination Implantation
Circonscription territoriale des directions
CENTRE Alger régionales des douanes d’Alger-Port,