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GROUPE 5
Plan du travail
organites cellulaires.
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Cellule acaryote : est une cellule dépourvue de noyau, d’organites et de métabolisme (Ex :
cellule sanguine ou hématie, virus).
Être autotrophe : organisme capable d’élaborer sa propre substance nutritive à partir des
minéraux (Ex : les végétaux chlorophylliens) ;
Hétérotrophe : qui utilise pour se nourrir les matières organiques constituant ou ayant
constituées d’autre organisme (Ex : tous les animaux sont hétérotrophes) ;
Organotrophes : ce sont des organismes qui obtiennent leurs énergies en dégradant des
composés organiques obtenue à partir d’autre organisme. Ils utilisent généralement la respiration
cellulaire pour libérer l’énergie contenues dans ces composés. (Ex : bactéries lactiques, animaux,
humain)
Lithotrophes : ce sont des organismes qui tirent leurs énergies métaboliques de la réduction ou
de l’oxydation des composés minéraux inorganiques (Ex : bactéries et archées).
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formes peut être transférer d’un endroit à un autre, peut être transformée en différentes formes, mais ne
peut être ni crée ni détruite
Exemple : les plantes convertir l’énergie solaire en énergie chimique stocker dans les molécules
organiques ; l’énergie chimique stocker dans les molécules organiques telles que les sucres et les
graisses sont transformées par une série de réaction chimiques en énergie utilisable (les molécules
d’ATP).
La deuxième loi de la thermodynamique
Enoncé : « Toute transformation d’un système thermodynamique s’effectue avec augmentation de
l’entropie globale incluant l’entropie du système et du milieu extérieur. On dit alors qu’il y’a création
d’entropie »
Les taches principales d’une cellule vivante, à savoir l’obtention, la transformation et l’utilisation de
l’énergie peuvent sembler simples. La Thermodynamique explique pourquoi ces taches sont plus
difficiles qu’ils ne paraissent. En effet, dans chaque transfert d’énergie, une certaine quantité d’énergie
est perdue sous une forme inutilisable. Dans la plupart des cas il s’agit d’énergie thermique. D’un point
de vue thermodynamique, les scientifiques définissent l’énergie thermique comme l’énergie qui se
transfère d’un système à un autre sans effectuer de travaille. Au sens strict, aucun transfert d’énergie
n’est totalement efficace, car une partie est perdue sous forme inutilisable (énergie thermique). On
appelle entropie la mesure du caractère aléatoire ou désordonné d’un système. Plus un système perd
d’énergie moins il est ordonné et plus il est aléatoire. Une entropie élevée signifie un désordre important
et une faible énergie. Ainsi, tout transfert ou transformation augmente l’entropie de l’environnement
Exemple : au cours des réactions métaboliques cellulaire, une partie de l’énergie est perdue sous
forme d’énergie thermique. Ce processus augmente l’entropie de l’environnement.
La troisième loi de la thermodynamique
Enoncé : « A la température de 0 kelvin, l’entropie de tout corps pur, parfaitement cristallisé dans sa
forme stable, est nulle ». Elle ne s’applique pas en biologie.
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Les réarrangements sont des mutations qui changent la structure des chromosomes individuels.
• Les duplications
Dans une duplication chromosomique, une partie d’un chromosome existe en double.
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Les délétions correspondent à la perte d’un segment de chromosome. Une grande délétion est
facile à déceler parce que le chromosome est raccourci de façon visible.
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• Les translocations
Une translocation consiste en un déplacement de matériel génétique entre 2 chromosomes non
homologues.
- Dans une translocation non réciproque, du matériel génétique se déplace d’un chromosome à
un autre sans que l’échange ne soit réciproque.
- Dans une translocation réciproque, il se produit un double échange de segments entre
chromosomes non homologues.
Dans une translocation Robertsonienne, les bras longs de deux chromosomes acrocentriques se
retrouvent joints à un centromère commun, créant un chromosome métacentrique avec deux bras longs
et un autre chromosome avec deux bras courts.
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2- L’aneuploïdies
- Un chromosome peut être perdu à la mitose ou à la méiose, si son centromère est manquant ; le
chromosome ne migre pas vers l’un des pôles de la cellule
- Le petit chromosome généré par une translocation Robertsonienne peut être perdu
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3- La polyploïdie (euploïdie)
Exemple 2 : on a créé des pastèques triploïdes dépourvues de graines qui sont à présent largement
commercialisées.
- Chez l’homme et les animaux : Très peu de bébés humains polyploïdes ont été signalés, et la
plupart sont morts quelques jours après la naissance. La polyploïdie – généralement la triploïdie – est
observée chez quelque 10% des fœtus humains avortés spontanément. La polyploïdie est moins
répandue chez les animaux, mais on la rencontre chez certains invertébrés, chez les poissons, les
grenouilles et les lézards. Un mammifère polyploïde (un rat d’Argentine) a été signalé.
La polyploïdie comprend deux catégories : l’autopolyploïdie et l’allopolyploïdie :
• L’autopolyploïdie
- La non-disjonction de tous les chromosomes à la mitose chez un embryon (2n) double le nombre
de chromosomes et produit un autotétraploïde (4n).
