Rapport d'observation en classe

Amirhosein Mardani
A-Introduction
Le rapport porte sur une classe d'anglais de niveau élémentaire. La classe
est composée de 4 étudiants. Tous les étudiants sont des adultes. 3 filles et
un garçon. Il y avait un tableau blanc, un bureau d'enseignant et un
ordinateur portable. L'enseignant est une jeune fille d'environ 24 ans.

B-objectif
le professeur d'anglais veut enseigner :
Grammaire :
1-Passé simple
2-Comment le rendre positif et négatif
3-Comment le rendre sous forme de question
Vocabulaire :
Expliquez quelques noms et emplois.

C - Le processus d'enseignement :
L'enseignante a commencé par poser quelques questions sur les leçons de
la session précédente. Elle a essayé de parler au niveau de l'élève pour que
celui-ci puisse la comprendre. Tous les étudiants étaient de vrais débutants,
car ils avaient passé un trimestre et avaient une certaine expérience de
l'anglais. Lorsque les élèves se trompaient, l'enseignant les corrigeait par le
biais de leurs phrases. Il s'agit d'une mauvaise méthode car l'enseignant n'a
pas permis aux élèves de comprendre leurs erreurs et a empêché la
correction par les pairs.
Puis elle écrit une phrase au tableau : "il était le troisième président"
A ce niveau, elle a essayé d'enseigner avec une méthode inductive. Elle a
commencé par un exemple et a demandé aux élèves : s'agit-il d'une phrase
positive ou négative ? Les étudiants ont répondu par l'affirmative. Elle
demande ensuite aux élèves de transformer la phrase en forme négative et
en forme de question. Puis elle leur explique comment est faite la structure
d'une phrase. Elle a ensuite demandé oralement quelques autres exemples.
Il s'agit d'une partie déductive de l'enseignement ; l'enseignant explique
certains rôles et passe ensuite à des exemples et à des pratiques. Dans cette
partie de l'enseignement de la grammaire, l'enseignant a suivi la méthode
académique d'enseignement de la grammaire. Il s'agissait d'un achèvement
de l'inductif et du déductif, et elle a commencé par l'inductif avant de passer
au déductif.
Pendant l'enseignement de cette partie, elle a essayé de se concentrer sur la
partie importante de la leçon. Par exemple, ici, "était" et "étaient" sont des
mots importants. Elle a essayé de les mettre en valeur en augmentant le
volume de sa voix ou en faisant des gestes.
Enfin, pour plus de pratique, elle demande aux élèves de dire quelque chose
de négatif sur eux-mêmes au passé simple. Le travail suivant consistait à
travailler en binôme. Elle a divisé les élèves en deux groupes et leur a
demandé de travailler ensemble sur le sujet. Cela prend environ 3 minutes.
Elle leur a ensuite posé des questions sur leur travail. Ici, elle a d'abord laissé
les élèves se corriger les uns les autres, puis elle est passée à la correction
par l'enseignant. Elle n'a donc pas répété son erreur précédente. Elle permet
à chaque élève de comprendre son erreur et crée un environnement propice
à la correction par les pairs et, enfin, par l'enseignant.
La partie suivante a fait de même. Il s'agissait des contractions. Elle a
commencé par la méthode inductive et a donné quelques exemples : Je suis
= je suis ou tu es = tu es. Puis elle les écrit sur le tableau. C'était une
déduction.
Puis, pour plus de pratique, elle a demandé à certains élèves : où sont nés
vos grands-parents ? Elle a fait la même correction que la précédente.
Ensuite, pour une meilleure compréhension et une meilleure pratique, elle
choisit une personne pour lire une phrase simple, une personne pour la
rendre négative et une personne pour la rendre sous forme de question.
Dans la partie suivante, elle allait enseigner le vocabulaire. Elle a commencé
cette partie avec le tableau, et a écrit quelques noms et verbes sur le tableau.
Par exemple : paint piano, etc. et ensuite elle les a transformés en métiers
comme peintre ou pianiste en ajoutant des suffixes. Elle s'est ensuite dirigée
vers le livre et a demandé aux élèves de s'exercer sur le livre. Cela prend
environ 8 minutes. Elle demande ensuite aux élèves de lire les réponses. Elle
a poursuivi avec la correction par les pairs et la correction par l'enseignant.
Les nouveaux mots étaient des mots concrets et actifs, et ils concernaient
des emplois. Elle leur a donné une définition simplifiée. Dans certains cas,
elle demande aux élèves de consulter le dictionnaire.
A ce stade, elle a commis quelques erreurs selon la méthode académique
d'enseignement du vocabulaire. Dans ce cas, elle a dû commencer par une
méthode inductive et créer un contexte pour le nouveau mot dans l'esprit des
élèves, par exemple en montrant des images et des définitions simples. Mais
elle est allée à l'internat et a commencé à faire de la déduction. Elle n'a pas
utilisé de realia. La bonne méthode est suggérée ici dans les méthodes
académiques est la fente donnée. Elle n'a pas préparé de créneaux horaires
pré-organisés pour les donner aux étudiants et les mettre en pratique.
A la fin du cours, ils ont une sorte de discussion libre sur le shopping pour
améliorer leurs compétences orales.

