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REMMERCIEMENT :

Un sentiment respectueux et un grand merci pour mes formatrices encadrant :

● Mme SNOUSSI Nawal

● Mme JABRI Ikram

pour ses efforts, recommandations, critiques constructives et surtout son croyance


en mes capacités.

Egalement au sein de l'organisme d'accueil, tout d'abord je tiens à remercier MS


MORTAJI MOHAMMED, mon maître de stage, pour la qualité de ses conseils, et pour le
temps qu'il m'a accordé lors de sa présence,

Ensuite je remercie l'ensemble du personnel de la direction de recouvrement et


contentieux, notamment le directeur Mrs TAKKI ABDALATIFet la charge clientéle
Madame Amina BOUKHRISS .

Tous mes remerciements vont à l'ensemble du personnel du Crédit Agricole du


Maroc( CAM), pour m'avoir mise à l'aise dès les premiers jours, et pour m'avoir offert les
meilleures conditions de travail, notamment au niveau du contact humain.
INTRODUCTION
Du 2 Mai au 2 Juin , j'ai effectué un stage au sein du siège du Crédit Agricole du
Maroc( CAM), plus précisément à la caisse régionale (CA) BERRECHID.

un stage qu’a été riche par des nouvelles connaissances au domaine bancaire;
qui permet dêtre en contact direct avec l'environnement professionnel dans lequel nous
entamerons notre future vie.

En partant de cette participation, le stagiaire apprend des leçons pratiques en


essayant de briser les barrières de timidité, d'adapter et d'améliorer ses connaissances
théoriques.

Le stage nous permet de connaître d'une façon générale les différents services
de banque et ses différentes opérations bancaires aussi permettent d'analyse les
obstacles d'une banque et pour cette raison , mon rapport va traiter la problématique
suivante :

● comment vendre un crédit et le rendre accessible à la clientèle ?

● comment va analyse les risques de crédit bancaires ?

et pour cela le rapport comprend deux parties, le premier sera consacré à la


présentation du crédit agricole marocaine CAM sous forme de deux sections la
premiére section va traiter la présentation du CAM et la deuxieme section va présenté
les services et les produits du CAM ;tandis que la deuxième partie , va présenter la
gestion de crédit au sein de la banque ; et dont cette partie je vais traiter la gestion de
crédit et les risques au sein des banques ; et pour plus précisément je vais traiter la
gestion de crédit agricole au sein de la banque crédit agricole ( CAM) dont j’ai effectué
mon stage .
PREMIÈRE PARTIE
PRÉSENTATION DU CRÉDIT AGRICOLE DU MAROC (CAM)
Section 1 :

Aperçu sur le Crédit Agricole du Maroc&les tâches


éffectuées

I) PRÉSENTATION DE CAM :
1- Historique :
Crée en 1961, Le crédit agricole du Maroc (CAM), S .A. avec directoire et à

conseil de surveillance au niveau de la direction au capital de 2.820.512.800,00 DH -R.C.

Rabat 58873 - I.F.03301185, fait par la loi 15-99 qu’ parle sur la réforme du crédit

agricole, promulguée par le dahir N° 1-03-221 du novembre 2003, dont le siège social

est à Rabat, 28 rue Aboufaris al MARINI.

Crée en 1961, Le crédit agricole était une société public à vocation : l’octroi des

crédits et l’aide financier des agriculteurs, autrement dit se spécialité était fixé sur le

monde rurale et surtout l’activité de l’agriculture.

1979 : Financement de l’agro-industrie. En 1987 : il y a eu plus d’activité

de la CNCA (Caisse National du Crédit Agricole) et le financement de nouveaux

secteurs économiques dont la pêche côtière, l’artisanat ; le tourisme, le commerce et

les services.

De 1997 – 2001 : Nouveau positionnement stratégique de la CNCA (banque du

monde rurale proche d’une nouvelle identité visuelle), et signature de la convention ou

contrat entre « Etat –CNCA » relative au traitement du surendettement du domaine

d’agricultures en 2001.

C’est au 1er Juin 2004, CNCA a changé sa forme juridique pour devenir une S. A.

dans la gestion il ya un Directoire et à conseil de surveillance avec un capital de :

2.820.512.800 DH, dénommée « Crédit Agricole du Maroc » régie par la loi des S.A. ainsi

que par la loi relative à l’activité du marché des crédits et de leur contrôle, et ainsi le
CAM a libéralisé son activité devenant tous simplement une banque commercial,

s’occupant des dépôts, les tenus de comptes, les crédits, mais ayant toujours son

activité initial et principal le domaine de l’agricole.

En 2005 :

Achat du siège de la BNDE.

Fusion/absorption BMAO.

2- Missions :
Depuis sa création en 1961, le Crédit Agricole du Maroc (CAM) a pour mission le
financement du domaine de l’agriculture et des activités qui ont relation avec le
développement du monde rural.

Afin de bien atteindre cette mission, le CAM assure en plus de sa mission de


service public, des activités de banque parallèle (la banque commerciale en détail) en
offrant une riche gamme de produits et services bancaires.

La nouvelle restructuration de la CAM vient consacrer cette vision et met en


place des structures appropriées pour chaque nature :

Banque commerciale :agit dans tous les secteurs d’activité économique et


positionne notre institution en tant que banque de détail. La banque commerciale a
pour responsabilité la gestion du développement de la clientèle des particuliers,
professionnels et MRE.

Réseau agro-agri : offre au niveau secteur agricole et agro-alimentaireune


gamme complète et efficace de produits et services sollicité. Le Crédit Agricole du
Maroc CAM finance les projets agricoles, suit leurs réalisations et leurs croissances,
donne des conseilles pour les agriculteurs et met à leur disposition ses expériences au
niveau technico-financière.

Le CAM accompagne en ce sens le Plan Maroc Vert dans sa Stratégie Nationale.


Cet accompagnement concerne toutes les filières agricoles et agro-alimentaires.

Le Groupe Crédit Agricole du Maroc s’engage à mettre en œuvre un enveloppe


budgétaire de 20 milliards de dirhams sur la période 2009-2013, destinée à renforcer les
investissements de toutes les filières sectorielles.
3- Organigramme :

Organigramme de crédit agricole Marocaine (CAM) :


Organigramme de la caisse régional Berrechid (CRB) :

4-Administration et gestion :
Le secrétariat de crédit agricole:

Le Secrétaire décharge ses supérieures de toutes les tâches administratives. Elle

utilise les techniques de la bureautique pour saisir des courriers organiser des

déplacements, fixer des rendez-vous Dans les PME, elle peut aussi prendre en charge la

gestion des dossiers du personnel ou des stocks de fournitures ou encore les relations

clients
La diversité des tâches qui peuvent lui être reflète d’ailleurs la variété des situations

professionnelles rencontrées par les secrétaires.

Le Pôle « Banque Commerciale » :

Ce Pôle se structure de façon à répondre à la nouvelle vision basée sur une

approche par marché. Sa mission consiste à :

- Générer du PNB sur chacun des marchés cibles,

- Rester en cohérence avec sa spécificité de banque du monde rural. Il se

compose de trois Directions spécialisées par marché cible, de la Direction international

et corporate ainsi que de neuf Directions Régionales.

Le Pôle Banque de Financement & d’Investissement :

Comme sont nom l’indique, ce pôle sert d’appuis au financement de projet, et

l’aboutissement d’investissement a très forte rentabilité.

