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PROFESSEURE : EL GHARBAOUI B.

Cours : Analyse et Diagnostic Financiers (ADF)


Niveau : Semestre 3

INTRODUCTION GÉNÉRALE
I/. Rappel : États de synthèse de la comptabilité générale
Le plan comptable général marocain comporte cinq états de synthèse dont deux seulement sont
obligatoires :
Ø Le bilan : qui décrit la situation patrimoniale de l’entreprise à une date donnée. Il
regroupe les comptes de situation (Classes 1,2,3,4 et 5);
Ø Le compte de produits et de charges (CPC) : qui décrit les produits et les charges de
l’entreprise pendant une période donnée (l’exercice comptable), Il regroupe les comptes
de gestion (Classes 6,7 et 8);
Ø L’état des soldes de gestion (ESG) : qui présente le tableau de formation du résultat
et la capacité d’autofinancement;
Ø Le tableau de financement de l’exercice : présente une synthèse des masses du bilan,
les emplois et les ressources;
Ø L’état des informations complémentaires : qui décrit les principes et méthodes
comptables utilisés, les informations complémentaires au bilan et au CPC.

1/. Bilan comptable


Le bilan est un état de synthèse équilibré établi à la fin de chaque exercice qui synthétise la
situation patrimoniale d’une entreprise.

La notion de patrimoine désigne l’ensemble des biens (corporels et incorporels), des droits
(créances) et des obligations (dettes) qui caractérise l’entreprise à une date donnée.

Équilibre (TOTAL ACTIF = TOTAL PASSIF) : Le système comptable enregistre toutes les
transactions dans au moins deux comptes différents, et sert donc également à vérifier la
cohérence des écritures.

Il regroupe dans une premier partie appelée Actif ; les valeurs de l’ensemble des biens de
l’entreprise (tous ce que possède une entreprise) et dans une deuxième partie appelée Passif ;
l’ensemble des fonds utilisés pour financer l’actif du bilan (toutes les ressources d’une
entreprise).
En d’autres termes, il s’agit d’une photographie conforme de la situation d’une entreprise et de
son patrimoine.
Ø Les avoirs et les dettes (image financière) ou
Ø Les emplois et les ressources (image patrimoniale de l’entreprise).

La notion de RESSOURCES représente les possibilités financières dont dispose le créateur de


l’entreprise pour financer son activité.
Les ressources financières sont de deux types :
Ø Les ressources internes : ex: capitaux propres.
Ø Les ressources externes : Appelées aussi dettes. ex: Emprunts
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La notion d’EMPLOIS renvoi vers les utilisations économiques des ressources dont dispose
l’entreprise. Ils sont de deux types :
Ø Les emplois dans des biens durables : ex: Matériels, Local….
Ø Les emplois dans des biens circulants : ex: stocks, banque….

Actif du bilan :
Dans le détail, l’actif du bilan représente la destination ou l’emploi qui a été fait des ressources
dont dispose l’entreprise à la date d’élaboration du Bilan.
Il comprend l’actif immobilisé (Classe 2 en haut du bilan) et l’actif circulant hors
trésorerie (Classe 3), et la trésorerie (Classe 5, rubrique 51).
Ø Actif immobilisé : Immobilisations en NV, Immobilisations corporelles et
incorporelles, immobilisations financières, et écart de conversion actif sur éléments
immobilisés.
Ø Actif circulant : Stocks, créances…
Ø Trésorerie actif : Banque, Caisse soldes débiteurs.

La classe (2) comprend les éléments qui sont la propriété de l’entreprise et destinés à être
conservés durablement par celle-ci (durée supérieure à 12 mois).
Il est constitué par les rubriques suivantes :
ü Les immobilisation en non-valeur (rubrique 21)
ü Les immobilisation incorporelles (rubrique 22)
ü Les immobilisation corporelles (rubrique 23)
ü Les immobilisation financières (rubrique 24/25)
ü Les écarts de conversion actif (rubrique 27)

La classe (3) comprend l’ensemble des emplois résultant d’opérations faisant partie du cycle
d'exploitation (stocks, créances).
Cette classe regroupe 4 rubriques :
ü Les stocks (rubrique 31)
ü Les créances de l’actif circulant (rubrique 34)
ü Les titres et les valeurs de placement (rubrique 35)
ü Les écarts de conversion actif sur éléments circulants (rubrique 37)

La trésorerie-actif comprend les soldes bancaires débiteurs (y compris les avoirs à la trésorerie
générale ou aux chèques postaux), les chèques et valeurs à encaisser ainsi que les valeur en
numéraire disponibles.
Ø Chèques et valeurs à encaisser (511)
Ø Banques, trésorerie générale et chèques postaux débiteurs (514)
Ø Caisses (516)

Passif du bilan :
Le Passif détaille, en fonction de leur origine, les ressources dont dispose l’entreprise à la date
d’élaboration du Bilan.