Formulaire d'observation en classe

1. Centré sur l'apprenant
L'instructeur met-il les étudiants au défi ? (Donner des explications sur ce qui est
attendu) Non, le processus d'enseignement était comme une machine. Chaque élève
attendait que l'enseignant lui explique des leçons telles que le vocabulaire ou la
grammaire. On s'attend ici à ce que l'enseignant invite les élèves à une sorte de défi en
leur posant des questions sur les nouvelles leçons et en créant un espace vide dans leur
esprit.
Donne-t-il aux élèves le choix et le contrôle ?
Non, la classe était entièrement sous la responsabilité de l'enseignant et tout se déroulait
selon les plans de cours.
Encourage-t-il les élèves à travailler ensemble ? Oui, dans chaque partie, il a été
observé que l'enseignant a demandé à certaines équipes de travailler en binôme afin de
mieux s'entraîner.
Pose-t-il des questions ouvertes exigeant une réponse réfléchie de la part des
élèves ? Non, toutes les questions posées par l'enseignant étaient simples et faciles.
Peut-être était-ce dû au niveau des étudiants.
Fournit-il des informations intéressantes et
Pertinent ? Non, elle a juste essayé de définir ce qui se passe et je n'ai pas vu l'utilisation
d'objets.
Fait-il preuve de respect (connaît les noms, est poli, etc.) ?
Accorde-t-il une attention particulière aux styles d'apprentissage personnels ?
Non, elle ne l'a pas fait.
Encourage-t-il les élèves à poser des questions ? Oui, par exemple, après chaque
partie, elle a demandé s'il y avait un problème à poser. Et elle a essayé de leur faire poser
des questions.
2. Plan stratégique final (planification des cours)
L'instructeur fournit-il à la classe un plan pour ce cours ?
Période ? (Soit verbalement, soit par écrit) Oui, l'enseignement a été complètement
suivi par un plan pré-organisé, et elle l'a suivi pas à pas.

Arrive-t-il au cours préparé avec des notes, des aides pédagogiques, le matériel
nécessaire, etc. Non, tout s'est fait verbalement et il n'y a pas eu d'écrit ni d'équipement.

Est-ce qu'il/elle explique tout le matériel nécessaire pour cette période de cours ?
Oui, il était complet, mais il pourrait l'être davantage !

Utilise-t-il des technologies telles que Visualize, l'ordinateur, etc. Non, il y avait un
ordinateur portable et un projecteur, mais ils n'étaient pas utilisés en classe.