Le Pôle Support :

Le Pôle Support a pour principale mission d’apporter un appui aux fonctions de

distribution et de pilotage afin de permettre à la banque d’atteindre ses objectifs. Il se

compose des structures suivantes :

- La Direction des Systèmes d’Information, chargée de doter le CAM d’un système

d’information qui assure un soutien performant, efficace et conforme aux objectifs de la

banque,

- La Direction des Traitements Bancaires, chargée d’assurer la centralisation des

traitements bancaires au niveau du Siège, dans le respect de la réglementation interne

et externe et ce, dans les meilleurs délais de production,


- La Direction Juridique, chargée de conduire les études juridiques n’ayant pas

trait à la relation clientèle, et répondre aux consultations émanant des entités du Siège

et du réseau.

- La Direction des Ressources Immobilières et Matérielles, chargée de gérer le

patrimoine immobilier, les achats et approvisionnements, les assurances des biens et

des personnes ainsi que les archives du Siège.

- La Direction de l’Organisation, chargée de veiller à l’efficacité des systèmes de

gestion, à l’optimisation des procédures de travail et à l’harmonisation des structures

organisationnelles,

- La Direction de la Qualité chargée de mettre en oeuvre la politique Qualité du

CAM.

Le Pôle Risques :

Ce Pôle vise à optimiser la gestion du risque clientèle de la banque en amont,

par la gestion des octrois de crédit et, en aval, par la gestion du recouvrement, aussi il

soustraire au réseau une partie des tâches administratives. Le Pôle Risques se compose

des structures suivantes :

- La Direction des Engagements, chargée d’appliquer la politique des

engagements de la banque visant l’augmentation du PNB tout en contrôlant la qualité

du portefeuille

- La Direction du Recouvrement et du Contentieux, chargée de dynamiser les

actions de recouvrement normal, amiable et contentieux des créances de la banque,


- Le Département de l’Audit et de la Qualité des Risques, chargé de veiller au

suivi constant de la qualité du portefeuille de la banque, et au respect des procédure

sen vigueur en matière d’octroi de crédit

Le Pôle Finance :

Les impératifs de rentabilité, la montée des risques inhérents aux activités

bancaires et le renforcement des mesures prudentielles, appellent un pilotage fin de

l’activité de la banque, en même temps qu’une allocation optimale de ses fonds

propres. A cet effet, il a été décidé de mettre en place le Pôle Finance qui a pour

principale mission de :

- Veiller aux équilibres financiers de la banque,

- Assurer toutes les activités financières de la banque

- Doter le management de la banque d’outils de planification, de contrôle et suivi

fiables. Il se compose de quatre Directions :

- Direction du Contrôle de Gestion

- Direction de la Planification financière

- Direction du traitement et arrêté Comptable

- Direction des procédures et du contrôle

II ) LES TÂCHES ET ÉSPRIT DE STAGE :


1- les tâches effectuées :
Les tâches effectuées pendant mon stage au sein de la banque crédit agricole
caisse régional BERRECHID ,se résument généralement au niveau des points suivants :

Ouverture de comptes :
Dès que les clients se présentent à l’agence pour ouvrir un compte :

En premier temps je procède par leurs présenter les produits et les services de
notre agence.

Par la suite , on aborde le vif du sujet par l’exigence de leurs cartes d’identité
nationale (CIN) ; afin de mettre l’accent sur toutes les informations primordiales
concernant leurs noms , adresses ,numéros de la carte nationale

Je remplis après la fiche « Spéciman » ( voir annexe) pour assurer la vérification


de signature du clients , par la suite la fiche de demande d’ouverture d’un compte (
courant ou de cheque ), afin de remplir le compte rendu d’entretien (voir annexe).

Transactions avec les clients :

Pendant le stage j’étais toujours en contact et en interaction avec les clients et


surtout dans le service guichet par le biais des opérations suivants notamment :

Les retraits des extraits et des relevés de compte, versements, saisie des
bordereaux de la remise du chèque…

Vérification des documents :

Vérifier les chèques, les signatures, les documents, les lettres de change, les

billets à ordre (voir annexe), Scandes remises du chèques.

Remise des chéques : j’ai effectué ce travail quotidiennement :

1. Avis de crédit : piéce bancaire établie pour avertir le client qu’un versement a été

effectué son compte soit par une personne ou un virement de salaire ou autre.

2. Avis de débit : piéce bancaire établie aprés réception d’un chéque remis « HORS

PLACE » par client.

Remarque :

Si la ville est bancable ; la date de valeur= date de jour+2 jours.

Si non bancable ; la date de valeur= date de jour+10jours.


Les appels téléphoniques :

Chaque jour, et afin de contribuer au rapprochement du client à sa banque ( qui


reste toujours une politique indispensable des banques ) , j’effectue avec les clients de
la banque des appels téléphoniques pour les informer sur leurs nouveaux soldes ( par
exemple ) mais aussi pour leurs proposer de nouveaux produits ;

Réglement de la subvention :

Remplir les billets à ordre et les demandes de l’avance ;

● Traiter les avances de la subvention ;

● Assurer le règlement de fonds… ;

2- esprit de stage :
Le stage est un outil pédagogique qui a pour finalité le complément du processus
de la formation théorique, il permet la mise en oeuvre des connaissances acquises au
niveau de l'institut. C'est une stratégie déterminante dont l'objectif principal est
d'amorcer le processus de familiarisation et d'intégration de l'étudiant dans le milieu
professionnel.

Pendant ce stage j'ai pu approcher les qualités qui doivent être cel d'un bon
Manager entre autre :

Ø Les qualités intellectuelles qui permettent au Manger d'être active, ponctuel et


compétent.

Ø Le savoir s'organiser.

Sur le plan Psychologique

Le stage permet de s'adapter au monde professionnel, d'apprendre à assumer


certaines responsabilités d'accéder aux activités professionnelles sans complexe et
avec d'assurance et du savoir faire, et s'imprégner d'une conscience professionnelle et
exercer avec dynamisme et initiative.
Sur le plan Humain

Il permet aux stagiaires d'entretenir des relations professionnelles avec les gens
expérimentés, aptes à les aider et compléter leur connaissance ce qui stimule la
productivité et la satisfaction dans le travail.

Sur le plan Educatif

Le stage permet d'éviter certaines habitudes et comportements des stagiaires


afin de s'intégrer facilement dans le domaine du travail tout en respectant les formalités
et les instructions des supérieurs dans le sens du bon fonctionnement de l'administration
dynamique de proximité.

Chaque personnel essaye de travailler d'une façon à améliorer son rendement,


aussi ils essayent de faire vite pour que le travail soit terminé à temps.

Le personnel de la banque respecte les techniques de communication en


accueillent les clients aimablement, et tentent toujours à répondre aux besoins de leurs
clients d'une manière professionnels.

En plus, la manière de parler aux téléphones est courtoise en adoptant la


méthode `E.C.O' (Efficacité, cordialité, organisation).

Cela montre que les personnels de la banque respectent les règles de bon
accueil et essayent de faire le mieux possible pour ne pas perdre leurs clients.

Section 2 : descriptions des produits et services offerts par


CAM
I) LES SERVICES DE CAM :
1-service commercial :
Le service commercial occupe une place très importante dans la structure de
l’agence le chef de service commercial est intermédiaire entre la banque et les clients,
ses tache peuvent être résumées comme suite :
-il démarche le nouveau client

-il assure la vente et la promotion des produit et services de la banque.

