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Chapitre 4 Analyse des états financiers

I Les soldes intermédiaires de gestion et la capacité d’autofinancement

1.1 Les SIG

Le compte de résultat présenté précédemment fournit de nombreuses informations concernant


l’activité de l’entreprise :
- est-elle bénéficiaire ou déficitaire ?
- le bénéfice est-il lié à l’activité habituelle ou à un élément exceptionnel ?
- etc …

Toutefois, cette approche est insuffisante et doit être complétée par une analyse plus poussée
de la formation du résultat, en décomposant celui-ci en soldes intermédiaires de gestion
(SIG).

Ceux-ci sont au nombre de huit et s’imbriquent les uns dans les autres.

1. La marge commerciale

La marge commerciale est égale à la différence entre les ventes et les consommations de
marchandises (consommations = achats de l’exercice + variations de stock de marchandises).
Elle reflète l’activité de négoce de l’entreprise.

2. La production

La production est égale au montant des biens et services vendus, stockés, ou conservés pour
l’utilisation de l’entreprise.
Elle reflète l’activité industrielle ou de service de l’entreprise.

Ce solde sera également utilisé pour mesurer la productivité de l’entreprise grâce à des ratios
de type « production / actif immobilisé » ou « production / effectifs ».

3. La valeur ajoutée

La valeur ajoutée indique le volume de richesse nette créé par l’entreprise.


Elle se calcule par différence entre ce que l’entreprise a produit (marge commerciale +
production) et ce qu’elle a consommé en provenance de l’extérieur pour réaliser cette
production (achats de biens et services…).
Au niveau macro-économique (comptabilité nationale) la somme des valeurs ajoutées des
entreprises basées en France donne le fameux PIB (produit intérieur brut).

4. L’excédent brut d’exploitation (EBE)

L’excédent brut d’exploitation s’obtient en ajoutant les subventions d’exploitation et en


retranchant de la valeur ajoutée le montant des charges de personnel et des impôts et taxes.

On considère que l’EBE est une bonne mesure de la performance économique de l’entreprise
car il n’est pas « pollué » par des décisions de nature fiscale (rythme d’amortissement des
immobilisations) ou de financement.

5. Le résultat d’exploitation

Le résultat d’exploitation s’obtient en retranchant de l’EBE le montant des dotations aux


amortissements et provisions (DAP) et autres achats et en rajoutant les reprises sur
amortissements et provisions (RAP) et autres produits.

Ce solde est également disponible en lecture directe sur le compte de résultat.

6. Le résultat courant avant impôt

Le résultat courant avant impôt est égal à l’addition du résultat d’exploitation et du résultat
financier. Il reflète l’activité récurrente (non exceptionnelle de l’entreprise).

Ce solde est également disponible en lecture directe sur le compte de résultat.

7. Le résultat exceptionnel

Le résultat exceptionnel est relatif aux opérations inhabituelles effectuées par l’entreprise dont
la réalisation n’est pas directement liée à son exploitation normale.

8. Le résultat net

Le résultat net est égal à la somme du résultat courant avant impôts et du résultat
exceptionnel, diminué de l’impôt sur les sociétés.

C’est le résultat de l’exercice que l’on retrouve en dernière ligne du compte de résultat ainsi
qu’au bilan.

NB : les soldes obtenus n’ont que peu de signification en valeur absolue. En revanche, ils sont
très intéressants pour analyser l’évolution d’une entreprise ou pour comparer plusieurs
entreprises appartenant à un même secteur d’activité.

