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Rapport de stage 
Classe : CPh

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 SOMMAIRES :
Remerciements.............................................................................................................3

Introduction....................................................................................................................4

I. Le Français une discipline fondamentale à l’apprentissage...................................5

a) La préparation à la lecture...............................................................................5

b) L’écriture..........................................................................................................7

II. Les mathématiques, une discipline complexe mais fondamentales......................7

a) Compter...........................................................................................................7

b) Calcul...............................................................................................................7

Conclusion.....................................................................................................................8

Annexe..........................................................................................................................9

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 Remerciements

Tout d’abord, Je tiens aussi à remercier tous les responsables et les professeurs de
la Licence ST-SPDMS de nous avoir donné l’opportunité de réaliser un stage
d’observation au sein d’un établissement scolaire.

Ensuite, je tiens à remercier Mr. Moussa MALAZA SOILIHI, directeur de l’école

élémentaire de Koungou Plateau, de m’avoir accueillie au sein de son établissement,
et d’avoir pris le temps de répondre à mes questions et de me confier les documents
nécessaires.

Et enfin, je remercie également ma tutrice de stage Mme Djamila MIKIDADI,

professeur des écoles de la classe de CP, d’avoir facilité mon intégration en me
présentant l’ensemble de ses collègues, d’avoir pris le temps de répondre à mes
questions et prodigué des conseils essentiels à l’enseignement. Grâce à elle, j’ai
énormément appris de la classe de CP.

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 Introduction

Dans le cadre de ma formation en troisième année de licence Science

Technologique - Science du Premier Degrés de la Médiation Scientifique (ST-
SPDMS), nous avons eu l’opportunité de réaliser un stage d’observation au sein d’un
établissement scolaire. Ce dernier a pour but de nous permettre de se familiariser
avec les supports institutionnels et de comprendre le fonctionnement de l’école
primaire. Pour ce faire, il devait être réalisé pendant une période de deux semaines à
compter du 14 février 2022 au 25 février 2022 pour les non-salariés, et d’une durée
d’un mois à partir du 30 janvier 2022 au 25 février 2022 pour les salariés. De ce fait,
étant non salarié, j’ai effectué que deux semaines de stage au sein de l’école
élémentaire de Koungou Plateau.

Dans celle-ci, il y a 34 enseignants, 15 salles de classes, 8 toilettes (enseignants et

élèves) et 2 salles de confinement (permettant de se regrouper au cas où il y aurait
une attaque terroriste). Le rythme scolaire présent dans cet établissement est la
rotation. L’ouverture était donc de 7h00 jusqu’à 12h pour les élèves qui ont cours le
matin puis de 12h à 17h pour ceux de l’après-midi et ils s’y rendaient du lundi au
vendredi. Étant dans un établissement en rotation, je commençais à 7h et je
terminais à 12h. Il y avait deux récréations qui duraient 30 minutes : une à 9h et
l’autre à 10h. Les Activités Pédagogiques Complémentaires (APC) sont d’une durée
d’une heure et ils étaient effectués tous les mardi et jeudi de 11h à 12.

J’ai effectué mon stage, avec l’encadrement de Mme Djamila MIKIDADI, dans une
classe de CPh, dans laquelle il y avait 11 élèves dont 6 filles et 5 garçons. Durant
mon stage, ma tutrice me confia que ses élèves avaient effectué qu’une année de
maternelle, qu’il y en avait 3 en difficultés d’apprentissage et que deux d’entre eux
ont été signalé au psychologue scolaire. Dans la salle, il y avait une multitude
d’étiquettes affiché le long des murs, sur et à côté du tableau. Il y avait 6 bancs en
bois placés en colonne : trois à gauche et trois à droite (Voir Annexe 1), et chaque
élève s’asseyait à la place et avec la personne qu’il voulait. Au cours de toutes les
séances, ils travaillaient toujours de façon individuelle et les tables étaient toujours à
la même place. Il n’y avait donc pas de travaille en groupe ou en atelier.

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Au début de chaque cours, les élèves commençaient les rituels. Tout d’abord trois
élèves se rendent au tableau, un élève écrit la date du jour pendant que deux élèves
manipulent les étiquettes afin de mettre en place la date d’hier puis celle
d’aujourd’hui et enfin celle de demain. Les étiquettes étaient placées par différent
couleur, la date du en violet, celle d’hier en orange et celle de demain en vert.
L’enseignant se chargeait de regarder, d’écouter et de corriger en cas de faute. Tous
les jours, il différents élèves pour la date. Ensuite, chaque élève lisait le phonème de
chaque lettre de l’alphabet en disant « je vois A j’entends [a] » (Voir Photo Annexe
2). Puis chacun lisait « les mots outils » affichés sur le mur (Voir Photo Annexe 3). La
maîtresse s’asseyait toujours sur une petite chaise pendant les rituels et elle passait
devant les rangs pendant les travaux individuels.

