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LE TAYLORISME
Présenté par :
- NKOUMBANG Synthia Salomé
- MBEZELE Arielle
- NGO MALLANG Linda
- EWOMBE Merveille
- NGAH NDONGO
- NKAH NSANGOU
Sous la supervision de :
INTRODUCTION ............................................................................................... 1
I. ORIGINE ....................................................................................................... 2
II. PRINCIPES DU TAYLORSIME ................................................................ 2
1. La division verticale ................................................................................... 2
2. La division verticale ................................................................................... 3
3. Le système de salaire au rendement......................................................... 3
4. Le système de contrôle stricte du travail ................................................. 3
III. LES IMPACTS DU TAYLORISME ....................................................... 3
1) Les impacts ................................................................................................. 3
a) Les impacts positifs ................................................................................. 3
b) Les impacts négatifs ................................................................................ 4
CONCLUSION .................................................................................................... 5
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INTRODUCTION
La fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle ont été marqués par des
progrès techniques et surtout scientifiques. Parmi ces nombreux progrès
scientifiques, nous nous attarderons sur le Taylorisme. Il peut être
appréhendé comme étant une doctrine d’organisation scientifique du travail.
En d’autres termes, le Taylorisme vise à optimiser la productivité des
entreprises en réduisant les tâches des ouvriers à travers la suppression de
toutes formes de mouvements superflus. Parler du Taylorisme revient tout
d’abord à donner son origine, ensuite, décrire ses principes et enfin présenter
les impacts.
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I. ORIGINE
Le taylorisme doit son nom à son créateur l’ingénieur américain Frederick
Winslow Taylor. Ayant connu tous les échelons de l’industrie, il part de
l’hypothèse qu’il est impossible de réaliser une production de masse sans un
minimum d’organisation. Or ce qu’il a pu remarquer à la fin du XIX ème siècle et
au début du XXème siècle dans les ateliers ne va pas dans ce sens. Il conclut que
le travail réellement collectif est un mythe tant les comportements individuels,
enfermés dans les logiques de métiers fortement corporatistes1, ne contribuent en
aucune façon à la cohérence ni à la collaboration. L’état d’esprit, les réflexes, les
comportements dominants demeurent artisanaux et individualistes, alors qu’il
s’agit de faire preuve d’industrie. C’est ainsi qu’il produit tour à tour un
mémoire sur les salaires aux pièces (1895) et un autre sur la direction des
ateliers (1903). Taylor systématise sa méthode qu’il expose dans un livre intitulé
« The principles of scientic management » en 1911, qui s’inscrit dans la 1ère
modernisation des années 1850.
- La division verticale ;
- La division horizontale ;
- Le système de salaire au rendement ;
- Le système de contrôle du travail.
1. La division verticale
Elle représente une séparation stricte entre le travail opéré par les employés (la
conception) et le travail d’exécution. Autrement dit, l’exécutif qui se charge de
réussir les opérations est dirigé par les experts en organisation du travail. La
division verticale du travail a ainsi un caractère hiérarchique. L’autorité est
conférée à ceux qui conçoivent l’organisation du travail et ordonnent les
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directives qui en résultent. De l’autre côté les ouvriers exécutent et obéissent, il
y’a là un caractère sociale.
2. La division verticale
C’est la parcellisation maximale du travail des tâches effectuées par les
employés. Il s’agit d’une spécialisation des tâches opérées. C’est l’introduction
en 1913 du travail à la chaîne par l’entrepreneur Ford (Fordisme) qui vient
renforcer ce nouveau modèle d’organisation du travail. Les tâches sont
désormais contrôlées, chronométrées avec un rythme d’exécution imposé.
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- L’augmentation de la productivité et de l’efficacité des travailleurs en
utilisant des techniques de rationalisation du travail par l’individualisation
des tâches ;
- La diminution des coûts de production ;
- Le mécanisme direct de récompense ;
- Se focalise sur la mesure qui favorise l’amélioration ;
- La spécialisation des ouvriers.
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CONCLUSION