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Nous tenons tout d’abord le bon Dieu qui nous a donné la force d’accomplir ce stage
Nos remerciements sont à l’endroit de nos chers professeurs Mr Clément SAMBOU et Mr
Wally NDIAYE qui nous ont trouve un stage en qualité technique des produits halieutiques
Nos remerciements à nos chers professeurs Mr BARRO, Mr Bouna TALLA, Mr Pape Bouba
DIOP, Mr Lamine DIOP, Madame Rayana SALL, Mr DJIBA, Maman éléne SARR et Maman
Fatou BINETOU pour son accueil chaleureux à notre arrivée à des différentes sites pour les
explications durant tout au long de notre stage.
On tenait aussi à remercier Mr Gana DIENG étudiant à l’institut universitaire de pêche et
d’aquaculture ( IUPA) en master pour sa disponibilité de nous accompagne durant les quatre
jours de notre stage pour les explications et l’orientation pour la rédaction de ce rapport.
Nous adressons à toute notre sympathie à l’ensemble des personnel des ses sites Cayar , Joal ,
Niodior et Falia pour leur disponibilité.
Introduction
Cette sortie pédagogique, d’une durée de trois (3) jours, c'est à dire du 21 au 23 mars, consiste
à la découverte du milieu. Ce rapport présente les visites effectuées, les activités menées et les
connaissances acquises durant ce séjour. Cette sortie nous a permis de se familiariser avec le
secteur de la pêche en général, la pêche et ses activités connexes, la transformation,
l'aquaculture et des acteurs qui le composent. Elle nous a permis aussi sur le terrain de voir les
différents types de mangroves qui existent au Sénégal. Ainsi, nous pouvons dire que cette
découverte nous a permis de pouvoir mettre nos connaissances théorétiques en application. En
tant que des futurs gestionnaires des écosystèmes aquatiques, faire la quasi-totalité de cette
découverte dans les îles reste le meilleur choix et elle nous a permis effectivement de se
familiariser avec les écosystèmes marins et côtiers. Une sortie si importante qu'on le mesure
pour notre expérience professionnelle. En effet, notre formation s‘inscrit précisément dans ce
secteur de la pêche, les écosystèmes aquatiques. Grace à cette sortie, nous avons eu
conscience en quoi consiste la profession d'un gestionnaire des écosystèmes aquatiques, d'un
conservation et de ce qui nous attend une fois sur le terrain.
Nous vous exposons dans ce rapport d'abord le détail de toutes les visites, les découvertes, les
essentiels personnes rencontrées et le partage de leurs expériences, enfin les connaissances
concrètes acquises.
PREMIER JOUR DU 21 MARS 2023
I. Au service départemental des pêches Maritimes de Thies (Cayar)
C’est le centre de pêche de cayar.On a rencontré l'inspecteur qui se nomme Souleymane Ballo
un ancien élève de l'IUPA qui présentait cayar comme le quatrième centre de pêche au
Senegal à cause de son recule dans les rangs car il était le deuxième.Le cayar qui regroupait
1302 pirogues avant le GEL se retrouve avec 827 pirogues après le GEL. Il possède une fosse
d'une profondeur de 3000 mètres qui permet à plusieurs espèces de s'épanouir.Mais c'est pas
seulement l'importance de la pêche à cayar,car on y trouve aussi 7 usines de transformations
des produits halieutiques et 22 stations de vente de carburant. Le cayar fait parti des zones
bénéficies de la CLPA et ses ressources halieutiques sont bien protégées. Le cayar exerce
deux techniques de pêche (artisanale et moderne).Ces activités de la pêche sont: la pêche, le
maréyage,la transformation artisanale,les quincaillerie des matériaux de pêches,les porteurs,
les aicailleuses,et les femmes transformatrices. Ensuite monsieur Bounama Diop nous résume
les difficultés de la pêche à cayar comme la rareté des poissons causés par des changements
climatiques ,des fortes pressions et des fortes demandes.On assiste à des conflits d'utilisation
des planes à cayar et l'histoire aussi de permettre le repos biologique des poulpes au niveau de
la petite côte et pas à la grande côte. Pour des solutions aux difficultés,monsieur Bouna Talla
qui est un membre du centre de surveillance nous explique que le cayar possède 3 structures
de surveillance qui sont l'AMP, le conseil local des pêches et le service départemental des
pêches. Le centre de surveillance fait des patruits en mér par la collaboration de la CLPA.Le
fait de ne pas mentionner le numéro du matriculation derrière la pirogue est une infraction
poursuivit par une amande de 50.000f. Pour aller en mér il faut avoir une permis de pêche et
pour une permis de pêche il faut d'abord être maticulé et enfin pour éviter les accidents causés
par les catastrophes naturelles ,le centre de surveillance fait des alertes météo. En quittant ce
service de pêche pour approfondir notre recherche, nous avons découvert d'autres services de
pêche comme le CHOI INTERNATIONAL qui est un service de pêche pour congeler,MEC