-il fidélise les clients actuels.

-il assiste et conseille les clients.

2 - service opération du guichet


Ce service constitue le principal nerf de la caisse régionale, car toutes les
opérations transitent par le service caisse, les opérations effectuées par ce service sont
nombreuses et variées.

-Les opérations de caisse :

- les virements : il s’agit d’une opération qui exigé un transfert de fonds d’un
compte à un autre.

-Les remises des valeurs :

Sont des chèques et effets remis par des clients dont ils sont les bénéficiaires, ou

tirés sur eux.

a) les cheques et effets remis par le client pou encaissement :

Les chèques et effets remis à encaissement sont consignés sur un bordereau de

remise ; leur règlement se traduit par le débit du compte du tireur pour crédit du compte

du bénéficiaire, la valeur est retournée au client en cas du non règlement par un rejet à

appliquer.

b) les chèques et les effets reçus par l’agence pour règlement :

Les valeurs reçues des autres agences de la C.N.C.A sont réglées en débitant le

compte du client pour chèque ou effet arrivé à échéance par le crédit de (chèque ou

effet en route).
Le cas des chèques et effets impayés passent par le rejet la valeur est envoyée à

l’agence émettrice.

N.B en cas de rejet des chèques il faut nécessairement appliquer la procédure de

la déclaration des incidents de payement.

-la certification des chèques :

Le banquier s’engage comme responsable de l’existence de la provision par la

certification des chèques cette opération se fait sur demande du déposant pour bloquer

la provision ou le montant des chèques certifiés au maximum.

Les montions de la certification s’opérant par l’apposition sur le recto du chèque

le numéro de compte (chèque certifié) 2143100, suivi du code d’agence.

La comptabilisation du compte chèque certifié se devise en deux étapes :

● au moment du blocage par le débit du compte du client contre le crédit du crédit du

compte (chèque certifié).

● en phase de régelement du chèque par caisse ou par compte au niveau de

l’agence qui le passera lors de sa réception dans le débit du compte (chèque

certifié).
-Service crédit
Se service et comporte plusieurs type de crédits :

Les crédits immobiliers : ( voir annexe )

Ils permettent le financement du logement ou de terrains pour la construction de


logement le CAM commercialise 5 formules à savoir :

ASSAKAN AL AKHDAR : un produit qui permet aux clients du crédit agricole de


bénéficier de plusieurs facilitées pour la réalisation de leurs projets immobiliers sans
attendre et dans les mielleurs conditions . le crédit agricole propose à ses clients la
solution la plus adapté à leurs besoins et ce qu’il s’agisse d’acquérir un logement , un
terrain ou de construire rénover, ou aménager leurs habitations.


SAKAN AT TAALIM : en partenariat avec la fondation MohamedVI le crédit
agricole dédie aà la famille de l’enseignement ce crédit à des conditions trés
privilégiées.( voir annexe).

SAKAN AL ISTIKRAR : un crédit à l’habitation destiné au


agents fonctionnaire et agents de l’etat

● SAKAN AL MABROUK : un crédit logement à caractére social


dédié aux titulaires de revenus modestes ou irréguliers ilest garanti
par l’état ( FOGARIM)

● ARD BLADI : il est résérvé au financement de logements dans le


milieu rural par les résidents et non résidents.
● Acquisition de propriété agricole : le CAM favorise du point de
vue financier par l’achat la mise en valeur et l’équipement des
exploitations, l’accés à la propriété fonciére.

Les crédits à la consommation :


AL AKHDAR MAZAYA : C’est une avance sur salaire que le crédit
agricole met à la disposition de ses clients pour leurs dépenses
imprévues elle peut attiendre jusqu’à 10/ du salaire de la retraite.

● Al MOURIH : un crédit octroyé aux clients du CAM pour faire face


a leurs dépenses imprévues à des conditions trés avantageuses. (
Voir annexe )

4-service juridique :
Ce sevice a pour mission principale la récupération (on parle de recouvrement)
des créance impayées.ses multiples taches peuvent être résumées comme suit:
✔ Le suivi des créances sons impayés (on parle de créances en souffrances)

✔ Le suivi des remboursements

✔ La distrubition des avis d'échèance

✔ L'enhagement de poursuite à l'encontre des clients impayées conformément au dahir

de 1935 et à la loi 15/92 (somation sans frais.commandement SDT, saisie mobiliéres etc.)

✔ Confier les dossiers des clients aux avocat pour engager les poursuites immobiliéres

(commandement immobilier ,vente aux enchères publiques etc.)

✔ Etablissement des mainlevées d'hypothèque totale et partielle.

✔ Elaboer les notes de présentation a adresser au siège et a la direction de réseaux de

settat en ce qui concerne les demandes de facilite de paiement (consolidation ,


rééchelonnement) ou de solde de tout cmpte.

✔ Contacts permanents avec les tribunaux ,les avocats ,les experts ,les notaires et les

autorités judiciares (police ,gendarmerie ,procureur etc.)

LES PRODUITS DU CRÉDIT AGRICOLE :


1) Les produits monétiques :
Une nouvelle organisation , en phase avec les ambitions de
la banque et sa stratégie de développement, a été élaborée en
2004.

A )Carte AL KHADRA :
Associée à votre compte chéque, c’est une carte de retrait
d’espéces, que vous pouvez utiliser dans le réseau de guichets
automatiques du crédit agricole Maroc .

Pratique et sécurisante, la carte ALKHDRA vous permet de


disposer de votre argent à concurrence du solde de votre
compte.

B) Carte Visa classic :


C’est une carte que vous pouvez utiliser pour vos retraits
dans prés de 2000guichets automatiques bancaires affilliées au
centre monétique interbancaire et pour vos achats auprés des
commeçants et prestataires de service affichant le logo visa.
Carte aux multipes usages, elle simplifie votre vie quotidienne.

C) Carte visa gold :


est une carte bancaire haut de gamme, résérvé à une
clientéle select , qui vous garantit une capacité de retrait et de
paiement spécialement adaptée à vos besoins.

Avantageuse et privilégiée, elle vous permet de faire face


aux imprévus sans mettre en péril la gestion de votre budget.

Remarque :

Catre AL KHADRA : plafonds 3000dhs /jours

Carte visa classic : plafonds 4000dhs/jours

Carte visa gold : plafonds 10000DH / JOURS

2) Les produits d’assurance :


● AL AKHDAR RETRAIRE : grace à ce produits l’adhérant peut
bénéficier de sa pension par anticipation de 55ans ou pour
prorogation jusqu’à 70 ans le souscripteur décide selon ses
possibilités le montant de cotisation.

● Al akhdar prevoyance :c’est une protection multiple réservée aux


personnes physiques agées de 60ans à la datede la souscription
ces produits couvrent essentiellement :

Assurance vie :il s’agit de garantir aux clients le paiement


d’un capital en cas de décés

Assurance hospitalisation : c’est une garantie qui permet de


l’adhérant de bénéficier d’une indemnité durant la période
d’hospitalisation dans un établissement agrée a cause d’une
maladie ou d’accident.

