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Chiffre d’affaires
Ventes de marchandises
Ventes de produits finis
Ventes de travaux
Prestations de services
Autres ventes
Variation stocks produits finis et en cours
Production immobilisée
Subventions d’exploitation
I – Production de l’exercice
Achats consommés
Services extérieurs et autres consommations
II – Consommation de l’exercice
III VALEUR AJOUTEE D’EXPLOITATION (I - II)
Charges de personnel
Impôts, taxes et versements assimilés
IV EXCEDENT BRUT D’EXPLOITATION
COMPTE PAR NATURE No N-1 N
Autres produits opérationnels
Autres charges opérationnelles
Dotations aux amortissements
Dotations aux provisions et pertes de valeur
Reprise sur pertes de valeur et provisions
V. RESULTAT OPERATIONNEL
Produits financiers
Charges financières
VI. RESULTAT FINANCIER
VII. RESULTAT AVANT IMPOTS (V + VI)
Impôts exigibles
Impôts différés
VIII. RESULTAT NET DE L’EXERCICE
LE COMPTE DE RESULTAT PAR DESTINATION
Les charges ne sont classées par nature, mais selon
les grandes fonctions de l’entreprise où elles ont été
consommées : production, commercialisation,
recherche et administration.
L’exemple
Ventes de compte par destination. Montant
- Coût des produits vendus
- Frais de commercialisation
- Frais de recherche
- Frais de l’administration générale
+ Autres produits
- Résultat financier
- Impôts sur les bénéfices
Résultat Net de l’exercice
3. Le Tableau de Flux de Trésorerie
1. Définition :
L’état des flux de trésorerie est un tableau
analytique de financement qui quantifie les
mouvements de trésorerie pendant une période
déterminée, appelé exercice financier.
Il se partage en trois parties principales : les flux
de trésorerie liés à l’exploitation, les flux de
trésorerie liés à l’investissement et les flux de
trésorerie liés au financement.
L’état de flux de trésorerie est un document
comptable obligatoire faisant partie de
l’ensemble des états financiers exigés par
l’entreprise. Il permet d’élaborer une
comparaison dans l’espace (entre les entités) et
dans le temps (inclut les informations relatives à
l’exercice comptable en cours et celui de l’année
précédente).
Il reflète l’impact des décisions prises en matière
d’investissement et de financement, sur la
trésorerie d’exploitation, et apporte une idée sur
la solvabilité de l’organisme.
2. Les objectifs du tableau de flux de trésorerie
L’exploitation du tableau de flux de trésorerie permet :
d’expliquer pourquoi la trésorerie à augmenter ou
diminuer durant l’exercice ;
d’analyser les changements de l’actif net d’une
entreprise , sa structure financière ;
d’évaluer sa capacité à modifier les montants et
l’échéancier les flux pout s’adapter aux changements
de circonstances et des opportunités.
Le lecteur perçoit plus facilement la capacité d’une
entreprise à générer de la trésorerie et ses besoins de
trésorerie pour l’exploitation pour l’exploitation,
l’activité financière et l’activité d’investissement.
3. Présentation du tableau de flux de trésorerie.
les flux de trésorerie et des équivalents de
trésorerie sont en :
1. Flux de trésorerie liés aux activités
opérationnelles ;
2. Flux de trésorerie liés aux activités aux
investissements
3. Flux de trésorerie liés aux activités de
financement.
= Variation (augmentation ou diminution) de la
trésorerie (1+2+3).
4. Définitions
a. Les activités opérationnelles : représentent les
principales activités génératrices de produits de
l’entreprise de toutes les autres activités qui ne sont pas
des activités d’investissement ou de financement.
b. Les activités d’investissement sont les acquisitions et les
sorties d’actifs à long terme et les autres placements et
qui ne sont pas inclus dans les équivalents de trésorerie.
c. Les activités de financement sont les activités
qui résultent des changements dans l’importance
et la composition des capitaux propres et des
emprunts.
4. Flux provenant des activités opérationnelles
l’utilisation de la trésorerie par les activités
opérationnelles les flux de trésorerie
opérationnelles proviennent des activités principales
de l’entreprise. Ils permettront de :
rembourser des emprunts ;
maintenir la capacité opérationnelle de
l’entreprise ;
verser des dividendes ou de faire de nouveaux
investissement sans recourir à des sources
externes de financement.
5. Définition des activités opérationnelles.
Les flux de trésorerie opérationnelles
représentent la différence entre les produits et
les charges liés aux activités opérationnelles
encaissés ou décaissés durant l’exercice
concerné quelle que soit la date de leur
engagement.
Les opérations concernées correspondent :
à tous les produits du compte de résultat
(excepté les cessions d’immobilisations qui
donnent lieu à des encaissement).
à toutes les charges du compte de résultat
qui donnent lieu à des décaissements .
Il convient de noter que les dotations aux
amortissements et aux provisions ne jamais
lieu à des décaissements.
5. les méthodes utilisées pour établir le TFT
Le flux de trésorerie lié aux activité
opérationnelle est déterminé par la méthode
directe ou par la méthode indirecte.
a. Méthode directe : le tableau est élaboré à
partir de la comptabilisation des transactions, on
détermine ainsi les encaissements et
décaissements, en respectant le classements des
opérations dans les tableaux correspondants.
b. Méthode indirecte : on démarre du bénéfice
que l’on ajuste en éliminant les charges et les
produits (c’est-à-dire les dotations et les reprises
aux amortissements et des provisions, etc…) et
des variations de certains poste du besoin de
fonds de roulement (stock, clients et
fournisseurs).
6. Les flux provenant des activités d’investissement
Ces flux représentent les acquisitions et les sorties
d’actif à long terme.
Les placements court terme figurant dans les
équivalents de trésorerie ne font partie des flux
d’investissement.
Les flux d’activité d’investissement comprennent :