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PARTIE I : ATOMISTIQUE
1.1-PREAMBULE
1/2
Il est question de nous connaitre la matière au-delà de la division selon les états physiques
(solide-liquide-gazeux). Nous allons transcender les propriétés physiques de la matière
ordinairement appelées propriétés vectorielles : le coefficient de dilatation, la conductibilité
thermique, l’indice de réfraction. Si ces propriétés vectorielles sont indépendantes dans une
direction considérée, le corps est dit isotrope. Dans le cas contraire, il est dit anisotrope.
Rappelons que ces corps peuvent être des mélanges ou des corps purs. La compréhension de
l’environnement physique, chimique et biologique repose sur le concept de la théorie
atomique de l’atome fondée sur les lois fondamentales suivantes :
1. La conservation de la matière dans toutes les réactions chimique (Loi de
Lavoisier) mais pas applicable aux réactions nucléaire mettant en jeu des quantités
énergétique très importantes. Il faut dans ce cas intégrer l’équivalence entre la masse
et l’énergie pour satisfaire au principe général de la loi de conservation de l’énergie.
2. La loi des combinaisons en masse établissant des rapports quantitatifs entre les
masses des éléments dans un corps donnés (stœchiométrie). On distingue :
Loi des proportions définies (Loi de Proust): Pour un composé déterminé
les éléments constituant sont toujours combinés dans les proportions. Exemple
pour 9 grammes d’eau, il y a toujours 1 gramme d’hydrogène et 8 grammes
d’oxygène :
Loi des nombres proportionnels (Loi de Richter) : Si a et b sont les masses des
éléments A et B qui se combinent séparément avec une même masse e d’un
élément E, lorsque les éléments A et B se combinent entre eux ou d’une
manière générale lorsqu’ils entrent dans la composition d’un corps pur, leurs
2/2
masses sont entre elles comme les nombres m et n’étant les nombres
Dans tous ces exemples, les rapports des volumes gazeux ne font qu’intervenir que les
nombres 1, 2 et 3. Mais ces rapports n’ont pas concordance expérimentales.
4. HYPOTHESE D’AVOGADRO : Tous les gaz, pris dans les mêmes conditions de
température et de pression renferme à volumes égaux le même nombre de molécules.
5. CONCEPT DE MOLE(n) : Il s’agit d’une population de 6.0022. 1023 molécules
(nombre de molécules contenu dans 22,414 litre ou encore la quantité de matière
contenant autant de particule qu’il y a d’atome dans 12 000 gramme d’isotope 12 du
carbone). Cette détermination de quantité de matière est très variable avec l’état
physique considéré :
3/2
ETAT GAZEUSE:
SOLUTION:
formés (2) et (3). Les indices Ji sont des coefficients stœchiométriques correspondant de
chaque entité moléculaire.
Dans le cas de solution, on se réfère aux propriétés colligatives (les grandeurs
thermodynamiques des solutions ne dépendent pas du nombre de molécules mais de leur
nature chimique) :
La pression osmotique
L’abaissement de tension de vapeur
L’élévation de point d’ébullition (ébullioscopie)
L’abaissement de point de fusion (cryoscopie)
Nous développerons ce point dans le respect des trois hypothèses suivantes :
Le soluté n’est pas volatile et par conséquent ne contribue pas à sa phase vapeur.
Le soluté ne se dissout pas dans le solvant solide
La quantité de soluté reste faible et l’on peut poser que l’activité est égale à la
concentration
1.2.1-Ebullioscopie
Il s’agit de l’augmentation de la température d’ébullition d’un solvant lors de l’addition de
d’une masse connue d’un soluté non volatil à une masse connue de solvant. Soit ΔT= T-T0
4/2
est appelée élévation ébullioscopique. Cet écart thermique entre la température d’ébullition
de la solution et celle du solvant pur est proportionnel à la molalité (n) du corps dissout :
( )
( *
Les deux formulations de cet écart thermique ont une compatibilité qui peut s’exprimer :
5/2
Le défaut de masse d’un noyau A est la différence entre la masse totale de A nucléons (Z
protons et N neutrons) et la masse du noyau au repos.
