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Chimie clinique

Cours 1

Sérum : le plasma sans fibrinogène car il a été consommé par la coagulation (tube sec)

Plasma : choisir un tube qui empêche la coagulation sérum + fibrinogène

Dia 20 :

Complexe veut dire empêcher que le calcium agisse

Fluorure de Na : spécialiste pour doser le glucose

Dia 21 :

tube rouge  tube sec  obtention sérum

le gel séparateur sépare le culot (caillot) et le sérum

dia 26

température basse pour une meilleur conservation

dia 28

urines ponctuelles

mais chimie clinique urine de 24H  le mieux c’est de faire la moyenne de 24h mais c’est
pas toujours pratique car peu avoir des erreurs

dia 32

certains paramètres peuvent évoluer avec le temps


Cours 2

Des questions peuvent tomber au Q2 car cours en transversale

Savoir maitriser tout le vocabulaire

Dia 2 :

surveillance constante pour vérifier que la qualité est correct

pour avoir une notion de fiabilité envers le patient

Dia 3

Critères practicabilité / pratique

Est-ce que cela coute cher ?


Le temps avoir une analyse le plus vite possible
Automatisable ou pas

Critères de fiabilité

En noir : chose innérante à la méthode / critère qu’on évalue qu’une seul fois ne change pas
du jour au lendemain

En bleu : chose qui change d’un jour à l’autre a vérifier tout les jours

Précision

Capacité d’une methode à donner toujours les mêmes résultats sur un même echantillon

Dia 5 : méthode la plus précise est la B  les 100 résultats sont plus proches de la moyenne

Dia 8 Si l’ecart-type est grand, on sera moins précis

Dia 6 Coefficient de relation  ecrat -type X 100 / moyenne

Dia 9

Erreurs aléatoires ( exemple présente de bulle, moins bien mélanger)  erreurs difficiles a
cerner par fois des erreurs en défaut et par fois en excès

Dia 11

Répétabilité  intra-run
Reproductibilité : on change une variable ( ex pas même persoone)  inter run

Dia 12

On a plus de variation donc on est moins précis que ce que dis la firme

Dia 13

METHODE 1 : CV = 4 %

Methode 2 : CV = 4 %

Importance de rapporter à la moyenne  rapporter en pourcentage

Le CV est plus utiliser pour comparer des méthodes

Précision : une valeur qui se rapproche de la valeur moyenne : c’est quand on réalise la
même chose plusieurs fois et qu’on a toujours plus ou moins la même chose

Dia 14

Exactitude : Lorsque la valeur obtenue est proche de la valeur souhaitée

Dia 15

4) exacte et précis
1) pas précis ni exacte
2) précis mais pas exacte
3) exacte mais pas précis (car la moyenne sera proche du centre de la cible)

Dia 16

B plus précis car résultat plus ramasé au tour de la moyenne A et C ont la même précision
car même écart-type
Valeur vraie flèche verte, A et B sont plus exacte car ont la même moyenne

Dia 17

Pour une bonne exactitude il faut un bon étalonnage

Calibrations/ calibrateur : se rapproche du comportement des échantillon

Droite étalonnage x  concentration y  absorbance / extinction / densité optique


Si concentration augmente absorbance augmente

Affirmer que l’étalonnage est fiable avec R2 plus il est proche de 1 plus il y a une
proportionnalité entre les 2 valeurs
Dia 18 :

Erreurs systématique : toujours dans le même sens (la même dans tous les échantillons)

Exemples : pipette mal réglée, mauvaise longeur d’onde au spectrophotomètre, étalon mal
réalisé, réactif qui se détériore ( réactif de plus en plus mauvais)

Les erreurs s’annule si les conditions sont pareille pour le standard et l’échantillon ( exemple
pipette mal régler pour l’échantillon et le standard)

Dia 19

Erreurs grossière oubli d’un réactif, utiliser un tube contenant du lithium pour doser du
lithium

Dia 20

Limite de détection : plus petite concentration que je peux détecter dont le signal est
différent du blanc

Limite de linéarité : c’est la plus grande concentration qu’on peut détecter et que mon
signal n’est plus proportionelle à la concentration

Dia 21

Spécificité analytique : une méthode pour doser une seule molécule à l’exclusion des autres
pas d’interférences des autres.

Sensibilité analytique : de distinguer deux concentrations qui sont proches , plus ma pente
est élevé plus j’aurais d’amplitude de signal donc je pourrais faire plus de différence entre
mes deux concentration c’est donc plu sensible

Robustesse : toujours donner le même resultats, même si je change un petit paramètre, ou


une petite condition
méthode robuste si capable de résister à des petits changements et de donner toujours le
même résultats si t’es robuste, on doit avoir la même exactitude au final

Partie B

Dia 2

Belac : organisme extérieur qui vient visiter les laboratoires et donne l’accréditation si tous
les résultats sont prouver qu’on les donne avec fiabilité, précision, exactitude et prouver qui
dose correctement
Dia 4

QCI  comprendre

Tous les jours je vais introduire un échantillon contrôle en plus de mes autres échantillons
Si contrôle pas valable ont doit rejeter tous les résultats de mes échantillons