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Tableau des soldes intermédiaires de gestion (SIG)

Ventes de marchandises
- coût d'achat des marchandises vendues (achats de marchandises + variations de stock de
marchandises)
= MARGE COMMERCIALE (1)
+ Production vendue
+ Production stockée
+ Production immobilisée
= PRODUCTION DE L’EXERCICE (2)
Marge commerciale
+ Production de l’exercice
- consommations en provenance des tiers (achats de MP et autres approv.+variations de stock MP et
autres approv.+autres achats et charges externes)
= VALEUR AJOUTEE (3)
Valeur ajoutée
+ subvention d'exploitation
- impôts, taxes et versements assimilés
- charges de personnel
= EBE (4)
EBE
+ reprises et transferts de charges de l’exploitation
+ autres produits
- DAP d’exploitation
- autres charges
= RESULTAT D EXPLOITATION (5)
Résultat d’Exploitation
+/- Quote-part de résultat sur opération faites en commun
+ produits financiers
- charges financières
= RESULTAT COURANT AVANT IMPÔT (6)
+ produits exceptionnels
- charges exceptionnelles
= RESULTAT EXCEPTIONNEL (7)
Résultat courant avant impôt
+ Résultat exceptionnel
- impôt sur les bénéfices
- participation des salariés
= RESULTAT NET COMPTABLE (8)

1.2 La Capacité d’Autofinancement (CAF)

LA CAF représente la ressource, dégagée au cours de l’exercice, par l’ensemble des opérations
de gestion.

CAF = PRODUITS ENCAISSABLES – CHARGES DECAISSABLES

Résultat net de l’exercice


+ Dotations aux amortissements et provisions
- Reprises sur amortissements et provisions
+ Valeur comptable des éléments d’actif cédés
- Produits des cessions d’éléments d’actif cédés
- Quote-part des subventions d’investissement virées au résultat

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= CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT

II Le bilan fonctionnel

2.1 Introduction

De la même façon que pour le compte de résultat, les analystes financiers procèdent à des
regroupements et à des sous totaux pour analyser le bilan d’une entreprise. Ainsi, le bilan
fonctionnel permet d’étudier l’utilisation qui est faite par l’entreprise des ses ressources.

Pour le construire, on distingue trois sous-ensembles dans l’actif et dans le passif :

􀃎 Les éléments stables et durables :


- à l’actif : les immobilisations brutes.
- au passif : les capitaux propres augmentés des amortissements et provisions, et les dettes
à long-terme (> 1an).

􀃎 Les éléments « circulants », c’est-à-dire non stables :


- à l’actif : les stocks et les créances.
- au passif : les dettes à court-terme (< 1 an).

􀃎 La trésorerie :
- à l’actif : les sommes disponibles en banque ou en caisse, les placements de trésorerie.
- au passif : les découverts bancaires.

De façon simplifiée, on considère que les emplois stables (les investissements) doivent
être couverts par des ressources stables.

2.2 La construction du bilan fonctionnel

Le bilan fonctionnel sépare les postes dits stables ou durables des postes à court terme, à
l’actif comme au passif.

Il permet d'évaluer les différentes masses et de présenter les besoins de financement et les
ressources qui leur correspondent.

Dans le passif et l'actif circulant, il sera nécessaire de distinguer les éléments, liés à
l'exploitation, ceux hors exploitation et ceux liés à la trésorerie.

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Le bilan fonctionnel aura la structure suivante avec 4 grandes masses :

Bilan fonctionnel
Actif Passif
***Emplois stables*** ***Ressources durables***
 Actif immobilisé brut  Capitaux propres
Immo. incorporelles  Provisions pour risques et charges
Immo. Corporelles  Amortissements et provisions de l’actif
Immo. Financières  Dettes financières (hors CBC, soldes créditeurs de
banque et intérêts courus sur emprunts)

***Actif circulant d'exploitation brut*** ***Dettes d'exploitation***


 Stocks  Avances et acomptes reçus
 Créances clients …  Dettes fournisseurs…
 EENE  Dettes fiscales (sauf IS) et sociales
 Charges constatées d’avance  Produits constatés d’avance

***Actif circulant hors exploitation ***Dettes hors exploitation***


brut***  Autres dettes
 Autres créances  Intérêts courus sur emprunt
 VMP non liquides  Dettes d’IS
 Charges constatées d’avance  Dettes sur immobilisations
 Produits constatés d’avance

***Trésorerie active*** ***Trésorerie passive***


 Disponibilité  CBC et soldes créditeurs de banque
 VMP liquides  EENE

Le tableau n’est qu’un exemple. Ces retraitements ne représentent pas une liste exhaustive.