- Un autotriploïde (3n) peut se former quand une non disjonction à la méiose produit un gamète
diploïde qui fusionne avec un gamète haploïde normal
- Des triploïdes peuvent aussi être produits par un croisement entre un autotétraploïde qui produit
des gamètes 2n et un diploïde qui produit des gamètes 1n.
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Exemples de plantes autopolypoïdes : pomme de terre (4n), banane (3n), cacahuète (4n), patate
douce (6n).
• L’allopolyploïdie
Ces mutations évoluent d’une génération à une autre, elles correspondent à des répétitions
importantes de certains triplet au niveau de l’ADN (CAG et GGG). Elles sont rencontrées dans certaines
maladies génétiques (syndrome de l’x fragile, dystrophie myotonique de Steinert, maladie de
Huntington.
On parle de mutation germinale lorsque la mutation porte sur l’ADN des cellules souches d’un
gamète. Ce type de mutation survient lors de la formation des gamètes d’un des parents (ovule ou
spermatozoïde). Les mutations somatiques ne touchent pas les cellules destinées à la reproduction, elles
ne sont donc jamais héréditaires :
- Les mutations post-zygotiques : sont des mutations qui apparaissent dans l’œuf après sa
fécondation. Elles sont rares et s’exprime de façon mosaïque chez l’individus concerné.
Les mutations peuvent avoir plus ou moins de conséquence phénotypique (certaines d’entre elle
peuvent avoir des conséquences grave, conduisant à des maladies génétiques. Les mutations peuvent
être neutres, bénéfiques ou nuisibles. Si une mutation est neutre elle n’a pas d’impact notable ; la
modification du génotype n’entraine pas de changement dans le phénotype. Les mutations nuisibles
comme celle qui provoque l’anémie falciforme ou les mutations associer au cancer, entrainent des
changements nuisibles dans la cellule ou dans l‘organisme. Les mutations peuvent également être
bénéfique, comme les mutations des allèles qui assurent le brassage génétique.
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La cellule acineuse pancréatique est une cellule eucaryote spécialisée dans la sécrétion de
proenzymes inactives, les zymogènes. Cette cellule appartient à un tissu spécialisé qui exerce sa
fonction spécifique au sein d’un organe, le pancréas. Toutes les cellules d’un tissu sont physiquement et
fonctionnellement liées les unes aux autres. Leurs fonctionnement est coordonné par voie nerveuse et/ou
humorale.
La fonction exocrine du pancréas est supportée par les cellules d’acineuses. C’est la partie la plus
importante car il sécrète le suc pancréatique.
Le suc pancréatique est un liquide (qui est secrété a environ 1.5l /jr) qui contient des électrolytes
(cation en concentration proche du plasma et des anions) et des substances organique (enzymes).
Elles sont de nature diverse et participe à la digestion des aliments. Les principales sont :
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En coupe, la cellule acineuse pancréatique se présente sous forme trapézoïdale ; elle possède :
Un gros noyau en position basale et une très forte compartimentation liée à l’existence d’un
réseau membranaire,
Le réticulum endoplasmique : qui se développe à partir de la membrane nucléaire externe. Ce
réticulum est recouvert de très nombreux ribosomes (réticulum endoplasmique rugueux, RER) qui
sont le siège d’une importante synthèse protéique. Le réticulum non recouvert de ribosomes
(réticulum endoplasmique lisse) est le siège de la synthèse des lipides. Ces deux réticulums semblent
en continuité. Les ribosomes accrochés au RER transloquent les chaînes polypeptidiques qu’ils
synthétisent dans la lumière du réticulum où elles passent par une maturation qui se poursuit dans les
dictyosomes avant d’être excrétées, dirigées vers des organites ou inclus dans la membrane plasmique.
Les ribosomes libres : synthétisent les protéines hyaloplasmiques.
Les membranes qui délimitent les compartiments cellulaires et la membrane plasmique sont
constituées d’une bicouche lipidique dans laquelle les protéines diffusent latéralement. Ces membranes
ont les propriétés d’une mosaïque fluide dont les composants se déplacent avec plus ou moins de
liberté les uns par rapport aux autres.
L’appareil de Golgi : spécialisé dans la distribution des différentes vésicules dans les
différentes régions de la cellule.
Les mitochondries : dans la mitochondrie les nutriments (oses, acides aminés, acides gras)
l’eau, le dioxygène et les ions sont dégradés pour produire l’ATP.
Les granules de zymogènes : ce sont de petites vésicules contenant les enzymes digestives.
Les molécules du vivant sont les glucides, les lipides, les protides, les acides nucléique, les
vitamines. Entre ces molécules il existe plusieurs liaisons. En effet, les liaisons chimiques sont dues aux
propriétés des atomes. Le nuage électronique autour des noyaux tend à acquérir de l’énergie. Une liaison
chimique est donc une forme d’énergie qui retient les atomes entre eux pour former des molécules
1- La liaison covalente
La liaison covalente est une liaison dans lequel les atomes mettent en commun des électrons de leurs
couches électronique externe. Ils forment alors un nuage électronique qui englobe les deux atomes.
