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RESUME
EPIGRAPHE
La réussite de la vie, ne provient pas à l’admiration de biens des autres, mais une
détermination consciencieuse vers l’objectif, apporte un succès sans contrainte.
DEDICACE
Dans ce monde rempli des surprises, agissant dans le bon et le mauvais sens, dont
la plupart des choses sont oubliables, suite à la multiplicité des jours et des années qui
s’ajoutent sur nos vies. Mais hélas, il y a tant des choses qui marquent nos vies, parfois qui
donnent les larmes de joie, qui restent gravés dans nos cœurs, dans un souvenir inoubliable.
REMERCIEMENTS
Il y a un trésor caché, par lequel tout le monde veut s’en procurer, mais il existe
des conditions strictes à remplir qui nous mènent à sa découverte. Cependant l’homme se
forme par la peine, le courage, la persévérance, la détermination ainsi que la passion de
connaitre, sont les armes déterminatives d’un grand guerrier.
Ce travail donne une terminaison d’une endurance, effectuée pendant 4ans remplit
de colère et de tristesse ainsi que de joie. Par son accomplissement plusieurs défis ont été
relevés, dans des conditions pénibles. Par une expression émotionnelle j’adresse mes sincères
remerciements aux personnes nobles, grâce à eux mon existence sur terre a eu lieu et si c’était
à refaire je vous choisirai toujours comme parents. Merci mon très cher père DJEMBA
LOKASO et ma très chère mère CATHERINE MBUTSHU pour vos sacrifices consentis à ma
personne, dans le but de donner à votre fils une transformation contenant des directives
professionnelles en assurant votre responsabilité sans contrainte, le souhait de mon cœur est
que le DIEU de toute grâce vous bénisse.
Par cette même expression j’adresse mes sincères remerciements à ma famille qui
ne cessait toujours de m’encourager, de donner leurs soutiens spirituels tant matériels que
financiers. Da JOLIE da EMERASE da BETTY ANDRE DORIS PASY.
Il faut être ingrat pour ne pas reconnaitre la gratitude, qui nous a été offerte, pour
cette raison je dis mille mercis à mon directeur Pr Dr Jean Paul KATOND pour
l’investissement, et la confiance attribuée à ma personne, qui m’ont permis à relever les défis.
Mes sincères remerciements à mon codirecteur Ass Ir DEO MWELWA WA MWELWA pour
vos qualités humaines, et disponibilités sans failles, vos instructions toujours claires, et vos
relectures qui ont facilité à réussir ce travail.
J’adresse mes sincères remerciements à vous mes amis entre autres ARIS,
FRANCK, MOISE, DAINA, PAUL, DJO, JUSTINE, TRESOR, DANNY, MOZESS,
NATHAN, MARIE et à tous ceux je n’ai pas réussi à citer qui ont dû tomber dans l’oubli.
V
Merci pour les encouragements, parfois il a été dur et redoutables pour que l’accomplissement
de ce large travail soit fait.
VI
LISTE DE FIGURES
VII
LISTE DE TABLEAUX
1
INTRODUCTION GENERALE
De ce fait, la suralimentation est donc une technologie utilisée pour réduire les
émissions des moteurs Diesel en augmentant la température de combustion et en améliorant
l’efficacité du moteur. C’est mécanisme se fait par augmentation de la pression de l’air dans
le cylindre.
Mais dans le souci de concevoir les moteurs de grande capacité, nous nous
sentons obligé de comprendre comment augmenter le rapport entre la quantité d’air qui
pénètre réellement dans le cylindre et celle qui pourrait y pénétrer théoriquement, compte tenu
des caractéristiques dans le circuit d’admission. Face à cette problématique, nous nous
proposons de faire une étude comparative des performances développées par un moteur
atmosphérique et un moteur suralimenté.