*( ) +
*( ) +
L’énergie de liaison par nucléon permet de mesurer la stabilité de chaque élément. Une
énergie de liaison par nucléon plus grande correspond à un noyau plus stable.
2.1.2- LA RADIOACTIVITE
C’est un phénomène par lequel les noyaux atomiques instables évoluent vers des noyaux
stables en émettant des rayonnements. On distingue :
Radioactivité naturelle : Ensemble de réactions produisant spontanément dans
les noyaux instables. Ces réactions sont gouvernées par deux lois de Soddy
permettant d’explorer la conservation du nombre de charge électrique(Somme de
charge électrique de la particule et du noyau produit est égale au nombre Z du
noyau père) et la loi de conservation du nombre de nucléons (la somme du nombre
de nucléons de la particule et du noyau produit est égale au nombre de nucléons A du
noyau père). On peut appliquer ces deux lois de Soddy :
6/2
Remarque :
1. Il y a émission d’un rayonnement γ lorsque le noyau passe d’un niveau d’énergie E j à
un niveau d’énergie Ei inférieure. La fréquence du rayonnement γ émis est alors telles
que :
De même, les noyaux légers instables peuvent s’unir pour donner un élément de
masse moyenne : exemple : réaction de fission d’atomes : Hydrogène, deutérium et
tritium :
7/2
( )
Période radioactive T (temps de demi-vie) correspondant au temps au cours duquel la moitié
de noyaux de A ont disparus :
(*)
Solution de type :
8/2
Si par conséquent : de même on
obtient :
On constate que le rapport est indépendant du temps mais dépend uniquement de période.
Illustration directe 1 :
(a)Le volume de radon ( est en équilibre avec 1 g de radium ( est égale à 0,65
mm3 dans les conditions normales de température et de préssion. D’autre part, la constante
radioactive de radon vaut 2,097.10-6s-1. En déduire la constante radioactive de radium et sa
période :
(b) Ce gramme de radium émet 3,68 1010 particules α par seconde, en déduire une valeur du
nombre d’avogadro :
( ) ( ) ( *
(a) On a : =1,355x10-11 s-1
( * ( * ( )
Par consequent,
(b)
( ) ( )
(a)La période du bismuth 212 est T= 60 min et celle du polonium 212 est 3.10-7 s. Calculer le
volume gazeux dégagé à 27° et sous une pression atmosphérique normale par 1g de bismuth
212 en 2 heures, en 24 heures.
(b) Combien de temps faut il attendre pour obtenir 0,5 g de plomb ?
(a)
9/2
:
On peut conclure que le nombre d’atome de bismuth disparu est pratiquement égal au nombre
de d’atome d’hélium (polonium) formé
Soit N0 le nombre d’atome de bismuth initial et N le nombre d’atome de bismuth à l’instant
t:
( *
( ) ( *( )
( * ( *( ) ( *( )
Par conséquent, on a :
( ( )) ( ) ( ( )+ ( *
On peut remplacer
t 2 10 24
V 116,04 ? ?
( ) ( *( )
( ) ( *( )
10/2
( *
( )
(( ))
( *
( ( ),
(( ))
( ( ))
2.1.3- STRUCTURE ELECTRONIQUE
( )
est la constante de Rydberg égale à 1,0973 .107 m-1 pour l’atome d’hydrogène. On peut
généraliser cette relation par :
( )
11/2
Considérons l’électron (de masse m) de l’atome d’hydrogène en rotation sur une orbite
circulaire de rayon r :
On a :
(1)
(2)
( *
La théorie de Bohr est fondée sur la quantification du moment angulaire orbital de l’électron :
Par conséquent,
(3)
(4)
12/2
A partir des constantes universelles, on obtient la relation :
( )
( )
On peut déduire à partir de la deuxième équation de cette section que la constante de Rydberg
Remarque
a) Si on a à faire à une émission
b) Si on a à faire à une absorption
( )
Avec
E : énergie totale de la particule
13/2
V : énergie potentielle de la particule
m : masse de la particule
h : constante de Planck
On remarque cette équation est indépendante du temps, on dit qu’elle est stationnaire.
