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Rapport :

hydraulique

Elaborer par :
Ghaieth DHIEB
I. Définition :
L'hydraulique est une technologie et une science
appliquée ayant pour objet l'étude des propriétés
mécaniques des liquides et des fluides. La mécanique des
fluides est une science fondamentale qui constitue la base
théorique de l'hydraulique.
L'ingénierie a recours à l'hydraulique pour la génération,
le contrôle et la transmission de puissance par l'utilisation
de liquides sous pression. Les sujets d'étude de
l'hydraulique couvrent des questions scientifiques et des
problématiques d'ingénierie. L’ingénierie hydraulique
s’intéresse aux concepts de débit dans des tuyaux, à la
conception de barrages, à la micro fluidique et aux
pompes.

L'hydraulique à surface libre est la branche de


l'hydraulique étudiant les débits des écoulements à
surface libres, comme les rivières, les canaux, les lacs, les
estuaires et les mers.
II. Les sources d’eau
Les ressources en eau dans le monde peuvent être
considérées comme une seule unité hydrologique dans un
équilibre permanent entre deux monnaies : l’évaporation
et les précipitations, ou uniquement les précipitations, car
le cycle de l'eau représente une relation constante entre
l'atmosphère et la surface de la terre, le volume des
précipitations (pluie et neige) est d'environ 6,516 milles
kilomètres cubes, ce qui
est c'est le même que le
volume total
d'évaporation, la pluie
et la neige sont la
principaux sources d'eau
douce et l’eau
souterraines et cette
relation est déterminée en fonction de nombreux facteurs
et variables. Les grandes évaporations des mers et des
océans, lorsqu'elles reviennent aux précipitations sous
forme de pluie et de neige, sont à moitié pleines. La terre
est beaucoup plus grande que la moitié des mers et des
océans et de la même manière nous constatons qu'il y a
des cycles L'hydrologie des grands fleuves varient d'une
fleuve à l'autre en fonction des mêmes variables qui
influent sur le cycle Global Hydro.
1.Eaux de surface et souterraines :
L'eau de surface est l'eau qui se trouve à la surface de la
terre, juste au-dessus de toute eau qui coule, comme c'est
le cas avec Dans les eaux des rivières, ou sur les lèvres,
tous sont emprisonnés, comme c'est le cas dans les eaux
des lacs, tandis que les eaux sous la surface sont peu
profondes. On les trouve sur deux lèvres, mais s'ils
existent d'un côté, ils sont tous emprisonnés dans les
formations de l'intérieur de la terre, qui sont ce qu'on
appelle Eau souterraine, ou union entre les grains du sol à
une profondeur non loin des bas-fonds sol, qui est appelé
humidité du sol
2.Fleuves à flots constants :
Il désigne les cours d'eau dans lesquels l'eau est présente
de manière continue et permanente sur tout le navire. Le
manque de temps dans ces rivières est dû, dans la plupart
des cas, au manque de précipitations tout au long de
l'année. Les zones d'amont du fleuve, comme c'est le cas
des rivières dont le cours supérieur se trouve dans la
région subtropicale, comme Le fleuve Amazone en
Amérique latine et le Nil en Afrique, ou en raison de la
fonte des neiges dans la région en amont en La pluie
tombe sur le lit de la rivière en été et au printemps,
comme c'est le cas avec le Danube en Europe et
l'Euphrate en Asie, et la principale source de ces fleuves
est souvent l'irrégularité des revenus Aqueux, ni par sa
taille ni par son timing
3.Rivières saisonnières :
Cela signifie les rivières dans lesquelles il y a de l'eau
temporairement pendant l'année, et la raison est
généralement due Il est donc rempli ou soufflé Cela fait
référence aux pluies saisonnières dans les zones en
amont, car ces pluies ne sont tombées que de manière
transparente Les cours des fleuves sont remplis d'eau,
comme c'est le cas dans les fleuves du Maroc et de
l'Algérie. Les principales sources de ces rivières sont le
manque d'eau dans le
lit de la rivière
pendant les mois secs
ou les bas niveaux
fortement, et peut
également être la
raison des taux élevés
de perte d'eau de
pluie alimentant ces rivières par suintement ou par
évaporation Ensuite, cela est généralement traité par un
processus de construction de chaîne de barrages sur les
zones de précipitations, et ces barrages ont une capacité
de stockage variable de sorte que L'utilisation de cette
eau stockée pendant la période de sécheresse de l'eau du
fleuve, comme c'est le cas au Suffrage et au Liban Le
Maroc, par exemple
4.Sources souterraines :
L'eau souterraine coulant sous les berges est bombardée
par la pression naturelle de la formation géologique des
couches sous-jacentes. Terre, et le principal problème de
ce type de ressource en eau est la continuité du débit Non
contrôlé, qui peut être considéré comme l'un des types de
déchets d'eau, dans ce cas le décrivant jusqu'à présent.
L'arrêt d'un tel débit ne peut être que régulé, et la
planification de l'investissement de cette eau peut se faire
en premier Identifier la source de nutrition de ces yeux, et
si cette alimentation est permanente et continue, ou est-
elle faible Il est temporaire et en voie d'épuisement
5.Fuite et ruissellement :
Lorsque le sol suinte l'eau de pluie qui tombe dessus,
cette eau s'infiltre entre les grains du sol Et à travers les
fissures naturelles de celui-ci, et lorsque la quantité de
pluie tombant par unité de temps augmente A Le taux de
précipitations A Ces lacunes sont comblées et un excès
d'eau se forme qui ruisselle à la surface du sol Avec des
précipitations et des ruissellements répétés au même
endroit, des rivières se forment
III. L'hydrogéologie :
L'hydrogéologie comme la plupart des sciences de la Terre
est une branche interdisciplinaire. Bien que les principes
de base de l'hydrogéologie soient intuitifs (par exemple,
l'eau coule vers le bas), l'étude de leurs interactions peut
être très complexe. De façon générale, le fait de prendre
en compte les interactions de différentes facettes d'un
système à plusieurs composantes demande une
connaissance de plusieurs branches tant au niveau
expérimental que théorique.