Frais funéraires : c’est un contrat qui assure un capital « frais


funéraires » en cas de décés toutes causes.
ISSAAF Mondiale assistance : elle apporte une assistance
technique et médicale à ses souscripteurs.

Les crédits aux professionnels de l’agriculture de l’agro-


industrie du commerce :
Crédit achamil : un crédit résérvé aux exploitations agricoles
et agro- industrielles il met à la disposition des clients un
financement adapté à la diversité de leurs spéculations intégrant
les contraites de l’aléaclimatique.

Crédit khadamat : dans le cadre de l’évolution du milieu


rural le crédit agricole du maroc a mit à la disposition des
entrepreneurs le crédit khadamat pour financer leurs projets dans
le milieu rural

Crédit al isttitmar : une gamme de produit AL ISTITMAR


composée des crédits SAQUI et MECANISATION est mise à la
disposition des agriculteurs du CAM afin de modernise le secteur
agricole.
L'EXPOSITION AU RISQUE DE CRÉDIT EST TRADITIONNELLEMENT GÉRÉE À PRIORI DANS LES BANQUES PAR DES MÉTHODES

D'ANALYSE FINANCIÈRE ET PAR L'ALLOCATION DE LIMITES D'ENGAGEMENTS. LA DEUXIÈME PARTIE:


LA GESTION DE CRÉDIT BANCAIRES
AU SEIN DU CAM

Section 1 :
Etude théorique de la gestion des créditBancaires

I) DÉFINITION DE CRÉDIT BANCAIRES :


Une entreprise ne possède pas toujours les capitaux suffisants pour atteindre ses
objectifs. Ses résultats commerciaux et financiers ainsi que l'intégrité des dirigeants et les
garanties offertes peuvent lui permettre de demander un crédit à une banque

Un banquier appelle par conséquent un crédit toute opération par laquelle, faisant
confiance à son client, il accorde à celui-ci le concours de ses capitaux ou de sa garantie.

D'une façon générale, le crédit résulte de la combinaison de trois éléments : Le temps


ou le délai pendant lequel le bénéficiaire dispose des fonds prêtés, la confiance faite par le
créancier au débiteur, la promesse de restitution des fonds prêtés.

Le crédit introduit donc une notion de temps, c'est à dire l'incertitude. Ainsi, il est
possible qu'une société ne révèle aucun risque de défaillance au moment de l'octroi d'un
crédit moyen ou long terme. Mais qu'en sera t-il du risque de défaillance dans l'avenir ?

La deuxième caractéristique du crédit est la confiance entre créancier et débiteur.


Cette notion est subjective et n'est pas exempt de risque. Un banquier peut ainsi accorder sa
confiance et se tromper. Le crédit incorpore des notions subjectives qui sont des risques pour
la banque.

Enfin, la troisième caractéristique du crédit est la promesse de restitution des fonds


prêtés. Les risques inhérents à ce point découlent des deux points précédents. Si une
évolution défavorable se produit dans le temps où que le débiteur ne respecte pas la
confiance du créancier, le risque de non remboursement peut se réaliser.

Au total, une opération de crédit, considérée du point de vue du prêteur, est une
opération risquée qui suppose que certaines mesures destinées à réduire le risque couru
soient prises. Il n'y a donc pas de crédit totalement exempt de risques, quelles que soient les
garanties dont il est assorti. Le risque est pratiquement inséparable du crédit.

II) LES TYPOLOGIE DES CRÉDITS BANCAIRES :


Les crédits bancaires peuvent être destinés soit au financement du cycle
d'exploitation de l'entreprise, soit à la réalisation de programmes d'investissement.

Les crédits de financement du cycle d'exploitation :


Ces types de crédits visent à satisfaire les besoins temporaires de capitaux pour éviter
la cessation de paiement ou la perturbation de l'activité de l'entreprise, financer les besoins
en fonds de roulement, et faire face à certains décalages dans le temps entre les recettes et
les dépenses de l'entreprise.

Dans cette catégorie de crédits on pourra distinguer entre :

· Les crédits par décaissement : qui implique un décaissement effectif de l'argent (cas
de la facilité de caisse, du découvert, de l'escompte, des avances diverses, du crédit à
moyen terme...).

· Les crédits par signature : où le banquier s'engage par sa signature sans


décaissement effectif d'argent lors de l'octroi de crédit (diverses cautions).

Il est à noter que la distinction entre les deux types de crédit n'est pas absolue,
puisque le banquier peut être appelé à faire un décaissement effectif lorsque le risque pour
lequel il s'est porté garant se réalise.

2.1.1 Les crédits par décaissement :

Les crédits de fonctionnement seront développés selon cette catégorie par rapport à
leurs destinations en les classant de la manière suivante :

· Les crédits de caisse ;

· Les crédits de mobilisation des créances ;


· Les crédits de financement des stocks ;

· Les crédits de financement des marchés publics ;

· Les crédits de caisse :

Ce type de crédit est généralement utilisé en compte courant, il a pour principal


objet de permettre à l'utilisateur de devenir débiteur pour un laps de temps (déterminé ou
non) et pour un montant plafond déterminé lors de la négociation initiale des lignes de
crédit. Pour l'utilisateur, Ce type de crédit est souple et simple à débloquer mais il est plus
cher, le coût à supporter est aussi difficile à prévoir. Il permet aussi de compléter le
financement normal du cycle d'exploitation et donc de pallier à l'insuffisance du fonds de
roulement. Pour le banquier, la gestion des crédits par caisse est difficile car les besoins du
client sont difficiles à prévoir, la destination du crédit est difficilement contrôlable, ce qui
engendre des risques importants (risque de détournement des fonds.

· Les crédits de mobilisation des créances :

L'escompte papier commercial (E.P.C.) : Son objet est de permettre le paiement du


montant des effets sans attendre leur échéance. C'est l'opération par laquelle une entreprise
rend liquides les créances qu'elle détient sur sa clientèle. L'escompte consiste à céder à la
banque un ou plusieurs effets de commerce moyennant des agios calculés au taux
d'escompte en tenant compte du délai restant à courir jusqu'à l'échéance des effets (Jour
ouvrable).La banque court en octroyant ce type de crédits le risque du retour impayé des
effets escomptés, ce risque se trouve amplifié si le client a épuisé toutes ses possibilités de
crédits.

La mobilisation des créances nées à l'étranger (MCNE) : C'est l'opération par laquelle
une entreprise rend liquides les créances qu'elle détient sur sa clientèle établie à l'étranger.

Le factoring (local et international) : C'est une technique, très récente, de mobilisation


décote qui est en fonction du risque de défaillance du débiteur des créances sur la clientèle
locale (factoring local) ou établie à l'étranger (factoring international). Le factoring consiste
à transférer les créances d'une entreprise vers un organisme, appelé « factor» pour :

· Soit le recouvrement moyennant des commissions au risque et péril du client, dans


ce cas ce n'est pas un financement mais juste un service ;

· Soit le financement par cession de créances sans recours moyennant une ;


· les crédits de financement des stocks :

Les avances sur marchandises : Elles ont pour objet de procurer à certaines
entreprises industrielles ou commerciales les capitaux complémentaires nécessaires au
financement de leurs besoins en stocks (approvisionnement en matières premières, achat de
marchandises, constitution de stocks de produits fabriqués, maintien de stocks de sécurité
...). Ces avances sont accordées sur la base d'un contrat de nantissement des marchandises
financées.