2.3 L’analyse du bilan fonctionnel

Le Fonds de Roulement Net Global (FRNG)

 Le FRNG est l’excédent de ressources qui concourt au financement du BFR


 Le FRNG constitue une garantie de liquidité de l’entreprise.

 = Ressources durables – Emplois stables


 Emplois stables: les immobilisations brutes
 Ressources durables: les capitaux propres augmentés des
amortissements et provisions, et les dettes à long-terme (> 1an)

Le Besoin en Fonds de Roulement (BFR)

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Le Besoin en Fonds de Roulement (BFR) est la liquidité dont l'entreprise a besoin simplement
pour faire "tourner" son activité.

Exemple explicatif : l'entreprise doit commencer à payer ses fournisseurs et certains frais
généraux (par exemple le loyer) avant même de commencer sa production.

Puis, au fur et à mesure de sa production, elle doit payer d'autres frais et son personnel.
Enfin, lorsque les produits sont fabriqués, elle peut les vendre et facturer le client.
Dans de nombreuses activités, le client bénéficie d'un délai pour payer ses factures.
C'est donc seulement à ce moment que l'entreprise bénéficie des premières rentrées
financières.
L'argent qu'elle a dû débourser, avant que les premières factures soient payées,
constitue ce "Besoin en Fonds de Roulement" (BFR).

 Le BFR représente le besoin de financement de l’entreprise.

 = Actif circulant – Dettes


 Actif circulant : les stocks et les créances
 Dettes : les dettes à court-terme (< 1 an)

Le niveau du BFR dépend de 3 éléments essentiels :


- la durée du cycle d'exploitation : + la durée du cycle d'exploitation est longue, + le
BFR d'exploitation est élevé.
- le chiffre d'affaires : les stocks, les créances et les dettes sont plus ou moins
proportionnelles au CA.
- la gestion de l'exploitation : la durée des crédits obtenus auprès des fournisseurs, la
durée de crédit accordée aux clients, et la durée de stockage.

Les deux composantes du BFR:


BFR = BFRE + BFRHE

Le Besoin en Fonds de Roulement d’Exploitation (BFRE)


 BFRE = Actif Circulant d’Exploitation Brut (ACE) – Dettes
d’Exploitation (DE)
 Actif circulant d’exploitation brut : les stocks et les créances
d’exploitation
 Dettes d’exploitations : les dettes d’exploitation

Le Besoin en Fonds de Roulement Hors Exploitation (BFRHE)

 BFRHE = Actif Circulant Brut Hors Exploitation (ACHE) – Dettes hors


exploitation (DHE)
 Actif circulant hors exploitation : ex : Intérêts courus, les créances
d’IS, créances sur immobilisations …
 Dettes hors exploitations : ex : les dettes d’IS, dettes sur
immobilisations, EENE …

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La trésorerie nette

 = Actif de trésorerie – Passif de trésorerie


 Actif de trésorerie : les sommes disponibles en banque ou en caisse, les
placements de trésorerie …
 Passif de trésorerie : les concours bancaires courants
 = FRNG – BFR

L’équilibre financier

 Les emplois stables doivent être financés par des ressources durables.
 FRNG > 0
 FRNG > BFR

III Les ratios

Un ratio est un coefficient ou un pourcentage généralement calculé entre deux masses


fonctionnelles du bilan ou du compte de résultat.

Les ratios sont des outils de comparaison qui servent à mesurer la rentabilité, la productivité,
la solvabilité, la liquidité, l'équilibre financier, etc.

Les ratios contribuent à déceler rapidement les forces et les faiblesses de votre entreprise en
ce qui concerne son autonomie et son indépendance financière, ses performances, sa
solvabilité et sa trésorerie.