3. riche en ressources
L'enseignant utilise-t-il des notes, des polycopiés, un tableau blanc, des vidéos, des
présentations informatiques, des démonstrations, des manuels ou d'autres
ressources documentaires ? ( Oui, juste un tableau blanc pour expliquer certains rôles
de la leçon.
Rapport sur l'observation en classe
1.0 Introduction :

L'enseignement est au centre de tous les sujets liés à l'éducation. En tant qu'étudiant
de l'Institute of Education & Research, nous avons donc dû enseigner dans une
véritable salle de classe. Avant de commencer à enseigner dans une salle de classe
réelle, il est utile pour un enseignant en exercice de se familiariser avec le processus,
la méthode, l'enseignement s'il observe une classe d'un certain niveau avant d'entrer
dans une classe en tant qu'enseignant.

2.0 Description :

Le premier jour à l'école, j'ai dû prendre mes habitudes. Ensuite, j'ai rencontré les
enseignants qui ont suivi ces cours avant moi. Je leur ai demandé poliment s'ils
pouvaient m'autoriser à observer leurs cours. Tous deux m'ont cordialement invité à
observer leurs cours.

J'ai observé 3 leçons de sciences sociales ; parmi celles-ci, j'analyse celle qui suit :

Jour : Dimanche (11/3/2007)

Heure : 13h05 - 13h45

Le deuxième jour de la matinée scolaire, j'ai attendu qu'il (M. Kamruzzaman,

professeur de sciences sociales de la classe sept - B) vienne en classe devant la
classe. Quand il est venu et a demandé au capitaine de la classe de nettoyer le banc à
l'arrière de la classe pour que je puisse m'y asseoir. Le capitaine de la classe a fait le
ménage et je me suis assis pour observer la classe.

Lorsque le professeur est entré dans la classe, tous les élèves se sont levés et
lorsqu'elle leur a dit de s'asseoir, ils l'ont fait. Dans un premier temps, il a demandé aux
élèves de donner leurs copies de devoirs. C'est à ce moment-là qu'il s'est renseigné
sur certains étudiants.
Après avoir vu les copies des devoirs, il s'est levé de sa chaise et a commencé la
leçon. Il a d'abord montré une photographie du "Sangsad Bhabon" au Bangladesh et a
demandé : "Y êtes-vous déjà allé ? En définissant sa signification pour les étudiants, il
a déclaré la leçon (evsjv‡`‡ki RvZxq I ¯'vbxq ch©v‡q wbev©Pb) de la classe
d'aujourd'hui. Il a ensuite commencé à expliquer les problèmes un par un. Il a d'abord
commencé par demander ce qu'est l'élection. Il a ensuite dessiné la classification des
élections au tableau et a demandé aux élèves de la recopier. À ce moment-là, il est
également venu me voir et m'a assuré qu'il m'aiderait de son mieux. Il a ensuite
commencé à examiner les questions une par une. Après avoir discuté de la
classification des élections, il a clarifié le conseil.

Il a ensuite abordé la question de l'éligibilité des électeurs. Ensuite, il a écrit le devoir

dans la partie droite du tableau noir (question à réponse courte n° 2 de l'exercice. En
rédigeant les devoirs, il a rappelé au capitaine de classe d'écrire les informations sur la
classe en haut à droite du tableau.

Après avoir terminé son cours, il a parlé aux élèves de l'I.E.R. Il a décrit l'I.E.R. comme
un institut célèbre à sa classe et m'a fait connaître à sa classe en tant que leur
professeur de la classe suivante. Il a également fait savoir aux élèves que si un élève
se comportait mal avec moi, il prendrait des mesures à son encontre.

Elle m'a ensuite laissé parler à la classe pendant cinq minutes et a quitté la classe. Je
me suis ensuite présenté à la classe et j'ai discuté avec eux jusqu'à la fin du cours.

3.0 Principales caractéristiques de la classe observée :

A) Installations physiques :

I. Localisation de la classe : La classe se trouve dans le coin droit du 3ème étage

(salle n° 404) du bâtiment principal en forme de "L".