Le crédit de compagne est un crédit qui couvre les besoins périodiques d'une
entreprise à activité saisonnière. Sa durée est généralement comprise entre 6 et 9 mois.

· Les crédits de financement des marchés publics (Avances sur marchés) :

Leur objet est de permettre aux entreprises adjudicataires de marchés publics ou


privés de faire face à leurs besoins de trésorerie engendrés par l'importance à la fois des
dépenses qu'elles effectuent (travaux, fournitures...) et des délais de règlements.

Moyennant le nantissement de leurs marchés au profit de leurs banques. Les titulaires


de marchés peuvent obtenir de ces derniers des avances sur les attestations de droits
constatés allant de 70 à 80% dans la limite d'une autorisation préalablement accordée.

Le nantissement du marché implique que tous les règlements à effectuer sur le


marché nanti doivent l'être entre les mains du banquier pour lui permettre de récupérer ses
avances. Le reliquat est, reversé dans le compte de l'adjudicataire du marché.

. Les crédits par signature :

Les crédits par signature présentent des avantages pour le banquier comme pour son
client, ils permettent aux banquiers d'éviter toute sortie de fonds et aux clients d'améliorer
leur gestion de la trésorerie, d'abaisser leurs coûts financiers et de valoriser leur image de
marque. Ces crédits génèrent par contre aux banquiers des risques difficiles à évaluer et
dont le suivi est lourd à gérer.

On peut classer les crédits par signature selon les catégories suivantes :

· Le crédit d'enlèvement :

Pour remédier aux inconvénients de l'encombrement des marchandises importées


dans les ports, il a été institué le régime du crédit d'enlèvement, qui est une simple facilité
permettant au redevable d'enlever ses marchandises aussitôt après vérification et avant
liquidation et paiement des droits et taxes. Le rôle de la banque dans ce type de crédit et de
garantir à la douane le paiement des droits et taxes à l'échéance.

· L'obligation cautionnée :

A la différence du crédit d'enlèvement qui n'est qu'une facilité d'enlèvement, le


paiement par obligation cautionnée permet à l'importateur de différer le règlement des droits
et taxes dont il est redevable de 60, 90 ou 120 jours.

· L'entrepôt de stockage à l'importation :

Cette caution permet à la clientèle des banques d'entreposer des marchandises


dans des lieux soumis au contrôle de la douane. Elle garantis la douane contre le non
respect des délais d'entreposage, l'existence de manquants, l'inexactitude des
marchandises déclarées et les manipulations.

· L'entrepôt de stockage à l'exportation :

Il concerne les marchandises (d'origine marocaine ou étrangère) destinées


uniquement à l'exportation, mais dont la sortie du territoire a été pour quelconque raison
retardée.

Les bénéficiaires de ce régime doivent remettre à la douane une caution bancaire


garantissant l'absence de manquants au moment de l'exportation effective et le respect des
délais.

. Le financement du cycle d'investissement :


Ce sont des crédits qui ont pour objet de financer l'actif immobilisé de l'entreprise
emprunteuse, les fonds propres n'étant pas suffisants pour couvrir tout le montant de
l'investissement. Les investissements que le banquier peut être appelé à financer peuvent
consister dans la création, l'extension, la modernisation ou la restructuration d'une entité de
production de biens ou de services.

Le volume de ces crédits est souvent élevé, l'échéance dépend surtout de la durée
économique du bien. L'appréciation de l'importance de l'investissement dépend de plusieurs
facteurs :

· L'évolution est caractéristique de la demande (en quantité et en qualité) ;


· La concurrence existante ;

· La rentabilité prévisionnelle (cash-flows, chiffre d'affaires etc.) ;

· Les motivations personnelles des promoteurs. Etc.

La banque est appelée à courir un risque à chaque fois qu'elle octrois un crédit, ce
risque entre en effet en jeu dès que la banque se met en attente de rentrée de ses fonds
mobilisés et que la probabilité de leur récupération est inférieure à 100%.

Les risques de crédit bancaires :


Définition du risques bancaires :

Le risque de crédit est le risque que ce débiteur ou emprunteur fasse défaut ou que
sa situation économique se dégrade au point de dévaluer la créance que l'établissement
bancaire détient sur lui. Très prosaïquement, il existe donc un risque pour la banque dès lors
qu'elle se met en situation d'attendre une entrée de fonds de la part d'un client ou d'une
contrepartie de marché.

La banque doit faire face à tout type de risque de faillite pour les sociétés ou
d'insolvabilité pour les particuliers et professionnels. Elle se doit par conséquent de les
connaître, les identifier le moment venu de la manière la plus rapide possible, et les anticiper
au maximum. Le cas échéant, il convient également de sortir du crédit avec un minimum de
pertes.

Le risque de crédit pour une banque est de très loin le plus important puisqu'il
représente 75 à 85% du risque chez les établissements bancaires. Le provisionnement, plus
communément appelé « coût du risque », coûte cher aux banques en terme de bénéfices.

Paradoxalement, la gestion du risque de crédit, dont les procédures de gestion sont


classiques et bien connues, est sans doute celle qui est appelée à évoluer le plus
aujourd'hui.

De multiples facteurs concourent à cette évolution.

En premier lieu, les mesures du risque de crédit sur des portefeuilles de prêts ont
considérablement progressé. Les modèles d'analyse de crédit sont nombreux et
commencent à être mis en application par les banques notamment grâce à une gestion
informatique et automatisée plus performante (calcul de scores, notations etc......).
Cependant, nous verrons que le facteur humain de l'analyse de ce risque reste
toujours un élément clé.

Ensuite, l'environnement bancaire en très forte évolution ces deux dernières


décennies influence beaucoup ce risque qui à tendance à évoluer en s'intensifiant. C'est
pourquoi l'appréhension de ce risque par les banques est un enjeu important.

2.3. Le risque opérationnel :

Le risque opérationnel peut être défini comme le risque de perte liée à des processus
opérationnels, des personnes ou des systèmes inadéquats ou défaillants ou à des
événements externes.

Par exemple, l'utilisation de l'informatique fait courir des risques supplémentaires aux
établissements de crédit :

Ø Perte de données et de programmes en cas de dispositifs de sécurité inadéquats,

Ø Défaillances de l'équipement ou des systèmes et des procédures de sauvegarde et


de récupération des données ;

Ø Informations de gestion erronées résultant de procédures imparfaites de


développement de systèmes ;

Ø ·Absence d'installations de remplacement compatibles dans le cas d'interruptions


prolongées de fonctionnement des équipements.

De telles pertes et interruptions peuvent entraîner de graves difficultés pour un


établissement. Le danger que ses décisions soient fondées sur des informations non fiables ou
trompeuses produites par des systèmes d'information mal conçus ou insuffisamment
contrôlés est vraisemblablement plus grave.

Ce risque n'était, pendant longtemps, pas ou peu pris en compte par les banques
dans la gestion de leurs risques. Des études ont cependant montré que le risque opérationnel
était une source non négligeable de pertes pour les banques. C'est pourquoi ce risque est
désormais pris en compte dans le nouveau ratio de solvabilité Mac Donough pour une
meilleure appréhension de tous les risques bancaires.
Cependant, bien qu'il soit désormais entendu que ce risque opérationnel est bien réel
et coûte cher aux institutions financières, il n'est pourtant pas aisé de l'identifier clairement
d'ou des problèmes concernant sa couverture.

