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28 septembre 2021
Avez-vous remarqué la sélection partiale et arbitraire des sujets traités par les médias ? Ils s'étalent
sur certains et en passent d’autres presque sous silence. En France, il est flagrant qu'on occupe les
gens, et donc les esprits et donc les conversations, principalement avec des futilités.
Sur quoi s'appesantissent nos médias en ce moment ? Sur l'Afghanistan, sur la perte du contrat du
siècle, sur la Présidentielle 2022. Que des sujets qui en réalité n'ont aucune importance.
L'Afghanistan n'a aucun intérêt ni géopolitique, ni économique, ni culturel pour l'Occident ; tout le
monde s'en fiche, à commencer par les américains.
La perte du contrat d'armement avec l'Australie n'est que l'illustration de la nullité de nos autorités
politiques et industrielles et de l’impressionnant recul du poids de la France dans le monde.
La Présidentielle 2022 n'intéresse que les cocus de la politique qui n'ont pas encore compris que le
système est totalement verrouillé depuis 1945 : seuls des membres sélectionnés pour leur docilité et
leur allégeance au système peuvent être autorisés à diriger le pays, et se succèdent sans discontinuer
depuis 76 ans. Tout le reste c'est un décor grandeur nature dans lequel s'agitent de acteurs pour
maintenir l'illusion de la démocratie.
Par contre, l'ouverture de la 76è session de l'ONU le 21 septembre, marquée par le premier discours
du Président américain devant l'Assemblée Générale, a été traitée à la va-vite comme une
information banale, c'est à dire par un simple compte-rendu dont la durée de vie n'excéda pas
quelques heures le jour même.
Et pourtant ces discours revêtaient une importance bien supérieure à celles des sujets évoqués plus
haut, tout simplement parce que ces messieurs ont traité de l'avenir du monde.
Il faut donc que les gens aient conscience que lorsque les médias approfondissent un sujet et le
traitent sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines, c'est pratiquement à coup sûr un fait
secondaire, banal, superficiel, qui sert à endormir les populations et à les détourner des sujets
vraiment primordiaux ; ceux-ci étant traités, le plus souvent, à l'inverse, c'est à dire comme ayant peu
d'intérêt. Pour eux. Donc ils passent très vite et on ne les retient pas, on n'y fait même pas attention.
Voilà pourquoi les populations se réveillent un matin en apprenant avec stupéfaction l'apparition
d'événements de premier ordre qui, en réalité, avaient été planifiés et annoncés par les dirigeants de
ce monde, mais sans qu'on n'y prenne garde, parce que les médias se gardent bien, ceux-là, de les
mettre en avant. Mon confrère Pierre Hillard démontre avec talent cette évidence : rien n'est caché
en réalité, mais on fait en sorte que les populations ne se préoccupent pas de l'essentiel.
D'autre part, sans faire le lien à l’époque avec l'ONU, j'avais moi-même annoncé en août le 21
septembre 2021 comme date à surveiller, c'est à dire à laquelle pouvait avoir lieu un événement
intéressant le calendrier eschatologique. Je ne peux savoir à l'avance le type et la nature de
l'événement, et je ne cherche pas à le savoir ; s'il y en a un tant mieux, s'il n'y en a pas, tant pis.
En l'occurrence, pour une fois, il y en a eu un, qui mérite de s'y attarder.
On a peine à croire que les médias trouvent banal que la moitié des dirigeants du monde, ou les trois
quarts, soient réunis en un même lieu à une même date, et pourtant c'est ainsi qu'ils traitent l'info !
Alors qu'il s'agit d'événements exceptionnels, jamais vus sur la planète avant la création de l'ONU. Et
qui va croire un instant que ces hommes se déplacent pour faire de la figuration ?
Tout le monde le sait : l'ONU est le gouvernement mondial, lui-même coiffé par un aréopage de
quelques pays réunis dans le G7 et le Conseil de Sécurité, donc quand ces messieurs sont convoqués,
c'est pour entendre les instructions de l'élite dirigeante et prendre connaissance du planning officiel.
Que tout le monde signera ensuite doctement comme un seul homme (pensez à l'agenda 2030 ou à
la COP21 : on discute pour la galerie, mais tout le monde signe en définitive le protocole d'accord
rédigé avant la réunion).
C'est pourquoi, quand un Président américain fraîchement élu décide d'intervenir devant cette
Assemblée Générale pour la première fois de son mandat, ce n'est pas un événement basique mais
au contraire l'annonce à ses collègues du programme que ses commanditaires ont préparé pour les
années à venir. Bref Joe Biden c'est la voix de son maître, et le maître le fait intervenir à l'ONU pour
la 76è session, ce qui est tout un symbole.