II. Forme de la classe : La forme de la classe est presque celle d'un écuyer.
III. Portes et fenêtres : Les fenêtres (en verre) se trouvent à droite et à gauche de la
classe et la seule porte se trouve à droite de la classe. La porte n'est pas très
spacieuse.

IV. Système d'assise des élèves : Chacun s'assoit sur une chaise à poignée. Les
chaises sont suffisamment éloignées des tables d'écriture. Il y a 6 colonnes et 10
rangées, ce qui permet à 60 personnes de s'asseoir dans la salle de classe.

V. Tableau noir : Le tableau noir est placé dans le mur de la classe. Il n'est pas
portable mais fixe. Il se trouve au milieu du mur d'entrée des élèves. La couleur du
tableau noir est correcte et il est facile d'écrire avec des cales. Le plumeau peut
facilement effacer les écritures sur le tableau.

VI. Éclairage et ventilation : L'éclairage naturel est suffisant pour la classe.

VII. Eclairage artificiel et ventilation : Il y a 6 ventilateurs électriques et des lampes

dans la classe. La disposition est tout à fait adéquate pour la classe.
VIII. Table et chaise de l'enseignant : La chaise en bois et la table se trouvent à l'avant
de la classe. La chaise est tout à fait correcte, car il ne faut pas l'utiliser longtemps
pour s'asseoir pendant l'enseignement, mais la table est trop lourde pour être
déplacée.

IX. Couleur de la classe : La couleur des murs de la classe est blanche et plus claire.

X. Autres meubles : Il y a une table de conférence dans le coin gauche de la salle de

classe, afin que l'enseignant puisse l'utiliser pendant ses cours. Il est également utile
pour les étudiants de s'entraîner à parler.

B) Évaluation des compétences de l'enseignant :

i. Méthode d'enseignement : Sa méthode d'enseignement est moyenne. Parfois, il

ressent le besoin de se souvenir.

ii. Implication et participation des étudiants : L'implication et la participation des

étudiants ne sont pas très élevées. De plus, la plupart des participants sont de bons
élèves conventionnels et la plupart d'entre eux sont assis sur le premier banc.

iii. Motivation : Il a motivé la classe en montrant la photo de "Sangsad Bhoban".

iv. Questionnement en classe : Après avoir terminé la leçon, elle n'a posé aucune
question aux élèves.

v. Tenue vestimentaire : L'école n'a pas de tenue spécifique pour les enseignants. Sa
tenue était adaptée à la classe.

vi. Utilisation du tableau noir : Il a utilisé le tableau avec soin. Ses écrits sont lisibles et
visibles même depuis le dernier banc. Il ne se tient pas non plus parallèlement au
tableau, ce qui fait que les élèves sont dans son dos. Les élèves en profitent donc pour
parler en aparté. Avant de sortir de la classe, il a essuyé le tableau.

vii. Punitions et récompenses : il n'a pas utilisé de punitions et de récompenses pour

les élèves absents.

viii. Contrôle de la classe : son pouvoir de contrôle de la classe est très fort. Aucun
élève ne s'est dérangé dans la classe pendant qu'il donnait sa leçon. Seuls quelques
élèves (environ 7 sur 51) ont parlé en classe pendant qu'elle utilisait le tableau noir.

ix. Environnement d'apprentissage : L'environnement était calme et silencieux, ce qui

est une condition évidente pour un cours de mathématiques. Mais l'environnement
n'était pas exempt de peur à cause de sa façon de punir.

x. Relations entre enseignants et élèves : Les relations entre les enseignants et les
élèves ne sont pas amicales, mais sinistres. Il maintient une grande distance avec eux.
Les élèves ont peur de lui, mais ils le respectent aussi. Le professeur est bienveillant
mais pas franc avec les élèves.

xi. Manière de s'exprimer : Il a expliqué clairement les questions aux étudiants en

s'exprimant de manière agile.
xii. Expertise dans son cours particulier : il possède une bonne expertise dans son
domaine. Il possède d'autres connaissances liées à son sujet que le manuel.

