Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
INTRODUCTION GENERALE
INTRODUCTION
I.2.1. LOCALISATION
I.2.2 CLIMAT
I.2.3 VEGETATION
Luiswishi
Le Roan (R)
Le Nguba (Ng ; anciennement appelé kundelungu
inférieur, Ki)
Le kundelungu (Ku : anciennement appelé kundelungu
supérieur, ks)
a) Tectonique
b) Stratigraphie
I.3.1. LITHOSTRATIGRAPHIE
I.3.3.2. TECTONIQUE
- Les plissements ;
- Les failles.
également morcelé les flancs Nord et Sud du synclinal. Sur base du plan
géologique de surface, le gisement a été subdivisé en quatre entités
distinctes appelées : « gisement – 1 » (partie ouest), « gisement – 2 » (partie
centrale), « gisement – 3 » (partie Est) et « flanc anticlinal Est » (morceau
détaché au Sud – Est), l’ensemble s’étend sur environ 1200m de longueur et
400m de largeur.
I.3.3.3.1. MINERALISATION
a) Minerais oxydes
b) Minerais sulfurés
Chalcopyrite (CuFeS2)=53%
Bornite (Cu5FeS4) = 7%
Chalcosine (Cu2S) = 8%
c) Minerais mixtes
Hauteur de butte de 5m
Pente de liquidation de 40°(largeur banquette = 6m) pour les mises à
limite définitive en flanc Nord (roche dure dolomitique) et 32° (largeur
banquette = 8m) en Flanc Anticlinal Est.
Pente de liquidation de 40° pour les mises à limite provisoires en flanc
sud, compte tenu de la faible durée de vie de ces buttes ;
Espace minimum de travail 35m au fond ;
Dilution des minerais ≤ 10% ;
Tempérament oxydes : 2,6m3/TS ;
Tempérament global : 1,9m3/TS ;
Distances standard de transport : 2,14 Kmst pour le minerai
2,28Kmst pour le stérile.
A la foration ;
Au choix de l’explosif ;
A son rôle dans le processus d’abattage.
CONCLUSION DU CHAPITRE
L’accent été mis sur la géologie car celle – ci nous renseigne sur
les conditions naturelles du gisement sachant que celles – ci influence le
déroulement et la planification des travaux d’exploitation.
INTRODUCTION
II.1. DEFINITION
II.2. FORAGE
Le choix d’un engin de forage peut être guidé par les éléments
suivants :
roto – percutant avec respectivement les marteaux hors trou et fond trou
utilisant de l’énergie hydropneumatique, la ROCK F7 fore les trous de
diamètre 102 mm et la ROCK 460PC, ceux de diamètre 127mm.
c) Forage Rotary
Figure II.1 : Quelques types d’outils utilisés dans le forage, outils à picots, outil à lames, outil diamanté
IV
III
I II
Figure II.2. Courbe de la vitesse de pénétration en fonction de la force de poussée en forme de S [NGOY
NSENGA, 2011]
Zone I
Zone II
Zone III
zone IV
la banquette (B) ;
le diamètre du trou (d) ;
la profondeur du trou (H) ;
la maille de forage (VXE).
1) Banquette (B)
La banquette dépend :
Des objectifs technico – économiques dans le sens où elle est l’un des
facteurs de base de la consommation de l’explosif et des résultats du
tir ;
De l’explosif, car la banquette varie proportionnellement à l’énergie
spécifique de l’explosif ;
De la hauteur du front : celle – ci intervient peu lorsqu’elle est
supérieure à deux fois la banquette ; lorsqu’elle est inférieure, la
banquette peut être réduite pour obtenir un résultat de tir satisfaisant.