Dans l'approche standard, l'activité des banques est répartie entre plusieurs
domaines ou " lignes métiers " (business line). On définie souvent trois grands métiers de la
banque : La banque de détail, la banque d'investissement et de financement et la gestion
d'actifs. A chaque métier les autorités de régulation attribueront donc un facteur de
pondération "moyen" censé refléter le risque opérationnel objectif encouru par chaque
activité.

2.4. Le risque pays :

Compte tenu de la forte croissance du commerce mondial (+ 6 % par an environ) et


des investissements internationaux notamment dans les pays émergents plus risqués et
instables, les enjeux liés au risque pays sont désormais à prendre en compte dans certains
cas.

Le « risque pays » peut être défini comme le risque de matérialisation d'un sinistre,
résultant du contexte économique et politique d'un Etat étranger, dans lequel une entreprise
ou une banque effectue une partie de ses activités.

De ce fait, le risque pays peut englober deux composantes :

Ø Une composante « risque politique », résultant soit d'actes ou de mesures prises par
les autorités publiques locales ou du pays d'origine (gouvernements, législation), soit
d'événements internes (émeutes) ou externes (guerre).

Ø Une composante « risque économique et financier », qui recouvre aussi bien une
dépréciation monétaire qu'une absence de devises se traduisant, par exemple, par un
défaut de paiement. De plus en plus, ces deux sources de risque sont interdépendantes, ainsi
que l'a montré la crise asiatique. (l'Indonésie a connu des bouleversements politiques qui ont
entraîné des soubresauts économiques (effondrement de la roupie, arrêt des investissements
étrangers), mais la crise politique avait elle-même, entre autres, des origines économiques.

2.5. Les autres risques :

2.5.1. Le risque de liquidité :


Le risque de liquidité, ou plus précisément d'absence de liquidité donc d'illiquidité, est
le fait pour une banque de ne pouvoir faire face à ses engagements par l'impossibilité de ce
procurer les fonds dont elle a besoin.

La défaillance due à l'illiquidité, plus qu'une cause, est un effet. Elle est souvent la
conséquence de l'appréciation que portent le marché et les déposants sur la capacité de
l'établissement à rembourser les dépôts qui lui ont été confiés. Cette appréciation peut être
objective mais aussi parfois subjective.

Un autre aspect du risque de liquidité est celui de ne pas pouvoir trouver, à un instant
donné, des instruments financiers destinés à couvrir une position, ou de devoir les acheter ou
les vendre à un prix anormal, du fait de l'insuffisance ou de l'absence de liquidité sur le
marché.

2.5.2. Le risque de transformation :

La transformation, qui est un risque traditionnel, consiste à transformer des ressources


structurellement à court terme en des emplois à long terme. Ce qui implique un double
risque : un risque de taux d'intérêt et un risque de illiquidité.

2.5.3. Le risque global de taux d'intérêt :

Les activités bancaires de dépôt et de crédit impliquent un risque significatif en cas


de variation importante des taux d'intérêt. Ses effets peuvent se révéler être une bombe à
retardement.

2.5.4. Le risque stratégique :

La stratégie adoptée par un établissement de crédit dans différents domaines


engage des ressources toujours signification. A titre d'exemple ces stratégies peuvent être :
la pénétration d'un marché, le lancement de nouvelles activités, le refonte du système
d'information, une croissance externe par fusion ou acquisition. Un échec peut s'avérer lourd
de conséquence car les ressources engagées deviennent sans valeur et la perte de
substance signification.

2.5.5. Le risque systémique :

Les établissement de crédit sont interdépendants les uns par rapport aux autres. Les
pertes consécutives à la défaillance d'un établissement sont supportées, par un effet de
contagion, essentiellement par le système bancaire, sous trois formes :
Ø Les opérations interbancaires, conclues avec l'établissement défaillant, se
traduiront par une perte pour l'établissement prêteur ;

Ø La solidarité de la place oblige fréquemment tous les établissements défaillants, à


participer à l'apurement du passif de l'établissement sinistré ;

Ø Les actionnaires d'un établissement de crédit sont fréquemment d'autre


établissement qui devront, conformément à leur rôle, participer au sauvetage de
l'établissement défaillant.

La défaillance d'un établissement de crédit, comme un jeu de dominos, peut donc


déclencher des défaillances dans d'autre établissement et risque de mettre en péril tout le
système bancaire.

Gestion actuelle du risque de crédit


2.1. Réglementation prudentielle des activités de crédit

La réglementation prudentielle recouvre l'ensemble des contraintes imposées aux


établissements de crédit pour une bonne gestion et maîtrise des risques qu'ils font courir à
l'ensemble des acteurs économiques et plus particulièrement à leurs déposants. En réalité, le
premier souci des autorités bancaires est de limiter au maximum une propagation des
défaillances pouvant entraîner de graves perturbations pour le reste des gantes
économiques.

2.2. Méthode de gestion traditionnelle du risque de crédit :

Elles reposent sur la gestion a priori et la gestion a posteriori du risque de crédit.

gestion a posteriori est celle du suivi des engagements. Une fois le crédit accordé, si
la qualité de l'emprunteur se détériore, il ne reste généralement que deux solutions à la
banque : avoir recours aux provisions ou bien solder leur position en enregistrant une perte.
Par conséquent, la gestion à priori est primordiale, de fait qu`elle prend en compte
l'appréciation et la prévention du risque de crédit.

2.2.1. L'appréciation du risque de contrepartie :

2.2.1.1. L'analyse financière :

L'analyse financière permet de faire une étude approfondie sur la situation financière
d'une entreprise.
D'une part, elle donne des informations indispensables telles que la qualité de
l'entreprise, sa rentabilité, etc. Néanmoins, il reste à savoir si cette analyse est suffisante pour
quantifier la rémunération du risque de crédit lors d'une demande de prêt de l'entreprise. En
effet, les ratios financiers évoluent dans le temps et dépendent du secteur industriel de
l'entreprise et de sa localisation géographique.

D'autre part, l'analyse financière est un outil de base permettant de savoir si


l'attribution d'un crédit est possible, mais elle ne permet en cas aucun de déterminer le
niveau de marge requis.

La prévention du risque de contrepartie ou la gestion des lignes de crédit :

Il est nécessaire d'éviter que la défaillance d'une contrepartie n'entraîne pas des
difficultés trop importantes pour le prêteur. Pour cela, les banques doivent déterminer les
seuils à ne pas franchir.

D'une part, les banques pour contenir leurs risques dans une enveloppe acceptable
doivent se donner des limites d'exposition, donc les systèmes de limites de risque consistent
à fixer des autorisations d'engagements par contre partie et par marchés.

Dans le même ordre des idées, un suivi constant des utilisations est indispensable afin
de s'assurer que les limites d'exposition sont bien respectées. Mais, c'est justement ce suivi
qui pose un problème, d'une part, d'information et d'organisation du reporting des risques, et
d'autre part de la mesure en intervalle suffisamment fréquents des expositions au risque.