Le contrôle du matin est obligatoire

Dia 5

Connaître sa composition : contient analyte ou plusieurs ( multicontrôle) que je veux doser


Concentration connue ou pas (a determiner par le labo lui-même) ( valeur cible à fixer /
déterminer)
Même matrice biologique que nos échantillons  se comporter comme l’échantillon
1 grand pool  1 grande quantité / volume pour tenir plus ou moins 1 an
Différents niveaux de concentrations contrôle basse, moyenne, haute

Contrôle fait maison : faire un grand pool récupérer le fond des sérums de pleins de patient
mais éliminer ceux qui sont haut ou trop bas

Congelé va prendre beaucoup de place  avanatge on connait la concnetration moins bien


etre conserver

Lyophilisé : poudre reconstitué dans le flacon mettre de l’eau et on aura une concentration
attendue point faible : on peut faire des erreurs mauvais pipettage  problème
reconstituion de la concentration par un technologue avec des pipettes jaugés en verre
mieux conserver

Dia 6

Déterminer la valeur cible de ce contrôle en calculant la moyenne et l’ecart type

Levey-jennings important

Dia 8

Levey-jennings

+ 3 ecart type
+ 2 ecart type
+ 1 ecart type
Moyenne
-1 ecart type
-2 ecart type
-3 ecart type
Evolution des résultats au jour le jour

Dia 9 /10 /11

Violé = pas respectée  rejet du contrôle

1 3s : à plus de 3 écart type de ma moyenne  contrôle rejeter  erreur aléatoire


2 2s : 2 fois d’affilié j’ai mon contrôle au-delà de 2 écart type du même côté de la moyenne
 erreur systématique

4 1s : 4 fois d’affilié plus grand que d’1 écart du même coté que la moyenne  erreur
systématique

10 résultats du même coté de la moyenne  erreur systématique

R 4s : entre 2 résultats d’affilée j’ai une différence de plus de 4 écart type  erreur aléatoire

7 résultats d’affilé qui évolue tous dans le même sens  erreur systématique ( dérive,
réactif qui devient vieux, il devient vieux de jour en jour)

Dia 13
PAS ETUDIER PAR CŒUR  donner a l’examen mais avoir utiliser

Dia 14

RESUMER

Dia 15

Le matin obligatoire

Dépend du test si un test est robuste on peut passer moins de contrôle

Si on change de réactif on repasse un contrôle

Score sigma

Dia 16

Mauvaise habitude

Essayer un nouveau le contrôle ( peut être multicontrôle), mal conserver ou tout les
paramètres du contrôle sont trop vers le bas

Bonnes habitudes
Déterminer type d’erreur (aléatoire ou systématique)  erreur systématique plus facile à
cerner
Dia 19

Exercice à faire

Dia 20

Shift : toujours l’erreur du même cote et l’erreur est stable

Changer de lot par exemple

Tendance : évolue de plus en plus

Dia 23

Bien connaître

Calibrateurs = étalon = standard cela me sert à calibrer cela permet de relier un certain
signal à une certaine concentration

Contrôle : réagit comme mon échantillon

Dia 29

Biais : exactitude
Cv : estime la précision

Dia30

Pas étudier par cœur mais comprendre

Si score sigma grand moins de régles et moins de contrôle

Cours 7/11

Partice C

Intervalles de références

Valeurs usuelle : prendre plein de patient et faire un moyenne mais dans les patient il en a
en mauvaise santé donc cela va influencé la moyenne

Pas dia pour encadrer un résultat

Sensibilité analytique : capacité d’une méthode de déterminer deux concentrations


distinctes
Specificité analytique : capacité d’une méthode de déterminer un analyte sans interférence
des autres

Dia 6
M+ : malade
M- : sains

Faux positifs : b
Faux négatifs : c

Sensibilité statistique : malade (vrai positifs et faux négatifs) : on s’intéresse aux personnes
qui sont malade

Spécificité statistique : on s’intéresse à ceux qui sont sains

Spécificité de 90% donc 10% de faux-positif on va dire à 10% de personnes qu’elles sont
malades alors que non

Valeur seuil / cut off


Deplace valeur seuil déplacer vers la droit : bcp de faux négatifs
Deplace vers la gauche : bcp de faux positifs

Dia 10

Sensibilité : 47/119 = 0,39  39%


Spécificité : 275/281 = 0,978  98%

Dia 11
Sensibilité : 104/119 = 0,87  87%
Specificité : 158/281 = 0,56  56%

Dia 12

Sensibilité 113/119 = 0,94  94%


Spécificité 121/281 = 0,43  43%

Graphique (courbe de roc) (photo)

Le test idéale est quand sensibilité est proche de 100% et quand spécificité est proche de
100%

Dia 15 : comparer

A : le plus nul
B : plus spécifique
C : plus sensible
Comment choisir le seuil

Détecter gens malades pour confirmer des diagnostiques : donc mettre haut la spécificité

Dia 17 (plus des stats)

Attention de pas mélanger les formules avec la sensibilité et la spécificité

Valeur prédictive positive : lié à la prévalence / nombre de cas


Prévalence élevée donc valeur prédictive positive

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