H = Hg + Sf (II.1)
Où
Hg : la hauteur du gradin
Sf : la surforation (surforage)
4) Maille de forage
Sm = V x E [m2] (II.2)
Avec :
Les trous de mine étant en quinconce, leur disposition doit satisfaire aux
conditions suivantes :
II.3. MINAGE
2) Cordeau détonnant
3) Détonateurs
4) Système NONEL
5) Micro – retards
1) Charge spécifique
La dureté de la roche ;
Les conditions physico – mécaniques de la roche ;
La forme et des caractéristiques de l’explosif.
2) Hauteur du bourrage
La structure de la roche ;
La longueur de la charge d’explosif ;
Le diamètre du trou de mine ;
La quantité totale d’explosif dans un trou de mine ;
La profondeur du trou de mine.
3) Mode de raccordement
4) Mode d’initiation
II.4. DETONIQUE
Par applications :
1. explosifs gazeux ;
2. explosifs liquides ;
3. explosifs solides.
- La déflagration
- La détonation
2. Explosifs secondaire
a) Dynamites :
1−𝑐𝑜𝑠𝛼𝑒
𝑇𝑀𝐵 = 100 (II.3.)
1−𝑐𝑜𝑠𝛼𝑚
4°) Le diamètre critique de détonation qui est le diamètre minimale pour que
l’onde de détonation puisse se propager et que la détonation puisse s’auto-
entretenir.
6°) il est aussi possible de prendre Qv, énergie dégagée à volume constant,
comme une des caractéristique des explosifs.
50
Remarque :
- : non mésurable
- Une énergie de choc véhiculée par une onde de choc (c'est-à-dire une
onde mécanique de contrainte) et transmise dans le milieu connexe ;
- Une énergie de gaz qui s’exprime sous la forme d’un gaz dans des
conditions de très hautes température et pression.
Lors de l’abattage des roches se fait par des travaux des tirs,
le problème des calculs techniques consiste à déterminer la ligne de
moindre résistance « Wp » au pied du gradin. Mais avant toute chose, il
convient de justifier l’inclinaison des trous de mines ( trous des mines
verticaux ou trous des mines inclinés). Il est établi que la ligne de
moindre résistance au pied du gradin en fonction du diamètre se traduit
par l’expressions empiriques suivantes :
Wpmin =Hgcotgβ+bc
Avec bc=Hg( cotgα+cotgβ)
D’où Wpmin=Hg cotα
b c
Hg
α
β
Wp min
Avec :
Kr :le coefficient de rapprochement des trous de forage qui varie entre 0,75
et 1 lors de l’abattage à l’explosif au moyen d’une seule ou deux rangées
des trous de mine verticaux amorcées par cordeaux avec détonateurs
ordinaires. On peut aller jusqu’à 1,85 et mine 2 pour l’abattage par
plusieurs rangées avec microretards
H g Sf
Lt Sin
d
b c
Hg
α
β
a
Sf
Wp V
A E A’
E V
V= E sin60°=0,866E
61
Avec
Coût
Coût total
Chargement et transport
Forage et minage
U. LANGEFORS
STIGO OLOFSSON
AECI (African explosive chimicals industries)
GIORGIO BERTA
BMEL ( Bulk Mining Explosives), société sud Africaine.
La longueur de la banquette ;
La quantité d’explosifs par mètre de trou de mine au
dessus de la charge de pied ;
d e . S
B= cm . f . VE (m) (II.11)
33
f
Pp=0,8 .E.Cm.V (kg/m) (II.12)
S
Avec :
Hg
H= 0,3B (II.17)
SinB
Qt
q= (II.18)
Vt
65
Avec :
Avec :
Avec :
a2
H=(Hg+Sf) 1 (m) (II.23)
b2
Avec :
Hf =1,3xBmax (II.30)
Avec :
Le type d’explosif ;
Le type de roche ;
La longueur de trou de mine ;
Le diamètre du trou de mine ;
La dureté de la roche ;
Des conditions physico-mécaniques de la roche ;
De la force ainsi que des caractéristiques de l’explosif.
