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Rapport Siof Ahlam PDF Free
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Liste des figures
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Liste des tableaux
4
Sommair
Remerciement……………………………………………………………………………
…………………2
Liste des
figures………………………………………………………………………………………
…….3
Liste des
tableaux……………………………………………………………………………………
…….4
Sommaire
…………………………………………………………………………………………………
…….5-6
Introduction
générale……………………………………………………………………………………..7
1.1.
Historique……………………………………………………………………………………
……………9
1.2.
Activité…………………………………………………………………………………………
………….10
1.3.
Produits………………………………………………………………………………………
……………10
5
1.5. Fiche
signalétique…………………………………………………………………………………
….13
Chapitre 2: Processus de
Production………………………………………………………………16
2.1.
Raffinage………………………………………………………………………………………
…………17
2.1.1.
Définition…………………………………………………………………………………..17
2.2.
Conditionnement……………………………………………………………………………
…………19
2.2.1.
Définition……………………………………………………………………………………
19
2.2.3. Processus du
conditionnement…………………………………………………..22
6
Chapitre 3: Apports Personnels et
Propositions…………………………………..33
3.1.
Palettisation………………………………………………………………………………….
34
3.1.1.
Définition………………………………………………………………………..34
Conclusion et
prescriptives…………………………………………………………………40
Références
Bibliographie……………………………………………………………….....41
7
Introduction Générale
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Chapitre 1 :
PRESENTATION DE
L’ENTREPRISE ET SON
DOMAINE D’ACTIVITE
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La Société Industrielle Oléicole de Fès (SIOF) est une société anonyme à
vocation agro-alimentaire, plus précisément dans le domaine de
l’extraction, raffinage, et le conditionnement des huiles alimentaires et
conserve des olives, avec un capital qui atteint 42 000 000 DHS, dont les
actions sont réparties entre la famille LAHBABI (9 associés).
1.1. Historique
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En 1993, l’entreprise a mis en place une raffinerie d’huile brute à base
de soja.
1.2. Activités
La société SIOF raffine, conditionne et commercialise une large gamme
d’huiles et d’olives de conserve.
Pour atteindre ses objectifs en termes de production, l’entreprise s’est
installée progressivement sur trois sites:
Le premier au quartier industriel DOKARAT à Fès dont les activités
sont : le raffinage et conditionnement des huiles alimentaires.
Le deuxième au quartier industriel SIDI BRAHIM à Fès qui a intégrer
l’extraction des huiles de grignon et la conserve et conditionnement
d’olives de table.
Et le troisième à Ain TAOUJDAT, spécialisé en extraction des huiles de
grignon et qui intègre l’amont agricole.
La SIOF commercialise ses produits au Maroc à travers un grand
réseau de distribution ainsi qu’à l’international avec des partenaires de
grande envergure.
1.3. Produits
La SIOF produit une large gamme des huiles qui lui permettent de toucher
un grand nombre de consommateurs, elle est régulièrement exposée à
une forte concurrence de la part du premier sur le marché des huileries au
Maroc LESIEUR CRISTAL.
L’usine de DOKKARAT produit quatre types d’huiles alimentaires qui sont
destinées au marché local mais également à l’exportation.
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Huile d’olive MLY DRISS 1993
vierge
Huile de grignon ANDALOUSSIA 1996
d’olive
Tableau 1: Les différents produits fabriqués par la SIOF
Grignon
Soja
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Le terme désigne aussi ses graines, qui constituent l’un des
aliments naturels les plus riches en protéines, lipides, glucides,
vitamines A et B, Potassium, Calcium, Magnésium, Zinc et Fer, il contient
aussi des acides gras polyinsaturés, la lécithine qui a une action
hypocholestérolémiante, donc il possède des propriétés nutritives et
énergétiques nécessaires pour le corps humain.