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Chaque atome possède une capacité de liaison c’est-à-dire qu’il doit former un certain nombre de liaison
covalente pour compléter son dernier niveau d’énergie.
Elles peuvent être de deux types :
- Liaison covalente non polaire : elles relisent deux atomes dont l’attirance des électrons est
également repartie.
- Liaison covalente polaire : elles relisent deux atomes dont l’attirance des électrons est
inégalement répartie.
2- Liaison ionique
Dans les liaisons ioniques ce sont des ions qui interagissent. Les atomes ont cédé où capter un ou
plusieurs électrons. On a alors interaction électromagnétique entre les ions de charge de signe opposé. Il
y’a oxydation lorsque l’atome perd des électrons (pour former un cation) et réduction lorsqu’il en
gagne (pour former un anion). En raison de leurs charges opposées les cations et les anions s’attirent
l’un de l’autre : c’est la liaison ionique.
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3- Liaison d’hydrogène
La liaison d’hydrogène se forme lorsqu’un atome d’hydrogène déjà liés par covalence subit
l’attraction d’un autre atome.
4- Liaison ion-dipôle
C’est une interaction entre un ion et une molécule polaire. Elle est présente dans les solutions
ioniques où interagissent avec des molécules polaires du solvant.
Les protéines sont des macromolécules biologiques complexe, composée de monomère d’acide aminés,
qui peut avoir une grande variété de forme et de fonction.
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1- Structure primaire
La structure primaire d’une protéine est la séquence d’acides aminés reliés dans une chaine
polypeptidique. Les acides aminés sont maintenus en place par des liaisons peptidiques.
Exemple : l’insuline possède deux chaine polypeptidique A et B relié entre elle par des ponts disulfures.
La chaine A est la glycine et la chaine B est l’asparagine. La séquence de ces chaines est unique à l’insuline.
2- Structures secondaires
Les structures secondaires sont constituées par les formes d’hélices alpha et de feuillet bêta prise par une
chaine polypeptidique. La structure secondaire est maintenue en place par des liaison d’hydrogène.
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3- Structure tertiaire
La structure tertiaire est le motif selon lequel les hélices alpha et les feuillets bêta se replient, ce qui donne au
polypeptide une forme tridimensionnelle. Elles sont maintenues en places par des liaison covalentes et non
covalentes.
4- Structure quaternaire
La structure quaternaire d’une protéine est constituée de plusieurs polypeptides replis dans leurs structure
tertiaire et lis. Elle est maintenue en place par différent liaison covalente et non covalente.
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- Rôles structuraux : les protéines participent au renouvellement des tissus musculaires, des phanères
(les cheveux, les ongles, les poils), la matrice osseuse et la peau. Elles entrent également dans la
composition de la membrane cellulaire ;
- Elles participent a de nombreux processus physiologique : elles sont des enzymes, l’hémoglobine, les
hormones, les récepteurs et les immunoglobulines (anticorps) ;
Les formes des protéines peuvent varier en fonction de leurs structures tridimensionnelles, allant de
globulaire à fibreuses. Certaines protéines peuvent adopter des formes particulières, telles que des hélices,
des boucles ou des feuillets plissés, en fonction de leur séquence d’acide aminés et de leurs interactions.
Les groupes chimiques sont des molécules qui constitue le vivant. Ce sont les glucides, les lipides, les
protides, les acides nucléique et les vitamines. La mise en évidence de ces groupes se fait par des tests.
Les glucides sont des hydrates de carbone de formule Cn(H2O)n. ils sont composés de carbone,
d’hydrogène et d’oxygène. Les glucides donnent un précipité rouge brique avec la liqueur de Fehling. Par
ailleurs l’eau iodée colore l’amidon en bleu violacé et les glycogènes en brun acajou.
Les lipides sont des molécules des structures variées qui constituent les huiles les beurres et les graisses.
Ils ne sont pas solubles dans l’eau, ont dit qu’ils sont hydrophobes. La mise en évidence des lipides peut se
faire de façon physique : les lipides laissent une tache translucide sur du papier ; ils créent une émulsion
instable avec de l’eau. Par ailleurs, en présence du rouge soudan III, ils se colore en rouge.
Les protides sont des corps quaternaires qui regroupe les acides aminés, les peptides, et les protéines. En
présence de la ninhydrine les protéines et les acides aminés se colorent en bleu poudre pour l’intense. Les
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acides aminés son négatif pour le test de biuret. En présence d’une liaison peptidique, la réaction de biuret
donne une coloration violette.
Les acides nucléiques sont constitués d’un enchainement de nucléotides reliés par des liaisons
phosphodiesters. La mise en évidences des acides aminés se fait à l’aide de deux colorant l’un Vert et l’autre
rouge. Le colorant présente une affinité particulière avec les molécules sur lequel ils se fixeront. En effet, le
nucléoplasme est coloré en vert et le nucléole en rouge.
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