P.Lc
q= (kg/m3) (II.35)
B.E.H
Avec :
Lc. p
suppose que B = E ; soit B = (m) (II.34)
q.H
70
La structure de la roche ;
La longueur de la charge d’explosif ;
Le diamètre de trous de mine ;
La quantité totale d’explosif dans le trou de mine ;
Le contrôle de projections des roches ;
La longueur du trou de mine
12 E'
Lb=Z Q' t (m) (II.37)
A 100
Avec :
e.dt 2
P= (kg/m) (II.38)
1,273
Avec :
( Ic Ir ) 2
a) n1=1+ (II.39)
( Ie Ir ) 2
Avec :
n1 : le facteur d’impédance
Ie : impédance de l’explosif qui est définie par Ie=𝛿e.Ve (kg/m2.s)
𝛿e : la densité de l’explosif (kg/m3), pour l’émulsion P100
𝛿e=1250kg/m3
Ve : la vitesse de détonation de l’explosif (m/s)
Ir :impédance de la roche qui est définie par Ir=𝛿r.Vp (kg/m2 .s)
𝛿r : la densité de la roche (kg/m3)
Vp :la vitesse de propagation des ondes dans la roche (kg/m3)
1
b) n2= dt
(II.40)
e de
(e 1)
n2 : le facteur de couplage ;
dt : le diamètre du trou de mine ;
de : le diamètre de la cartouche d’explosif ;
e : la base du logarithme népérien, e=2,72
n1 x n2 x n3 x ES x Qt = Vr x S x ESS (II.41)
Avec :
qt S .Ess
Q= (II.43)
Vr n1 .n2 .n3 ..Es
.e
B= de (II.44)
4q
Avec :
Lc c
CS= (kg/m3) (II.45)
B E Hg
La hauteur de bourrage
Hb=0,7B (m) (II .46)
La longueur théorique de la charge d’explosif
75
Lc=H-Hb (II.47)
Le surforage
SF=0,2B (II.48)
La distance entre deux rangées consécutives
B=25d (m), avec d : diamètre
La distance entre deux trous d’une même rangée
E=B
La densité de chargement
𝑑 2
𝛿𝑐 = 𝜋 × ( 2 ) × 𝛿𝑒 (kg/m) (II.49)
Hb
A
F
Hg
y Hg/2
Hc
B+C
Sf
Figure II.7 coupe verticale d’un bloc montrant les forces résistantes (A,B et C) à vaincre pour déloger
un bloc de roche assimilé à un parallélépipède d’arrete l,b,H=Hg
Elle est répartie sur la hauteur (Hg) du bloc et dont le point d’application
est au milieu de la hauteur. Elle est définie par :
Avec :
Avec :
Rc en t/m2
B en m
L en m
Avec :
C : résistance au glissement en t
Hg, h et l en m
f : le coefficient de frottement
𝛿: la densité de la roche ou pieds volumétrique (t/m3)
AHg
D’où Y= (II.55)
2F
78
dt
f= .Hc.P. α (t) (II.56)
2
Avec :
2F
Hc= (II.57)
.dt. p.