Tournesol
Olive
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Le terme huile d’olive désigne exclusivement l’huile extraite du fruit de
l’olivier, à l’exclusion des huiles obtenues par solvants. La dénomination
huile vierge est réservée à l’huile obtenue par un procédé mécanique et à
des températures qui ne détériorent pas ses caractéristiques et ses
qualités organoleptiques et sa valeur nutritionnelle. La dénomination huile
raffinée correspond à l’huile dont le procédé d’obtention permet de
conserver sa structure triglycérique. Elle est aussi très riche en : •
Vitamines A, B, K et plus particulièrement en
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TEL 0535625952
FAX 0535628551
Viabilisation Réseaux d’eau potable,
d’électricité et de téléphone
Superficie totale 8298 m²
Superficie couverte du 6041 m²
locale
Horaire :
*Administration 8h à 12h / 14h30 à 18h30
06h à 14h / 14h à 19h / 19h à 06h
*Raffinerie
06h à 14h / 14h à 22h
*Conditionnement
Effectif 109 personnes :
-Usine : 79 personnes
-Administration : 30 personnes
Tableau 2 : Fiche technique de la société
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Chapitre 2 :
Processus de Production
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2.1. Raffinage
Pour une meilleure consommation, l’huile devrait passer par deux grandes
étapes qui sont le raffinage et le conditionnement.
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L’huile brute obtenue par pression mécanique et/ou extraction
par solvant contient toujours des impuretés. Celles-ci doivent
absolument être éliminées avec un raffinage parce qu’elles sont toxiques
ou nuisible à la qualité nutritionnelle, organoleptique et à la conservation
du produit. A part l’huile au sens propre sous forme de mono, di et
triglycérides, acide gras et phospholipides, une huile brute contient aussi
des substances naturelles en quantités faibles, comme les colorants, les
tocophérols, les produits d’oxydation… Mais l’huile brute peut contenir
aussi des substances contaminants, qui peuvent être toxiques, dont la
concentration va dépendre des techniques d’agriculture, des moyens
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employés pour le stockage. Seul le raffinage est capable
d’éliminer ces composés.
2.1.1. Définition
Le raffinage est une technologie relativement récente qui devient de plus
en plus importante dans l’industrie agroalimentaire. L’huile brute sera
traitée et raffinée en passant par plusieurs opérations.
C’est une opération qui consiste à nettoyer l’huile brute des mucilages
(composés Phosphoriques). Dans le but de se débarrasser de ces
mucilages, on mélange l’huile brute chauffée avec l’acide phosphorique à
l’aide d’un mélangeur à turbine. La séparation des mucilages se fera au
cours de l’opération suivante.
Neutralisation
Les acides gras libres sont les impuretés les plus représentées dans les
huiles à raffiner. L’étape de neutralisation sert à éliminer ces composés
susceptibles d’accélérer l’oxydation
de l’huile. Elle se fait à l’aide de soude caustique (Na OH) et est suivie d’un
lavage à l’eau et d’un séchage.
Lavage et séchage
Le lavage de l’huile neutralisée est réalisé à l’aide d’eau chaude (90°C)
additionnée d’acide nitrique. L’opération de séchage est nécessaire
puisqu’elle consiste à éliminer les dernières goutes d’eau restantes.
Décoloration
L’objectif de cette opération est de rendre claire la couleur de l’huile par la terre, celle-ci est
éliminée par un système de filtration. Elle sert à éliminer les pigments contenus
dans l’huile.
Filtration
Cette étape permet d’obtenir une huile limpide après élimination de la
terre décolorante.
Désodorisation
Cette dernière opération consiste à enlever les odeurs de l’huile
décolorée. A ce stade, l’huile est chauffée jusqu’à (250°C) en passant dans
une batteuse sous vide équipée d’un système d’échange de chaleur et de
projection de vapeur, l’huile désodorisée est ensuite refroidie à 36°C en
passant dans différents échangeurs de température. La désodorisation
constitue la dernière phase du raffinage et l’huile raffinée est stockée dans
des cuves sous azote avant d’être envoyée à l’atelier de conditionnement.
Fortification
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La fortification des aliments est définie comme un traitement
ayant pour but essentiel d’élever la teneur en principes nutritifs de
ces aliments au-dessus de la valeur considérée comme normale. La
fortification des aliments avec les vitamines A et E est une stratégie très
efficace pour lutter contre les troubles dus aux carences en ces deux
vitamines.