En effet, je rappelle que dans mon article Au commencement du 11 janvier 2021, j'indiquais que le
nombre 76 est la valeur numérique des premiers mots de la bible : "au commencement" et que donc,
la 76è session de l'ONU revêtait une signification particulière : le début de quelque chose.
Nous le savons et eux aussi le savent.
Voilà pourquoi ils ont fait intervenir Joe Biden ce jour-là. Ce n'était donc ni involontaire, ni improvisé
ni secondaire, mais au contraire de première importance.
Nous allons voir, à partir du décryptage du discours du Président américain, le programme annoncé
pour ces prochaines années, et nous allons ensuite montrer que, mystiquement parlant, ce
"commencement" est bien réel et n'est pas fortuit.
Car on ne peut étudier les messages de l'élite mondiale sans prendre en compte la dimension
mystique et kabbalistique de leur raisonnement.
Autrement dit, les pandémies font partie intégrante de la stratégie du Nouvel Ordre Mondial pour
modifier en profondeur la société humaine. Et puisqu'il parle avec tant d'assurance d'une prochaine
pandémie, on pourrait estimer que les vaccins anti-Covid servent à ça : à générer une autre maladie,
non covidienne, et à créer de toutes pièces une nouvelle pandémie sans pouvoir faire le lien avec les
vaccins puisque la maladie sera différente. A suivre, donc.
Pour vaincre le Covid, pas de surprise il faut continuer la vaccination massive dans le monde entier
"le plus rapidement possible". Evidemment, si ça sert à créer la pandémie suivante...
Notre mise en esclavage n'est donc pas finie.
Ainsi les populations seront piégées : elles se retrouveront avec des véhicules électriques qu'elles ne
pourront pas utiliser. Pourquoi ? Parce que ce qui est programmé, c'est la disparition de
l'automobile pour le bas peuple. Voilà pourquoi Paris devient infernal avec le 30 à l'heure : pour
nous forcer à abandonner la voiture. Voilà pourquoi on nous construit des pistes cyclables
gigantesques et qu'on fait du cycliste « le roi du monde » nous dit le Figaro. Parce que nous finirons
tous à terme comme les chinois : à vélo le goy. Avec des coupures d'électricité tournantes.
C'est ça l'ère du démon : après avoir piégé tout le monde avec le confort de vie et la société de
consommation, un confort devenu indispensable, il nous le retire. Les gens vont devenir fous,
littéralement fous. L'ère démoniaque commence et pour tous ceux qui y ont pris goût, ça va devenir
l'enfer sur terre. Se profile un monde monstrueux dont nous n'avons pas idée. L'électricité n'en est
qu'un des aspects, parmi tant d'autres.
Eh bien je ne m'étais pas trompé ! Car avant l'intervention de Joe Biden, la 76è session avait été
inaugurée par le discours du Secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres. Et que dit M.
Guterres dans ce discours inaugural, le jour du 76 ? Il a dit exactement :
"L'heure est venue d'agir. C'est une ère de transformation qui s'ouvre. L'ère du renouveau du
multilatéralisme. Une ère de possibilités."
Oui vous avez bien lu : le Secrétaire général des Nations-Unies en ce jour décisif parle lui aussi, très
officiellement, de l'ouverture d'une nouvelle ère.
Et cette nouvelle ère n'est pas abstraite, elle nécessite des décisions qui engageront toute
l'humanité : "L'heure de vérité a sonné. Le moment est venu d'agir. (...) Nous devons renforcer la
gouvernance mondiale. Nous devons adapter l'ONU à une nouvelle ère."
Toutes ces phrases sont lourdes de signification, chaque mot est choisi et pesé. Certaines
expressions, on peut le remarquer, sont répétées.
Donc ils savent ! Nous ne nous trompons pas ! 2021 est bien le commencement d'une nouvelle ère,
d'où leur acharnement à vacciner tous les peuples du monde la même année (soi-dit en passant,
leur calendrier est remarquable de synchronicité !) comme un baptême d'entrée dans celle-ci !
Et Biden ne le contredit pas, il confirme au contraire la volonté des Etats-Unis de faire avancer le
monde sur ce calendrier, quitte à contraindre les pays récalcitrants.
Les peuples devraient écouter ceux qui les dirigent, surtout quand parlent les patrons des dirigeants,
parce qu'ils apprendront alors les grandes lignes de la politique imposée à tous les pays du monde,
cette fameuse politique supra-nationale parce que mondiale. Et Guterres le dit : finit la parlotte, on
passe aux actions !
1) Personne n'a le choix ni pourra s'y soustraire, voilà ce que signifient ses premiers mots :
"Je suis ici pour tirer la sonnette d'alarme. Le monde doit se réveiller. Nous sommes au bord du
précipice ; jamais notre monde n'a été aussi menacé. (...) Nous faisons face à la plus grande
avalanche de crises de notre existence."
