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Niveau : A2-B1
Objectifs communicatifs :
· Raconter un souvenir d’enfance
· Parler des habitudes passées
Objectifs linguistiques :
· Utiliser l’imparfait de l’indicatif
· Enrichir le lexique des habitudes passées
DÉROULEMENT
1- Guy raconte ses souvenirs quand il était : 4- Souvent, Guy quittait la maison en compagnie :
☐ Au collège ☐ de sa mère
☐ A l’école primaire ☐ de son père
☐ Au lycée ☐ d’un ou de deux voisins qui se rendaient à la
même école
2- Les parents de Guy se levaient vers :
☐ 6h00 5- Le directeur de l’école tendait la main :
☐ 7h00 ☐ aux premiers arrivés
☐ 7h30 ☐ à tous les élèves
☐ aux retardataires
3- La mère de Guy préparait le petit déjeuner
pendant que son père : 6- Le père de Guy était :
☐ lisait son journal ☐ son professeur
☐ prenait sa douche ☐ le directeur de son école
☐ s’habillait ☐ le professeur de son ami
1- A l’école primaire
2- 7h00
3- prenait sa douche
4- d’un ou de deux voisins qui se rendaient à la même école
5- à tous les élèves
6- le directeur de son école
Partie I
Quand j’étais à l’école primaire, chaque matin de l’année scolaire se déroulait selon le même rituel.
Mes parents se levaient vers sept heures. Ma mère préparait le petit déjeuner pendant que mon
père prenait sa douche. Je me levais à mon tour à sept heures trente, me lavais et m’habillais en
vitesse, puis descendais prendre mon petit déjeuner après avoir planté un baiser sur la joue de ma
mère qui buvait son café, puis mon père qui lisait son journal. Ensuite, mon père partait au travail.
Je quittais la maison à mon tour à un quart d’heure plus tard souvent en compagnie d’un ou de
deux voisins qui se rendaient à la même école. Quand nous arrivions à l’école, le directeur se
tenait devant la grille qui donnait accès à la cour de récréation et tendait la main à tous les élèves
qui arrivaient. Nous nous acquittions d’un « bonjour monsieur » avant d’entrer dans la cour pour
profiter des quelques minutes précédant la sonnerie qui signalerait le commencement des classes.
Un beau matin, après, après avoir embrassé mon père comme de coutume, je l’entendais me dire :
« Fiston, tu n’es pas obligé de me dire bonjour monsieur chaque matin puisque nous nous saluons à
la maison de toute façon ». Et oui, le directeur de l’école c’était mon père et je croyais bien faire en
imitant mes camarades de classe pour ne pas paraître jouir d’un statut privilégié en ne le saluant
pas comme les autres.
Partie II
Consigne pour l’apprenant
Suivant la chronologie du texte :