2.2. Le Conditionnement
2.2.1. Définition
Le conditionnement est un emballage primaire (1ère enveloppe ou 1er
contenant) c’est-à-dire celui qui est au contact direct avec le produit.
Moins orienté vers la protection contre d’éventuels agents extérieurs.
Cet atelier consiste à fabriquer des bouteilles PET (1/2L, 1L, 2L et 5L) à l’aide des
préformes, qui sont plus pratique, plus moderne et facile à l’utilisation. Ces préformes
sont chauffés, puis soufflés dans des moules à l’aide de l’air comprimé et contrôlés,
enfin stockés dans des silos. SIOF s’intéresse beaucoup à l’innovation de ses
emballages pour les rendre plus pratiques, plus modernes, garantit une conservation
durable et facile à utiliser.
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Les deux lignes de production sont constituées des machines
suivantes :
Le flux physique dans ces lignes de production est décrit par le schéma
synoptique suivant :
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Figure 2: Schéma synoptique de la ligne SB08/SB02
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2.2.3. Processus de Conditionnement
L’organigramme représente les différentes étapes du conditionnement
citées et le nom des machines :
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2.2.4. Description des étapes de Conditionnement
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Figure 4 : La souffleuse SIDEL
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Le soufflage bi-étirage de bouteilles est un procédé de fabrication de corps
creux, plus précisément de bouteilles. Il est particulièrement adapté au
PET.
Les préformes subissent un chauffage dans un four qui contient des
lampes à IR pour que la matière devienne moule ;
Un étirage par une tige d’élongation qui donne à la bouteille la hauteur
prévue ;
Le pré-soufflage avec une pression de 7bar, s’effectue pour préparer la
matière à subir une haute pression lors du soufflage ;
Le soufflage à une pression de 40bar.
A l’aide du dégazage, la bouteille sort du moule avec le dégagement de
l’air qui donne la forme finale à la bouteille. Une fois les bouteilles
soufflées sont obtenus ils sont acheminées par le convoyeur à air
comprimé vers la remplisseuse.
Ce procédé est composé de deux étapes :
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b)-La remplisseuse et boucheuse (CORTELLAZZI OU
SERAC) :
Figure 5 : remplisseuse/boucheuse
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bouteilles ainsi remplie et fermées sont amenées vers l’élément
de transport (le convoyeur mécanique).
Cette opération est basée sur la mesure du poids, la bouteille est mesurée
avant et après remplissage grâce à un système de balances surveillées
par le poste de Contrôle et de Commande de la machine, après cette
opération les bouteilles seront fermées dans la boucheuse. Les bouteilles
ainsi remplies et fermées sont amenées vers l’élément de transport (le
convoyeur).
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c)-L’étiqueteuse (KRONES) :
Après leurs remplissages, les bouteilles se dirigent vers la machine
KRONES pour leurs étiquetages et le codage :
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Figure 6 : Etiqueteuse
Elles sont entrainées par les étoiles d’entrée et de sortie et supportées par
des plateaux, et entrent en contact avec le rouleau collant, puis au
magasin des étiquettes pour être finalement étiquetées et datées.
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-Les magasins des étiquettes.
-Les étoiles.
d)-Dateur (S7) :
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Figure 7 : Dateur
Cette imprimante jet d’encre continu offre à la fois une grande capacité
d’intégration pour répondre à de nombreuses applications. L’imprimante à
jet d’encre crée des caractères et des images en diffusant ou en envoyant
des gouttes d’encre selon un modèle déterminé par ordinateur.
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e)- La mise en carton (SAMOVI RICART) :
Après cette étape les bouteilles sont dirigées vers une encaisseuse, où
elles seront remplies dans des cartons qui sont remis par la Formeuse qui
leur donne une forme parallélépipédique. Les cartons sont par la suite
fermés et datés puis encaissés manuellement et enfin stockés.
Figure 9 : L'encaisseuse
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A l’arrivé des bouteilles deux capteurs optiques détectent
la présence des bouteilles et donc le robot encaisseur et le
chariot fonctionnent.