79
Hc
NC : (II.58)
Lce
Avec :
.dc 2
Qexpl= .Hc.e (kg) (II.59)
4
Avec :
Avec :
.d 2 . p
1° volume du trou (Vt) : Vt= (m3) (II.63)
4
.d 2 . p
V1= /H (m3) (II.64)
4
Pt = 𝛿𝑒 . 𝑉1 . 𝐻𝑐 (kg) (II.66)
𝑃
On le calcul par l’’expression suivante : 𝑉𝑚 = 𝐶𝑡 (𝑚3 )(1°) (II.67)
𝑠
5) Maille de forage
𝑑 𝜋.𝛿𝑒 .𝐻𝑐
𝑉=𝐸= √ (m) (II.69)
2 𝐶𝑠 .𝐻𝑔
81
𝑄𝑡 4.𝑄𝑡 .𝐶𝑠
𝑁=𝑄 =𝛿 2 .𝐻
(II.70)
𝑚𝑖𝑛 𝑒 .𝜋.𝑑𝑡 𝑐
Avec :
4𝑃.𝑄𝑡 .𝐶𝑠
𝑀𝑓 = 𝑝. 𝑁 = 𝛿 2 .𝐻
(m) (II.71)
𝑒 .𝜋.𝑑𝑡 𝑐
4𝑃.𝐶𝑠
En posant le facteur k = (II.72)
𝛿𝑒 .𝜋.𝑑𝑡 2 .𝐻𝑐
CONCLUSION DU CHAPITRE
INTRODUCTION
la classification de TERZAGHI ;
la classification géomécanique de l’Afrique du sud (RSR)
la classification selon la qualité de la roche (RMQ) ;
la classification de BIENIAWSKI (RMR).
étant donné que les échantillons qui ont servi à la caractérisation des
terrains ne sont pas issu d’un levé de discontinuité.
a) catégorie T2
b) Catégorie T2D
c) Catégories T3
d) Catégorie T3D
1. Terrain 2D
Diamètre : 102mm
Accessoires :
2. Terrain 3
Diamètre : 102mm
Accessoires :
3. Terrain 3D
Diamètre : 102mm
Accessoires :
Données de base
Trous verticaux
d = 102 mm = 0,102m
H = 6m, Hg = 5m
Solution
6. La longueur de bourrage
L = (20 à 30)d
= 25 x 0,102 = 2,55m
T3 : 4,87 x 5,62
Paramètres Application
T3 5x6
T3D 5x5
T3D 0,500
T3 2,81
T3D 2,69
U.LANGEFORS
AECI
GIORGIO BERTA
BME
S.OLOFSSON
III.2.2.1.Méthodes de LANGEFORS
Données de base
d = 102 mm = 0,102 m
f = 1, trous verticaux
92
Cm = C + 0,75
= 1,05 (T3)
= 0,95 (T2D)
𝛿𝑒 = 1,25 𝑘𝑔/𝑑𝑚3
E=V
Hg = 5m
Application directe
1. Banquette
𝑃 1
Pp𝑃𝑃 = 0,8 𝑃.E.Cm.V = 0,8. . 2,99.1,15.2,99 = 9,56 𝑘𝑔/𝑚(𝑇3𝐷)
0,86
Qf = 𝑃𝑓 × 𝐻𝑓
= 9,75 kg/m
=10,76kg/m
Qm = Pc x Hm
Avec : Pc = 3,82kg/m
= 3,90kg/m
= 4,30kg/m
𝐻
Hm = − 2𝑉 = 6 -2 x 2,99 = +0,02m
𝑆𝑖𝑛90°
= 6 -2 x 3,16 = - 0,32m
= 6 -2 x 3,49 = - 0,98m
= 3,90 x 0 = 0 kg (T3)
Vt = E x V x H
𝐻𝑔
Avec H=𝑆𝑖𝑛 90° − 0,3𝐵 = 5 + 0,3 x 2,99 = 5,897 m (T3D)
𝑄𝑡 37,701
𝑞= = = 0,715𝑘𝑔/𝑚3 (𝑇3𝐷)
𝑉𝑡 52,71
40,531
= = 0,682𝑘𝑔/𝑚3 (𝑇3)
59,39
49,311
= = 0,670𝑘𝑔/𝑚3 (𝑇2𝐷)
73,65
Proposition d’application
𝑓 1
𝑃𝑝 = 0,8 × 𝑆 × 𝐸 × 𝐶𝑚 × 𝑉 = 0,8 × 0,86 × 4 × 1,14 × 4 = 16,97𝑘𝑔/𝑚
𝑄𝑡 66,641
𝑞= = = 0,694 𝑘𝑔/𝑚3
𝑉𝑡 96
0,86×20
- S augmente de 20% : S = 0,86 + = 1,032
100
1×20
- f augmente de 20% : f = 1 + = 1,2
100
Application Proposition
Paramètres Terrain
directe d’application
Maille (m2) T2D
T3 VxE 4x4
T3D
Charge spécifique T2D 0,670
(kg/m3) T3 0,682 0,694
T3D 0,715
Banquette (m) T2D 3,49
T3 3,16 3
T3D 2,99
Données de base
B = E = 4m
H = 6m
𝛿𝑒 = 1,25kg/m3 = 1250kg/m3
dt = 102mm
98
Solution
𝛿 .𝑑𝑡
𝑒 1250×(0,102)2
𝑝 = 1,217 = = 10,22𝑘𝑔/𝑚
1,217
𝑝.𝐿𝑐 10,22×4,6
𝑞 = 𝐵.𝐸.𝐻 = = 0,490𝑘𝑔/𝑚3 (𝑇3𝐷)
4×4×6
10,22×4,10
= = 0,436𝑘𝑔/𝑚3 (𝑇3)
4×4×6
10,22×3,65
= = 0,389𝑘𝑔/𝑚3 (𝑇2𝐷)
4×4×6
T3D 0,490
Données de base
Solution
𝑄𝑡 𝑆.𝐸𝑠𝑠
𝑞= =𝑛
𝑉𝑟 1 .𝑛2 .𝑛3 .𝐸𝑠
3003810309.103
D’où 𝑛1 = 1 + 220764633300.103 = 1,014 (T2D)
1923743811.104
= 1 + 30663688610.104 = 1,063 (T3)
5617375086.104
= 1 + 42518089460.104 = 1,132 (T3D)
1 1
- Le facteur de couplage : 𝑛2 = 𝑑𝑡 = 2,72−1,72 = 1
𝑒 𝑑𝑒 −(𝑒−1)
100
𝜋.𝛿
2. Calcul de la banquette : 𝐵 = 𝑑𝑒√ 4.𝑞𝑒
3,14×1250