Le moteur à deux temps c’est un moteur dont le cycle complet s’étend sur un tour
du vilebrequin. Le moteur à quatre temps c’est un moteur dont le cycle complet s’étend à
deux tours du vilebrequin. Dans le cadre cette étude on se limite à l’étude du moteur Diesel
fonctionnant conformément au cycle a quatre temps
3
Un cycle s’effectue sur deux tours de vilebrequin, soit 720° le cycle mécanique
(deux allers et deux retours) se fait en quatre temps alors que le cycle thermodynamique en
comporte cinq (la combustion a volume et a pression constante) seule la détente est motrice
(fournit de l’énergie) les autres sont des résistants
Dans le cas d’un cycle mixte d’un moteur Diesel (figure I.2) le cycle comprend les
temps suivants :
Figure I.2 : cycle mixte (réel et théorique) représenté sur un digramme (p-v)
I.2.2.1 Définition
Le fluide moteur et un gaz parfait, idéal (l’inertie du fluide est supposée nulle donc pas
des pertes de charge) qui ne change pas de nature (sa composition chimique) et de
quantité au cours de son évolution dans le cycle,
Les évolutions sont considérées comme réversibles, c’est-à-dire que le gaz subit une
succession de transformations très lentes, les caractéristiques du gaz restant à chaque
instant en équilibre,
Un équilibre des pressions instantané existe entre l’atmosphère et le cylindre,
La combustion ainsi que l’échange gazeux, s’effectuant dans un cycle réel, sont
remplacés par des processus d’apport et de d’évacuation de chaleur dans un cycle
thermodynamique. Ce qui conduit à considérer que la combustion du mélange gazeux
est instantanée.
L’échange de chaleur (par apport à l’extraction) avec le fluide au cours de son
évolution, est considère en dehors de toute condition de réalisation. Donc les deux
7
Pratiquement :
A l’admission, la pression est à l’atmosphérique (dans les cas d’un moteur non
suralimenté) du fait de l’aspiration du piston et de l’inertie du gaz non nulle,
La composition chimique et la quantité du fluides-moteur sont toujours variée par
suite de la combustion au cours du cycle,
Les caractéristiques du fluide-moteur (chaleur spécifique, etc.) comptées constantes
dans le cycle thermodynamique varie avec la température dans le cycle réel,
Les deux temps de compression et détente ne sont pas adiabatiques, mais
polytropiques à cause des échanges de chaleur ayant lieu au cours de ces deux temps
entre le fluide-moteur et les parois du cylindre,
Le fonctionnement du moteur nécessite l’évacuation des produits de combustion et
l’introduction périodique, au début de chaque cycle, de la charge fraiche. Le
remplissage du cylindre du moteur dépend considérablement de son nettoyage,
A la compression, la pression finale est inférieure à la théorique du fait du remplissage
moindre et des échanges de chaleur entre le fluide-moteur et les parois du cylindre,
La combustion qui n’est pas instantanée donc non isochore, et ni isobare, donne une
pression maximum inferieure,
A l’échappement, du fait de la difficulté de vidage, la pression est toujours supérieure
à l atmosphérique.
8
Le diagramme réel du moteur dans cette zone est très différent, en effet, si par
exemple, la soupape d’échappement n est ouverte qu’au point mort bas (PMB) point F , la
détente des gaz brulés n’est pas instantanée (effet cumulés des inerties du fluide, des pertes de
charge et du temps nécessaire au décollement de soupape),le piston doit donc fournir un
travail élevé pour refouler les gaz d’échappement, travail qui est déduit du travail total du
cycle.
D’une manier analogue, on réalise dans le moteur une avance à l’allumage (pour
le moteur à allumage commandé) ou une avance à l’injection (pour les moteurs diesel), ou
l’amorçage de l’étincelle (moteur à essence ou explosion) ou l’injection du carburant (moteur
diesel) ; se fait avant que le piston atteint le point mort haut (PMH), de manière à assurer une
combustion complète et obtenir une élévation de pression aussi grande que possible.
9
AOA 5 à 15 60 à 75
AOE 35 à 50 35 à 50
RFA 30 à 45 30 à 50
AFE 5 à 15 60 à 75
C’est pour toutes ces raisons que la forme du diagramme réel du moteur diffère
notablement de celle d’un diagramme théorique. En particulier, par suite de la dépression et
de la surpression qui s’établissent dans le cylindre pendant les courses d’admission et
d’échappement, l’ensemble de ces deux transformations forme dans la partie inférieure du
diagramme une boucle dont la surface représente une certaine perte de travail utile.
Il en résulte que le travail utile par cycle est donnée, à l’échelle du diagramme,
par la différence des aires des boucles supérieur est inférieure, mais ,dans le cas d’un moteur
bien étudié, l’aire de boucle inferieure est habituellement peu importe, dans le cas d’un
moteur suralimenté, le travail de la boucle inferieure est négative(travail moteur) car la
pression a l’échappement est inférieure à celle a l’admission, ce qui conduirait à une
augmentation d’un travail total du cycle et par conséquent la puissance du moteur.