L'hydrogéologie est une branche des sciences de la


Terre qui s'occupe du flux de l'eau souterraine à
travers les aquifères et autres milieux poreux peu
profonds (généralement moins 1 000 mètres sous la
surface).
IV. Hydrologie

Le cycle de l'eau, ou cycle hydrologique correspond à


l'ensemble des transferts d'eau (liquide, solide ou
gazeuse) entre les réservoirs d'eau sur Terre (les océans,
l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes d'eau
souterraine et les glaciers). Le « moteur » de ce cycle est
l'énergie solaire qui, en favorisant l'évaporation de l'eau,
entraîne tous les autres échanges.
V. Hydraulique urbaine
L'hydraulique urbaine ou l'hydrologie urbaine traite
essentiellement du problème
de conception des réseaux des
distributions d'eau potable et
d'évacuation des eaux usées et
pluviales en milieu urbain

VI. L'énergie hydroélectrique


L'énergie hydroélectrique, ou hydroélectricité, est une
énergie électrique obtenue par conversion de l'énergie
hydraulique des différents flux d'eau. (Fleuves, rivières,
chutes d'eau, courants marins, …)
L'énergie hydroélectrique est une énergie renouvelable.
Elle est aussi considérée comme une énergie propre, bien
que récemment remise en cause.
VII. Les différents types de nappe d’eau
1. La nappe phréatique
La nappe phréatique est une nappe d'eau que l'on
rencontre à faible profondeur. Elle alimente
traditionnellement les puits et les sources en eau potable.
C'est la nappe la plus exposée à la pollution en
provenance de la surface.
2. Nappe libre
Une nappe libre est en contact direct avec l'atmosphère,
via une zone non saturée en eau.
3. Nappe fossile
C'est une nappe qui ne se renouvelle plus, depuis un
temps plus ou moins long (jusque plusieurs milliers
d'années). Ces nappes sont exploitées dans les milieux
désertiques. Dans ce type de cas, elles sont vouées à un
épuisement inévitable
4. Nappe captive
Une nappe captive est une nappe généralement profonde
et située entre deux couches imperméables. Elle est
entièrement saturée d'eau sous pression. Elle jaillit
lorsque l'on fait un forage et c'est ce qu'on appelle un
puits artésien
VIII. L’influence de l’hydraulique
sur l’agronomie
L'importance de l'agriculture et son nécessaire
développement amènera, dans beaucoup de pays, à
compléter, réaménager ou établir de nombreuses
installations de drainage et d'irrigation. Ces améliorations
influencent souvent très lourdement les cours d'eau
associés, l'exemple le plus frappant (parce que le plus
massif) étant celui du Nil. D'importants effets négatifs sur
l'environnement ont été fréquemment soulignés. Il existe
des méthodes bien au point pour les atténuer voire les
supprimer, au moins ponctuellement. Elles ne sont
malheureusement pas toujours systématiquement
utilisées. Toutefois, on préfère maintenant, à chaque fois
que cela est possible, mettre en œuvre des méthodes de
conception globale de l'aménagement de la rivière, seule
solution qui permette de prendre en compte les
interactions complexes et les besoins souvent divergents
des différents usagers et des différents biotopes qui se
succèdent le long du cours. Les progrès récents en
modélisation, très importants, permettent à l'heure
actuelle ce type d'approche. Néanmoins, dans la plupart
des cas il faut, dans ce cadre, à un moment donné faire
appel au savoir d'expert, tant en géomorphologie
dynamique, qu'en hydrobiologie ou en écotoxicologie
pour être certain de réaliser des aménagements stables et
conformes aux objectifs.