Figure 10 : La fermeuse
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La machine possède un capteur qui détecte la présence du carton, la colle
chaude est alors injectée sur les deux rabats pliés, puis la machine ferme
les autres rabats, et la bonne fermeture des cartons est réalisée par de
petites roues. A la fin les cartons sont palettisés manuellement et stockés.
conditionnement :
Figure 11 : Description d'une ligne de production
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Chapitre 3 :
Apports Personnels et
Propositions
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Durant ma période de stage passée à la Société Industrielle Oléicole de
Fès, je suis parvenue à découvrir de nouvelles notions concernant
l’industrie et facilitant le développement et la continuité de chaque
société. Cependant, je suis arrivée à constater quelques défaillances
pouvant nuire à l’évolution de la SIOF.
Si pendant longtemps la priorité des entreprises était axée sur les moyens
de production, elles se concentrent actuellement beaucoup plus sur les
fonctions logistiques.
Pour atteindre cet objectif, elle doit disposer de moyens qui, bien sûr, sont
d’abord un budget et des hommes, mais aussi du matériel de
manutention, de transport, de stockage et de conditionnement. On peut
donc admettre que la logistique, c’est prévoir, posséder, gérer et
mettre à disposition des moyens pour amener un produit en un
lieu précis, dans les temps prévus, et toutes ces opérations étant
réalisées au coût optimal. Il en résulte que la logistique est la méthode
de synthèse des problèmes générés par le flux de produits.
Les coûts logistiques représentent, estime-t-on, jusqu’à 25 % de la valeur
d’un produit dans l’industrie des métaux, de la chimie, des pétroles et
jusqu’à 30 % dans le secteur agroalimentaire. Ce sont là des moyennes et
les 40 % sont souvent atteints. On comprend dès lors clairement que, le
processus productif étant rationalisé et l’appareil commercial réorganisé,
c’est sur cette fonction logistique que pourront être réalisées dorénavant
les économies les plus sensibles.
Toutes les activités de production, de stockage, de transport et de
distribution doivent donc faire appel à des moyens de manutention les
plus adaptés.
3.1. Palettisation
3.1.1. Définition
La palettisation fait partie des systèmes de manutention qui se sont le
plus développés au cours des trois dernières décennies. Elle consiste à
grouper un certain nombre de colis sur un support : la palette ; l’opération
de groupage est faite par un palettiseur.
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A la SIOF, les colis sont mis à la main sur les palettes, les postes
de palettisation sont donc manuels et étudiés de façon que les opérateurs
aient un minimum de mouvements à effectuer pour leur permettre de
bons rendements.
Il faut penser à aménager ces postes pour les rendre moins pénibles et
améliorer les conditions de travail.
Ils existent plusieurs solutions, Les industriels ont imaginé des postes
manuels perfectionnés qu’ils ont améliorés de plus en plus, et c’est alors
que sont apparus sur le marché des appareils de palettisation, d’abord
semi-automatiques, dans lesquels l’opérateur doit effectuer un travail de
rangement ou un travail de commande de mécanisme, puis Complètement
automatiques, c’est-à-dire pouvant travailler sans la présence d’un
opérateur.
Parallèlement à ce développement des appareils, les colis aussi se sont
transformés.
Alors que pour les premières expériences de palettisation les colis utilisés
n’avaient aucune spécificité, au fur et à mesure de l’évolution des
palettiseurs, les exploitants se sont mis à l’heure de la mécanique en
étudiant des colis mieux appropriés pour la palette et la palettisation.
La palettisation s’étant développée dans tous les secteurs d’activité
industrielle, la diversité des produits, les quantités produites et les façons
de les produire ont très vite entraîné une multitude de types de
palettiseurs. L’imagination des constructeurs dans ce domaine est
particulièrement florissante, et il est apparu nécessaire de faire une
classification de ces appareils et de définir leur domaine d’application pour
permettre un choix.
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Figure1
2:Palette
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Le blocage du magasin et le manque de palettes représentent 86% du
temps total d’arrêts donc il faut les traiter en priorité.
Une palette est une plateforme de stockage, de manutention et de
transport .Elle est conçue pour être manipulée par des chariots élévateurs
ou transpalettes.