En fait, il le détaille ensuite, cette avalanche se résume à deux crises principales : la crise sanitaire et
la crise climatique. Donc on a tous compris que celles-ci ne sont que des prétextes pour imposer un
programme au monde, mais que les pays ne peuvent refuser puisque "jamais notre monde n'a été
aussi menacé".
Bien que basé sur des mensonges, le piège est bien mené et il est inexorable.
2) Il insiste encore et toujours sur la crise climatique, et montre, comme Biden, que ce thème a été
choisi comme cheval de bataille principal du Nouvel Ordre Mondial pour imposer un nouveau
monde, dont les contours restent encore relativement flous -pour le moment.
Ses paroles rejoignent dans leur intensité dramatique, celles du Président américain : "La sonnette
d'alarme climatique est également assourdissante. Le récent rapport du GIEC est un code rouge pour
l'humanité".
On pourrait sourire devant des propos si exagérés et si inutilement alarmistes s'ils n'émanaient pas
de ceux qui dirigent le monde ; je rappelle que Joe Biden comme Antonio Guterres sont les voix des
patrons des patrons, c'est à dire de cette élite cachée qui donne des ordres aux dirigeants des pays.
3) Il détaille les "six grands fossés" à combler, c'est à dire les six grands thèmes sur lesquels ils ont
décidé d'avancer :
- Combler le fossé qui nous sépare de la paix : on le sait, la solution c'est le mondialisme ;
- Combler le fossé climatique : attention c'est le thème majeur par lequel ils vont asservir, appauvrir
et transformer les nations ;
- Combler le fossé entre riches et pauvres : l'utopie socialiste ;
- Combler le fossé entre les genres : l'idéologie égalitariste et féministe ;
- Réduire la fracture numérique : évidemment, c'est l'outil principal de contrôle et d'asservissement
des peuples ;
- Combler le fossé entre les générations : il s'agit là de bourrer le crâne des jeunes générations à leurs
valeurs par le biais de la "transformation de l'éducation".
La mystique du 84
Parmi les multiples de 7, le nombre 84 est probablement à la fois le plus emblématique et le plus
mystérieux. 84 c'est 12 x 7 ; 84 mois font 7 ans. 84 c'est le double de 42, le chiffre de la bête dans
l'Apocalypse.
Mais aussi 84 c'est le 25 mars, 84è jour de l'année. Or le 25 mars est la date la plus importante qui ait
jamais été dans l'histoire de l'humanité : c'est celle de la création du premier homme (Adam) selon
Marie d'Agréda, mais c'est surtout celle de la venue de Dieu sur terre : Jésus-Christ, Dieu fait homme,
s'incarne le 25 mars. Cette date est donc plus importante que le 25 décembre car ce jour-là, Jésus
était déjà sur terre depuis 9 mois.
La prophétesse Anne, le jour de la Présentation, est âgée de 84 ans.
Donc le 84 est un des chiffres les plus significatifs en eschatologie.
Or Benoît XVI annonce sa démission le 11 février 2013 soit très exactement 84 ans après la signature
des accords de Latran (11 février 1929). Ce soir-là, la foudre tombe sur le Vatican. Outre le fait que le
11 février soit la fête de Notre-Dame de Lourdes, ces 84 ans sont lourds de signification. En effet les 7
têtes de la bête de l'Apocalypse, celle à qui le 42 est attribué, sont aussi 7 rois nous dit le texte. Or les
accords de Latran donnent au Vatican le statut d'Etat et, de 1929 à 2013, sept papes donc sept chefs
d'Etat, donc 7 "rois", se sont succédés ; de plus, c'est durant cette période que l'Eglise bascule dans le
camp de la bête, accomplissant les blasphèmes et sacrilèges décrits dans le texte de l'Apocalypse et
générant la fameuse apostasie dont parle saint Paul. Il y a donc une parfaite cohérence entre la
description (imagée) de l'Apocalypse avec les événements qui se sont déroulés dans l'Eglise et dans
le monde sur la même période.
Il est donc parfaitement valable pour un eschatologue de considérer que le 11 février 1929 constitue
une des hypothèses les plus fiables pour fixer le point de départ de la 6ème période, celle des bêtes
et donc celle de l'Antéchrist, et que les 84 ans jour pour jour de Benoît XVI viennent nous le
confirmer, voir même nous le révéler. Surtout que le successeur de Benoît XVI revêt toutes les
caractéristiques de l'Antéchrist dans sa dimension "faux prophète".
Ces 84 ans sont de toute évidence un signe eschatologique majeur ; reste à savoir et estimer où ils
nous mènent.