L’objectif de ses rituels est de travailler la notion du temps, et aussi permettre aux
élèves de mémoriser comment s’écrit la date, les mots essentielles pour construire le
langage.

Durant les cours la maitresse a enseigné plusieurs disciplines français,

mathématiques, science, EMC etc.., j’ai choisi les maths et le français car ce sont les
matières qui m’ont le plus intéressé et qui me paraisse indispensable, car elles
étaient beaucoup privilégiées en CP.

a) Le Français une discipline fondamentale à

l’apprentissage

L’acquisition de la langue française est primordiale à l’école, surtout qu’à Mayotte le

langage acquis dès la naissance des élèves est le shimaoré, le Kibushi, le Shigazidja
ou le Shidzouani.

b) La préparation à la lecture

A chaque nouvelle semaine, les élèves travaillaient un nouveau phonème via un livre
pédagogique nommé « Taoki et ses amis ». Pour ce faire, elle exposait une grande

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image au tableau (Voir Annexe 4) et demandait aux élèves ce qu’ils voyaient et ce
qu’ils en pensaient.

Ils donnaient plusieurs réponses en même et donc elle rappelait les règles de vie de
classe, en leur disant de lever la main avant de parler et d’écouter les autres. A
chaque réponse elle demandait une justification de leurs réponses à travers l’image
affichée. Cependant pour les élèves qui rencontraient des difficultés de lexique, elle
leur demandait de donner leurs avis en utilisant le shimaoré. Durant cette séance, il
beaucoup d’élève avaient du mal à faire une phrase correcte, car il y avait des mots
qui manquaient. Pour remédier à ce problème, elle les aidait en leur donnant les
mots qui manquait et en leur disant de regarder le mot écrit parmi « les mots outils »
pour qu’il puisse voir comment il s’écrit. Par conséquent si le mot ne figure pas parmi
« les mots outils », elle l’écrivait au tableau tout en prenant soin de laisser un petit
espace afin de lire chaque syllabe du mot. Une fois que chacun ait donné son idée,
elle lisait le texte et leurs demandait si leurs réponses étaient bonnes. Cette affiche
permettait d’étudier le son [p]. Elle reprend par la suite les mots avec ce phonème
dans le texte.

Cette séance a pour objectif de permettre à ce que tous les élèves puissent
s’exprimer en d’écrivant ce qu’ils voient, et en justifiant leurs réponses et de
constater comment ils parlent en français. Cela permet, l’acquisition de la langue
française à l’oral et à l’écrit et de permettre aux élèves d’être dépendant pour
chercher les réponses à travers les affiches.

c) L’écriture

L’écriture est une étape fondamentale et très complexe qui nécessite un temps de
concentration plus important. Les élèves doivent donc être concentrés pour y arriver.
Pendant mon stage, j’ai pu observer que l’enseignante travaille tous les matins
l’écriture avec ses élèves. Le nouveau phonème travaillait pendant la séance d’avant
sert à la formatrice de construire une séance d’écriture basée sur le début de la lettre
du son et des mots du même phonème étudiés dans le texte. Lors de celle-ci, les
élèves utilisaient leurs cahiers d’écriture rouge pour reproduire le modèle écrit la
veille par la maîtresse. La maîtresse utilisait un code couleur pour reconnaitre les
cahiers, il y en avait en tout sept. Les élèves consacré environ deux heures à

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l’écriture. Ensuite, dès qu’ils ont fini, ils allaient montrer leurs productions à la
maîtresse qui leur demandait de lire ce qu’ils avaient écrit.

L’objectif visé est de permettre une amélioration de la qualité d’écriture, et aussi de

permettre aux élèves de savoir discriminer un mot.

d) Les mathématiques, une discipline complexe mais

fondamentale

a) Compter
Les élèves connaissaient la comptine numérique, et savent la « réciter » sans
difficulté jusqu’à trente, puis avec quelques difficultés jusqu’à cent. La difficulté était
parce qu’ils confondaient le nombre 70 et 90. Pour contrer à ce problème, elle a
travaillé les dizaines et les unités avec eux. Puis elle a donné un exercice qui
consiste à donner le nombre qui vient avant et après. Pour les élèves en difficultés,
elle leur disait de regarder les affiches afin de pouvoir bien

b) Calcul
Pour la séance de calcul

Conclusion
Ce stage a été très fructueux pour moi car il m’a permis de comprendre un peu le
fonctionnement d’une classe du cycle 2.

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 Annexe

Annexe 1 :

Annexe 2 :

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Annexe 3 :

Annexe 4 :

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