Cas des hydrogénoïde (système ayant un seul électron qui tourne autour d’un noyau de
charge ( )). L’équation Schrödinger admet dans ce cas une infinité de solutions
dépendantes de trois paramètres :
n (entier positif) nombre quantique principal
l quantique secondaire ayant des valeurs entières comprises entre 0 et n-1.
M nombre quantique azimuthales ayant des valeurs entière comprises entre-l et +l soit
un ensemble de 2l+1 valeurs de m pour chaque valeur de l.
On n’aura les notations spectroscopiques suivantes :
l 0 1 2 3
Notation adoptée s p d f
Pour chaque jet de valeurs (n,l,m) correspond une solution particulière . Chaque
solution traduit une distribution électronique. Pour une même valeur d’énergie, il y a g
fonctions d’onde ( ) solution de l’équation Schrödinger. On démontre que :
: :
(2s)
14/2
dégénérescences dégénérescences dégénérescences
Intégrons maintenant l’existence d’une rotation propre des électrons autour de leur centre de
gravité proposée par Goodsmit et Uhlenbeck. Ce phénomène s’appelle « spin » d’électron.
La projection du moment cinétique de spin ne prend que deux valeurs :
On peut donc conclure l’état électronique d’un hydrogénoïde dépend de quatre nombre
quantiques.
2.1.3.3- Réprésentation graphique des fonctions d’onde : les orbitales atomiques
2.1.3.4- Structure électronique des atomes-classification périodique des éléments
L’organisation du nuage électronique dépend des quatre nombres quantiques (n, l, m s). Ce
nuage est organisé en couche selon les valeurs n :
Valeurs de n Symbole de la Valeurs de l Symbole
couche de sous-couche
1 K 0 s
2 L 1 p
3 M 2 d
4 N 3 f
5 O 4 ….
Le nombre des valeurs de m correspond au nombre de case quantique de la sous-couche
indiquée :
Valeurs de l Valeurs de m Cases quantiques
0 0 (s)
1 -1,0,+1 (p)
2 -2,-1,0,+1,+2 (d)
3 -3,-2,-1,0,+1,+2,+3 (f)
Considérons la couche M : 3s 3p 3d
Le remplissage de ces cases quantiques respecte les principes d’exclusion de Pauli imposant
l’unique possibilité d’avoir dans une case quantique deux électrons de spin contraires et
15/2
d’exclure les autres possibilités. De même au regard des diverses valeurs du spin, une case
quantique ne peut contenir au plus deux électrons : Cas de l’atome ayant deux électrons
16/2
énergie f
d
f
p
d
f s
p
d
s
p
d
s
p
s
p
s
s
Couche K(1) L(2) M(3) N(4) O(5) P(6) Q(7)
d’ordre n
l/n 1 2 3 4 5 6
0 1s 2s 3s 4s 5s 6s
1 2p 3p 4p 5p 6p
2 3d 4d 5d 6d
3 4f 5f 6f
17/2
S(Z=16) 1s22s22p63s23p4 -
Na(Z=11) 1s22s22p63s1 -
K(Z=19) 1s22s22p63s23p64s1 -
Al (Z=13) 1s22s22p63s23p5 -
2 2 6 2 6
Ar (Z =18) 1s 2s 2p 3s 3p -
Cr(Z= 24) 1s22s22p63s23p64s23d4 1s22s22p63s23p63d54s1
Cu (Z=29) 1s22s22p63s23p64s23d9 1s22s22p63s23p63d104s1
Molybdène(Z=42) Entrainement familial Entrainement familial
Argent (Z=47 ?) Entrainement familial Entrainement familial
Pour le cas des ions (cation ou anion), il suffit soustraire ou d’ajouter le nombre d’électron
indiqué et y appliquer mécaniquement la règle de règle de Kléchkowski
désignation règle de Kléchkowski Exception à la règle
O2-(Z =10) 1s22s22p6 -
S2-( (Z=18) 1s22s22p63s23p6 -
+1 2 2 6
Na ( (Z=11) 1s 2s 2p -
K+1 (Z=19) 1s22s22p63s23p6 -
Remarque : Pour une sous-couche indiquée, toutes les cases quantiques d’abord un électron
dans un ordre allant de la gauche à la droite. Avant tout processus d’appariement dans le
même sens (Régle de Hund).