1. Influence de l'hydraulique agricole sur le


régime et la qualité des eaux
Le drainage et l'irrigation agissent sur les transferts entre
les sols et les eaux souterraines Ils ont une influence
directe, donc sur les fleuves tant en ce qui concerne le
régime hydrologique que la qualité de l'eau. Il existe
actuellement des méthodes permettant de minimiser les
niveaux d'eau élevés des réseaux de drainage. Ces eaux
ainsi transférées peuvent être chargées de substances
fertilisantes, principalement des nitrates et aussi des
pesticides. Une amélioration des méthodes culturales
permet de minimiser ces risques. L'irrigation utilise de
grandes quantités d'eau., L'installation de connecteurs,
canaux, bassins, barrages se pose contre les difficultés et
peut conduire à des modifications importantes du régime
hydrologique. La mise en œuvre et la gestion de ces
aménagements nécessitent plus d'études et de
précautions, L’effet sur les eaux souterraines doit être pris
en compte. Le drainage et l'irrigation augmentent
considérablement la productivité et l'adaptabilité de
l'agriculture. Maintenant plus l'agriculture raffinée permet
de garantir la qualité et le bon état du réseau
hydrographique à la fois.
2. Drainage
Le drainage a été souvent accusé d'entraîner des crues
plus fortes avec des temps de réponse plus courts, des
volumes d'eau écoulés plus importants et un lessivage
aggravé des fertilisants et des pesticides

En sol argileux saturé avant drainage, et durant les mois


les plus arrosés, le drainage diminue ou annule le
ruissellement, diminue les débits de pointe et rend les
réactions du bassin versant moins brutales même si, dans
certains cas, le volume total de la crue est légèrement
augmenté. En revanche en période de pluie intense ou
d'orage, au printemps ou en été, sur sol limoneux
relativement perméable, le drainage peut augmenter les
débits de pointe et diminuer les temps de réaction
Bien entendu, la mise en place du réseau de drainage
entraîne un changement des modes d'exploitation des
sols et des systèmes de culture, ce qui influe également
fortement sur le régime des eaux.

IX. RÉSERVOIRS DIRRIGATION


Quand on a affaire à de très faibles écoulements, alors
même qu'ils sont continus, l'irrigation n’est
matériellement possible qu'autant que l'eau a été
rassemblée préalablement dans un réservoir. On vide
celui-ci dans un temps beaucoup plus court que celui qu'il
a mis à se remplir, et c'est par cet artifice qu'on obtient un
courant assez fort pour faite parvenir t'eau jusqu'aux
points extrêmes des terrains A arroser Toutes les fois que
le moyen employé pour se procurer l'eau est soumis aux
vicissitudes des saisons et des circonstances
météorologiques, t'irrigateur no peut être complètement
maitre de ses opérations qu'autant que les eaux sont
emmagasinées dans un réservoir, ou il peut puiser en tout
temps
1. Réservoirs établit au-dessus de sol
Quand le terrain a irrigué est à peu près plat, et si
d'ailleurs t'eau, tirée par exemple d'un puits ou d'une
rivière, doit être élevée par une pompe ou autre engin
analogue, on établit le réservoir au-dessus du sol, afin
qu'il puisse être vidé entièrement par un orifice inférieur.
Ce cas se présente particulièrement dans les jardins
publics ou particuliers, potagers, pépinières, etc. Dans ces
conditions, on peut aujourd'hui substituer avec avantage
la tôle a la maçonnerie dans les réservoirs. Lorsqu'on
dispose de bonne chaux hydraulique et que le sable et le
gravier, bien exempts do terre, sont sur place, il peut être
économique d'exécuter les parois du réservoir en béton.
Les murs s'étuvent alors par couches et par parties
successives, en pilonnant le béton dans un encaissement
mobile en planches, comme on le fait pour le pisé. On
donne dans ce cas au réservoir une forme carrée, la plus
facile à construire, bien que la forme circulaire exige
moins do périmètre d'enceinte pour une même capacité
2. Réservoirs d’irrigation creusés dans le sol