𝐵 = 0,102 × √ = 3,57𝑚 (𝑇2𝐷)
4×0,801
3,14×1250
= 0,102 × √ = 3,45𝑚 (𝑇3)
4×0,856
3,14×1250
= 0,102 × √ = 3,33𝑚 (𝑇3𝐷)
4×0,918
Remarque : les charges spécifiques sont, encore une fois de plus, excessives ;
elles représentent presque le double des charges pratiques. Cette méthode
ne peut pas non plus être appliquée.
101
Données de base
Hg = 5m, H = 6m
𝛿𝑒 =1,25kg/dm3 = 1250kg/m3
d = 102mm = 0,102m
Solution
𝐿 .𝛿
1. Calcul de la charge spécifique: 𝐶𝑠 = 𝐵.𝐸.𝐻𝑔
𝑐 𝑒
Données de base
D = 102mm
𝛿𝑒 =1,25kg/dm3
102
Se = 100%
R1 = 0,95
B=V
Solution
𝑑 0,102
𝐼= + 0,03𝐻 = + 0,03 × 6,329 = 0,189972𝑚(𝑇2𝐷)
1000 1000
Hb = B = 4,24m (T2D)
= 3,67m (T3)
= 3,29m (T3D)
= 5,005m (T3)
= 4,511 m (T3D)
𝑄𝑡
𝑞= avec Vt = B x E x H = 4,24 x 4,24 x 6,329 = 113,780m3 (T2D)
𝑉𝑡
59,201
𝑞 = 113,780 = 0,520𝑘𝑔/𝑚3 (T2D)
51,512
= = 0,621𝑘𝑔/𝑚3 (T3)
82,90
46,473
= = 0,710𝑘𝑔/𝑚3 (T3D)
65,39
Données de base
p = 6m
dt = 102mm
𝛿𝑒 = 1,25kg/dm3
E = V = 4m
Solution
𝜋.𝑑𝑡 2 .𝑝 3,14×(102)2 .6
1. Volume du trou : 𝑉𝑡 = = = 0,049𝑚3
4 4
V1 = 0,008 m3/m
D’où Pt = Pc x Hc = 40,8kg/trou
Δ = 𝑘. 𝐵
2. L’amorçage latéral
Paramètres catégorie Méthode empirique Méthode de LANGEFORS Méthode Méthode Méthode de Méthode de Simulatio Résultats
d’AECI de BME STIGO n pratiques
application Proposition GIORGIO OLOFSSON théorique
BERTA
Maille (m2) 2D 5x6 3,49 x 3,49 4x4 4,24 x 4,24 4,3 x 4,3 4x4
ou 3,5 x 3,5 ou 4 x 4 ou 4 x 4
3D 5x5 3x3 4x4 4x4 2,55 x 2,55 3,29 x 3,29 4x4 4x4
ou 3 x 3
La charge optimale sera la moyenne arithmétique de 4 charges retenues (proposition LANGEFORS, AECI, STIGO
OLOFSSON, Simulation théorique) :
109
0,389+0,520+0,400
𝑞= = 0,436𝑘𝑔/𝑚3 (T2D)
3
0,436+0,621+0,450
𝑞= = 0,502𝑘𝑔/𝑚3 (T3)
3
0,694+0,490+0,710+0,510
𝑞= = 0,601𝑘𝑔/𝑚3 (T3D)
4
CONCLUSION DU CHAPITRE
INTRODUCTION
CF = N x H x 8 (IV.1)
Avec :
a) Explosif
1) Emulsion P100 : La quantité d’émulsion par trou se calcul par la
formule :
Avec :
2) Pentolite
Npento = N
b) Accéssoires
Benchmaster : a chaque pentolite correspond un détonateur, ‘où le
nombre des détonateurs est égal au nombre des trous c'est-à-dire
NBench = N
Relais :
- Handismaster 0ms : utilisé entre 2 trous consécutifs d’une même
rangée, leur nombre est calculé par la formule : Nhand0 = N – 1
= 10 – 1
= 9pièces
NDurafuse = Nlots
Les coûts des explosifs et accessoires sont repris dans la tableau IV.3.
ci – après.
APPLICATION :
Donnés :
P=10,2kg/m
115
2° PENTOLITE BOOSTER
Donc C= 22927x10,89
C=249675 USD
3° BENCHMASTER
C=NxPrix
=22927x6,8
=155903,6
=155904 U.S.D
116
4° RELAIS
Données de base
5°) Durafuse
Ctotal = 155904+128061+26561+1395
=311921U.S.D
117
Cglobal=Cforage+Cminage+CM.O
= 3,57 U.S.D/m3
CONCLUSION DU CHAPITRE
CONCLUSION ET SUGGESTION
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES ET ARTICLES
II. COURS
III. MEMOIRES
EPIGRAPHE…………………………………………………………………………………………..I
DEDICACE…………………………………………………………………………………………..II
AVANT – PROPOS………………………………………………………………………………….III
RESUME……………………………………………………………………………………………
INTRODUCTION................................................................................................. 27