10
I.3 LA COMBUSTION
I.3.1 INTRODUCTION
Dans un moteur Diesel, le processus complexe du déroulement de la combustion
est lié aux caractéristiques principales suivantes :
Combustible utilisé ;
Pression d’injection, qualité de la pulvérisation (modèle d’injecteur) ;
Point d’injection ;
Température de l’air et quantité d’oxygène au moment de l’injection
Pression de compression dans le cylindre du moteur (lie au rapport volumétrique) ;
Type de chambre de combustion (injection directe, préchambre, chambre de
turbulence) et l’homogénéité du mélange ;
Vitesse de rotation et température du moteur
I.3.2.1 GENERALITES
Les combustibles qu’il est possible d’injecter dans les cylindres des moteur Diesel
sont en général :
Masse volumique : elle est variable suivant l’origine du pétrole brut et le mode de
traitement subi (en moyenne, 0,850 kg/dm à 15°C) et elle diminue 0,0007 pour chaque
degré d’élévation de température ;
Pouvoir calorifique : il est légèrement inférieur à celui de l’essence ; sa valeur
moyenne est de 10800cal/kg ;
Volatilité : pratiquement, la distillation du gazole commence vers 200°C et se termine
aux environs de 370°C les spécifications légales indiquent :
Limite inférieure à 250°C (point d’ébullition initiale) ;
Limite supérieure à 350°C (point de fin distillation) ;
Viscosité : environ 9,5mm/s à 20°C ;
Indice de cétane(C16H34) : (aptitude à l’inflammation) on appelle INDICE DE
CETANE du combustible à étudier, le pourcentage de cétane contenu dans un mélange
qui produit le même délai d’allumage que le combustible essayé.
PMH cette compression engendre une montée rapide en température, qui doit atteindre au
minimum 500°C pour assurer l’inflammation spontanée du mélange au moment d’injection.
I.4 LA PUISSANCE
I.4.1 DEFINITION
La puissance indiquée d’un cylindre est générée par, la combustion qui agit sur
son piston pour avoir une puissance indiquée pour chacun de cylindre d’un moteur Diesel, il
faut respecter les conditions suivantes :
Que toutes les composantes mécaniques des cylindres, (piston, segment, injecteur,
soupape, culasse, etc.) soient en parfait condition ou dans les conditions similaires ;
Que la quantité d’air admise dans chaque cylindre soit égale ;
Que la quantité de carburant injectée soit égale.
mf
Cs= (1.4)
p
mf
Csi= (1.5)
Pi
mf
Cse= (1.6)
Pe
Avec :
La consommation spécifique est une grandeur bien adaptée pour comparer les
moteurs qui sont, soit cylindrées différentes, soit qui n’utilisent pas le même combustible ;
précisons toute fois qu’elle évolue avec le régime du moteur et la charge appliquée.
We
ηe= (1.7 )
Qcomb
Avec :
ηe : Rendement effectif ;
II.1. INTRODUCTION
Une augmentation de la puissance du moteur a une même vitesse de rotation est
possible en favorisants le taux de remplissage en air des cylindres par divers procèdes :
Elle consiste à introduire de l’air dans les cylindres à une pression atmosphérique.
Dans la suralimentation du moteur Diesel peut être réalisée sans aucun prélèvement de
puissance.
II.2. DESCRIPTION
17
En effet :
o L’air passe par le filtre a l’air il arrive dans le turbo et actionne le compresseur qui est
relie à la turbine par un arbre contact,
o L’air est comprimé et poussé jusqu’à l’échangeur d’air,
18
o L’échappement d’air refroidit le gaz ainsi les particules sont encore plus compactes,
o L’air froid et comprimé est pousse jusqu’ au moteur plus précisément dans les
cylindres,
o Les gaz chaud sort part un tuyau d’échappement et va vers la turbine,
o Le fumé entre dans la turbine en donne une impulsion à la roue de la turbine,
o Le gaz d’échappement sort de la turbine et se dirige vers le tuyau d’échappement.
II.3.2 AVANTAGES
Un turbocompresseur est plus compact, plus léger et plus facile à installer qu’un
compresseur classique entrainé par l’arbre de sortie moteur.