La théorie et les calculs d’après lesquels on détermine ta


forme et tes dimensions exactes de ces sortes de mure ne
pourraient être exposée sans sortir complétement du
cadre de cet ouvrage. Mais pour les travaux les plus
courante qui ne réclament pas le concoure d'un ingénieur
spécial. On obtiendra une solidité suffisante en faisant en
sorte que l'épaisseur du mur au milieu de sa hauteur soit
égale au tiers de la hauteur d'eau qu'il s'agit de contenir
en maçonnerie. L'eau, n'étant que très rarement élevée
par des machines doit généralement arriver dans le
réservoir à une de ses extrémités, en vertu de la pente,
tandis qu'une bonde do fond placé à l’extrémité opposée
permet do vider le réservoir en déversant l'eau dans une
rigole en aval. Il résulte de là que los réservoirs en terre ne
peuvent être établis que sur des terrains offrant une
pente assez prononcée.
3. Petits réservoirs pour l’irrigation des
prairies dans les montagnes
On rencontre des réservoirs de quelques mètres cubes
seulement de capacité, établis par de simples paysans et
placés dans quelque pli de terrain. Ils consistent en une
excavation pratiquée dans le sol la terre des déblais ayant
été reportée en remblai du côté to plus bas, de manière à
compléter l’enceinte par une sorte de digue souvent
consolidée par un revêtement en pierres sèches. C'est, en
générât une raison d'économie qui engage à établir les
réservoirs sur do faibles dimensions il est vrai do dire,
néanmoins, que la disposition des lieux qui se prête le
mieux à rétablissement d’un bassin de très-petite étendue
ne permettrait, quelquefois, qu'au prix d'énormes travaux
la construction d'un ouvrage plus spacieux faut remarquer
d'ailleurs que ces réservoirs, destines a des prairies
auxquelles les arrosages peuvent être donnés en tout
temps, ont principalement pour but de rendre utilisables
les plus minces filets d'eau et qu'il suffit à la rigueur qu'ils
puissent concentrer un volume suffisant pour que, lâchée
en un court espace de temps, l'eau recouvre
momentanément la prairie. Bien qu'en générât une
surveillance journalière soit inséparable de toute
irrigation bien conduite, on conçoit que la manœuvre de
bonde des plus petits réservoirs, qui s'emplissent en peu
d’heures, deviendrait une sujétion trop gênante.

X. Conclusion
En Tunisie, la politique hydro-agricole postcoloniale est
conduite dans le cadre de « l’idéologie de l’irrigation » et
de la « modernité ». La multiplication de barrages, de
forages profonds, de réseaux de distribution et de
transfert a permis la généralisation de l’irrigation. La
mécanisation de l’agriculture et de l’irrigation,
l’introduction de nouvelles technologies et modes de
gestion des ressources se sont traduites par
l’élargissement des surfaces irriguées dans les régions
arides. Cette politique, où l’expert joue un rôle central, a
fortement modifié les paysages agricoles, hydrauliques et
sociaux. Plusieurs formes de marginalités sociales et
territoriales sont apparues. Ainsi, les canaux en terre ont
été remplacés par des conduits fermés, des canaux
cimentés et imperméables. Par ailleurs, la petite
paysannerie et l’agriculture vivrière s’en trouvent
marginalisées au profit des investisseurs et de
l’agrobusiness. Alors, à qui profite la disparition des
canaux ?

MERCI POUR VOTRE ATTENTION

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