On distingue entre :
Ø Les financements permanents (Classe 1) : désignent les ressources qui sont à la
disposition de l’entreprise d’une manière permanente.

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Ø Le Passif circulant hors trésorerie (Classe 4) : regroupe toutes les ressources liées à
l’exploitation quel que soit leur délai d’exigibilité et les ressources hors exploitation
exigibles à court terme.
Ø La trésorerie Passif (Classe 5, Rubrique 55) : Elle comprend l’ensemble des soldes
bancaires créditeurs remboursables dans des délais contractuellement définis à court
terme comme le crédit de trésorerie, Banque (soldes créditeurs)…

2/. Compte de produits et de charges (CPC)


Le Compte de produits et de charges est un état de synthèse présenté sous-forme de liste (page
48 du PCGM) qui permet dégager divers niveaux de résultats, qui traduisent les conséquences
des opérations d’exploitation de l’entreprise, de sa politique de financement et de ses opérations
exceptionnelles dites non courantes.
Le C.P.C constitue, en quelque sorte, le film de l’activité de l’entreprise pendant une période
donnée : l’exercice comptable.
Le CPC est le second état de synthèse prévu par le C.G.N.C .

Les produits sont toutes les opérations qui entraînent un encaissement présent ou futur, relatif
à des ventes de biens et de services acquis ou produits par l’entreprise dans le cadre de la
réalisation de son activité de l’exercice. Les comptes de produits sont en 3 types :
Ø Produits d’exploitation : ventes de marchandises; ventes de biens et services;
immobilisations produites par l’entreprise pour elle-même; subventions d’exploitation
reçues; autres produits d’exploitation…
Ø Produits financiers : produit des titres; gain de change; escomptes obtenus; intérêts
reçus; autres produits financiers …
Ø Produits non courants : produits de cession des immobilisation; autres produits non
courants…

Les charges sont toutes les opérations qui entraînent un décaissement présent ou futur, de
l’entreprise pour acquérir des biens ou services qui seront consommés dans le cadre de la
réalisation de son activité de l’exercice. Les comptes de charges sont en 3 types :
Ø Charges d’exploitation : Achats revendus de marchandises ; achats consommés de
matières et fournitures ; impôts et taxes ; charges de personnel ; autres charges
d’exploitation…
Ø Charges financières : charges d’intérêts des emprunts ; pertes de change ; autres
charges financières…
Ø Charges non courantes : VNA des immobilisations cédées; charges non courantes
diverses; autres charges non courantes.

Ainsi, le CPC est un état de synthèse qui regroupe les comptes de gestion : Les comptes de
charges (Comptes de la classe 6), Les comptes de produits (Comptes de la classe 7), Les
comptes de résultats (Comptes de la classe 8).

Ainsi le CPC fait apparaitre les résultats intermédiaires suivants :


Ø Résultat d’exploitation = Produits d’exploitation – Charges d’exploitation
Ø Résultat financier = Produits financiers – Charges financières
Ø Résultat courant = Résultat d’exploitation + Résultat financier
Ø Résultat non courant = Produits non courants – charges non courantes
Ø Résultat avant impôts = Résultat courant + résultat non courant
Ø Résultat net = Résultat avant impôt – Impôt sur les résultats

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3/. Relation entre le bilan comptable et le compte de produits et de charges


ü Le bilan et le compte de résultat traitent la même chose : l’activité de l’entreprise sur une
période donnée.
ü La relation entre ces deux états de synthèse découle du fait que le Résultat net de l’exercice
calculé par le CPC est un poste du passif du bilan ;
ü Le bilan de clôture persiste et représente le bilan d’ouverture de l’exercice suivant,
mais le CPC est réduit au résultat net et n’est pas reconduit en N+1.
-Le bilan fait apparaître le résultat de l'exercice de l'entreprise au passif mais il ne permet pas
de détailler l'ensemble des opérations qui ont contribué à sa formation. Le compte de résultat
est l'état comptable qui permet d'analyser le résultat des opérations de l'exercice écoulé.

II/. Éléments de définition


ANALYSE ET DIAGNOSTIC FINANCIER
Analyse et diagnostic : Opérations qui consistent à décomposer un ensemble en ses éléments
constituants, afin de contrôler et de détecter les dérives éventuelles par rapport aux objectifs
de l'entreprise et d'engager à temps les actions nécessaires.
Finance : C’est l’allocation optimale des ressources financières rares à des emplois multiples.