II.1. DEFINITION ................................................................................................ 27
II.2. FORAGE ..................................................................................................... 27
II.2.1. TYPES DE FORAGE .............................................................................. 28
II.2.2. METHODES DE FORAGE ..................................................................... 28
II.2.3. EQUIPEMENTS DE LA MACHINE DE FORATION ................................. 31
II.2.4. OUTILS DE FORAGE ............................................................................ 32
II.2.5. ZONE DE TRAVAIL DS OUTILS DE COUPE – NOTIONS D’USURE
ABRASIVE [NGOY NSENGA, Mécanique des roches, 2011] ............................. 32
II.2.6. PARAMETRES DE FORAGE .................................................................. 34
II.3. MINAGE...................................................................................................... 38
II.3.1. MINAGE PRIMAIRE .............................................................................. 38
II.3.2. MINAGE SECONDAIRE......................................................................... 39
II.3.3. ARTIFICES DE MINAGE ....................................................................... 39
II.3.4. PARAMETRES DE MINAGE .................................................................. 43
II.4. DETONIQUE ............................................................................................... 46
II.4.1. NOTIONS GENERALES SUR LES EXPLOSIFS ET MECANISME
D’EXPLOSION................................................................................................. 47
II.4.1.1. Substances explosives ....................................................................... 47
II.4.1.2. Classification des explosifs ................................................................ 47
II.4.1.3. caractéristiques des explosifs............................................................. 49
II.4.1.4. Mécanisme de l’explosion................................................................... 52
II.5 METHODES DE CALCUL EN FAGMENTATION ......................................... 56
II.5.1 METHODE EMPIRIQUES ...................................................................... 57
II.5.2 METHODE DE CERTAINS SPECIALISTES ............................................ 62
II.5.2.1 METHODE DE LANGEFORDS ........................................................... 63
II.5.2.2 METHODE DE STIGO OLOFSSON ...................................................... 65
II.5.2.3 METHODE D’A.E.C.I ........................................................................... 68
II.5.2.4 METHODE DE GIORGIO BERTA ....................................................... 71
II.5.2.5 METHODE DE BULK MINING EXPLOSIVES (B.M.E)........................... 74
II.5.3. METHODE ANALYTIQUE ...................................................................... 75