xiii. Début de la leçon : il a motivé la leçon de manière spécifique. Son départ est donc
très bon et inspirant.

xiv. Ponctualité : Il est arrivé à l'heure au cours. Il a commencé son cours au bon
moment et l'a terminé avant que je n'aie eu le temps de me présenter à la classe.

xv. Observation du travail en classe : Lorsqu'il a demandé aux élèves d'écrire la

classification des élections, il a observé le travail de la classe en se déplaçant et en
observant les activités des élèves qui entraient dans les passages entre les colonnes.

xvi. Voix et ton : Sa voix est adaptée à la classe. On peut l'entendre depuis le dernier
banc. Le changement de ton de sa voix crée des situations particulières ou une
attention dans la classe, qui est parfois urgente.

xvii. Confiance en soi : Son visage, son attitude, son comportement, ses propos
montrent qu'il est confiant, sûr de son expertise et de son pouvoir de contrôle.

4.0 Évaluation :

a) Force de l'enseignant :

1) Bon pouvoir de contrôle sur la classe.

2) Il a l'expertise de l'enseignement.
3) Ponctuel
4) Voix appropriée et ton souple.
5) Essaie de relier la leçon à la vie quotidienne.
6) Il peut clarifier une question clairement.
7) Motivation spécifique et efficace à l'égard d'une leçon spécifique.
8) Profondeur des connaissances.

b) Faiblesse de l'enseignant :

1) Il a terminé tout le chapitre en une période.

2) Il n'accorde pas beaucoup d'attention à la participation en classe et à l'implication
des étudiants.
3) Il n'accorde pas beaucoup d'importance au travail en arrière-plan.
4) Il ne peut pas créer une situation de classe amicale et sans peur.
5) Il ne met pas l'accent sur le renforcement.
6) Il n'utilise pas d'autre matériel d'enseignement que le tableau noir et la constitution.
7) Il vérifie les copies de travail de la classe pendant la période de cours, ce qui lui fait
perdre du temps.
8) N'utilise pas de méthode basée sur l'activité.

5.0 Possibilités d'amélioration de la leçon :

1. Il pourrait utiliser une affiche sur laquelle il inscrirait les classifications des
constitutions et les caractéristiques d'une bonne constitution.
2. Il doit y avoir une évaluation formative.
3. S'il vérifiait les copies de tous les élèves après la période de cours, cela aiderait les
élèves à faire leurs travaux plus sincèrement.
4. Il doit apprendre à utiliser le tableau.
5. Il doit utiliser une méthode d'enseignement basée sur l'activité.
6. L'accent devrait être mis sur les députés de l'arrière-ban.
7. Les devoirs doivent être donnés selon la méthode de l'affectation.
8. Parfois, il doit créer une situation drôle dans la classe pour faire rire les élèves. Mais
il est évident qu'elle est liée à la leçon.

Compte tenu de tous ces éléments, je pense qu'il a le talent nécessaire pour exercer la
profession d'enseignant. Pour moi, sa performance est très bonne, mais pas
excellente. Bien qu'il soit suffisamment expérimenté et qu'il connaisse l'art de
l'enseignement, c'est elle qui devrait s'occuper de l'atelier.

Format de rédaction d'un rapport

Il n'y a pas de format fixe pour la rédaction des rapports. Toutefois,
certaines sections générales doivent être incluses. Vous trouverez ci-
dessous des informations sur le format d'un rapport et quelques conseils
pour une bonne rédaction.