II.3.3. INCONVENNIENTS
o L’énergie utilisée par le turbocompresseur n’est pas totalement gratuite, car il gène le
passage des gaz d’échappement ;
19
Laisser tourner le moteur à mi- régime pendant 3munite puis au ralenti pendant
30secondes ;
Ne jamais stopper un moteur après une accélération ;
Si la période de refroidissement n’est pas respectée, l’huile au contact de l’arbre très
chaud risque de bruler et d’entrainer le blocage de l’arbre.
La puissance effective Pe développée par un moteur est donnée par les relations
équivalentes suivantes :
Pe=Ce .ω (19)
Avec :
N
Pe =PmeVo 10²
120
(20)
N
Pe =PmeVo 10²
60
(21)
Avec :
Pme : pression moyenne effective ou travail effectif par cycle moteur et par unité
de volume de cylindrée (bar).
21
ρO
Pme =34,25 ηeηνr∗¿(22)
ρa
La valeur de la constance (34,25) a été établie pour un carburant dont le pouvoir calorifique
est inferieur est égale à 4,394.10⁷ J/kg et le pouvoir comburivore à 15.
On dispose donc des trois moyens pour accroitre la puissance d’un moteur ;
Augmenter le nombre de cylindres : dans ces cas les performances spécifiques sont
à peu près conversées.
Le compresseur à piston, plus complexe, n’est plus utilisé actuellement, bien, qu’il
existe une solution attrayante de cette disposition. Les machines à transfert pressent des pertes
mécaniques faibles résultant de leur défaut d’étanchéité (jeux de fonctionnement) qui entraine
un taux de fuite relativement important à bas régimes de rotation. De plus, l’absence de
compression interne limite l’emploi de ce générateur de suralimentation inférieur ou égal à
1,5.
23
Dans ce cas sont accouplées sur le même arbre une machine de compression
(compresseur) et une machine de détente (turbine) de type cinétique l’énergie motrice
25
nécessaire à, l’entrainement du compresseur est fourni par la détente des gaz d’échappement
au travers de la turbine. Le schéma d’installation d’une telle machine est donné par la figure
ci-dessous :
Les limites de fonctionnement d’un moteur Diesel sont liées aux conditions
d’alimentation en air :
Une pression de suralimentation trop faible entraine des fumée et des températures
d’échappement excessives ;
Une pression de suralimentation trop élevée peut entrainer des pressions
maximales de combustion non acceptables pour la tenue mécanique du mateur.
Ils sont provoqués par les écarts de pression entre l’admission et l’échappement
qui peuvent engendrer un écoulement pendant la période d’ouverture simultanée des soupapes
d’admission et d’échappement (période de croisement des soupapes).
Le taux de gaz brûlés recycle est augmenté, ce qui réduit d’autant le remplissage en air
des cylindres,
La température moyenne des gaz est donc augmentée par contre-balayage, ce qui tend
à accroitre les températures de parois et les transferts thermiques.
Alors, le travail utile du cycle théorique est par définition la somme algébrique
des travaux qui sont du même signe (négatif) de deux boucles supérieur et inferieure lorsque
la pression a l’admission (à l’entrée du moteur) est supérieure à la pression à la fin
d’échappement.
Figure II.8 : Cycle d’un moteur diesel a quatre temps suralimentés par
turbocompresseur
P0= P1(3.1)
0=T 1 ( 3.2 )
γ
P2=P1 ε (3.4)
( )
γ−1
γ −1 γ −1 V1
T 2. V 2 =T 1 . V 1 = orε = (3.5)
V2
PV=NB, d’où :
γ
P3= ƛ P 2=ƛ ε P1 (3.5)
γ −1
T 3=ƛ T 2=ƛ ε T1 (3.6)
γ
P5 V =P4 V → P5=P4
5
γ
4
V4 γ
V5
γ
( )
=ƛ ε P1
1 γ
δ
γ
=ƛ ε P1
ε ()
ρ γ
=P 5=ƛ ρ γ P1 (3.6) ()
( )
γ−1
( )
γ −1
γ−1 γ −1 V4 γ−1 P γ
T 5 V 5 =T 4 V 4 → T 5 =T 4 =Pƛ ε T1 =T 5=ƛ ρ T 1(3.7)
V5 ε
P1 V 1
W ther = W(BCDEF = [ ƛ y ε γ−1 ( ρ−1 ) + ( ƛ−1 ) ε γ−1−( ƛ ρ γ−1) ¿(3.8)
( γ −1 )
Nous prenons comme base de nos calculs les données dans le tableau ci-dessous
en considérant que le système de suralimentation (turbocompresseur) nous donne une pression
d’air d’admission P. de 2 bars et une température T 0 de 27°C après avoir été refroidi dans un
refroidisseur.