PROPARC (épargne-crédit-transfert d'argent) et GIE YALAY MBANEER AK FEX GUI qui
gére et organise tous les activités de pêche à cayar.On a découvert aussi des voitures qui
vendent de la glace avant d'entrer dans un quai de pêche.Monsieur Pape Babou Diop le
responsable de la quai de pêche nous explique que le quai de pêche est divisé en 2 parties : la
partie CÉPHALOPODE et la partie FRAIS.C'est à partir des 2 parties qu'on juge la qualité du
poisson.Le quai c'est pour le mareyage, c'est pour le cayar puis exporter ses ressources en
Europe.Pour travailler dans le quai de pêche il faut une carte maréyeur, faire une visite
médicale pour confirmer que tu es en bonne santé,porter les uniformes et équipements enlever
les bracelets métaux et les bagues.On interdit dans le quai de pêche de fumer, ni manger,ni
boire ni cracher. Tous les poissons agrès à l'export se trouvent dans les quai de pêches. On
voit que les murs sont carrelés pour faciliter les nettoyages et garder la fraîcheur car pour un
agrément il faut un bon emplacement et une bonne conception. On y trouve aussi un bureau
de qualiticien pour bien conserver les poissons. Dans le bureau du qualiticien on y trouve une
table numérique pour évaluer les poissons et une vitrine pour avoir des aperçus à l'extérieur
(superviser les nettoyages). La table numérique permet d'évaluer le poisson s'il est frais.Un
poisson frais doit avoir des écailles lisses sur la peau, un liquide qui s'appelle MUCUS
CUTANÉ qui le protège contre les microbes,des yeux rouges, des branchies rouges, et la chair
doit être souple et rebondit quand on le pointe le doigt.
3. FALIA
On a pu rencontrer MR LAMINE BOP : Ambassadeur climatique du projet GEFI. Il fait des
activités de sensibilisation et île accompagne les femmes pour qu’ils puissent faire
aquaculture correctement.
Par exemple, on prend des poissons femelles et mal et on le met dans des bassins et puis on
attend 45 jours pour grandir mais n’empêche que chaque 02 jours on nettoie les bassins sinon
les poissons vont mourir. On attend 06 Mois pour les récoltes soit on le fume ou séchés. Si
c’est les gros poissons on prend les farine de maïs et d’autres pour faire la nourriture. Dans ce
lieu on élève les poissons chat ( clarias) il peut respirer hors de l’eau pendant 1heur et île ne
peuvent pas respirer sans oxygène, il mange de l’aliment artificiels. «Rien ne se perd, tout se
transforme.»
4. Les bassins
Au niveau du premier basin 45m3 d’eau
Au niveau du deuxième bassin 1,50m3 d’eau
Au niveau du troisième bassins 28m3 et remplie en 25m3 en 300 individus
Au niveau du quatrième bassins 400 à 500 individus
On a aussi une machine qui filtre l’eau qui est à la fois Manuel( 5mn)où automatique Ce sont
des station Aqua phonique cegep de la caspesie et des îles du saloum. Le chiffonnage se passe
au niveau du bassin on a des canaux qui laissent les particules (10 bassins de 60 m). Il y’a
aussi une bassin de gaz d’après Madame Rayana SALL responsable de cette zone. On
transforme des crevettes, des huîtres , des cymbium , des Mirex et la transformation céréale.
Il y’a aussi une salle de stockage des produits halieutique. On a deux machine pour faire la
pagne et une machine pour les yoxos.
5. Les îles de Sangomar
Aux îles de sangomar il y’a des MANGROVES. Les différentes espèces sont : combrataceae,,
verbanaceae et rhizophora.
2. Ses objectifs
protéger les espèces et les habitats vulnérables ( biodiversité et les écosystèmes)
protège les stades biologiques fragiles ( lieu de ponte et l alevinage)
améliorer la productivité de la pêche dans la région et les retombes socio-économiques
pour les communautés locales
BIODIVERSITE :
Il y’a : les thiof , lamantins , herbier marins, les coquillages, torture marine, la
mangrove( partie nord du delta du saloum) poisson de petits pélagiques
*On a cinq (05) aires marines protégées (AMP) qui sont à Joal, Cayar, Touba couta, Saint
Louis.
4. Les activités de l’AMP (conservatoire)
Le reboisement
Récolte des coquillages par les femmes pour satisfaire leur besoin d’activité
d’aménagement
5. Activités de suivi biologique
torture ( surveillance en mer ) par exemple les nombre de torture etc
suivi des lamantins
pêche expérimental
6. Formation et communication des acteurs.
Il s’agit d’expliquer aux femmes :
comment transformer
l’activité de communication
comment conduire un bateau
Pilotage du droit
Comment communiquer avec les pêcheurs
comment réparer un moteur
l’apiculture
la sensibilisation et l’éducation environnemental
7. Mobilisation et recherche de partenariat : UCAD, Cooper maritime
(Maroc), UICN
LES DIFFICULTÉS :
L’AMP de Joal est confrontée aujourd’hui a des difficultés majeures telles que : la
surveillance de l’AMP, le balisage de l’AMP, un manque de moyen financier pour mettre en
œuvre certaines initiatives ( immersion des récifs artificiels), la communication et la
gouvernance.