D'autre part, le banquier peut mettre en place des sûretés définies comme des
garanties destinées à éviter à un créancier les conséquences de l'éventuelle insolvabilité de
son débiteur. Il existe deux classes de sûretés. Premièrement, les sûretés réelles sont des
biens, mobiliers ou immobiliers, qui sot affectés en garantie d'une créance (les gages pour
les biens mobiliers, et les hypothèques pour les biens immobilier). Deuxièmement, les sûretés
personnels sont l'engagement d'une ou de plusieurs personnes qui promettent de
désintéresser le banquier en cas de défaut de l'emprunteur (les cautions qui sont des
engagements d'ordre général et les avals qui sont des engagements ciblés sur un crédit
particulier).

Il est à noter, enfin, que toutes les techniques que l'on vient de voir permettent de
réduire un risque de crédit en le vendant. Cependant, cela n'est possible qu'à la seule
condition que ce risque de crédit existe déjà dans le bilan des banques. Par ailleurs, le client
est souvent ms au courant que sa contrepartie cherche à diminuer le risque de crédit
initialement, ce qui n'est pas sans poser de difficultés commerciales.
Section2 : Etude pratique de la gestion de crédit bancaires:
( cas de la banque crédit agricole Brrechid)

DÉMARCHE COMMERCIALE
Lorsque le client se présente au point de vente pour demander un crédit le

chargé de clientèle doit :

● S’assurer des conditions d’éligibilité du client telles que listées ci-dessus et identifier les

éventuelles dérogations d’éligibilité

● Informer le client sur les caractéristiques du produit de la banque

● Communiquer au client, à sa demande, le montant des frais annexes occasionnés par

l’octroi du crédit

● Procéder au calcul de la mensualité à payer par le client et s’assurer que le taux de

charge de remboursement ne dépasse pas 40% des revenus mensuels nets

● Communiquer au client la liste des documents à fournir nécessaires à l’octroi du crédit

ORGANE DE DÉCISION ET PLAFONDS DE COMPÉTENCE


● Organe de décision

Les demandes de crédit seront examinées par les organes suivants :

● Le Comité de Crédit et du Recouvrement de la Direction Régionale

● Le Comité de Crédit et du Recouvrement de la Caisse Régionale

● Le Comité de Crédit et du Recouvrement de l’Agence Entreprises

● Le Comité de Crédit et du Recouvrement de l’Agance Particuliers

● Plafonds de compétence
Les plafonds de compétence des organes de décision sont fixés comme suit :

● CCRDR : 1.000.000 DH

● CCRCR : 750.000 DH

● CCRAE : 750.000 DH

● CCRAP : 500.000 DH

● Modalités de remboursement du crédit

● Remboursement normal

La direction des systèmes d’informations (DSI) procédera au prélèvement du

montant de l’échéance, sur le compte chèque du client selon les quatre périodicités. La

date butoir de prélèvement est le 1er de chaque périodicité.

Le montant de l’échéance sera, désormais, constant comprenant l’amortissement

du principal, les intérêts et la TVA.

Il est à préciser que, pour les fonctionnaires et les salariés, le remboursement

normal du crédit ne peut être effectué que par périodicité mensuelle.

● Remboursement partiel par anticipation

le remboursement partiel par anticipation est possible à partir de 20% du capital

restant dû augmenté d’un mois d’intérêt sur le capital remboursé. La DSI procédera au

réaménagement du tableau d’amortissement sur la base des échéances restantes, et

transmettra le nouveau tableau au point de vente concerné.

● Remboursement total par anticipation

En cas de remboursement total par anticipation, le point de vente procédera à

l’arrêté de la situation du crédit constitué du capital restant dû au taux contractuel

augmenté des intérêts arrêtés à la fin du mois suivant.

La limitation de risque crédit bancaires :


Le crédit agricole berrechid et suivi plusieurs moyens pour limiter les risques de
crédit bancaire. présente quatre moyens pour limiter les risques de crédit bancaire :

- la diversification des portefeuilles de crédit;

- études approfondies du futur débiteur ;

- la surveillance constante de la solvabilité ;

- la prise des garanties.

la diversification des portefeuilles de crédit;

La banque peut diversifier des crédits. En effet, il est périlleux pour une banque de
concentrer ces crédits sur quelques gros bénéficiaires.

Plus les crédits sont répartis entre un grand nombre de bénéficiaires et


d'émetteurs, plus la probabilité de non remboursement est faible. La division des risques
constitue l'un des fondements de la fonction d'intermédiaire financier. De même le
financement exclusif d'un seul secteur de l'activité économique et /ou une zone
géographique expose la banque à des difficultés élevées en cas de récession de ce
secteur ou cette zone.

- études approfondies du futur débiteur :

La banque réduira les risques du crédit en décidant de n'octroyer des prêts


qu'aux personnes présentant un faible risque de défaillance.

La banque doit vérifier que le montant des remboursements et intérêts demandés


est en correspondance avec les revenus actuels et futurs du débiteur. Elle doit
également s'assurer que le client a le réel désir d'honorer ses engagements ; elle peut
pour cela, consulter les fichiers d'incidents de paiement et de remboursement.

La banque a également la possibilité de sélectionner ses clients à partir de leur


situation familiale, de leur niveau de revenu et de tous autres éléments servant à
différencier les clients défaillants des non défaillants. La décision d'octroyer ou non un
crédit à une entreprise est prise au vu d'études de conjoncture de son secteur
économique et après examen de sa situation financière.
- la surveillance constante de la solvabilité ;

La solvabilité est une chose qu'il faut surveiller continuellement. Il y a des gens
solvables à un moment donné et qui ne le sont plus ensuite. Cette solvabilité se rattache
à la notion du patrimoine. Elle dépend aussi des sûretés stipulées.

Faute de sûreté particulière, c'est l'ensemble du patrimoine du débiteur qui


constituera sa garantie.

Il faut se défier, il y a des richesses plus ou moins sécurisantes pour le créancier.


Le créancier prudent ne dormira tranquille que si les biens de son débiteur sont
disponibles, faciles à dessaisir. Il comparera les disponibilités avec les exigibilités pour
savoir si d'autres créances ne mettent pas son débiteur en difficulté.

Il sait enfin que certains biens comme le fond de commerce sont susceptibles de
s'évanouir d'eux-mêmes si le débiteur relâche ses efforts. Il y a aussi des gens
extrêmement riches qui ne paient pas leurs dettes. D'autres fortunes sont peut être des
biens insaisissables.

la prise des garanties.

Pour améliorer la sécurité de ces engagements et surtout pour se couvrir du


risque de non remboursement il faut que le banquier recueille des garanties.

On distingue les garanties réelles et les garanties personnelles.

Les garanties réelles :

La garantie réelle est un engagement qu'une entreprise met à la disposition de sa


banque sous forme d'un bien mobilier ou immobilier. On distingue deux formes de
garanties réelles :

a) Le nantissement

Le nantissement est l'acte par lequel le débiteur remet au créancier un bien en


garantie de sa créance. Si le bien remis en garantie est meuble, on parle de gage ; s'il
s'agit des revenus d'immeuble, on appelle cela l'antichrèse.

b) L'hypothèque ou sûreté réelle immobilière


L'hypothèque est une garantie coûteuse comparativement au nantissement, elle
est sollicitée en couverture de crédit d'investissement. L'hypothèque se définit comme
étant l'acte par lequel le débiteur accorde au créancier un droit sur un immeuble sans
dessaisissement et avec publicité.

Les garanties personnelles :

Appelé aussi « sûretés personnelles ». Ces garanties sont constituées par


l'engagement d'une ou plusieurs personnes de rembourser le créancier en cas de
défaillance du débiteur principal. Elles se réalisent sous les formes juridiques de
cautionnement et de l'aval.