( )
γ −1
γ −1 γ −1 V1
T 2V 2 =T 1 V 1 → T 2 =T 1
V2
γ−1 14−1
T 2=T 1 ε →T 2=300.12 =810.576 K
3. Calcul des paramètres en fin de combustion isochore :
γ
P3= ƛP2=ƛ ε P1 → P3=1 , 8.64,846
35
P3=116.723 ¯¿
γ −1 1 , 4−1
T 3=ƛ T 2=ƛ ε T 1 →T 3=1 , 8.12 .300
T 3=1459,037 ° K
4. Détermination des paramètres à la fin de combustion isobare :
γ −1
T 4= ρT 3=ρƛ ε T 1 =1, 5.1 , 8.121 , 4−1 .300
T 4=2188,555 0 k
P4 =P3
P4 =116,723 ¯
¿
5. Détermination des paramètres en fin de détente-échappement :
γ
T 5=ƛ ρ T 1
1, 4
T 5=1 , 8.1, 5 .300=952.624 ° k .
γ
T 5=ƛ ρ P1
2=6,351 ¯¿
1 ,4
P5=1 , 8.1 ,5
6. Calcul du travail thermodynamique du cycle :
P1 V 1
Wther = =¿ ( ρ -1) + ( ƛ -1)ε γ −1 - (ƛ ρ γ-1)]
(γ−1)
En considérant que ce moteur à un cylindré de 0,4305 m3. On aura donc C y = C1
C y V1
Or nous savons que ε = = d’où :
V m V2
V 1 0,4305
V2 = = = 0, 0359 m3
ε 12
5
2.10 .0 .4305 1,4-1
Wther = ¿ (1, 5-1) + (1,8-1)121,4-1 – (1,8.1, 51,4-1)]
( 1 , 4−1 )
Wther = 72981320,13J
7. Calcul la pression moyenne thermodynamique du cycle :
Wther
Pm(ther)=
Cy
72981360 ,13
Pm (ther) = → pm (ther) = 16952698,9 N/m²
0,4305
Pm(ther)= 16,954 bars
8. Calcul du rendement thermodynamique du cycle :
( T 1 −ƛ ργ T 1 )
ηther = 1+
( ƛ ε γ −1 T 1−T 1 ε γ−1 )+ γ ( ρ ƛ ε γ −1 T 1−ƛ ε γ −1 T 1)
36
( 300−.952,624 )
ηther = 1+
( 1459,037−810,576 ) +1 , 4(2188,553−1459,037)
ηther = 0,609 ≅ 0 ,61
ηther = 61%
' '
P0=T 1=¿ 20°C = 20+273= 293°K
2. Calcul de paramètre en fin de compression :
( )
' γ
' 'γ ' 'γ ' ' V1 V1
P V =P V → P =P
2 2 1 1 2 1 ∨ε =
V '
2
V2
( )
' γ −1 '
' ' γ −1 ' ' γ −1 ' V1 V1
T V 2 2 =T V 1 1 →T 1 ∨ε =
V '2 V '2
1 ' γ−1 1 , 4−1
T 2=T 1 ε =293.12 =791,663 ° K
3. Calcul De Paramètre en fin de Combustion Isochore :
' ' γ ' '
P3= ƛ P2 = ƛε P1 → P3 = 1.8.121, 4. 1,013 = 59, 1201 = 59, 12 bar.
' '
T 3 = ƛT 2 = ƛ ε γ -1 = 1,8.121, 4-1.293
'
T 3= 1424,9925= 1424,1993°k
4. Calcul de paramètre de fin de combustion isochore :
' ' γ −1 '
T4 = ρT3 = ρ ƛε T 1 = 2.1424, 9925 = 2.1, 8.121 ,4 −1.293
'
T 4 = 2849,985°k
' '
P4 = P3= 59,12 bars
37
Ƞther=0,551
Ƞther=58 ,1 %
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
[8] Thermodynamique (cours troisième année) RANARIJAONA Jean Desiré Edition 2018
[9] Technique d'équilibrage, HATTO SCHNIEDER, édition originale allamende publiée par
SPRINGER VERLAG BERLIN Heidelberg 2018.