Il existe de multiples possibilités pour établir des ratios. Sont présentés ci-après des ratios de
structure financière et des ratios de performance.

Ratios de structure financière

 Le ratio d’indépendance financière

Il permet de connaître la capacité de l’entreprise à se financer par ses propres moyens (capital
social, réserves).

Ratio d’indépendance = Dettes financières/Capitaux propres

Pour être jugé acceptable, ce ratio doit inférieur à 1.

 Le ratio de remboursement des dettes à long terme

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Ratio de remboursement des dettes = Dettes à long terme / Capacité de remboursement
(CAF)

Un multiple égal à 3 ou 4 signifie que 3 ou 4 années de résultat de l’entreprise (CAF) seront


nécessaires pour rembourser les dettes à long terme.
Un tel niveau est jugé correct par les financiers.

Ratios de rentabilité

Deux notions de rentabilité doivent être distinguées :


 - le résultat (bénéfice net ou capacité d’autofinancement) par rapport à l’activité (ventes) ;
 - le résultat par rapport aux moyens financiers mis en œuvre (capitaux permanents,
capitaux propres).

Les ratios obtenus sont à comparer avec ceux obtenus dans d’autres entreprises du même
secteur d’activité.

 Les ratios de rentabilité par rapport à l’activité

Ratio de rentabilité = Bénéfice net/Chiffre d’Affaires HT

Ratio de rentabilité = Capacité d’autofinancement (CAF)/Chiffre d’Affaires HT



 Le ratio de rentabilité par rapport aux capitaux investis

Ratio de rentabilité = Résultat net/Capitaux propres

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Exercices

Exercice 1 question 1 à faire entre la séance 3 et la séance 4


ANALYSE DU COMPTE DE RESULTAT

La société BB10, spécialisée dans la production et la commercialisation d’articles de


puériculture, souhaite effectuer une analyse de son activité. Aussi, elle vous sollicite afin
d’établir une analyse de sa situation au 31 décembre N.

Travail à faire :

1 - Réalisez le tableau des soldes intermédiaires de gestion (annexe I) de la société BB10


pour l’année N et N-1. A réaliséer avec la séance 4 par l’étudiant en autonomie .
2 - Calculez la capacité d’autofinancement pour l’année N.
3 - Faite une analyse de la situation de cette société.

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Annexe I : Compte de résultat de la société BB10 au 31 décembre N :

Exercice N Exercice N-1


ROMANE
Produits d'exploitation

Ventes de marchandises
Production Biens 59 875 660 56 875 403
vendue Services
Chiffres d'affaires nets 59 875 660 56 875 403
Production stockée
Production immobilisée 4 789 014 2 458 900
Subventions d'exploitation
Reprises sur amortissements, dépréciations et provisions 5 946 789 4 002 693
Autres produits 2 456 933 3 472 100
Total des produits d'exploitation (I) 73 068 396 66 809 096

Achats de marchandises
Charges d'exploitation

Variation de stock (marchandises)


Achats de matières premières et autres appro. 12 645 900 9 656 300
Variation de stock (matières premières) (2 106 900) 1 025 699
Autres achats et charges externes (1) 8 900 650 5 789 600
Impôts, taxes et versements assimilés 421 560 412 630
Salaires et traitements 22 965 000 20 126 500
Charges sociales 13 779 000 12 075 900
D otations
d'exploi-

dotations aux amortissements 3 650 899 3 210 650


tation

sur immobilisations
dotations aux dépréciations 1 456 900 2 659 000
sur actif circulant : dotations aux dépréciations 4 598 700 2 654 890
pour risques et charges : dotations aux provisions 845 600
Autres charges 1 654 271 954 000
Total des charges d'exploitation (II) 68 811 580 58 565 169
1 RÉSULTAT D 'EXPLOITATION (I-II) 4 256 816 8 243 927
Bénéfice attribué ou perte transférée
Produits finaciers

opérations en com m un
Perte supportée ou bénéfice transféré
Autres intérêts et produits assimilés 740 654 1 456 900
Reprises sur dépréciations, provisions et transferts de charges 120 000
D ifférences positives de change
Produits nets sur cessions de valeurs mobilières de placement
Total des produits financiers (III) 860 654 1 456 900
C. Financ.