1/. L’analyse financière


L'analyse financière constitue un ensemble de concepts, de méthodes et d’instruments qui
permettent de traiter les informations comptables et d’autres informations de gestion en vue de
formuler une appréciation relative à la situation financière d’une entreprise ou d’une
organisation, aux risques présents, passés et futurs qui peuvent affecter leurs
performances.
Autrement dit, l’analyse financière représente un ensemble de techniques visant à connaitre
la santé financière de l’entreprise.
→ Une démarche qui s’appuie sur l’examen critique de l’information comptable et
financière fournie par une entreprise à destination des tiers et ayant pour but
d’apprécier le plus objectivement possible sa performance financière et
économique (rentabilité ,pertinence des choix de gestion ..),sa solvabilité (risque
potentiel pour les tiers, capacité à faire face à ses engagements..) et enfin son
patrimoine afin d’émettre un jugement sur l’avenir de l’entreprise.

2/. Le diagnostic financier


C’est l’action qui consiste à identifier un dysfonctionnement en repérant ses signes ou ses
symptômes.
Tout diagnostic comprend trois étapes :
✓ L’identification des signes de difficultés financières ;
✓ L’identification des causes de dysfonctionnements ;
✓ Le pronostic et les recommandations.

III/. Objectifs
L’analyse de l’information comptable vise à porter un diagnostic sur la santé de l’entreprise,
en vue de prendre des décisions.
Pour réaliser un tel diagnostic, l’analyste utilise quelques concepts de base qu’il est essentiel de
comprendre avant d’entamer l’analyse et le diagnostic financier d’une entreprise : la rentabilité,
le risque, la solvabilité, et la liquidité.

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1. La rentabilité
La rentabilité est généralement l’objectif principal des dirigeants et actionnaires de
l’entreprise. Elle mesure la capacité de l’entreprise à dégager des bénéfices.
La rentabilité est évaluée en comparant l’accroissement de la richesse (le résultat) aux moyens
mis en œuvre pour l’obtenir.
C’est donc le rapport d’un gain (issu du compte de résultat : résultat d’exploitation, résultat
courant, résultat net…) et d’un stock (issu du bilan : capitaux propres, ressources durables…).

2. La solvabilité
La solvabilité mesure la capacité de l’entreprise à faire face à moyen ou long terme à ses
obligations (dettes financières à long et moyen terme, fournisseurs d’investissement…).
→ Elle est atteinte à un moment donné si l’encaisse reste positive après le règlement de
toutes les dettes exigibles.

3. La liquidité
La liquidité mesure la capacité de l’entreprise à faire face à court terme à ses obligations
(salaires, charges fiscales, etc.).
Elle est évaluée en comparant l’actif à moins d’un an de l’entreprise (stocks, créances clients,
disponibilités, etc.) au passif exigible à moins d’un an (fournisseurs, salaires, dettes fiscales et
sociales, concours bancaires).
→ Plus l’actif disponible est supérieur au passif exigible, plus le degré de liquidité de
l’entreprise est élevé.

4. Le risque
Le risque non financier peut altérer la santé financière d’une bonne entreprise, cela du fait des
risques non maitrisés par les dirigeants (entreprise mono cliente ou mono fournisseur, âge du
dirigeant principal et transmission à des héritiers non résolue, méthode de management, climat
social, risques naturels…).
Il s’agit une variable des décisions des investisseurs et des dirigeants. Les partenaires financiers
ou les futurs actionnaires réalisent un arbitrage rentabilité/risque.
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→ L’analyse financière a donc pour objectif, après avoir mesuré la rentabilité de


l’entreprise, d’évaluer le degré de risque auquel les ressources prêtées ou investies sont
soumises. Le risque peut notamment se mesurer en comparant les ressources propres de
l’entreprise et ses dettes financières. Une entreprise plus endettée est synonyme de
risque supérieur.

IV/. Intérêts de l’analyse et du diagnostic financier


L'importance de l'entreprise dans les économies contemporaines explique l’intérêt que portent
à sa «santé» financière ses divers partenaires (prêteurs, actionnaires-investisseurs, salariés,
clients, fournisseurs, Etat...).
L’Analyse Financière d’une entreprise présente des Intérêts différents selon les acteurs et
partenaires de l’entreprise.

ACTEURS CONCERNÉS PRINCIPAUX CHAMPS D’APPLICATION

-Contrôle et suivi des opérations engagées antérieurement.