- Le cautionnement : le cautionnement est l'engagement pris par un tiers, appelé


caution, de s'exécuter en cas de défaillance du débiteur.

- L'aval : l'aval est l'engagement apporté par un tiers sur un effet de commerce
pour en garantir le paiement. L'avaliste est donc solidaire du débiteur principal.

L'aval peut être donné sur l'effet ou par acte séparé.

La gestion du risque de taux

Pour qu'une banque évite d'avoir une trop grande exposition du risque de taux, il
est souhaitable qu'elle limite son risque de transformation, c'est-à-dire qu'elle s'efforce
d'adosser au mieux la durée de ses emplois avec celle de ses ressources.

Une autre solution consiste à développer la part de sa collecte, mais surtout de


ses emplois à taux révisables, car ceux-ci vont évoluer corrélativement aux taux du
marché.

Une dernière solution consiste pour la banque à couvrir son risque de taux en
opérant sur des produits de marché dérivé

Les risques à éviter sont ceux qui découlent des activités ou situations présentant
une grande incertitude. Etant donné que le risque aussi provient des incertitudes qui
peuvent survenir, trop d'incertitudes ne peut avoir comme effet que des risques énormes.
Face à des cas de crédit pareils, le banquier doit savoir éviter de s'engager. Sinon il
court de grands risques. Nous distinguons trois cas :
· Le client dispose déjà d'importants concours chez d'autres banquiers

Avant de donner son accord pour une demande de crédit, un bon banquier doit
chercher à savoir si son client n'a pas déjà obtenu de concours bancaires ailleurs. Cela
lui permettrait d'éviter que son argent ne soit utilisé à rembourser d'autres dettes. Si
malgré un cas d'endettement excessif ailleurs, le banquier accorde le crédit, il prend un
risque anormal.

· Le client n'est pas en règle vis-à-vis du fisc

Lorsque le client n'est pas en règle vis-à-vis du fisc, le banquier peut le savoir
grâce aux documents comptables qui lui seront présentés. Accorder un crédit malgré
cette irrégularité, c'est prendre des risques anormaux, car les chances de
remboursement sont trop faibles.

· La marchandise, objet du contrat est spéculative

Une marchandise est spéculative lorsque son écoulement peut être contrôlé par
une ou plusieurs personnes dans le but d'aggraver ou de

provoquer sa pénurie. Un crédit bancaire ne saurait être accordé pour le


financement d'une telle activité.

En somme, il faut rappeler qu'aucun crédit bancaire n'est exempt de risque. De


plus, l'octroi de crédits est l'une des principales activités bancaires. Par conséquent, le
banquier chargé de les distribuer doit pouvoir les identifier clairement afin de mieux
apprécier l'ampleur des risques à courir.
CONCLUSION :
La mise en place d'une gestion efficace des engagements bancaires n'est pas
une mission aisée, car elle dépasse le cadre purement théorique du domaine de la
gestion. En fait, la gestion des engagements est une réflexion perpétuelle sur la maîtrise
et l'adaptation à l'environnement direct de la banque. Les variables intéressantes à
incorporer dans le traitement des dossiers de crédit, mais aussi sur bien d'autres choses.

Dans le cadre de la Banque credit agricole et spécialement caisse régionale


berrechid , la mise en oeuvre d'une gestion des engagements est assurée, au niveau du
Département des Engagements, par trois antennes qui se complètent et se succèdent
dans le temps les unes aux autres, puisque chacune d'entre elles correspond à une
phase du traitement des dossiers de crédits. Ces quatre fonctions sont appelées à
intervenir sur toutes missions de ce type.

La première phase consiste à « étudier » la demande de crédit pour savoir «


simplement » de quoi il s'agit. Ce qui revient à identifier les besoins réels du demandeur
et préciser soigneusement la nature de l'encours financier à envisager. La fameuse
obligation de prudence fait de cette fonction une véritable collecte de l'information. Il
faut, en fait, collecter les données en les vérifiant, les classant de manière à simplifier
leurs futurs traitements.

C'est seulement après cette première phase que l'on peut réaliser la seconde : la
prise de garanties. Nous avons pu constaté, après exposition et définition des garanties
généralement demandées, la procédure qui accompagne cette démarche de prise de
garanties. De plus, nous avons fait remarquer que cette prise de garantie était lourde au
point de décourager la clientèle, notamment les entreprises, de s'endetter.

A ce sujet, il est dommage de voir qu'aucun allègement n'a été mis au point
dans la durée de notre stage. Normalement, la banque est une institution de
dynamisation du tissu économique local et un élément catalyseur vers l'initiative privée,
et la relation banque/entreprise doit être un rapport qui se développe au fil du temps.
Vient maintenant la troisième phase qui consiste à « contrôler la gestion des
engagements », c'est en effet un travail d'une grande sensibilité. Tous les effets d'un
engagement contracté se font ressentir au niveau de cette phase : suivi des échéances,
gestion et mesure du risque de non recouvrement, alertes de clients douteux, etc. Un
travail d'une éminente importance que toute erreur pourrait déboucher sur des
répercussions néfastes (montée des créances en souffrance...).
TABLE DES MATIERES

REMMERCIEMENT : 1

INTRODUCTION 2

PREMIÈRE PARTIE 3

PRÉSENTATION DU CRÉDIT AGRICOLE DU MAROC (CAM) 3

APERÇU SUR LE CRÉDIT AGRICOLE DU MAROC& LES TÂCHES ÉFFECTUÉES 4


I) PRÉSENTATION DE CAM : 4
1- Historique : 4
2- Missions : 5
3- Organigramme : 6
II ) LES TÂCHES ET ÉSPRIT DE STAGE : 10
1- les tâches effectuées : 10
2- esprit de stage : 12
SECTION 2 : DESCRIPTIONS DES PRODUITS ET SERVICES OFFERTS PAR CAM 13
I) LES SERVICES DE CAM : 13
1-service commercial : 13
2 - service opération du guichet 13
-Service crédit 15
4-service juridique : 17
LES PRODUITS DU CRÉDIT AGRICOLE : 18
1) Les produits monétiques : 18
2) Les produits d’assurance : 20
Les crédits aux professionnels de l’agriculture de l’agro- industrie du commerce : 21

DEUXIÈME PARTIE: 22

LA GESTION DE CRÉDIT BANCAIRES 22


AU SEIN DU CAM 22

SECTION 1 : 22
ETUDE THÉORIQUE DE LA GESTION DES CRÉDIT BANCAIRES 22
I) DÉFINITION DE CRÉDIT BANCAIRES : 22
II) LES TYPOLOGIE DES CRÉDITS BANCAIRES : 23
Les crédits de financement du cycle d'exploitation : 23
. Le financement du cycle d'investissement : 26
Les risques de crédit bancaires : 26
Gestion actuelle du risque de crédit 30
SECTION2 : ETUDE PRATIQUE DE LA GESTION DE CRÉDIT BANCAIRES: 33
( CAS DE LA BANQUE CRÉDIT AGRICOLE BRRECHID) 33
DÉMARCHE COMMERCIALE 33
ORGANE DE DÉCISION ET PLAFONDS DE COMPÉTENCE 33

CONCLUSION : 39

TABLE DES MATIERES 40

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