D otations financières aux amortissements, dépréciations et aux provisions 621 840 120 000
Intérêts et charges assimilées 645 000 421 030
D ifférences négatives de change
Total des charges financières (IV) 1 266 840 541 030
2 RÉSULTAT FINANCIER (III-IV) (406 186) 915 870

Produits exceptionnels sur opérations de gestion 1 560 450 650 700


P. Excp.

Produits exceptionnels sur opérations en capital 4 690 500


Reprises sur dépréciations et transferts de charges
Total des produits exceptionnels (2) (V) 6 250 950 650 700

Charges exceptionnelles sur opérations de gestion 922 100 1 458 900


C. Excp.

Charges exceptionnelles sur opérations en capital 2 800 900


D otations aux amortissements, dépréciations et provisions
total des charges exceptionnelles (2) (VI) 3 723 000 1 458 900
3 RÉSULTAT EXCEPTIONNEL (V-VI) 2 527 950 (808 200)
Participation des salariés aux résultats de l'entreprise 2 100 589 1 897 000
Impôts sur les bénéfices 1 540 000 1 156 000
TOTAL D ES PROD UITS (I+ III+ V) 80 180 000 68 916 696
TOTAL D ES CHARGES (II+ IV+ VI) 77 442 009 63 618 099
5 B ÉNÉFICE OU PERTE (total des produits - total des charges) 2 737 991 5 298 597

(1) D ont Crédit-bail immobilier


(2) D étail des produits et charges exceptionnels E xercice N
Renvois

Charges exception. P roduits exceptionnels


Valeur comptables des éléments d'actif cédés 2 800 900
Produit de cession des éléments d'actif 4 690 500

T ransferts de charges à retraiter

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SIG N N-1 Varia %N %
tion N-1
En %
Ventes de marchandises
- coût d'achat des marchandises vendues
(achats de marchandises + variations de stock
de marchandises)
= MARGE COMMERCIALE (1)

+ Production vendue
+ Production stockée
+ Production immobilisée
= PRODUCTION DE L’EXERCICE (2)

Marge commerciale
+ Production de l’exercice
- consommations en provenance des tiers
(achats de MP et autres approv.+variations de
stock MP et autres approv.+autres achats et
charges externes)
= VALEUR AJOUTEE (3)

Valeur ajoutée
+ subvention d'exploitation
- impôts, taxes et versements assimilés
- charges de personnel
= EBE (4)

EBE
+ reprises et transferts de charges de
l’exploitation
+ autres produits
- DAP d’exploitation
- autres charges
= RESULTAT D EXPLOITATION (5)

Résultat d’Exploitation
+/- Quote-part de résultat sur opération faites
en commun
+ produits financiers
- charges financières
= RESULTAT COURANT AVANT
IMPÔT (6)

+ produits exceptionnels
- charges exceptionnelles
= RESULTAT EXCEPTIONNEL (7)

Résultat courant avant impôt


+ Résultat exceptionnel
- impôt sur les bénéfices

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- participation des salariés
= RESULTAT NET COMPTABLE (8)

Capacité d’autofinancement

Méthode additive
Résultat net
(+) D.A.P.
(-) R.A.P.
(+) VCEAC
(-) PCEA
(-) Quote part
TOTAL
C.A.F.

Exercice 2
ANALYSE DU BILAN FONCTIONNEL
En amont de la séance 4 : remplir le bilan fonctionnel

CAS ABC

Bilan comptable de la société ABC au 31/12/N

(1) dont concours bancaires courants 13000.


(2) dont IS 25000
(3) Hors Exploitation

Travail à faire :

1- Etablir le bilan fonctionnel de la société ABC


2- Calculer le FRNG, BFRE, BFRHE, BFR et la trésorerie nette
3- Commenter

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