-Préparation des décisions de gestion (investissement, financement,
exploitation).
Dirigeants et gestionnaires de -Prévention des difficultés.
l’entreprise -Mesurer la performance de sa propre gestion et de mettre en œuvre des
actions correctives.
-Juger de l’opportunité ou de la nécessité d’apporter des fonds dans une
entreprise.
-Juger les différentes politiques de l’entreprise
-Orienter les décisions de gestion
-Assurer la rentabilité de l’entreprise
Les actionnaires sont intéressés par la rentabilité immédiate (dividende)
mais également par la perspective de gains futurs (bénéfice par action, plus-
value en capital).
Associés / Actionnaires / -Contrôle des dirigeants.
Investisseurs -Profit et création de valeur.
-Sécurité des fonds avancés.
-Accroître la rentabilité des capitaux et la valeur de l’entreprise
-Réduire le risque
Salariés (par le canal de la -Jugement sur l’évolution et la pérennité de l’entreprise.
communication interne, du -Comparaison de la politique financière de l’entreprise (parmi les richesses
comité d’entreprise et des crées par l’entreprise, quelle est la part reversée au personnel (répartition de
représentations syndicales). la valeur ajoutée))
-Partage de la VA et le maintien de l’emploi.
-Assurer la croissance de l’entreprise
-Apprécier le partage de la richesse créée par l’entreprise et l’évolution des
charges de personnel.
Auditeurs dans le cadre d’une -Information et protection des bailleurs de fonds et des créanciers.
mission d’audit légale
(commissaires aux comptes,)
-Décision d’octroi d’un emprunt à CT ou à LT, en s’assurant de la capacité
de remboursement des clients et de la structure financière qui traduit le degré
de risque de l’entreprise.
Si CT, les prêteurs sont spécialement intéressés par la liquidité de
l’entreprise, c’est-à-dire sa capacité à faire face aux échéances court-terme.
Institutions financières / Si LT, au contraire, les prêteurs doivent alors s’assurer de la solvabilité et
Prêteurs de la rentabilité de l’entreprise. Le paiement des intérêts et le
remboursement du principal en dépendent.
-Capacité de l’entreprise à faire face aux échéances à court, moyen et long-
terme.
-Réduire le risque et apprécier la solvabilité de l’entreprise

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Investisseurs potentiels -Opportunité de réaliser un investissement financier.


(gestionnaires de portefeuilles, -Opportunité de réaliser un investissement industriel.
partenaires externes,
concurrents)
Organismes spécialisés (Presse -Information du public.
financière, AMMC…)
Fournisseurs, clients -Décision de signature d’un contrat important.
-Définition des conditions de paiement.
Pouvoir judiciaire -Régularité, conformité aux règles et notoriété.

Pouvoir public / Etat -Décision d’octroi d’une aide ou d’une subvention.


-Régularité, conformité aux règles et notoriété.
Concurrents -Connaître les points forts et les points faibles de l’entreprise.
-Apprécier la compétitivité.

V/. Outils de l’analyse financière


L’étude financière s’appuie sur des informations financières récentes qui se trouvent dans la
comptabilité de l’entreprise.
Il s’agit de « faire parler» les chiffres et de comprendre la réalité qui se cache à travers ceux-ci.
Ces derniers ne sont que le reflet de la situation de l’entreprise.
Après avoir mené une analyse rigoureuse des documents comptables et des informations
complémentaires obtenues auprès de différentes sources (entreprise, organisations
professionnelles, publications spécialisés, etc...), il est possible de porter un jugement
d’ensemble sur une société.
Rappelons que les documents comptables fournissent une base analytique efficace et rigoureuse
mais, ils ne permettent pas d’étudier toutes les forces et faiblesses de l'entreprise.
Cependant, en quoi consiste l‘Analyse Financière d'une entreprise ? Quels sont les éléments et
les outils nécessaires à cette analyse ?

Vue d’ensemble des outils de l’analyse financière :

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VI/. Démarche l’analyse financière


En tenant compte des intérêts divergents de tous les utilisateurs de l'analyse financière, cette
dernière demeure fondamentalement «un outil et une méthode permettant de définir
l'entreprise à partir de quelques points clés».

Pour être en mesure de porter un jugement sur la situation d'une entreprise, l'analyse doit tenir
compte d’informations comptables et extra comptables disponibles et à les retraiter de façon à
donner une image plus fidèle de la situation financière de l’entreprise et de son activité.
Les documents de base de l’analyse financière sont les états de synthèse comptable qui sont :
le bilan ,le tableau de compte de résultats ,l’état des soldes de gestion, le tableau de
financements et les annexes.

Le bilan comptable et le compte de résultats doivent subir des retraitements pour servir à
l’analyse financière à savoir, de façon à présenter une situation plus correcte de l’entreprise et
de son activité.
Ce qui permet d’adapter les documents comptables aux objectifs de l’analyste et à ses
orientations.
Généralement plusieurs étapes doivent être suivies à savoir:

Le diagnostic est conclu par un ensemble d’enseignements, de points forts et de points faibles
se traduisant par une opinion synthétique et globale de l’analyse.

Il est conclu aussi par des recommandations et le plus souvent par un plan d’action.

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