Quand les produits sont finis, ils seront remplis dans des cartons puis ils
sont stockés au magasin. Quand la capacité de celui-ci est dépassée, les
cartons sont déposés au sol à la sortie du magasin, c’est le blocage
magasin.
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L’investissement dans un rayonnage dynamique permet de
résoudre le problème de manque de palette, et de blocage du
magasin en même temps. Le manque de palette est lié au blocage du
magasin, car même si on a un nombre de palette suffisant, et si le
magasin est bloqué on ne peut pas les utilise, on a proposé d’intégrer un
rayonnage dynamique qui permet d’augmenter la surface de stockage de
25 à 40% et de gagner de la place.
Les arrêts non techniques les plus fréquents sur les deux lignes, sont le blocage magasin,
le manque de palettes et le manque d’huile.
Nous suggérons ainsi des solutions bénéfiques dans ce sens :
Améliorer la gestion de la production.
Essayer de mieux organiser le local du stock des produits finis.
Augmenter le nombre des palettes.
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3.3. Amélioration des arrêts techniques
Plan d’action pour la SIDEL :
La souffleuse SBO2 joue un rôle principal dans le conditionnement des huiles. Il consiste
à former les bouteilles de 2L et 5 L, en se basant sur le soufflage des préformes de PET
après chauffage à une température d’environ 110°C dans un four à lampes infrarouges. La
SBO2 comporte 2 moules de cadence 820/h bouteilles chacun. Cette machine s’est avéré
l’une des plus critiques lors de l’étude Pareto faite précédemment. Le seul problème
remarqué avec (79.93%) c’est le nettoyage qui consiste une action préventive.
Après leurs remplissages, les bouteilles se dirigent vers la machine KRONES pour leurs
étiquetages. Elles sont entraînées par les étoiles d’entrée et de sortie pour les mettre en
contact avec le rouleau collant afin d’étaler un peu de colle sur les bouteilles, ensuite elles
passent devant le magasin des étiquettes pour être finalement étiquetée.
Pendant la durée de notre stage, nous avons remarqué que ce problème a été résolu, en
automatisant le système, en effet la machine démarre automatiquement une heure avant
l’arrivée des opérateurs.
Mauvais collage des étiquettes Avec 23.07% du temps total d’arrêt, ce problème nécessite
un intérêt particulier.
Cause :
Plusieurs facteurs peuvent en être la cause :
Déréglage magasin des étiquettes.
Température ambiante élevée.
Bouteilles débordées.
Suggestions :
Ajuster les profils du convoyeur qui transporte les bouteilles jusqu’à l’étiqueteuse.
Eviter le changement des types de colles.
Eviter le stockage des étiquettes dans un endroit humide.
Contrôler la qualité des étiquettes.
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Conclusion et prescriptives
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grande différence entre la théorie et son
application dans le monde professionnel. En
effet, les priorités ne sont pas les mêmes, il faut faire
preuve d’une grande réactivité et autonomie dans
l’entreprise et savoir tenir compte des disponibilités de
chacun.
Il convient de souligner un autre point important
qui nous permis une adaptation rapide dans un
nouveau contexte : C’est la confiance que l’on m’a
accordé à SIOF.
En effet, la confiance est selon moi un atout indéniable
dans l’intégration d’une nouvelle structure, car elle
nous a permis d’y trouver facilement ma place. Tout
au long de mon stage, on a travaillé en autonomie, ce
qui m’a fallu apprendre à gérer le temps pour
essayer devenir à bout du travail demandé.
Ce stage est donc pour moi une expérience
enrichissante car il m’a fait progresser dans de
nombreux domaines comme le domaine technique
et relationnel.
Grâce à ce stage, on a une idée beaucoup plus précise
du travail en entreprise et l’assurance que je me
dirige dans la bonne voie.
On gardera donc un très bon souvenir de ce stage
qui m’a permis de découvrir une passion pour le
travail.
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Références bibliographiques
https://fr.wikipedia.org/wiki/SIOF
45
http://www.etudier.com/dissertations/Rapports-De-Stage/217560.html
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/conclusion-rapport-de-
stage.html
http://ma.kompass.com/c/societe-industrielle-oleicole-de-fes/ma0781000/
http://dehoils.com/siof.html
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