Rédaction d'un rapport : Mise en forme des éléments du rapport

Voici les principales sections du format standard de rédaction d'un

rapport :

 Section du titre - Si le rapport est court, la page de couverture peut

contenir toutes les informations que vous jugez nécessaires, y
compris le nom de l'auteur ou des auteurs et la date d'élaboration.
Dans un rapport plus long, vous pouvez inclure une table des
matières et une définition des termes.
 Résumé - Il faut un résumé des principaux points, des conclusions et
des recommandations. Elle doit être courte car il s'agit d'une vue
d'ensemble du rapport. Certaines personnes liront le résumé et ne
feront qu'effleurer le rapport ; veillez donc à inclure toutes les
informations pertinentes. Il est préférable de rédiger cette partie en
dernier afin de tout inclure, même les points qui pourraient être
ajoutés à la dernière minute.
  Introduction - La première page du rapport doit contenir une
introduction qui explique le problème et montre au lecteur pourquoi
le rapport est rédigé. Vous devez donner une définition des termes si
vous ne les avez pas inclus dans la section du titre, et expliquer
comment les détails du rapport sont organisés.
 Corps - Il s'agit de la section principale du rapport. Les sections
précédentes devaient être rédigées dans un anglais simple, mais
cette section peut contenir du jargon propre à votre secteur
d'activité. Les informations sont généralement classées par ordre
d'importance, les plus importantes venant en premier. Si vous le
souhaitez, une section "Discussion" peut être incluse à la fin du corps
pour examiner vos résultats et leur signification.
 Conclusion - C'est ici que tout se termine. Cette section doit être
exempte de jargon, car la plupart des gens liront le résumé et la
conclusion.
 Recommandations - Voici ce qu'il faut faire. Dans un langage simple,
expliquez vos recommandations en les classant par ordre de priorité.
 Annexes - Elles contiennent des informations que les experts du
domaine liront. Il contient tous les détails techniques qui étayent
vos conclusions.

Ce format de rédaction de rapport permettra au lecteur de trouver plus

facilement ce qu'il cherche. N'oubliez pas de rédiger toutes les sections
en langage clair, à l'exception du corps. N'oubliez pas non plus que les
informations doivent être organisées de manière logique et que les
informations les plus importantes doivent être présentées en premier.

Conseils pour une bonne rédaction

Voici quelques conseils pour bien écrire.

 Restez simple. N'essayez pas d'impressionner, mais plutôt de

communiquer. Les phrases doivent être courtes et précises.
N'entrez pas dans les détails si cela n'est pas nécessaire. Assurez-
vous que chaque mot doit être présent, qu'il contribue à l'objectif
du rapport.
 Utilisez une voix active plutôt que passive. La voix active rend
l'écriture fluide et facile. Elle utilise également moins de mots que
la voix passive et donne de l'impact à l'écrit en mettant l'accent sur
la personne ou la chose responsable d'une action. En voici un
exemple : Un mauvais service à la clientèle nuit à la fidélisation des
clients.

 Il est important de respecter la grammaire et la ponctuation. Il est

bon de faire relire le texte par quelqu'un d'autre. N'oubliez pas que
 l'ordinateur ne peut pas détecter toutes les erreurs, en particulier
avec des mots comme "rouge, lire" ou "là, leur".

Compétences en matière de communication

Les dirigeants d'entreprise s'accordent de plus en plus à dire que les

candidats à l'emploi manquent de compétences rédactionnelles, comme
l'indiquent plusieurs enquêtes récentes. C'est pourquoi les employeurs
considèrent les compétences rédactionnelles comme l'une des
compétences qu'ils recherchent lorsqu'ils recrutent. Certains demandent
même un exemple de rapport lors de la sélection des candidats. Il est
même indiqué dans la description du poste que celui-ci requiert un
communicateur motivé.

Une bonne communication est essentielle dans le monde des affaires. En

général, plusieurs personnes travaillent sur un même objectif et une
bonne communication permet d'échanger des idées et des
préoccupations.

 Il n'y a pas de travail d'équipe sans communication, car il est

nécessaire de coordonner les efforts de chacun.
 Une mauvaise communication peut faire perdre un temps et des
efforts précieux.

Si un membre de l'équipe découvre un raccourci ou résout un problème,

cette information doit être diffusée à tous les membres de l'équipe afin
qu'ils puissent en bénéficier et atteindre leur objectif plus rapidement.