II.5.3.1 Calcul théorique de la charge spécifique d’explosif (q) ......................... 75
II.5.3.2 SIMULATIONS THEORIQUES ............................................................. 80
CONCLUSION DU CHAPITRE ............................................................................ 81
CHAPITRE III. ETUDE D’OPTIMISATION DE LA FRAGMENTATION
(Application au projet 1270 de la MCO de Luiswishi) ............................................ 83
125
INTRODUCTION................................................................................................. 83
III.1. CARACTERISATION DU MASSIF ROCHEUX .............................................. 83
III.2. CALCULS D’OPTIMISATION DES PARAMETRES DE FRAGMENTATION .... 86
III.2.1. METHODE EMPIRIQUE ....................................................................... 88
III.2.2. QUELQUES METHODES SPECIALES .................................................. 91
III.2.2.1.Méthodes de LANGEFORS ................................................................. 91
III.2.2.1. Méthode de AECI .............................................................................. 97
III.2.2.3. Méthode de GIORGIO BERTA ........................................................... 99
III.2.2.4 Méthode de BME ............................................................................. 101
III.2.2.5. Méthode de STIGO OLOSSON ......................................................... 101
III.2.3. SIMULATION THEORIQUE ................................................................ 105
III.3. CHOIX DES RETARDS D’INITIATION ....................................................... 106
III.4. CHOIX DU MODE D’AMORCAGE ............................................................ 107
III.5. COMPARAISON DES RESULTATS THEORIQUES ET PRATIQUES ........... 108
CONCLUSION DU CHAPITRE .......................................................................... 110
CHAPITRE IV. EVALUATION DU COUT DE FRAGMENTATION............................ 111
INTRODUCTION............................................................................................... 111
IV.1. COUT DE FORAGE .................................................................................. 111
IV.2. COUT DE MINAGE .................................................................................. 112
IV.2.1. Minage primaire ................................................................................ 112
IV.2.2 Minage secondaire .............................................................................. 117
IV.3 COUT GLOBAL DE FRAGMENTATION ...................................................... 117
CONCLUSION DU CHAPITRE ......................................................................... 117
CONCLUSION ET SUGGESTION ......................................................................... 118
BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................. 121
TABLE DES MATIERES....................................................................................... 123