Régle de Hund Inacceptable
C(Z=6) 1s22s22p2= |[He] 2s22p2 :
|[He] : 2s2 2p2 (p) |[He]: 2s2 2p2
N(Z=7) 1s22s22p3= |[He] 2s22p3 :
|[He] : 2s2 2p2 (p) |[He]: 2s2 2p2
O(Z=8) 1s22s22p4= |[He] 2s22p4 :
(|[He] : 2s2 2p2 p) |[He]: 2s2 2p2
18/2
désignation règle de Kléchkowski
O(Z =8) 1s22s22p4 [He]2s22p4
S(Z=16) 1s22s22p63s23p4 [Ne] 3s23p4
Na(Z=11) 1s22s22p63s1 [Ne] 3s1
K(Z=19) 1s22s22p63s23p64s1 [Ar] 4s1
Al (Z=13) 1s22s22p63s23p5 [Ne] 3s23p5
Ar (Z =18) 1s22s22p63s23p6 [Ar]
Cr(Z= 24) 1s22s22p63s23p64s23d4 [Ar]4s23d4
Cu (Z=29) 1s22s22p63s23p6 4s23d9 [Ar] 4s23d9
Ca(Z=20) 1s22s22p63s23p64s2 [Ar]4s2
19/2
2.1-Modèle DE LEWIS
Son principe repose sur la mise en commun des électrons de la couche de valence afin
conduire au gaz rare le plus proche par le biais d’un doublet. Chaque atome réalise ainsi
l’octet dans sa couche de valence. Ceci permet d’établir les types de liaisons suivantes :
Liaisons simples :
H H
Dihalogène (X2)
X X
Ammoniac :
H N H
Méthane :
H
H C H
H
Liaisons doubles : C=N, C=C, C=O,
Liaisons triples : C≡C, N≡N,
Liaisons datives (liaison de coordination)
H+
H N H H N H
H H
Illustration directe 01: expliquer par le modèle de Lewis la formation des composés
suivants :
20/2
a) CH4
C : Z=6 : 1s22s22p2= [He] 2s22p2= [He] 2s12p3= [He] 2s 2p
⏞ ⏞ ⏞ ⏞
b) SO2:
O : Z=8 : [He] 2s22p4 : |[He] 2s2 2p4
O S O
c) NO2
N: Z=7 : [He] 2s22p3 : |[He] 2s2 2p4
N N O
En conclusion,
21/2
N N
2.2-Modèle ONDULATOIRE
Nous avions développé dans le cours précédent la fondation duelle onde-particule dudit
modèle dans la description du nuage électronique de l’atome. Il faut donc poser la question
sur la combinaison de deux fonctions d’ondes issues de nuages électroniques différents. Cette
combinaison obéit à la proposition de Mulliken basée sur une combinaison linéaire nommé
ordinairement LCAO (Linear Combinaition of atomic orbitals). Pratiquement, on évalue la
combinaison des orbitales atomiques conduisant chaque fois à une orbitales moléculaire
(OM) liantes et à une orbitale moléculaire (OM) antiliante dont la notation est toujours
suivie du symbole ٭. Il est important de retenir que les OMs liantes sont toujours ont une
énergie inférieure à celle de leurs homologues antiliantes. Le nombre de chaque type est la
moitié du nombre total. Une lecture plus intime montre que :
( *
( + ( + ( *
{ ( *
Orbitale
atomique HA Orbitale Orbitale
Moléculaire H2 atomique HB
2px* py*
2p 2p
py
2px
pz
2s 2s
s
1s 1s
Orbitales
atomiques Orbitales Orbitales
Moléculaires atomiques
( ) ( ) ( )
23/2
La molécule de dioxygène a deux électrons non appariées alors la molécules est dite
paramagnétique
2px* py*
2p 2p
py
2px
pz
2s 2s
s
1s 1s
Orbitales
atomiques Orbitales Orbitales
Moléculaires atomiques
( ) ( )
Notion d’ordre de liaison : moitié de la soustraction du nombre d’électrons liants par leur
homologue antiliant
Dans certains cas, l’ordre de liaison peut être demi-entier (si cet ordre vaut 1,5 la liaison est
assurée par trois électrons)
24/2
La molécule de diazote ne possède pas d’électrons non appariées alors la molécule est dite
diamagnétique.