WEBOGRAPHIES
[W1] http://www.ifp.com
[W2] http://www.deutz-fahr.de
[W3] http://www.moteurcombustion.com
[W4] http://www.diesel-therm.com
40
RESUME................................................................................................................................................I
EPIGRAPHE..........................................................................................................................................II
DEDICACE..........................................................................................................................................III
REMERCIEMENTS.............................................................................................................................IV
INTRODUCTION GENERALE............................................................................................................1
0.1 PRESENTATION........................................................................................................................1
0.2 PROBLEMATIQUE....................................................................................................................1
0.3 ETAT DE LA QUESTION..........................................................................................................1
0.4 HYPOTESE.................................................................................................................................1
0.5 OBJECTIF....................................................................................................................................1
0.6 METHODOLOGIE......................................................................................................................2
0.7 CHOIX ET INTERET DU SUJET...............................................................................................2
0.8 DELIMITATION.........................................................................................................................2
0.9 SUBDIVSION..............................................................................................................................2
CHAPITRE I GENERALITES SUR LES MOTEUR DIESEL..............................................................3
I.1 DEFINITION ET HISTORIQUE..................................................................................................3
I.2 CYCLES THERMODYNAMIQUE ET REEL D’UN MOTEUR DIESEL..................................3
Figure I.1 : cycle à quatre temps.....................................................................................................4
I.2.1 Cycle a quatre temps mécaniques...........................................................................................4
I.2.2 Diagramme de pression – volume..............................................................................................6
I.2.2.1 Définition............................................................................................................................6
I.2.2.2 Diagramme théorique..........................................................................................................6
I.2.2.3 Diagramme pratique (réel)..................................................................................................8
Figure I.3 : Schéma représentante la distribution des avances et des retards à l’ouverture et à la
fermeture......................................................................................................................................10
Tableau I.1 : Avances et retards à l’ouverture et à la fermeture des soupapes d’admission et
d’échappement pour un moteur Diesel.............................................................................................10
I.3 LA COMBUSTION....................................................................................................................10
41
I.3.1 INTRODUCTION................................................................................................................10
I .3.2 COMBUSTIBLES UTILISES................................................................................................11
I.3.2.1 GENERALITES................................................................................................................11
I.3.2.2 CARACTERISTIQUES DU GAZOLE.............................................................................11
I.3.2.3 PROCESSUS DE COMBUSTION...................................................................................12
I.3.2.4 COMPRESSION DE L’AIR.............................................................................................12
I.3.2.5 ANALYSE DE LA COMBUSTION.................................................................................12
Figure I.5 : Chronologie de la combustion.......................................................................................13
I.4 LA PUISSANCE.........................................................................................................................14
I.4.1 DEFINITION.......................................................................................................................14
I.4.1.1. TYPES DES PUISSANCES............................................................................................14
I.4.3 RENDEMENT DU MOTEUR.................................................................................................15
CHAPITRE II. NOTIONS DE LA SURALIMENTATION................................................................17
II.1. INTRODUCTION....................................................................................................................17
II.2. DESCRIPTION........................................................................................................................17
Figure II.1 : installation d’un turbocompresseur sur un moteur automobile Diesel..........................17
II.3 FONCTIONNE DU TURBOCOMPRESSEUR........................................................................18
II.3.1 COMPOSITION DU TURBOCOMPRESSEUR....................................................................18
II.3.2 AVANTAGES....................................................................................................................19
II.3.3. INCONVENNIENTS............................................................................................................19
II.4 PRECAUTIOND’UTILISATION DU TURBOCOMPRESSEUR............................................20
II.4.1 LORS DU DEMARRAGE.................................................................................................20
II.4.2. LORS DE L’ARRET.........................................................................................................20
II.5 INTERET DE LA SURALIMENTATION................................................................................20
II.6. MODE DE SURALIMENTATION..........................................................................................22
II.6.1.SURALIMENTATION PAR GENERATEUR DES GAZ (OU COMPRESSEUR)
ENTRAINE PAR LE MOTEUR..................................................................................................22
II.6.2.MACHINE VOLUMETRIQUE.............................................................................................22
Figure II.3 : machine volumétrique..................................................................................................23
Figure II.4 : machine volumétrique..................................................................................................24
II.6.3. MACHINE CINETIQUE...................................................................................................24
Figure II.5 : machine cinétique.........................................................................................................25
II.6.4 SURALIMENTATION PAR TURBOCOMPRESEUR LIBRE.............................................25
Figure II.5 suralimentation par turbocompresseur libre....................................................................25
42