À ce stade, l'eschatologue est forcé d'établir des hypothèses de travail, et de ne retenir que les plus
plausibles. En l'occurrence je me suis demandé s'il ne fallait pas continuer ces 84 ans, c'est à dire que
ce signe pouvait en enclencher d'autres, un peu à la façon de poupées gigognes : la découverte d'une
clé peut et doit amener à la suivante.
J'ai donc formulé l'hypothèse suivante : les 84 ans de Benoît XVI sont peut-être un compte à rebours
-c'est à dire un temps délimité donné à la bête- dont la clé tourne autour de ce chiffre ; je propose de
le continuer en prenant à chaque fois la valeur inférieure, afin d'arriver au bout du compte à rebours.
Ainsi donc les 84 ans peuvent être suivis de 84 mois (7 ans) eux-mêmes suivis de 84 semaines. Je
m'arrête là parce que ces signes venant de Dieu, et Dieu étant Trinitaire, il faut s'arrêter à trois
valeurs. Or en partant donc du 11 février 1929 auquel on ajoute 84 ans (soit le 11 février 2013) puis
84 mois (soit le mardi 11 février 2020) puis 84 semaines, on aboutit au mardi 21 septembre 2021.
C'est tout simple : un triple cycle constitué de 84 ans 84 mois 84 semaines.
La mystique de la destruction
Le problème avec les psychopathes qui dirigent le monde, c'est leur immense capacité de nuisance et
de destruction. Comme on l'a vu juste au-dessus, ce sont des kabbalistes férus de mystique, d'où le
choix très précis des dates.
Ainsi donc on peut s'inquiéter du fait que le 21 septembre soit aussi l'anniversaire de l'explosion de
l'usine AZF à Toulouse : 31 morts dans le chef-lieu du département 31, dix jours après le fameux 11
septembre. L'explosion a lieu à 10h17 dans le bâtiment 221 (soit 2021 sans le 0) ; le code commune
de Toulouse est le 31555 ; or 555 est la 3è façon d'exprimer 666 : il y a le 666 en lui-même, le 555
(car 666 mois = 55,5 ans) et le 216 (6x6x6). La maison mère d'AZF est la société Grande Paroisse
(symboliquement : lien avec la religion), et ce qui explose est un stock de nitrate d'ammonium. Or le
nitrate d'ammonium a été impliqué dans d'autres explosions dont celle de l'usine BASF d'Oppau en
Allemagne le 21 septembre 1921 (même date !, 561 morts) ; comme à Toulouse, deux explosions
consécutives, espacées de 22 secondes.
Le nitrate d’ammonium, toujours lui, fut également impliqué dans l'explosion du port de Beyrouth
l'année dernière, le 4 août 2020 (or 4 août = 216è jour !).
Tous ces événements sont liés entre eux par la bête et ses chiffres favoris ; et même si ce qui nous
occupe aujourd'hui c'est la destruction de la chrétienté dans un silence assourdissant, un jour ça va
faire du bruit !
Enfin, pour l'anecdote, mais on l'a vu, ils aiment les symboliques, le film La prophétie de l'horloge est
sorti le 21 septembre 2018 aux Etats-Unis.
"La pendule en question aurait le don de provoquer la fin du monde. Son propriétaire, Isaac Izard, est
un sorcier qui cherche à s'emparer de cet objet pour provoquer l'Apocalypse."
Est-ce vraiment un hasard si on tourne toujours autour des mêmes idées ? : fin du monde,
Apocalypse, judéo-sorcellerie... et toujours sur les mêmes dates ?
Conclusion
La bête, c’est-à-dire l’élite mondiale dirigeante, avance toujours masquée ; même si on a une petite
idée de leurs intentions, il est encore très difficile de les cerner correctement ; nous ne pouvons que
formuler des suppositions, plus ou moins fiables, toujours approximatives. Toujours est-il qu’on
semble s’acheminer vers un avenir que l’on sait et que l’on sent monstrueux, même si on ne peut
toujours pas en dessiner les détails. Mais il n’y a pas d’erreur sur les perspectives à court et moyen
terme : il s’agit bien d’un changement d’ère qui s’opère, se précise et même s’annonce
officiellement, par la voix des plus grands dirigeants mondiaux en ce 21 septembre.
J’y vois aussi comme une sorte d’avertissement du Bon Dieu dans sa grande miséricorde car, en
définitive, à quoi sert tout ceci ? A nous faire comprendre qu’il faut se détacher des biens matériels,
que cette accumulation sans fin de biens a une fin, que cette vie centrée sur la jouissance des biens
matériels est un piège mortel pour les âmes, que cette mentalité basée sur le progrès technique et
scientifique détourne l’homme de ses fins dernières. Bref qu’il faut se détacher de Babylone avant
qu’il ne soit trop tard.