2.3-Modèle VSEPR (Valence Shell Electron Pair Répulsion)
Ce modèle repose sur l’arrangement préférentiel d’un nombre donné de doublets d’électrons
est celui qui maximise leurs distances respectives. Pour un atome central A, les doublets liants
l’atome central A noté X de nombre total m et les doublets antiliants de l’atome central A
noté E de nombre total n permettent de spécifier la géométrie la molécule de formulation
AXmEn en fonction des valeurs de m+n :
m+n Géométrie attendue
2 linéaire
3 triangulaire
4 tétraédrique
5 Bipyramide trigonale
6 Octaédrique
Les coéfficient ai, bi, ci et di ( i= 1,2,3,4) sont déterminée à partir du principe de normalisation
des diverses fonctions d’ondes. Examinons les diverses hybridations possibles :
25/2
2.3.1-hybridation digonale
Elle consiste à combiner une orbitale de type s avec une autre de type p pour obtenir une
orbitale sp. Considérons les orbitales hybrides suivantes :
Les orbitales hybrides t1 et t2 sont équivalentes. Leurs axes forment entre eux un angle droit
de 180° (Hybridation digonale).
Soient la molécule de BeH2, examinons l’hybridation entre les orbitales de l’atome de
beryllium (Z = 4) et l’orbitale 1s de l’atome d’hydrogène :
2s 2p 2orbitales
2orbitales
hybrides sp nonhybrides sp
1
H 1s H 1s1
2.3.2-hybridation trigonale
Elle consiste à combiner une orbitale de type s avec deux orbitales de type p pour obtenir une
orbitale sp2. Considérons les orbitales hybrides suivantes :
Les orbitales hybrides t1, t2 et et t3 sont équivalentes. Leurs axes forment entre eux un angle
de 120° (Hybridation trigonale).
26/2
Soient la molécule de BH3, examinons l’hybridation entre les orbitales de l’atome de
bore (Z = 5) et l’orbitale 1s de l’atome d’hydrogène :
2s 2p 2orbitales
hybrides sp 2orbitales
nonhybrides sp
1 1
H 1s H 1s H 1s1
2.3.3-hybridation tétragonale
Considerons la molécule de méthane CH4 :
C (Z = 6) : 1s2 2s2 2p2= [He] 2s2 2p2 =
2s 2p 4orbitales
hybrides sp
1 1
H 1s H 1s H 1s1 H 1s1
27/2
[ ]
{
[ ]
[ ]
{ [ ]
[ ]
Examinons les types d’hybridation dans ce cas :
[ ]
Pt (Z = 78) =[Xe]5d86s2 Pt2+ (Z = 78) =[Xe]5d8
Pt2+ (Z = 78) =[Xe]5d8
6s 6p
5d
Hybridation dsp2
6s 6p
5d
4Cl-(Z=18) [Ne]3s23p8
Hybridation dsp2
[ ]
28/2
Fe ( Z= 26) [Ar]3d64s2 Fe2+ ( Z= 26) [Ar]3d6
4s 4p
3d
Hybridation d2sp3
4s 4p
3d
6CN-
Hybridation d2sp3
[ ]
29/2
Pt2+ (Z = 78) =[Xe]5d8
6s 6p
5d
Hybridation sp3
6s 6p
5d
6CN-
Hybridation sp3
30/2
3-THERMODYNAMIQUE CHIMIQUE
Un système non contenu dans des parois déformables est soumis aux déformations externes
correspondant à un échange de travail avec le milieu exterieur.
La chaleur est comptée positivement si elle est reçue par le système. Lorsqu’un système
échange de l’énergie (travail ou chaleur Q) avec le milieu exterieur son énergie interne varie
également.
31/2